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Gouzeaucourt

Gouzeaucourt est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Gouzeaucourt
Gouzeaucourt
Mairie.
Blason de Gouzeaucourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cambrai
Maire
Mandat
Jacques Richard
2020-2026
Code postal 59231
Code commune 59269
Démographie
Gentilé Gouzeaucourtois
Population
municipale
1 463 hab. (2020 en diminution de 6,87 % par rapport à 2014)
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 03′ 23″ nord, 3° 07′ 30″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 137 m
Superficie 12,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cambrai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cateau-Cambrésis
Législatives Dix-huitième circonscription
Localisation
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Gouzeaucourt
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Gouzeaucourt
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Gouzeaucourt

    Géographie

    Situation

    Gouzeaucourt est située dans le sud du département du Nord, arrondissement de Cambrai, à la limite des départements du Nord, du Pas-de-Calais et de la Somme.

    Communes limitrophes

    Gouzeaucourt est limitrophes de 5 communes : Villers-Plouich, Gonnelieu et Villers-Guislain dans le Nord, d'Heudicourt dans la Somme et de Metz-en-Couture dans le Pas-de-Calais.

    • Entrée du bourg.
      Entrée du bourg.
    • Panorama depuis la route de Villers-Guislain.
      Panorama depuis la route de Villers-Guislain.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 12,11 km2 ; son altitude varie de 95 à 137 mètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 725 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Epehy_sapc », sur la commune d'Épehy, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 764,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Gouzeaucourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,1 %), zones urbanisées (10,3 %), forêts (4,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Voies de communication

    Gouzeaucourt se trouve à 17 km au Sud de Cambrai (Nord), à 21 km au Nord-Est de Péronne (Somme), à 30 km au Nord de Saint-Quentin (Oise) et à 43 km au Sud-Est d'Arras (Pas-De-Calais)[21].

    La localité est traversé par la D917 qui relie Péronne à Cambrai. Sa position est confortée par l'autoroute A26 qui permet d'aller vers Arras, Lille et Calais d'une part et vers Reims d'autre part.

    Transports en commun routier

    La commune est desservie par la ligne d'autocars no 14 (Cambrai - Villers-Guislain) du réseau péri-urbain TUC, Mobilité en Cambrésis, chaque jour de la semaine sauf le dimanche.

    Ferroviaire

    Autrefois, la Ligne de Saint-Just-en Chaussée à Douai desservait Gouzeaucourt. Aujourd'hui, la section ferroviaire Épehy - Cambrai n'est plus utilisée et est abandonnée.

    Toponymie

    Le village est mentionné au long des XIIe au XVIe siècles sous les noms Gussicortis, Guazenkurt ou Guasenkurt, Goisalcourt, Goysiaucourt, Guiseaucourt, Goiseaucourt ou Goizeaucourt, Gossocourt. Boniface[22] fait dériver le nom du bas-latin gossum (tumeur, bosse) ou du celte go, gow (hauteur, bois, forêt) et interprète le nom comme « la métairie de la hauteur boisée ». Mannier[23] y voit plutôt « la ferme de Goussaut », Gunsaldi curtis, et rapproche ce nom de Goussancourt ou Goussainville.

    Héraldique

    Selon le livre « Armorial des communes du département du Nord » publié en 1909, par Théodore Leuridan[24] :

    Les armes de Gouzeaucourt se blasonnent ainsi : « D'azur à l'écusson d'argent en abîme. »

    Selon le livre « Le blason des armes » publié en 1557, par Corneille Gailliard et republié en 1866, par Jean van Malderghem[25] :

    Les armes de Gouzeaucourt se blasonnent ainsi : « D'azur à l'écusson d'argent en abîme, à la bordure d'or et au lambel de gueules à cinq pièces »

    Histoire

    Préhistoire

    Un site Acheuléen datant d'il y a + ou - 300000 ans fût découvert dans la vallée du Muid aux limites du village. C'était une industrie de fabrication d'outils de silex bifaces pour travailler le bois et près de 1000 pièces ont été mise à jour. Ce qui permet d'attester la présence de l'Homme aux alentours de Gouzeaucourt à cette époque.

    Antiquité

    À l'époque gallo-romaine, Gouzeaucourt était constitué de 18 villas gallo-romaines. Dans l'une d'elles fût retrouvé de la céramique datant du milieu du Ier siècle.

    À noter que Gouzeaucourt se situait au Sud/Ouest du territoire des Nerviens, à la frontière de l'ancienne fôret d'Arrouaise qui séparait naturellement la terre des Nerviens à celle des Atrébates et des Viromanduens. Suites à la Bataille du Sabis en -57 et à la conquête de la Gaule Belgique par César, la région fût soumise et romanisée. Les anciennes terres des tribus se transformèrent peu à peu en "cités" puis à la fin du III siècle l'empereur Dioclétien réorganisa la Gaule Belgique en trois régions: Belgique Première, Belgique Seconde et Germanie inférieur. Gouzeaucourt faisait partie de la Belgique Seconde qui avait pour chef-lieu Bavay puis Cambrai.

