Saint-Martin-du-Manoir
Saint-Martin-du-Manoir est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Saint-Martin-du-Manoir | |||||
La mairie | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | CU Le Havre Seine Métropole | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Fort 2020-2026 |
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Code postal | 76290 | ||||
Code commune | 76616 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint Martinais | ||||
Population municipale |
1 460 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 285 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 31âČ 59âł nord, 0° 14âČ 20âł est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 102 m |
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Superficie | 5,13 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Le Havre (banlieue) |
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Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Octeville-sur-Mer | ||||
LĂ©gislatives | 7e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintmartindumanoir.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Description
Cette commune est située sur la rive droite de la Seine, à une quinzaine de kilomÚtres du Havre, dans le canton de Montivilliers.
Saint-Martin-du-Manoir se compose d'un bourg, dans lequel se trouvent les lotissements (Hauts de Saint Martin, Closerie, Ruellette, Résidence du Manoir, Résidence Saint-Martin, le Clos des Pommiers, les Prés verts, la Forge...) et de huit hameaux situés soit sur le plateau, soit en contrebas de celui-ci.
La majeure partie de la population habite le Bourg. C'est lĂ que se trouvent bien entendu la mairie, l'Ă©glise, les Ă©coles et les installations sportives.
Enitot est le plus proche du centre-bourg, en direction d'Epouville.
On accÚde à Enéaumare par la route de Manéglise.
Le Mesnil se situe de l'autre cÎté de la Voie Rapide (D 489). Pour s'y rendre, il est nécessaire d'emprunter le giratoire d'Epouville.
L'Ormel se trouve sur la route de Montivilliers (D 111), entre le cimetiĂšre et le giratoire.
Les Cures (ou Escures - selon les historiens l'appellation diffÚre...), siÚge d'un ancien chùteau, semble protéger le Bourg, par sa position en pointe, face à Harfleur et Montivilliers.
La Cayenne se trouve en fond de vallée, à proximité de Gournay-en-Caux.
De mĂȘme, la CĂŽte de Gournay, sur la rive droite de la riviĂšre Saint-Laurent, est limitrophe de ce quartier de Gonfreville.
Enfin, la Vallée s'intercale, toujours sur la rive droite, entre la Cavée, Gainneville et Saint-Laurent-de-BrÚvedent.
Pour les plus courageux, il est possible d'effectuer une randonnée visitant l'ensemble de ces hameaux.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Octeville », sur la commune d'Octeville-sur-Mer, mise en service en 1994[7] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 796 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 72 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-du-Manoir est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine du Havre, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[17] et 235 218 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (72,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (74,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones urbanisĂ©es (14,9 %), forĂȘts (12,1 %), prairies (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Manece entre 1028 et 1034 (erreur trÚs probable de copie pour *Manere), Sancti Martini en 1035[24], In parrochia Sancti Martini de Manerio en 1192, 1258 et 1260[25], Manerium en 1337[26], Saint Martin du manoir en 1715[27].
La commune tire son nom de l'église dédiée à saint Martin et du manoir du Col des Moulins, mentionné dÚs 1035 dans la charte de fondation de l'abbaye de Montivilliers qui avait la commune sous sa juridiction.
Histoire
Saint-Martin-du-Manoir et son église dépendent au début du XIe siÚcle des Giffard, comtes de Montivilliers ; l'église leur fut retirée dÚs 1025 au profit de l'abbaye de Fécamp, en 1035 au profit de l'abbaye de Montivilliers, qui possÚde également des biens (terres, moulins) à Saint-Martin. La seigneurie a appartenu par la suite à différentes familles dont, au XVIe siÚcle et au XVIIe siÚcle, la famille de la Rue, et surtout à partir de 1660, la famille trÚs ancienne des Toustain qui comptait plusieurs branches, et notamment celles des Toustain de Frontebosc de Limésy et des Toustain de Richebourg de Saint-Martin-du-Manoir.
Les derniers seigneurs de Saint-Martin furent Gaspard-François (1716-1799) et Charles-Gaspard (1746-1836), tous deux membres de l'académie de Rouen, l'un comme savant, l'autre comme homme de lettres et historien ; tous deux furent emprisonnés sous la Terreur ; le second n'émigra pas et se rallia à l'Empire.
