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Gainneville

Gainneville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Gainneville
Gainneville
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
Martial Galopin
2020-2026
Code postal 76700
Code commune 76296
DĂ©mographie
Gentilé Gainnevillais
Population
municipale
2 495 hab. (2020 en diminution de 4,37 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 537 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 31â€Č 07″ nord, 0° 15â€Č 08″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 107 m
Superficie 4,65 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Havre
(banlieue)
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Havre-3
LĂ©gislatives 8e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Gainneville
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Gainneville
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Gainneville
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Gainneville
Liens
Site web https://gainneville.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    Cette commune est située sur la rive droite de la Seine, à une douzaine de kilomÚtres du Havre, et à proximité de Montivilliers.

    La gare de Saint-Laurent - Gainneville, situĂ©e Ă  proximitĂ© de la commune, est desservi par des trains TER Normandie assurant les relations : Rouen – Yvetot – Le Havre.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 902 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Octeville », sur la commune d'Octeville-sur-Mer, mise en service en 1994[7] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 796 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  70 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Gainneville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine du Havre, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 18 communes[17] et 235 218 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (74,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (55,1 %), zones urbanisĂ©es (31,1 %), prairies (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,3 %), forĂȘts (1,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 995, alors qu'il Ă©tait de 962 en 2014 et de 917 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 97,1 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 2,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gainneville en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,4 %) inférieure à celle du département (4 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,1 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Gainneville en 2019.
    Typologie Gainneville[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 97,1 87,8 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,4 4 9,7
    Logements vacants (en %) 2,5 8,2 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Apud Guenesville entre 1177 et 1189; apud Genevillam vers 1210; Guenevilla vers 1240; Guenevilla en 1337; Gueneville en 1431 (Longnon) et en 1319[24]; Saint Pierre de Guenneville sur Harfleur en 1362 et 1365[25]; Guayneville en 1413[26]; Guesneville en 1421[27]; Guesneville en 1451 et 1453[28]; Saint Pierre de Gayneville prÚs Harfleur en 1487[29]; Gayneville en 1492; Guenevilla en 1501; Genesville en 1503; Saint Pierre de Gaineville en 1535; de Gainneville et de Gayneville en 1545[30]; Saint Pierre de Gayneville en 1602; Saint Pierre de Gaineville en 1673; Gaineville en 1685; les saints Pierre et Paul de Gaineville en 1713; Guesneville au XVIIIe siÚcle[31]; Gaineville en 1704; Guesneville en 1738 (Pouillé); Gaineville ou Guesneville en 1788[32].

    Histoire

    Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le , un dĂ©tachement prussien, composĂ© d'une compagnie montĂ©e sur des voitures, d'un escadron et de deux canons, sous les ordres du capitaine de Kczewski, du 5e rĂ©giment d'infanterie prussien, effectue une reconnaissance dans le village oĂč il se heurte Ă  la 4e compagnie du 2e bataillon de la lĂ©gion de Rouen sous les ordres du capitaine Lecerf, qui s'y trouvait de grand'garde[Note 8].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement du Havre du département de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie de 1801 Ă  1982 du canton de Montivilliers, annĂ©e oĂč elle intĂšgle le canton de Gonfreville-l'Orcher[33]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription Ă©lectorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Havre-3

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitiÚme circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    Gainneville était membre de la communauté de l'agglomération havraise (CODAH), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopĂ©ration intercommunale prĂ©vu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , le projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale prĂ©sentĂ© par le prĂ©fet de Seine-Maritime le prĂ©voit Ă  nouveau la fusion de la « communautĂ© d’agglomĂ©ration havraise (236 997 habitants) et de la communautĂ© de communes du canton de Criquetot-l'Esneval (16 394 habitants)[34] », ces intercommunalitĂ©s ainsi que la communautĂ© de communes Caux Estuaire ont fusionnĂ© pour former, le , la communautĂ© urbaine dĂ©nommĂ©e Le Havre Seine MĂ©tropole dont est dĂ©sormais membre la commune[35] - [36] - [37] - [38].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1936 Pimont
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1959 mars 1977 René Malo
    mars 1977 juin 1995 Pierre Quoniam PCF Docker retraité
    juin 1995 mars 2008 Didier Leriche PCF
    mars 2008 mai 2020 Hubert BĂ©nard PG / LFI Éducateur spĂ©cialisĂ© retraitĂ©
    mai 2020[39] - [40] En cours
    (au 14 octobre 2022[41])
    Martial Galopin Cadre territorial, chargé de TD à l'université

