Hochfelden (Bas-Rhin)
Hochfelden (prononcĂ© [oxfÉldÉn] ; signifie champs Ă©levĂ©s en allemand ; alsacien : 'Hohfalde' [ËhoËfaldÉ]) est une commune française de la plaine d'Alsace situĂ©e Ă 30,3 km[1] au nord-ouest de Strasbourg dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la CollectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace, en rĂ©gion Grand Est.
Hochfelden | |
Mairie de Hochfelden. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Saverne |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de la Zorn (siÚge) |
Maire Mandat |
Georges Pfister 2020-2026 |
Code postal | 67270 |
Code commune | 67202 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Hochfeldenois |
Population municipale |
4 045 hab. (2020) |
Densité | 257 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 45âČ 37âł nord, 7° 34âČ 15âł est |
Altitude | Min. 153 m Max. 218 m |
Superficie | 15,76 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Hochfelden (ville-centre) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Bouxwiller |
LĂ©gislatives | SeptiĂšme circonscription |
Localisation | |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
En 2013, la population lĂ©gale est de 3 516 habitants. Bourg de milieu rural, Hochfelden est le chef-lieu de la communautĂ© de communes du Pays de la Zorn et ancien chef-lieu d'un canton Ă©ponyme. Le la commune fusionne avec Schaffhouse-sur-Zorn pour former une commune nouvelle, de mĂȘme nom.
GĂ©ographie
Localisation
Hochfelden est une bourgade alsacienne du nord-est de la France située à 382,5 km à l'est de Paris ; entre Metz (108,6 km) et Strasbourg (30,3 km). Au niveau départemental, les villes les plus proches sont Brumath (10,5 km) et Haguenau (17,5 km) puis Saverne (15,5 km)[2].
Wickersheim-Wilshausen, Scherlenheim | Bossendorf, | Alteckendorf, | ||
Melsheim | N | Schwindratzheim, | ||
O Hochfelden E | ||||
S | ||||
Ingenheim, | Duntzenheim, Hohfrankenheim | Mutzenhouse |
Un paysage de collines
Les montagnes du massif des Vosges et la plaine d'Alsace ont pour prolongement en Allemagne, la plaine du Pays de Bade et le massif de la ForĂȘt-Noire. Cet ensemble a pour origine le bombement d'une pĂ©nĂ©plaine post-hercynienne. Cette dĂ©formation fut causĂ©e par une compression engendrĂ©e par la formation (ou orogenĂšse) des Alpes. Ce bombement s'est vu suivre par un effondrement tectonique central oĂč le Rhin, de BĂąle Ă Francfort, constitue le graben central[3]. Du cĂŽtĂ© alsacien, le piĂ©mont des Vosges est formĂ© par les collines dites sous-vosgiennes dont les sols sont constituĂ©s de roches calcaires. Câest une zone de transition entre les grĂšs et les granites des Vosges et les alluvions de la plaine dâAlsace. Ces collines sâĂ©tirent Ă l'est des Vosges sur plus de cent kilomĂštres du nord au sud de lâAlsace sur une largeur allant de deux Ă vingt kilomĂštres. Les montagnes vosgiennes constituent une barriĂšre aux prĂ©cipitations atmosphĂ©riques venant de l'ouest. La pluviomĂ©trie est donc moins importante sur les collines sous-vosgiennes que sur le versant lorrain, le climat y est plus sec et plus chaud[Note 1].
Altitudes
Le territoire de Hochfelden est situĂ© sur le champ de fracture de Saverne ; ceci fait que son relief se caractĂ©rise par les vallonnements des collines sous-vosgiennes[4]. Les altitudes observĂ©es Ă Hochfelden se situent entre 153 et 218 mĂštres. La majeure partie des habitations de la bourgade sont construites sur un mĂȘme flanc de colline. La mairie situĂ©e au centre-ville est construite Ă une altitude de 180 mĂštres. Un peu plus haut, l'Ă©glise catholique est Ă©difiĂ©e au sommet de cette Ă©minence ; ceci fait que son haut clocher est visible de loin. L'altitude la plus haute se signale sur la colline du Scherlenheimerberg (218 m) mais son sommet se situe sur le finage de Scherlenheim Ă 222 m. Les points les plus bas se rencontrent dans le lit de la riviĂšre de la Zorn, 159 mĂštres vers Melsheim et 153 mĂštres vers Schwindratzheim. Ă lâest du bourg, le flanc de la colline du Galgenberg s'Ă©lĂšve Ă partir de 158 mĂštres au niveau du ruisseau Bachgraben jusqu'Ă 202 mĂštres en limite avec le finage de Schwindratzheim[5].
