Fiefs
Fiefs est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fieffois.
Fiefs | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Ternois | ||||
Maire Mandat |
René Choquet 2020-2026 |
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Code postal | 62134 | ||||
Code commune | 62333 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Fieffois | ||||
Population municipale |
390 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 30âČ 16âł nord, 2° 19âČ 38âł est | ||||
Altitude | Min. 110 m Max. 196 m |
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Superficie | 10,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
LĂ©gislatives | 6e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | sites.google.com/site/villagedefiefs/ | ||||
La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
Fiefs se situe Ă 20 km de Saint-Pol-sur-Ternoise, 32 km d'Arras environ et Ă une centaine de kilomĂštres de la cĂŽte (54 km d'Ătaples Ă vol d'oiseau).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Il est drainé par trois petits cours d'eau n'excédant pas deux kilomÚtres :
- le ruisseau le grand ruyot, d'une longueur de 1,77 km, qui prend sa source dans la commune et termine sa course au niveau de la commune de Boyaval[1] ;
- le Quévaussart, d'une longueur de 1,69 km, qui prend sa source dans la commune et termine sa course dans la commune[2] ;
- le Nedonchel, d'une longueur de 1,39 km, qui prend sa source dans la commune et termine sa course dans la commune de NĂ©donchel[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[4].
ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le vallon de Bergueneuse Ă Fiefs, dâune superficie de 934 hectares et d'une altitude variant de 60 Ă 185 mĂštres. Cette ZNIEFF, qui sâĂ©tend au nord/nord-ouest de la commune dâAnvin, est une des plus importantes vallĂ©es sĂšches drainant les collines de l'Artois[5].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallĂ©e de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise Ă Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, situĂ©e au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise Ă Hesdin, dâune superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 Ă 90 mĂštres, prĂ©sente des fonds de vallĂ©es, des coteaux crayeux et des zones prairiales[6].
Urbanisme
Typologie
Fiefs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [7] - [8] - [9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (92,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), prairies (26,8 %), zones urbanisĂ©es (5,5 %), forĂȘts (3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1 %)[12].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[13].
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 77, D 77 E3 et D 92 E1 et est située à 14 km, à l'ouest, de la sortie no 5 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[14].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 10 km, au nord-ouest, de la gare de Pernes - Camblain, située sur la ligne de Fives à Abbeville, desservie par des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[15].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Fiz au XIIe siÚcle ; Fiefes en 1247 ; Fies en 1298 ; Fiefes au XIIIe siÚcle ; Fieffes en 1321 ; Fiez au XIVe siÚcle ; Fiebz en 1424 ; Fief en 1555[16]; Fiefs et dépendances en 1793 ; Fiefs depuis 1801[17].
Histoire
Avant la Révolution française, Fiefs est le siÚge d'une seigneurie[18].
Seigneurs de Fiefs
Jacques François du Carieul, fils de Guillaume du Carieul, par lettres données à Marly le , est autorisé à surmonter l'écusson de ses armes anciennes « D'argent à un sautoir de gueules », d'une couronne de cinq fleurons et à prendre pour support deux griffons de sable becqués et armés de gueules. Il est seigneur de Fiefs, Beaurains et Boubers (sans doute Boubers-sur-Canche), gentilhomme d'Artois[18].
- Adrien François Valentin du Carieul, seigneur de Fiefs, est fait marquis du Carieul par lettres donnĂ©es Ă Versailles en dĂ©cembre 1762. Le marquisat regroupe diffĂ©rentes terres rĂ©unies pour former la terre du Carieul. Adrien François Valentin du Carieul est capitaine au rĂ©giment de Mestre-de-Camp, gĂ©nĂ©ral des dragons. Il est dit haut et puissant seigneur en 1771[19]. Il a Ă©pousĂ© dame Charlotte Jeanne Ălisabeth Magdelaine de bernard de Montebise[19], dont les ancĂȘtres ont Ă©galement servi leurs souverains[20].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[17].
Commune et intercommunalités
La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmÚtres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. à l'initiative des intercommunalités concernées[23], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communautĂ© de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le SchĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale (SDCI), intĂ©grant notamment cette Ă©volution, est approuvĂ© par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [25] - [26].
La communautĂ© de communes du Ternois, qui rĂ©sulte de cette fusion et dont la commune fait dĂ©sormais partie, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral qui a pris effet le [27].
Circonscriptions administratives
Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixiÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Valentin Charles Hubert Malet de Coupigny est maire de Fiefs au moment de la Restauration.
Ăquipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La commune administre une école élémentaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 115)[34].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dĂ©pend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pĂŽle nationalitĂ© du tribunal judiciaire dâArras et du tribunal pour enfants d'Arras[35].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants de la commune sont appelés les Fieffois[36].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[38].
En 2020, la commune comptait 390 habitants[Note 6], en augmentation de 0,78 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 38,2 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 24,2 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 190 hommes pour 195 femmes, soit un taux de 50,65 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Germain. Détruite par les bombardements en , elle est reconstruite en 1956-1957 sur les plans des architectes Henri Frey et Jean Bureau, les vitraux sont de Gabriel Loire et la statue de Saint-Germain en pierre polychrome de Jean Lambert-Rucki[42]. Elle héberge cinq éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont un est classé[43].
