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Épehy

Épehy est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Épehy
Épehy
La mairie.
Blason de Épehy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Jean-Michel Martin
2020-2026
Code postal 80740
Code commune 80271
Démographie
Gentilé Épéhiens
Population
municipale
1 125 hab. (2020 en diminution de 9,35 % par rapport à 2014)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 00′ 30″ nord, 3° 07′ 46″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 147 m
Superficie 17,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Épehy
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Épehy
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Épehy
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Épehy
Liens
Site web epehy.jimdo.com

    Géographie

    Localisation

    L'entrée du village.

    Épehy est un village rural de la Somme limitrophe du département du Nord desservi par la route départementale 58 situé une vingtaine de kilomètres au nord-est de Péronne par la route et 16 km à vol d'oiseau, à une vingtaine de kilomètres au sud de Cambrai et à la même distance au nord-ouest de Saint-Quentin.

    Vue panoramique du village depuis le cimetière militaire.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Épehy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94 %), zones urbanisées (5,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Despauhi en 1080 ; Spechiæ en 1081 ; Espainacus en 1214 ; Espehy en 1554 ; Espehi en 1592 ; Espechy en 1607 ; Despesy en 1648 ; Epelu en 1733 ; Espechy-Espezière en 1753 ; Epehy en 1757 ; Epchi en 1778 ; Espechie en 1787 ; Eppehy en 1824 et 1827 ; Spehiacum ; Espanhy[8].

    Histoire

    Les deux lignes de chemin de fer vers 1905.

    En 1862, on signalait les vestiges d'une voie romaine reliant Reims à Arras, section d'un itinéraire plus vaste reliant Lyon à la Grande Bretagne par le Portus Itius. À la sortie nord du village était signalé au carrefour de Revelon les vestiges d'une bourgade galloromaine où furent trouvées de nombreuses monnaies romaines[9].

    La seigneurie d'Épehy appartenait en partie à l'Abbaye de Vaucelles au XIVe siècle[10].

    Circonscriptions d'Ancien Régime

    Le village était une section de la paroisse Saint-Quentin de Villers-Faucon, doyenné de Péronne, diocèse de Noyon

    Il relevait de la prévôté de Péronne, du bailliage de Vermandois de l'élection de Péronne, intendance de Picardie. Fiscalement, le village dépendait du grenier à sel de Péronne[10].

    Révolution française

    La commune d'Épehy, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Pesières, et porte en 1801 le nom de Epéhy et Pezières[11].

    Épehy et le chemin de fer

    Épehy était situé au croisement de deux lignes de chemin de fer, ce qui a contribué à son développement, ainsi qu'à celui de la sucrerie de Sainte-Emilie, avant la Première Guerre mondiale, mais causé sa destruction pendant le conflit[12] :

    • La gare d'Épehy
    • La gare en 1910.A gauche, les voies de la Compagnie du Nord, à droite celles du  Vélu-Bertincourt
      La gare en 1910.
      A gauche, les voies de la Compagnie du Nord, à droite celles du Vélu-Bertincourt
    • La gare, reconstruite dans les années 1930
      La gare, reconstruite dans les années 1930
    • La gare en 2018
      La gare en 2018

    La guerre 1914-1918

    Extrait de la Carte spéciale des régions dévastées, montrant, en tramé rouge, l'étendue des destructions du secteur d'Épehy lors de la guerre 14-18.

    Comme d'autres villages de la région, Épehy est sorti meurtri de la Grande Guerre car il fut entièrement détruit.

    Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Épehy : « Dans la matinée du 27 août, les Allemands arrivent près d'Épehy. Quelques pelotons de dragons se portèrent au-devant de l'ennemi qu'ils rencontrèrent à 2 km du village... de 10 h du matin à 3 h de l'après-midi, nos dragons défendirent héroïquement chaque rue d'Épehy, mais accablés par le nombre, ils durent se retirer : les Allemands étaient maître du bourg; plus de cent des leurs avaient trouvé la mort...»

    Dans les jours qui suivirent, les Allemands se livrent à de nombreuses exactions sur les biens et les habitants dont plusieurs furent tués sans raison[13]. Dès lors commence l'occupation allemande qui dure jusqu'en mars 1917. Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture.

    Des arrêtés de la kommandantur obligent, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides doivent alors effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

    La gare d’Épehy est bombardée le , puis le . Les voies sont détruites par les Allemands en toute fin d’année 1917[12].

