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Saint-RĂ©my-de-Maurienne

Saint-Rémy-de-Maurienne est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-RĂ©my-de-Maurienne
Saint-RĂ©my-de-Maurienne
Blason de Saint-RĂ©my-de-Maurienne
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Savoie
Arrondissement Saint-Jean-de-Maurienne
Intercommunalité Communauté de communes du Canton de La Chambre
Maire
Mandat
Bertrand Mondet
2020-2026
Code postal 73660
Code commune 73278
DĂ©mographie
Gentilé Rémiliens
Population
municipale
1 238 hab. (2020 en diminution de 1,82 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 28 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 23′ 34″ nord, 6° 15′ 56″ est
Altitude Min. 394 m
Max. 2 760 m
Superficie 44,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Jean-de-Maurienne
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Jean-de-Maurienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-RĂ©my-de-Maurienne
Liens
Site web www.saintremydemaurienne.com

    GĂ©ographie

    Sud de la vallée vu du chef-lieu.

    Saint-RĂ©my-de-Maurienne se situe sur la rive gauche de l'Arc, Ă  quelques kilomètres, en descendant la vallĂ©e, de la confluence avec la vallĂ©e des Villards et celle du Bugeon. Le territoire communal, intĂ©gralement situĂ© sur la rive gauche, englobe Ă©galement plusieurs vallons et sommets de la chaĂ®ne sĂ©parant la Maurienne de la vallĂ©e d'Allevard. Parmi les principaux sommets figurent le pic du FrĂŞne (2 807 m) et le Grand Miceau, parfois appelĂ© Grand Pic de Saint-RĂ©my (2 619 m).

    Si le fond de vallĂ©e est ample et plat, les contreforts sont abrupts et rocheux, et recouverts d'une dense forĂŞt composĂ©e principalement de frĂŞnes, de châtaigniers et plus haut, de conifères, jusqu'aux environs de 1 700 m. Plus haut, s'Ă©tend une vĂ©gĂ©tation de haute montagne avec d'amples pâturages vallonnĂ©s et moins abrupts.

    La faune sauvage est nombreuse sur la commune mais varie selon le milieu. Ainsi le fond de vallée (héron, canard, épervier, lapin sauvage, renard, couleuvre, lézards), les bois (chouette, chat-huant, grand-duc, sanglier, chevreuil) et les alpages (corbeau, choucas, aigle royal, marmotte, chamois et depuis peu quelques loups ont été observés) comptent des espèces variées. Le dernier ours y fut tué pendant la Première Guerre mondiale. Le roi de Piémont-Sardaigne, futur roi d'Italie, Victor-Emmanuel vint y chasser, selon des sources locales, avant que la Savoie ne devienne française.

    Communes limitrophes

    Saint-Rémy-de-Maurienne est limitrophe de 8 communes. 6 d'entre elles sont situées dans la vallée de la Maurienne : 3 sur la même rive de l'Arc (Saint-Pierre-de-Belleville, Saint-Léger, Saint-Étienne-de-Cuines) et 3 sur la rive opposée (La Chapelle, Les Chavannes-en-Maurienne, La Chambre). Les 2 autres communes d'Arvillard et de Presle sont situées à l'ouest, sur le versant opposé du massif de Belledonne, dans la combe de Savoie.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Rémy-de-Maurienne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (22,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), zones urbanisées (2,8 %), prairies (1,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Toponymie

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Sin Rmi, selon la graphie de Conflans[7].

    Histoire

    Les mentions du village sous la Révolution parlent de deux bourgs appelés Arpingon (Saint-Rémy) et la Tour Marteau (Saint-Sulpice).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de la commune.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2020 Christian Rochette UMP
    2020 En cours Bertrand Mondet
    Les données manquantes sont à compléter.

    À la suite de la délibération du conseil municipal du , la commune a intégré la communauté de communes de la Vallée du Glandon le , se substituant au Syndicat intercommunal du canton de La Chambre, désormais dissout.

    Industrie

    Anciens bâtiments de la râperie Horteur.

    C'est sous sa forme mĂ©canique qu'a commencĂ© Ă  Saint-RĂ©my l'ère de la houille blanche. En effet, quand a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1873 la SociĂ©tĂ© des Ă©tablissements Horteur, on ne savait pas encore convertir l'Ă©nergie d'une chute d'eau en Ă©lectricitĂ©. Son fondateur, dont le service de diligences ChambĂ©ry-Suse Ă©tait victime de la concurrence ferroviaire nouvellement Ă©tablie par le tunnel du FrĂ©jus, s'est inspirĂ© des papetiers installĂ©s dans le proche GrĂ©sivaudan en crĂ©ant une râperie de bois. Il a Ă©quipĂ© par une chute de 50 mètres, portĂ©e en 1900 Ă  250, le ruisseau de la Lescherette descendu de la chaĂ®ne de Belledonne. Ayant fait le choix de se placer sur le crĂ©neau d'une pâte blanche, de qualitĂ©, il s'est approvisionnĂ©, pour l'essentiel, en bois de tremble dans les dĂ©partements bourguignons et franc-comtois par le chemin de fer en gare des Chavannes distante de km[8].