Deux hameaux de Saint-Martin étaient des fiefs à l'époque féodale : Enitot dépendait de la seigneurie de Graville et Ecures relevait des Estouteville, seigneurs de Valmont. Ils ont appartenu à des membres d'une famille anoblie au XVIe siÚcle et convertie au protestantisme, les Deschamps. Par mariage, Ecures passa au XVIIIe siÚcle à la famille de Rumare.
Saint-Martin s'est développé sensiblement au XIXe siÚcle puis au XXe siÚcle ; la population a stagné aprÚs la Seconde Guerre mondiale ; mais, depuis 1970, sous l'effet de la ré-urbanisation (prÚs de trois cents pavillons construits), elle a plus que doublé[28].
Politique et administration
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[38].
En 2020, la commune comptait 1 460 habitants[Note 9], en diminution de 4,76 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Jusqu'au milieu des années 1970, le village était habité par moins de 700 personnes. L'activité principale était essentiellement agricole, avec une vingtaine d'exploitations contre 8 actuellement.
Les Ă©coles de la commune
Sécurité
Saint-Martin-du-Manoir est l'une des communes ayant contribuĂ© Ă la crĂ©ation en de la premiĂšre brigade intercommunale de gardes champĂȘtres issue de la Loi DĂ©mocratie de ProximitĂ©. Cette brigade implantĂ©e sur le territoire de Gainneville assure la protection des biens ruraux et forestiers, la surveillance gĂ©nĂ©rale aux cĂŽtĂ©s de la gendarmerie et la police nationales mais Ă©galement la veille juridique. Le fonctionnement "autonome" de cette police rurale pilotĂ©e par un chef de brigade permet aux communes adhĂ©rentes de bĂ©nĂ©ficier d'un atout majeur beaucoup plus efficace qu'une police municipale aux compĂ©tences plus modestes.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Ădifice Saint-Martin.
Personnalités liées à la commune
- Charles-Gaspard Toustain de Richebourg (1746-1836) y est mort.
- Jean René Guerrand (1907-1993), chef d'entreprise français, y est mort.
La légende de la Pierre Grise
Il existe encore de nos jours sur la colline oĂč sont bĂątis les chĂąteaux de Colmoulins et d'Escures, derriĂšre la hĂȘtraie de Montivilliers, une grosse pierre grise, sur lequel existe une lĂ©gende que voici[41] - [42] :
"Il y a trÚs longtemps, lorsque le pays était soumis à la féodalité, vivait au manoir du Col des Moulins, qui était alors un chùteau fortifié, un bon et vaillant chevalier nommé Guillaume de Colleville.
Ce seigneur avait une jeune femme dont la beautĂ© avait souvent inspirĂ© les bardes et les trouvĂšres et avait jetĂ© le trouble dans bien des cĆurs, notamment dans celui d'un jeune Ă©cuyer du nom de Robert.
Ce Robert n'avait jamais eu de sentiments bien chrĂ©tiens, mais son amour insensĂ© l'avait rendu capable de tous les crimes. Un jour qu'il se promenait sous les arbres aux environs du chĂąteau, il fit la rencontre d'un personnage de haute taille, vĂȘtu de noir avec une barbe en pointe et des yeux brillants comme des escarboucles.
" Me connais-tu ? demanda cet homme a Robert.
- Non, répondit l'écuyer..
- Et bien, je suis Satan ! "
Tout autre que Robert se fut enfui a ces mots en faisant un signe de croix mais lui ne bougeait pas de place.
"- Tu es Satan, dit-il, tant mieux, car je comptais sur ton aide.
- Je le sais, c'est pourquoi je suis venu. Ăcoute : Tu aimes la femme de ton seigneur et maĂźtre, et tu rĂȘves jours et nuits aux moyens de la possĂ©der ; je n'y vais pas par quatre chemins pour te le dire, cela te coĂ»tera ton Ăąme.
- Qu'importe, répondit sourdement l'écuyer, il me la faut que dois je faire ?