    En 1916, après la Bataille de la Somme, les Allemands font construire par 165 prisonniers, deux embranchements ferroviaires. Le premier, à l’est, conduit vers la ferme Malassise, transformée en lieu de stockage de matériel et nourriture. Le second amène à la ferme Vaucelette, qui devient à partir du , un point d’artillerie mobile destiné à bombarder les lignes alliées depuis un canon hors-norme : long de 17 mètres, son chariot de 270 tonnes et 42 mètres de long était posé sur 18 essieux. Il a tiré 245 obus de 150 kg sur la ligne de front anglaise, de Thiepval à La Boisselle, puis sur Ginchy et Combles[12].

    En février 1917, le général Hindenburg décide de la création d'une ligne de défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seront détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Les habitants sont évacués. En mars 1917, avant le retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église[14], la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à un mètre de hauteur[15].

    Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il est le théâtre de nombreux combats en mars, avril et août 1917[16].

    Le village est le site de la Bataille d'Épehy, qui, le , oppose 12 divisions alliée, à au moins 6 divisions allemande. La Bataille d'Épehy s'inscrivait dans le cadre de l'offensive alliée des Cent-Jours[17].

    Les ruines du village sont plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est que le , lors de la bataille de la ligne Hindenburg qu'Épehy est définitivement libéré par les Britanniques[18].

    La gare d'Épehy permet également d'acheminer 476 tanks alliés qui prirent part à la Bataille de Cambrai, du 20 novembre au [12].

    Peu à peu, les habitants reviennent s'installer dans le village et alors débute la reconstruction qui durera une dizaine d'années. De 1847 habitants avant la guerre en 1911, Épehy n'en comptait plus que 930 en 1921, soit pratiquement la moitié.

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[19] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [20].

    Le village est adopté par le VIe arrondissement de Paris en 1920[21]

    • Le front les 18 et 19 septembre 1918, jours de la libération d'Épehy.
      Le front les 18 et 19 septembre 1918, jours de la libération d'Épehy.
    • L'ancienne église avant 1914.
      L'ancienne église avant 1914.
    • Gravure allemande: combat dans la Grande-Rue à Épehy.
      Gravure allemande: combat dans la Grande-Rue à Épehy.
    • Vue du cimetière détruit en 1919.
      Vue du cimetière détruit en 1919.
    • La grande-rue en ruines en 1919.
      La grande-rue en ruines en 1919.

    Seconde Guerre mondiale

    La gare joue encore un rôle durant la Seconde Guerre mondiale, car elle est le point de départ de nombreux habitants du secteur lors de l’exode de mai 1940[12].

    La gare est bombardée une dernière fois par l’aviation américaine le , lors du repli allemand : neuf wagons y sont détruits[12].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Roisel [11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription territoriale administrative a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Péronne

    Pour l'élection des séputés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la petite communauté de communes du canton de Roisel, créée fin 1994.

    Celle-ci a fusionné le au sein de la communauté de communes de la Haute Somme, dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1909 1928 Charles Trocmé[22] Agriculteur
    Conseiller général de Roisel (1921 → 1928)
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 1995 Janine Roland
    juin 1995 2001 René Basquin
    mars 2001 En cours
    (au 25 juillet 2020)
    Jean-Michel Martin Vice-président de la CC de la Haute-Somme (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[23] - [24]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 1 125 habitants[Note 2], en diminution de 9,35 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3521 4041 5571 8041 8342 0212 0612 0191 970
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9942 0102 0302 0762 1051 9221 8211 7061 685
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7311 8311 8479301 4121 4081 3131 1671 232
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 2521 1751 0591 0791 0441 0881 1521 1611 232
    2017 2020 - - - - - - -
    1 1451 125-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école primaire publique du village compte 150 élèves à la rentrée 2017[28].

    Le collège de rattachement est celui de Roisel.

    Autres équipements

    La commune dispose d'un bureau de poste, ouvert les matins[29].

    La maison communale des associations favorise la vie associative. À compter de la rentrée 2019, elle accueille la cantine scolaire[30].

    Une maison de retraite existe à Épehy[30].

    Associations

    • C'est le plus petit village de France à posséder un orchestre d'harmonie d'une telle qualité, adhérent à la Confédération Musicale de France (C.M.F.)[31].
    Vainqueur du concours international de Schladming en 2000, Grand prix d'honneur en 2003 à Amiens et apparition dans le cadre du prestigieux festival de Saint-Riquier en 2005. En 2008 à Strasbourg, l’orchestre obtient pour la seconde fois un Grand prix d’Honneur et accède à la très restreinte catégorie « Prestige ».
    Il fait aujourd'hui partie des 15 meilleurs orchestres amateurs de France.
    • L'Amicale des anciens élèves, association au profit des Å“uvres scolaires, sous l'animation de son président Michel Delaire, est connue localement pour ses saisons annuelles de théâtre en langue picarde.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Mairie.
    • Église Saint-Nicolas.
    • L'église.
      L'église.
    • L'église.
      L'église.
    • La longue rue principale.
      La longue rue principale.
    • Le cimetière militaire.
      Le cimetière militaire.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Héraldique