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés au groupe scolaire maternel et primaire Louis-Aragon[42], doté d'une restauration scolaire et d'un accueil périscolaire.

    Santé

    Gaineville disposera d'un pÎle de santé, implanté dans les locaux de l'ancien magasin Leader Price et aisément accessible[43].

    Équipements sportifs

    La commune a rachetĂ© en 2019 l'ancien centre d’entrainement du club sportif Havre AC. Sous-employĂ©, la nouvelle municipalitĂ© souhaite qu’il soit revendu[43].

    Justice, sécurité, secours et défense

    Depuis 2004, Gainneville dispose d'une brigade intercommunale de gardes champĂȘtres territoriaux issue de la Loi "DĂ©mocratie de proximitĂ©". Cette structure est la premiĂšre Ă  avoir vu le jour Ă  la suite d'une concertation entre les communes de Gainneville, Rogerville, Saint-Laurent-de-BrĂšvedent et Saint-Martin-du-Manoir au sein d'un EPCI, le Syndicat Intercommunal des VallĂ©es du Havre-Est (SIVHE).

    Depuis la sortie de Rogerville au dĂ©but de 2022, Saint-Vigor d'Ymonville a rejoint la mĂȘme annĂ©e le dispositif.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[45].

    En 2020, la commune comptait 2 495 habitants[Note 9], en diminution de 4,37 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    522500587545612601626611633
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    595626643539561560616607630
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    632621614654688709674972949
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9881 0701 1541 5892 2192 3702 5802 6122 676
    2017 2020 - - - - - - -
    2 5822 495-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • L'ancienne mairie-Ă©cole.
      L'ancienne mairie-Ă©cole.