    Photo de turbine pelton
    Turbine Pelton.

    L'affaire a perdurĂ©, le camion-grumier remplaçant peu Ă  peu le wagon pour l'approvisionnement. La rente Ă©nergĂ©tique s'est perpĂ©tuĂ©e. La principale prĂ©occupation a toujours Ă©tĂ© de s'assurer une clientèle dans le climat de concurrence des pâtes scandinaves et du plastique. Il a fallu sortir de l'isolement en liant son sort Ă  une clientèle de grande fidĂ©litĂ©. Ce furent, dans un premier temps, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, les Papeteries de Savoie, Ă©tablies au Bourget-du-Lac avec lesquelles fut conclu un accord de leasing. Quand celles-ci furent contraintes Ă  la fermeture en 1965, le hasard a voulu que les puissantes Cartonneries de La Rochette, en cours de reconversion, aient Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©es par le rachat de la râperie. Elles en firent une filiale. Las ! Mises en demeure de se conformer aux normes environnementales rigoureuses, les Cartonneries ont prĂ©fĂ©rĂ© abandonner la fabrication polluante de l'emballage en carton ordinaire. En compensation, elles ont dĂ©cidĂ© de dĂ©velopper la production de cartonnette, Ă  base de pâte blanche, et d'intĂ©grer vers l'amont, la fabrication de la pâte elle-mĂŞme avec l'objectif très ambitieux de 50 000 tonnes par an. A quoi bon, dans ces conditions, maintenir en service la râperie de Saint-RĂ©my (3 000 tonnes) dont le matĂ©riel Ă©tait Ă  renouveler ? Celle-ci a donc Ă©tĂ© fermĂ©e en 1968. La commune y a perdu 30 emplois mais le souvenir est restĂ© vif de cette entreprise pionnière dont elle perpĂ©tue la mĂ©moire en baptisant sa zone d'activitĂ© du nom de François Horteur[9].

    Johnson Electric a réinvesti les bâtiments en shed des anciennes tréfileries.

    Avec la crĂ©ation des Filatures et TrĂ©fileries de la Maurienne s'est ouverte, Ă  la fin du XIXe siècle, une autre page de l'histoire industrielle de la commune. Tandis que la main-d'Ĺ“uvre quasi exclusivement masculine trouvait Ă  s'employer dans les usines Ă©lectrochimiques de la Basse Maurienne, de nombreuses femmes restaient disponibles pour l'embauche. C'est par le hasard du service militaire que le directeur de la râperie Horteur a rencontrĂ© un industriel lyonnais dĂ©sireux de transfĂ©rer Ă  la campagne son fonds de guimperie. Cette simple affaire familiale s'est dĂ©veloppĂ©e Ă  la dimension industrielle et s'est muĂ©e en sociĂ©tĂ© anonyme avec, bientĂ´t, comme actionnaire principal le Comptoir Lyon-Alemand, spĂ©cialiste du travail des mĂ©taux prĂ©cieux. Le recrutement local s'avĂ©rant insuffisant, une Maison de famille accueillit une centaine de jeunes filles italiennes recrutĂ©es parmi les familles de mineurs lorrains. En 1926, au maximum de leur activitĂ©, les TrĂ©fileries employaient 190 personnes et livraient plus de 10 000 tonnes de marchandises[10].

    La reprise des affaires s'est confirmée après la crise des années 1930 et la Seconde Guerre mondiale mais avec un effectif réduit du fait de l'automatisation. Mais à partir de 1962 on a assisté à un rétrécissement inexorable du marché mondial. Les modes avaient changé. Après Vatican II l'Eglise faisait retour à la simplicité dans l'exercice du culte et l'ornementation des édifices ; du fait de la décolonisation se sont fermés des pays comme l'Inde ou le Maghreb amateurs de costumes chamarrés. C'est dans ce contexte de récession structurelle qu'a éclaté la crise de 1968 dont a découlé l'ajustement des salaires de la campagne sur celui des villes. Les dorures Louis Mathieu de Villeurbanne étaient mieux armées pour la concurrence internationale grâce en particulier à une grande intégration verticale de la fonderie des métaux à la tréfilerie et au tissage et à la passementerie. Elles ont fermé leur établissement de Saint-Rémy[11].