- M'accompagner Ă la pierre grise pour signer le pacte."
Le plateau Ă©tait alors une forĂȘt au centre de laquelle se dressait le dolmen ; deux pierres fichĂ©es en terre en supportant une troisiĂšme en forme de table, tout Ă l'entour des chĂȘnes gigantesques.
En arrivant là , Satan fit entrer l'écuyer dans une sorte de caveau situé sous la table de pierre, puis il lui présenta une écritoire et un parchemin au bas duquel Robert apposa sa signature.
"- Bien dit le dĂ©mon, maintenant, prends cette piĂšce de monnaie ; il te suffira de la faire toucher Ă la serrure de l'appartement oĂč tu veux pĂ©nĂ©trer et tu y trouveras ta maĂźtresse endormie ; seulement, n'oublies pas de la rapporter ici demain, car tu ne dois t'en servir que la nuit. allons va ; Guillaume de Colleville est en voyage, tu es libre, amuse toi bien, mon fils, ajouta Satan avec un ricanement."
Le misérable rentra au plus vite au chùteau et, la nuit étant venue, il s'approcha à pas de loup de l'oratoire de la noble dame qui dormait d'un profond sommeil. Le lendemain matin, ivre encore de sa criminelle action, il se rendit en toute hùte à la " PIERRE GRISE ". Satan l'attendait appuyé sur le dolmen.
"- Bien, dit le démon en tordant sa barbe pointue, remets la piÚce à sa place, tu la reprendras ce soir. Robert pénétra dans le caveau, mais à peine y était-il que Satan donna un grand coup de pied à l'un des cÎtés du dolmen et l'énorme table s'affaissa brutalement, écrasant sous elle le misérable écuyer.
Puis le démon disparut avec un ricanement sinistre ! Et il y a déjà de bien longues années, en soulevant ce mystérieux bloc de granit on trouva sous la pierre druidique, quelques ossements calcinés et une piÚce de monnaie gauloise en alliage d'argent que l'on nomma la " PiÚce du diable " et que vous pourrez examiner à votre aise dans le petit musée de la bibliothÚque de Montivilliers.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune de Saint-Martin-du-Manoir se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La rue oĂč se trouve l'Ă©glise porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Saint-Martin-du-Manoir et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Octeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Martin-du-Manoir et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
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- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
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- RĂ©Ă©lue pour le mandat 2014-2020« A Saint-Martin-du-Manoir, un mandat Ă douze voix prĂšs : Le maire sortant, Maria Dolores Gautier Hurtado, est rĂ©Ă©lu pour un troisiĂšme mandat Ă 50,69 %. », Paris Normandie,â (lire en ligne).
- « Municipales 2020. Jean-Luc Fort tĂȘte de liste Ă Saint-Martin-du-Manoir : Ancien adjoint au maire, Jean-Luc Fort avait dĂ©missionnĂ© en 2009 tout en restant conseiller municipal. Il sâĂ©tait ensuite prĂ©sentĂ© aux Municipales de 2014, manquant de peu lâĂ©lection au second tour. Il prĂ©sente une Ă©quipe diversifiĂ©e », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Conseiller municipal depuis 2001, il a Ă©tĂ© adjoint au maire en 2008. « Ne me reconnaissant plus dans le sens et les valeurs que le maire donnait Ă son mandat, jâai dĂ©missionnĂ© de mes fonctions en 2009. Depuis 2009, conformĂ©ment Ă mes valeurs, jâai assumĂ© mes fonctions de conseiller municipal dans une approche dâopposition â constructive â ».
- « Portrait. Jean-Luc Fort, nouveau maire, au service de Saint-Martin depuis presque 20 ans », Le Courrier cauchois,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- article lu sur le site des "Ăcuries de la Pierre Grise", centre Ă©questre situĂ© Ă la frontiĂšre de Saint-Martin-du-Manoir et de Montivilliers
- www.furmini.com, « SAINT MARTIN DU MANOIR Un peu d'histoire sur St Martin du Manoir », sur www.saintmartindumanoir.fr (consulté le ).
- GASO - Banque du blason - 76616.