RĂ©seau routier
La grande voie de communication qu'est l'autoroute A4 traverse de part en part, au nord du bourg, le territoire communal. Pour y accéder, il est nécessaire de se rendre vers la sortie autoroutiÚre 46 de Hochfelden au niveau du péage de Schwindratzheim à 2 km de distance. Une autre rocade est la sortie autoroutiÚre 45 de Saverne à 15 km de distance.
Hochfelden est un nĆud routier de plusieurs voies d'importance dĂ©partementale. La route dĂ©partementale 25 (ou RD 25) relie Pfaffenhoffen situĂ©e au Nord Ă Wasselonne situĂ©e au Sud. Une portion de cette route a Ă©tĂ© transformĂ©e en chemin vicinal entre Hochfelden et le carrefour entre Alteckendorf et Bossendorf. L'origine de ce fait est la mise en service de l'autoroute A4. Cette portion est remplacĂ©e par la RD 32 entre le carrefour prĂ©citĂ© et le pĂ©age autoroutier et par la RD 100 entre le pĂ©age et Hochfelden. La RD 59 relie Hochfelden Ă Griesbach-le-Bastberg situĂ©e au nord-ouest, tandis que la RD 7 relie Hochfelden Ă Bouxwiller[6]. La RD 421 relie Saverne Ă Brumath. Cette voie traverse d'ouest en est le centre-ville de Hochfelden (rue du , rue Lebocq, rue des Manteaux-rouges, route de Strasbourg). Entre le et le cette route fut interdite par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral pour le transit des poids-lourds de plus de 7,5 tonnes entre Dettwiller et Mommenheim[Note 2].
Voies fluviale et cyclable
Située sur le canal de la Marne au Rhin entre Saverne et Strasbourg, Hochfelden possÚde un port de plaisance. Le chemin de halage du canal est emprunté par le grand itinéraire cyclable EuroVelo 5 (EV5 Via Romea Francigena de Londres à Rome/Brindisi).
Voies ferrées
La gare de Hochfelden est située sur la ligne de Paris-Est à Strasbourg-Ville.
Urbanisme
Typologie
Hochfelden est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [7] - [8] - [9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hochfelden, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 5 662 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11] - [12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13] - [14].
Toponymie
La premiÚre mention du bourg remonte à l'an 816 lorsqu'un dénommé Théodoric y établit un acte de donation au profit de l'abbaye de Wissembourg, dans (actum hoc feldis publice...). La premiÚre mention du nom Hochfelden date de 968, bien que le nom soit orthographié de diverses maniÚres dans les documents ultérieurs : Hoffelden en 1200 ou encore Hochveldesdorf[15].
Hochfelden, prononcĂ© [oxfÉldÉn] est composĂ© de deux mots d'origine germanique ; hoch « haut » et Feld « champs », avec une dĂ©sinence -en, alors que le pluriel allemand est -er. Le toponyme signifie donc en langue française « le(s) haut(s) champ(s) », le bourg Ă©tant Ă©difiĂ© sur une colline qui surmonte la vallĂ©e de la Zorn. Le toponyme en langue alsacienne est Hohfalde, prononcĂ© [hof'.ÉldÉË][16].