    Personnalités liées à la commune

    Le footballeur professionnel Anthony Le Tallec (formé au Havre AC) et évoluant actuellement pour le club du VAFC (Ligue 1) ainsi que son frÚre Damien (également footballeur professionnel évoluant actuellement dans le championnat de Russie), sont originaires de Gainneville.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Gainneville », MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. La grand-garde oĂč les grand-gardes Ă©taient les avant-postes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Octeville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Gainneville et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Octeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Gainneville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 du Le Havre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267.
    25. Archives de Seine-Maritime, tab. Rouen reg. 2, f. 136.
    26. Archives de Seine-Maritime reg. 16, f. 29.
    27. Archives de Seine-Maritime, E, fds. Tancarville.
    28. Archives de Seine-Maritime, G 2919.
    29. Archives de Seine-Maritime, S.-M. tab. Rouen.
    30. Archives de Seine-Maritime, 54 H.
    31. Archives de Seine-Maritime, G 1585, 1592, 737.
    32. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 422.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale 2015 » [PDF], Préfecture de Seine-Maritime (consulté le ), p. 6.
    35. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 19 octobre 2018 portant crĂ©ation de la communautĂ© urbaine de l'agglomĂ©ration havraise, du canton de Criquetot-l'Esneval et de Caux Estuaire issue de la fusion de la communautĂ© d'agglomĂ©ration havraise, de la communautĂ© de communes Caux Estuaire et de la communautĂ© de communes du canton de Criquetot-l'Esneval », Recueil des actes administratifs de la prĂ©fecture de Seine-Maritime, nos 76-2018-118 spĂ©cial,‎ , p. 74-92 (lire en ligne [PDF], consultĂ© le ).
    36. « Codah : un mariage Ă  trois en janvier 2019 ? : Les Ă©lus communautaires de la Codah se sont majoritairement prononcĂ©s, mardi, en faveur d’une fusion avec Caux Estuaire et Criquetot-l’Esneval. La gauche n’a pas pris part au vote », Paris Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « AprĂšs 3 heures de dĂ©bats, le conseil communautaire de la Codah s’est majoritairement prononcĂ© par 54 voix sur 75 votants, pour lancer le processus d’élargissement de son territoire aux deux com’com du canton de Criquetot-l’Esneval et de Caux Estuaire ».
    37. Emmanuelle Darcel, « Saint Romain de Colbosc: Caux Estuaire vote non Ă  la fusion avec la CODAH : Pour la 3e fois en huit ans, la communautĂ© de communes Caux Estuaire a Ă©mis jeudi 28 juin 2018 un avis nĂ©gatif sur le projet d'Ă©largissement de la CODAH. Mais les opinions sont trĂšs partagĂ©es entre les Ă©lus de l'intercommunalitĂ©. 18 ont votĂ© contre et 14 pour », France 3 Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Les 9 maires de la communautĂ© de communes Caux Estuaire opposĂ©s depuis toujours Ă  la fusion de leur territoire avec celui de la codah ont jeudi 28 juin 2018 en conseil communautaire votĂ© contre cette dĂ©libĂ©ration d'Ă©largissement. Mais les Ă©lus sont trĂšs partagĂ©s sur la question. 18 ont votĂ© contre et 14 pour. ».
    38. « Sept maires de Caux Estuaire favorables Ă  la fusion avec la Codah : Sept maires de Caux Estuaire, favorables Ă  l’idĂ©e d’une nouvelle communautĂ©, s’en sont expliquĂ©s avec la prĂ©fĂšte Fabienne Buccio », Paris Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    39. « Municipales 2020. Gainneville « a besoin de changement, d’ambition et de confiance » : Il se dĂ©finit comme « un conseiller municipal minoritaire assidu depuis six ans ». Martial Galopin mĂšne la liste « Ensemble, redynamisons Gainneville » et propose un nouveau dĂ©part pour la commune », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Martial Galopin, 44 ans, se propose de « redonner du dynamisme Ă  la commune ». « Je suis responsable du service AmĂ©nagement du Territoire dans une commune pĂ©riphĂ©rique du Havre (...) . Je suis aussi chargĂ© de TD [travaux dirigĂ©s] Ă  l’UniversitĂ©, activitĂ© que j’ai mise en sommeil le temps des Ă©lections. Et je suis investi dans le milieu associatif sportif ».
    40. « Municipales 2020. Martial Galopin a pris ses fonctions de maire Ă  Gainneville : Deux mois aprĂšs les Ă©lections du 15 mars 2020, Martial Galopin s’est installĂ© dans ses fonctions de premier magistrat de la commune », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    41. Murielle Bouchard, « Sur Facebook puis au commissariat, il menace de mort le maire d'une commune prĂšs du Havre : Un homme a Ă©tĂ© interpellĂ© mardi 11 octobre 2022 pour avoir profĂ©rĂ© des menaces de mort sur Facebook sur le maire de Gainneville prĂšs du Havre. Au commissariat, il a rĂ©itĂ©rĂ© », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    42. « Groupe scolaire Louis-Aragon », Enfance et jeunesse, sur https://gainneville.fr (consulté le ).
    43. Victor Massias, « L'ancien centre d'entrainement du Havre AC sera en vente jusqu'Ă  fin 2022... et aprĂšs ? : Depuis que le Havre AC a revendu son ancien centre d'entrainement Ă  la mairie de Gainneville, celle-ci ne sait plus quoi en faire. Elle cherchera Ă  le vendre jusqu'Ă  fin 2022. », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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