    Blason de Épehy Blason
    D'argent diapré de sinople sur le parti, à deux écussons ovales, accolés en chevron renversé, celui de dextre d'azur à trois lionceaux d'or armés et lampassés de gueules, celui de senestre de gueules à l'aigle bicéphale d'argent[36].
    Différences entre dessin et blasonnement : L'argent est dit "diapré sur le parti" alors que non seulement le champ n'est pas parti, mais qu'en plus le parti ne désigne pas un zone susceptible de recevoir un diapré..
    Devise
    Epy, bouge sans répit
    Détails
    Utilisé depuis 1924.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Épehy », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 327 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    9. Henri Lempereur, « Notice sur la voie romaine qui passe à Épehy (Somme) et les découvertes auxquelles les fouilles exécutées dans cette localité et dans les localités avoisinantes ont donné lieu », Bulletins de la société des antiquaires de Picardie, t. VIII,‎ 1862-1864, p. 318-326 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    10. Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances, t. II, Abbeville, impr. de Lafosse, , 719 p. (lire en ligne), p. 10-11, lire en ligne sur Gallica.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. Vincent Fouquet, « Épehy, au cœur de l’expansion du rail : Nous vous proposons de suivre, de Chaulnes à Épehy, une partie du tracé historique de l’ancienne ligne de chemin de fer. Sixième et dernière étape, l’arrivée à Épehy, village devenu prospère grâce au rail. Mais qui en a grandement souffert durant la Première Guerre mondiale », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    13. « Un régime de terreur à Épehy », dans La guerre en Picardie, 1914-1918, Maurice Thiéry, Paris, Bloud et Gay, , 186 p. (lire en ligne), p. 15-25, lire en ligne sur Gallica.
    14. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église d'Epehy d'après nature, 17 juin 1874 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    15. Jean-Michel Martin, « Le front le 16 mars 1917 », Cartographie 1914 - 1918 - Le front ouest de la première guerre mondiale (consulté le ).
    16. « La situation au 21 août, matin », La Guerre mondiale, no 88,‎ , p. 7059 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    17. « Des célébrations pour la dernière bataille de la Somme, à Épehy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    18. « La guerre », Le Miroir, no 254,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    19. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    20. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
    21. Jules Laurent, « Un beau geste : Le village d'Épehy adopté par le Sixième arrondissement de Paris », La Liberté, no 21795,‎ , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Liste de fonctionnaires et citoyens qui se sont particulièrement distingués pendant les hostilités : JO du 11 février 1921 », Bulletin des régions libérées, no 10,‎ , p. 83-88 (lire en ligne, consulté le ) « M. Trocme (Charles-Adrien-Joseph-Gabriel), maire d'Epehy (Somme) : a assuré dans des conditions difficiles et souvent dangereuses, l'administration de sa commune occupée par l'ennemi et le ravitaillement des habitants. A fait preuve en toutes circonstances d'un patriotisme et d'un dévouement dignes des plus grande éloges. », lire en ligne sur Gallica.
    23. « Quatrième mandat pour Jean-Michel Martin, qui sera élu samedi 23 mai à Épehy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec 67 % des suffrages exprimés, la liste du maire sortant, Jean-Michel Martin, avait conquis 13 sièges, les deux autres étant attribués à la liste d’opposition ».
    24. « Jean-Michel Martin officiellement élu à Épehy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Par 13 voix contre 2 à la candidate d’opposition, Lise Andryjaskiewicz, Jean Michel Martin, sexagénaire dans quelques jours, a débuté officiellement samedi 23 mai son quatrième mandat à la tête de la commune d’Épehy ».
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
    29. Adeline Collet, « https://premium.courrier-picard.fr/id7066/article/2019-04-29/guichet-le-matin-courrier-lapres-midi-epehy : Depuis le 1er avril, le bureau de Poste est tenu par une guichetière également factrice », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. « La nouvelle cantine scolaire d’Epehy va investir la Maison des associations : Les élus ont acté le projet de transformer la Maison des associations en cantine scolaire », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. « L’Orchestre d’harmonie d’Épehy se prépare pour le Festival de musique de Saint-Riquier », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
    33. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
    34. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
    35. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 255 (ASIN B000WR15W8).
    36. « 80271 Épehy (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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