Histoire
Préhistoire et antiquité
Les premiĂšres traces humaines Ă Hochfelden remontent au PalĂ©olithique supĂ©rieur, sous la forme dâoutils en silex, associĂ©s Ă des ossements de mammouth et dâĂ©quidĂ©s. Si ces premiĂšres traces ne sont probablement que les vestiges dâune occupation temporaire liĂ©e Ă des campements de chasseurs, le NĂ©olithique marque le dĂ©but dâune occupation plus permanente du site, comme semble lâindiquer la dĂ©couverte de sĂ©pultures de cette Ă©poque[17], et notamment les recherches entreprises depuis janvier 2022 par ArchĂ©ologie Alsace avec la mise au jour d'un village, de trois nĂ©cropoles allant jusqu'Ă l'Ă©poque gallo-romaine[18]
Moyen Ăge
Le site est densĂ©ment peuplĂ© au Haut Moyen Ăge, comme lâattestent le nombre important de sĂ©pultures alamanes et franques dĂ©couvertes sur place. Lâune de ces tombes, datĂ©e du Ve siĂšcle, a livrĂ© un trĂšs riche mobilier indiquant que son occupante Ă©tait une femme de trĂšs haut rang, ce qui tend Ă indiquer que la localitĂ© Ă©tait Ă©galement un lieu de pouvoir Ă cette Ă©poque[19].
En 968, la localitĂ©, qui porte dĂ©jĂ le nom de Hochfelden, fait partie du domaine royal et constitue un Ă©lĂ©ment du douaire dâAdĂ©laĂŻde de Bourgogne lorsquâelle Ă©pouse Otton Ier. Ă cette Ă©poque, la ville est un centre administratif et Ă©conomique important Ă lâĂ©chelle rĂ©gionale[15]. Par le jeu des hĂ©ritages, Hochfelden passe aux mains des Saliens en 1025, puis des Hohenstaufen en 1138. Peu de temps aprĂšs, dans la seconde moitiĂ© du XIIe siĂšcle, une Ă©glise de style roman est construite Ă lâintĂ©rieur de lâenceinte, tandis que les remparts et le chĂąteau sont renforcĂ©s[15].
Ăpoque contemporaine
Le soir du , des groupes de jeunes se forment dans les rues. Chantant dâabord des chants alsaciens, puis des chants rĂ©volutionnaires en français ainsi que la Marseillaise, ils se rendent au monument aux morts, sur lequel ils dĂ©posent un drapeau français et une gerbe dĂ©corĂ©e de rubans tricolores. Sur le trajet, le cortĂšge est saluĂ© par les applaudissements de la population. TrĂšs rapidement, la Gestapo arrive sur place et arrĂȘte 206 personnes, qui sont immĂ©diatement internĂ©es au camp de Schirmeck : la plupart seront ensuite enrĂŽlĂ©s de force dans lâarmĂ©e allemande et envoyĂ©s sur le front de lâest. Le samedi suivant, un dĂ©tachement de SS arrive de Karlsruhe et fouille toute la ville, maison par maison, et lâadministration municipale est remplacĂ©e par un Staatskommissar. Afin dâencourager la rĂ©sistance française, Radio Londres Ă©voque quelques semaines plus tard la manifestation[20].
Rue du Général-Lebocq. Cour de la brasserie Meteor.
Population et société
Commune nouvelle
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 4 045 habitants[Note 5].
Ancienne commune
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[26] - [Note 6].
En 2014, la commune comptait 3 528 habitants, en augmentation de 7,53 % par rapport Ă 2009 (Bas-Rhin : 1,65 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Premier dimanche du mois de septembre : messti du village.
Ăconomie
La brasserie Meteor est fondée à Hochfelden en 1640. Elle est aujourd'hui la premiÚre brasserie indépendante d'Alsace et revendique le titre de plus ancien site brassicole de France.
La commune héberge une décharge aujourd'hui fermée. La pollution au lindane du site demeure.
La brasserie Eschenbrenner ouvre en juillet 2021[29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La chapelle Saint-Wendelin est inscrite au registre des monuments historiques le .
- Tableau représentant saint Wendelin de 1659, offert par Anna Barbara veuve d'Ascagne Albertini, gouverneur et bailli de Benfeld.
- Cloche datant du XIIIe siĂšcle.