    On assiste dĂ©sormais Ă  un changement d'Ă©poque. Les pesanteurs traditionnelles ont cessĂ© de jouer en faveur des communes. C'est Ă  elles qu'il appartient dĂ©sormais de retenir l'attention des investisseurs par une publicitĂ© dynamique, par la mise Ă  disposition de locaux, par la crĂ©ation de zones d'activitĂ© bien Ă©quipĂ©es. C'est un combat perpĂ©tuel car les stratĂ©gies des entreprises favorisent la mobilitĂ© gĂ©ographique. La chance a d'abord souri Ă  Saint-RĂ©my car la C.I.T.-Alcatel, peinant Ă  recruter pour son usine d'Aix-les-Bains du fait de la concurrence du thermalisme, s'est montrĂ©e intĂ©ressĂ©e par la disponibilitĂ© immĂ©diate des locaux des ex Filatures et par la qualitĂ© du personnel fĂ©minin. Elle s'est engagĂ©e pour 12 ans.Ses espoirs n'ont pas Ă©tĂ© déçus et elle a pu recruter par des services d'autocars dans toute la Maurienne jusqu'Ă  425 personnes en 1974. Mais elle n'a pas renouvelĂ© son bail Ă  son expiration en 1980, la commutation Ă©lectronique rendant obsolète la tĂ©lĂ©phonie traditionnelle[12].

    La commune a alors entrepris de gros travaux de rĂ©novation des locaux et il s'est trouvĂ© un repreneur dès 1984 avec la sociĂ©tĂ© piĂ©montaise GATE, fabricante Ă  Asti de systèmes de ventilation et de climatisation pour les voitures automobiles[13]. Vu l'importance de sa clientèle française, elle a trouvĂ© commode d'avoir outre-monts une antenne de stockage Ă  Saint-RĂ©my. Si les flatteuses perspectives d'emploi originelles (130 personnes en 1994) ne se sont pas confirmĂ©es, on peut tout de mĂŞme se fĂ©liciter de la soliditĂ© de son ancrage savoyard puisque, devenue filiale de la Johnson Electric, elle emploie toujours en 2018 une trentaine de personnes. La mĂŞme fidĂ©litĂ© ne s'est pas confirmĂ©e pour la firme Spirel qui s'Ă©tait installĂ©e sur la zone d'activitĂ© dès son ouverture en 1981 et avait recrutĂ© 60 des chĂ´meurs de la C.I.T. Ce fabricant de petits moteurs pour la manĹ“uvre des stores et rideaux, repris par la Somfy en 1992 avec 120 emplois, vient de dĂ©localiser et a fermĂ© ses portes en 2014[14].

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].

    En 2020, la commune comptait 1 238 habitants[Note 3], en diminution de 1,82 % par rapport Ă  2014 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    495575567666834676941894870
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    819863874893888906874957958
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    8881 0501 014991887879897793891
    1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020 -
    8179629671 1701 2281 2661 2381 238-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Pont de Saint-RĂ©my traversant l'Arc.
    • Une base de loisirs comportant deux lacs artificiels amĂ©nagĂ©s, l'un pour la baignade et l'autre pour la pĂŞche, avec un grand jet d'eau de 30 mètres de hauteur alimentĂ© par le torrent du Goujon[19], et un camping Ă  cĂ´tĂ©.
    • L'Ă©glise du village dĂ©diĂ©e Ă  saint RĂ©my est de style baroque.
    • Chapelle Notre-Dame-Auxiliatrice Ă  l'entrĂ©e du chef-lieu.
    • Principaux hameaux de la commune, en aval (du nord au sud) : le Grivolley, le Grivolley-Barbois, le Pontet, les Étalons, le Sandrin, le Chef-lieu, le Verney du Pont, la Combe, les Perelles, Saint-Claude, les Gorges, la Tour, la Girard, Saint-Sulpice. Et en amont, de nombreux lieux-dits ne sont pas habitĂ©s en permanence : le Beaufray, la Soif, les Grangettes, Montfront, la Grangette, Noire Combe, Varrat, Biomont, les Étaves, Arpingon, le Replat, la Lescherette, la Pierre, l'Arche, les Casières (avec son câble transporteur).
    • Pont de Saint-RĂ©my-de-Maurienne, un des rares ponts en bĂ©ton prĂ©contraint en prĂ©contrainte extradossĂ©e, construit au-dessus de l'Arc et de l'autoroute A43.
    • Église Saint-RĂ©my.
      Église Saint-Rémy.
    • Chapelle Notre-Dame Auxiliatrice.
      Chapelle Notre-Dame Auxiliatrice.
    • Le lac bleu.
      Le lac bleu.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 132-136. ([PDF] lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 24
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    8. Chabert Louis, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , 558 p., p. 121-126.
    9. Blanc René, Saint-Rémy-de-Maurienne, village aux mille sources, Fontaine de Siloé, , 213 p., p. 127-130.
    10. Chabert Louis, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , 558 p., p. 118-120.
    11. Chabert Louis, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , 559 p., p. 120-121.
    12. Chabert Louis, Les grandes alpes industrielles de Savoie, , 559 p., p. 283-284.
    13. Blanc René, Saint-Rémy-de-Maurienne village aux mille sources, Fontaine de Siloé, , 212 p., p. 138-141.
    14. Dorothée Thénot, « En Savoie, Spirel devrait fermer ses portes le 20 juillet », L'usine nouvelle,‎ .
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. AMETEN, « Implantation d’une microcentrale hydroélectrique sur le cours d’eau du Goujon » [PDF], sur http://www.observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr, , p. 233.
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