- Le monument aux morts[44].
Personnalités liées à la commune
- Celestin Sulpice Fleury (d) (1742-1790), personnalité politique, né à Fiefs.
- Jean-Baptiste Personne (1744-1812), personnalité politique, né à Fiefs.
HĂ©raldique
Blason | D'azur à cinq fusées d'argent accolées en fasce[45]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Fiefs » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© de type 4 apparaĂźt comme une transition entre l'ocĂ©anique franc (type 5) et lâocĂ©anique dĂ©gradĂ© (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit dâune fine bande tandis qu'Ă lâOuest, cette transition s'Ă©largit jusqu'Ă atteindre plus de 150 km. Elle affecte Ă©galement le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne Ă l'Aveyron et le nord des PyrĂ©nĂ©es. La tempĂ©rature moyenne annuelle est assez Ă©levĂ©e (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilitĂ© interannuelle moyenne. Les prĂ©cipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, lâĂ©tĂ© Ă©tant assez sec. (Source : CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau le grand ruyot (E5401840) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Quévaussart (E5401830) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - NEDONCHEL (E3641070) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « ZNIEFF 310013281 - Vallon de Bergueneuse à Fiefs », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Pernes - Camblain », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothĂšque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne.
- « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ), Dossier LH/1705/13.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 98, lire en ligne.
- n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est dĂ©jĂ sur de bons rails : Câest lâactualitĂ© du moment : dans la plupart des communautĂ©s de communes, les Ă©lus sâarrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige Ă fusionner pour crĂ©er des intercommunalitĂ©s de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, RĂ©gion de FrĂ©vent) font office de trĂšs bon Ă©lĂšve et en sont dĂ©jĂ Ă discuter des modalitĂ©s de lâ« aprĂšs-fusion », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- Le populations mentionnĂ©es dans les actes concernant les intercommunalitĂ©s sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-Ă -dire regroupant la population municipale, c'est-Ă -dire les personnes ayant leur rĂ©sidence habituelle sur le territoire de la commune Ă laquelle s'ajoute la population comptĂ©e Ă part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivitĂ©s (internats, casernes, hĂŽpitaux, couvents, prisonsâŠ).
Dans les tableaux de population mentionnĂ©s dans les articles de wikipĂ©dia ne sont habituellement mentionnĂ©s que les populations municipales, ce qui explique l'Ă©cart entre les chiffres mentionnĂ©s dans le SDCI et ceux des tableaux dĂ©mographiques - « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2017 portant schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, PrĂ©fecture du Pas-de-Calais (consultĂ© le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « ArrĂȘtĂ© interprĂ©fectoral du 30 aoĂ»t 2016 portant crĂ©ation d'une communautĂ© de communes issue de la fusion des communautĂ©s de communes de l'Auxilois, de la rĂ©gion de FrĂ©vent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture de la Somme, nos 2016-069,â , p. 37-39 (lire en ligne).
- Aline Chartrel, « « Le Bilan du maire » Ă Fiefs : cap sur le tourisme mais aussi prioritĂ© Ă lâisolation : Repartira, repartira pas ? AprĂšs ĂȘtre devenu conseiller en 1989, adjoint au mandat suivant et maire Ă celui dâaprĂšs, RenĂ© Choquet ne se prononce pas sur une Ă©ventuelle troisiĂšme candidature. RĂ©ponse le 18 janvier lors de la cĂ©rĂ©monie des vĆux, oĂč il Ă©voquera sĂ»rement ses derniĂšres rĂ©alisations, parmi lesquelles lâisolation des Ă©coles, de la mairie et de la salle des fĂȘtes. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Aline Chartrel, « Fiefs : «Pour ĂȘtre aux normes, il nous faut douze citernes » : Les projets des maires. Et de trois pour RenĂ© Choquet. Trois mandats Ă la tĂȘte de la commune, qui verra au cours de ces prochaines annĂ©es sa voirie entretenue et la dĂ©fense incendie renforcĂ©e. Avec lâisolation de lâĂ©cole et une Ă©tude sur lâĂ©clairage public, lâĂ©dile semble aussi se diriger vers des Ă©conomies dâĂ©nergie. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Catherine Szumilo (clp), « Agir en fonction de nos moyens et des financements », en 2017 : Samedi dernier se dĂ©roulait la cĂ©rĂ©monie des vĆux du maire RenĂ© Choquet. Des vĆux Ă lâimage du village qui aime et sait recevoir. Pas dâannonces particuliĂšres de gros chantiers, mais quelques travaux seront rĂ©alisĂ©s dans lâannĂ©e », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
- « Ăcole de la commune », sur le site du ministĂšre de lâĂducation nationale et de la jeunesse (consultĂ© le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fiefs (62333) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- « Ăglise Saint-Germain », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consultĂ© le ).
- « ĂlĂ©ments patrimoniaux de la commune inscrits ou classĂ©s au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministĂšre de la Culture (consultĂ© le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).