- Une inscription en allemand indique le début des travaux de sa construction, le , et les noms de ses bùtisseurs, Henri d'Achenheim, Nicolas Schorlin et Jean Lobel :
« ANNO DNI M.CCCC.XXXV. UF MITWOCH NOCH SANT ULRICHZ DAG IST DIESZER GEBU ANGEVANGEN UND SINT DIS DIE BUMEISTER MIT NAMEN HEINRICH VON ACHENHEIM GENANT VON LUTENHEIM CLAUS SCHORLIN UND HANS LOBEL PFLEGER »
- LâĂ©glise Saint-Pierre-et-Saint-Paul, citĂ©e dĂšs le IXe siĂšcle ; l'Ă©difice actuel date de 1826. Le clocher a Ă©tĂ© surĂ©levĂ© en 1889-1890. Elle faisait partie autrefois du chĂąteau de Hochfelden, dont ne subsiste quâun fragment de mur Ă lâarriĂšre de lâĂ©glise et lâempreinte dans le parcellaire.
- La synagogue construite en 1841, en remplacement dâun bĂątiment plus ancien, sur des plans de Louis Furst, pour une communautĂ© qui comptait Ă lâĂ©poque 219 Ăąmes. Un bĂątiment annexe abritait un bain rituel ou miqvĂ©, une salle de rĂ©union et une Ă©cole. L'association ARCHE a rĂ©novĂ© la synagogue dĂ©saffectĂ©e en 1995 et l'a transformĂ©e en musĂ©e de pays.
- Le cimetiĂšre de 1859 (achat des parcelles de terrain) et 1860 (construction du mur de clĂŽture).
- LâĂ©glise protestante de 1895 en brique rouge. La communautĂ© est une filiale de la paroisse de Schwindratzheim.
- La place du MarchĂ© accueille, depuis 2004, Garde corps, une Ćuvre de Mathieu Mercier.
Ăglise Saints-Pierre-et-Paul. Vue intĂ©rieure de la nef
vers le chĆur.Vue intĂ©rieure de la nef
vers la tribune d'orgue.Orgue de tribune Stiehr-Mockers (1841).
Personnalités liées à la commune
- Auguste Kassel, né en 1862 à Hochfelden, médecin de campagne et collecteur du folklore, des us et coutumes de l'Alsace, décédé en 1931.
- Jean-Pierre Hirsch, né en 1948, historien, professeur d'histoire-géographie pendant de nombreuses années au collÚge de Hochfelden, auteur notamment d'un ouvrage sur les débits de boisson en Alsace[30].
- Jean Baptiste Bouffleur, nĂ© le Ă Hochfelden, prĂȘtre rĂ©fractaire sous la RĂ©volution française, curĂ© Ă Ingwiller de 1801 Ă 1804 puis curĂ© Ă Minversheim de 1804 Ă 1824 et enfin curĂ© Ă Haguenau de 1825 jusqu'Ă sa mort le Ă Haguenau. Une rue Ă Hochfelden porte son nom (rue du Chanoine-Bouffleur)[31].
- François Joseph Thierse, nĂ© le Ă Hochfelden, prĂȘtre missionnaire Ă l'Ăźle Maurice ; supĂ©rieur de la communautĂ© de Notre-Dame du Grand Port, dĂ©cĂ©dĂ© le .
- Peter Ober né en 1813, pionnier de l'alpinisme, a largement contribué à l'essor touristique de Interlaken en Suisse, il était appelé "Interlakens Guter Geist", décédé en 1869
- François-Xavier Corbet, nĂ© en 1836, missionnaire spiritain, prĂ©fet apostolique Ă PondichĂ©ry (Inde), puis premier Ă©vĂȘque de Madagascar Nord, dĂ©cĂ©dĂ© en 1914 et enterrĂ© en sa cathĂ©drale de Diego-Suarez (Antsiranana).
HĂ©raldique
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Les armes d'Hochfelden se blasonnent ainsi : |
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Distinctions
- Médaille de la Reconnaissance française, bronze () pour son patriotisme pendant l'annexion de fait de l'Alsace pendant la Seconde Guerre mondiale[33].