    Haut Moyen-Âge

    Des fragments de poteries datés de l'époque mérovingienne ont été découvert proche du village actuel. Ce qui affirmerait la présence d'un peuple germanique aux alentours du VIe siècle.

    Anecdotes

    Les suites de la Première Guerre mondiale révèlent parfois des pratiques étonnantes : le , un brocanteur de 33 ans de Gouzeaucourt reçoit un procès en raison de son « abominable trafic » : il vendait des ossements recueillis sur les champs de bataille[26].

    Politique et administration

    Période Identité Étiquette Qualité
    An XI 1806 Jacques LEROY
    1806 ? Nicolas Joseph DESAINT
    1841 1862? Jacques Phillipe LEROY
    1862 1875? LEROY ?
    1875 1886 Robert Ghislain PETIT
    1886 1892 Achille TORDEUX
    1892 1895 Paul DUCAUROY
    1895 1904 Georges LECOCQ
    1904 1908 Fulgence DEVILLIERS
    1908 1913 Crépin Robert PETIT Réelu en 1912
    Fin 1913/début 1914 10 décembre 1919 Nicolas LALISSE Adjoint avec fonction du maire jusqu'au 10 décembre 1919
    1919 1935 Charles LUSSIEZ Réélu en 1925 et 1929
    1935 1939? Auguste FIEVET
    1945 1959 Pharamond SAVARY SFIO Réélu en 1947 et 1953
    1959 1961 Louis BROYEZ Démission le 11 aôut 1961 pour raison de santé
    1961 1964 Jacques SAVARY
    1964 1965 Ernest LECOCQ
    1965 1971 Maurice FAUCON
    1971 1983 Roger THONON Réélu en 1977
    1983 1995 Jean-Pierre CANY Réélu en 1989
    4 décembre 2008 Jean-Jacques DROMAS Réélu en 2001/Décédé en cours de mandat
    En cours Jacques RICHARD[27] DVG Maire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 1 463 habitants[Note 8], en diminution de 6,87 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0001 1801 3921 4852 0102 1422 2022 3502 354
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 4062 5502 6312 6542 4392 4092 2302 2322 219
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1352 0051 9291 0441 5111 2941 2141 0771 201
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 2631 2601 2371 2861 3771 2531 3761 4111 552
    2018 2020 - - - - - - -
    1 4771 463-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 732 hommes pour 745 femmes, soit un taux de 50,44 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,1
    4,5
    75-89 ans
    5,0
    16,0
    60-74 ans
    18,4
    20,2
    45-59 ans
    18,3
    19,4
    30-44 ans
    21,2
    15,7
    15-29 ans
    14,4
    23,8
    0-14 ans
    21,7
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Enseignement

    Le département du Nord gère le collège Pharamond-Savary[34].

    Lieux et monuments

    Église de Gouzeaucourt.
    • L'église Saint-Quentin.
      L'église Saint-Quentin.
    • Le monument aux Morts.
      Le monument aux Morts.
    • La chapelle Saint-Christophe.
      La chapelle
      Saint-Christophe.
    • Le cimetière militaire.
      Le cimetière militaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas Vignion, dessinateur, arpenteur et géomètre de la province d'Artois, du Hainaut et du Cambrésis, au service de l'abbé de Vaucelles, Gerard Wartelle, résidait à Gouzeaucourt vers 1727[35] - [36].
    • Pharamond Savary, né le 3 mars 1890 à Villers-Guislain et décédé le 13 février 1959 à Gouzeaucourt, était un ingénieur, professeur, entrepreneur, maire de Gouzeaucourt et conseiller général du Nord.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Epehy_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Gouzeaucourt et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Epehy_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Gouzeaucourt et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cambrai », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « ViaMichelin : Itinéraires, Cartes, Info trafic, Hôtels », sur www.viamichelin.fr (consulté le )
    22. Boniface 1866, p. 153.
    23. Mannier 1861, p. 283.
    24. « Armorial des communes du département du Nord (00062_317_001) - No... », sur Mnesys (consulté le )
    25. Corneille Gailliard, Le blason des armes: suivi de, L'armorial des villes, châtellenies, cours féodales, seigneuries et familles de l'ancien comté de Flandre, Vanderauwera, (lire en ligne)
    26. Cent ans de vie dans la région, tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 47.
    27. Site de la Voix du Nord, URL accédée le 19 janvier 2008.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gouzeaucourt (59269) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    34. « Les établissements scolaires », sur le site de l'académie de Lille (consulté le ).
    35. Memoires de la Societe d'emulation de Cambrai. (Avec planches.), Berthoud (lire en ligne)
    36. abbé Marcel Joseph Bulteau, Notice archéologique sur les anciennes abbayes d'Honnecourt et de Vaucelles, Impr. L. Danel, (lire en ligne)

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne).
    • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

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