Voir aussi
Alsace
- Jean-Michel Boehler, Une société rurale en milieu rhénan : la paysannerie de la plaine d'Alsace (1648-1789), Strasbourg, PUS, , 2469 p. (ISBN 2-86820-139-3)
- Collectif et sous la direction de Antoine Pfeiffer, Protestants d'Alsace et de Moselle : lieux de mémoire et de vie, Strasbourg/Ingersheim, Oberlin/SAEP, , 318 p. (ISBN 2-7372-0812-2)
- (fr + gsw) Hans Lienhart, Surnoms et sobriquets des villes et villages d'Alsace, Steinbrunn-le-Haut, Ăditions du Rhin, , 238 p. (ISBN 2-86339-033-3)
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck et Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d'Alsace, La Nuée Bleue, , 676 p. (ISBN 978-2-7165-0250-4 et 2-7165-0250-1)
Histoire de Hochfelden
- Georges LĂ©vy-Mertz, « Hochfelden, carrefour antique », Pays dâAlsace, no 72,â , p. 3-7 (ISSN 0245-8411, lire en ligne)
- Bernhard Metz, Hochfelden, lieu central et fortifié, Saverne, SHASE (Pays d'Alsace, cahier 208), (ISSN 0245-8411)
- Alphonse Wollbrett, « Le bourg et lâancien chĂąteau de Hochfelden », Pays dâAlsace, no 72,â , p. 9-13 (ISSN 0245-8411, lire en ligne)
GĂ©ographie et statistiques
- Jacques Baquol, L'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire géographique, historique et statistique du haut et du Bas-Rhin., Strasbourg, Chez l'auteur, année 1851
- Ătienne Juillard, La vie rurale en basse-Alsace, Strasbourg, PUS, , 582 p. (ISBN 2-86820-816-9)
Articles connexes
Liens externes
- Tombe barbare
- « Hochfelden », base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- Site de la mairie
- Hochfelden sur le site de l'Institut géographique national
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Pour illustrer ce propos, on peut signaler les précipitations annuelles des deux métropoles lorraines, Metz 766 mm/an et Nancy 759 mm/an et celles de l'autre cÎté du Massif des Vosges, de Strasbourg 610 mm/an et surtout de Colmar avec seulement 581 mm/an (Moyenne nationale de 770 mm/an). Chiffres donnés par le site internet Linternaute.
- Cet arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral destinĂ© Ă rĂ©duire les nuisances causĂ©es aux riverains fut annulĂ© en 2009 par le tribunal administratif de Strasbourg aprĂšs une plainte de l'Union rĂ©gionale du transport d'Alsace. La prĂ©fecture a interjetĂ© appel mais en 2010 la cour administrative d'appel de Nancy n'a pas encore rendue sa dĂ©cision. DerniĂšres Nouvelles d'Alsace, Pages locales (Ă©dition de Saverne) du 28 septembre 2010.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.
Références
- https://www.viamichelin.fr/web/Itineraires?departure=67270%20Hochfelden%2C%20France&arrival=67000%20Strasbourg%2C%20Bas-Rhin%2C%20France&arrivalTid=city-131328-fra&index=0&vehicle=0&type=0&distance=km¤cy=EUR&highway=false&toll=false&vignette=false&orc=false&crossing=true&caravan=false&shouldUseTraffic=false&withBreaks=false&break_frequency=7200&coffee_duration=1200&lunch_duration=3600&diner_duration=3600&night_duration=32400&car=hatchback&fuel=petrol&fuelCost=1.546&allowance=0&corridor=&departureDate=&arrivalDate=&fuelConsumption=
- Lion1906, « Hochfelden, distances orthodromiques. », sur lion1906.com (consulté le ).
- E.N.S., « La formation du massif vosgien et du fossé rhénan. », sur www.geographie.ens.fr (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Joseph Huss, « La manifestation du 14 juillet 1941 », Pays dâAlsace, no 72,â , p. 59 (ISSN 0245-8411, lire en ligne)
- Ătienne Oster, « Les maires de Hochfelden depuis 1798 », Pays dâAlsace, no 72,â , p. 59 (ISSN 0245-8411, lire en ligne)
- [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le ).
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Hochfelden. Pour lâamour de la mousse et du houblon alsacien », sur www.dna.fr (consultĂ© le )
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- Raconte-moi Hochfelden, Mémoires de vies, Arche, Carré Blanc, Strasbourg, 1999
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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- Collectif et sous la direction de Alphonse Wollbrett, Pays d'Alsace, Hochfelden, Saverne, SHASE cahier 72,