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Fiefs

Fiefs est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fieffois.

Fiefs
Fiefs
La mairie.
Blason de Fiefs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
René Choquet
2020-2026
Code postal 62134
Code commune 62333
DĂ©mographie
Gentilé Fieffois
Population
municipale
390 hab. (2020 en augmentation de 0,78 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 30â€Č 16″ nord, 2° 19â€Č 38″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 196 m
Superficie 10,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
LĂ©gislatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Fiefs
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Fiefs
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Fiefs
Liens
Site web sites.google.com/site/villagedefiefs/

    La commune fait partie de la communautĂ© de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Fiefs se situe Ă  20 km de Saint-Pol-sur-Ternoise, 32 km d'Arras environ et Ă  une centaine de kilomĂštres de la cĂŽte (54 km d'Étaples Ă  vol d'oiseau).

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    Il est drainé par trois petits cours d'eau n'excédant pas deux kilomÚtres :

    • le ruisseau le grand ruyot, d'une longueur de 1,77 km, qui prend sa source dans la commune et termine sa course au niveau de la commune de Boyaval[1] ;
    • le QuĂ©vaussart, d'une longueur de 1,69 km, qui prend sa source dans la commune et termine sa course dans la commune[2] ;
    • le Nedonchel, d'une longueur de 1,39 km, qui prend sa source dans la commune et termine sa course dans la commune de NĂ©donchel[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[4].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 933 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,6 j

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le vallon de Bergueneuse Ă  Fiefs, d’une superficie de 934 hectares et d'une altitude variant de 60 Ă  185 mĂštres. Cette ZNIEFF, qui s’étend au nord/nord-ouest de la commune d’Anvin, est une des plus importantes vallĂ©es sĂšches drainant les collines de l'Artois[5].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallĂ©e de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise Ă  Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, situĂ©e au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise Ă  Hesdin, d’une superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 Ă  90 mĂštres, prĂ©sente des fonds de vallĂ©es, des coteaux crayeux et des zones prairiales[6].

    Urbanisme

    Une entrée de la commune.

    Typologie

    Fiefs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [7] - [8] - [9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (92,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), prairies (26,8 %), zones urbanisĂ©es (5,5 %), forĂȘts (3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[13].

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes dĂ©partementales D 77, D 77 E3 et D 92 E1 et est situĂ©e Ă  14 km, Ă  l'ouest, de la sortie no 5 de l'autoroute A 26, aussi appelĂ© autoroute des Anglais, reliant Calais Ă  Troyes[14].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve Ă  10 km, au nord-ouest, de la gare de Pernes - Camblain, situĂ©e sur la ligne de Fives Ă  Abbeville, desservie par des trains rĂ©gionaux du rĂ©seau TER Hauts-de-France[15].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Fiz au XIIe siÚcle ; Fiefes en 1247 ; Fies en 1298 ; Fiefes au XIIIe siÚcle ; Fieffes en 1321 ; Fiez au XIVe siÚcle ; Fiebz en 1424 ; Fief en 1555[16]; Fiefs et dépendances en 1793 ; Fiefs depuis 1801[17].

    Histoire

    Avant la Révolution française, Fiefs est le siÚge d'une seigneurie[18].

    Seigneurs de Fiefs

    Jacques François du Carieul, fils de Guillaume du Carieul, par lettres données à Marly le , est autorisé à surmonter l'écusson de ses armes anciennes « D'argent à un sautoir de gueules », d'une couronne de cinq fleurons et à prendre pour support deux griffons de sable becqués et armés de gueules. Il est seigneur de Fiefs, Beaurains et Boubers (sans doute Boubers-sur-Canche), gentilhomme d'Artois[18].

    • Adrien François Valentin du Carieul, seigneur de Fiefs, est fait marquis du Carieul par lettres donnĂ©es Ă  Versailles en dĂ©cembre 1762. Le marquisat regroupe diffĂ©rentes terres rĂ©unies pour former la terre du Carieul. Adrien François Valentin du Carieul est capitaine au rĂ©giment de Mestre-de-Camp, gĂ©nĂ©ral des dragons. Il est dit haut et puissant seigneur en 1771[19]. Il a Ă©pousĂ© dame Charlotte Jeanne Élisabeth Magdelaine de bernard de Montebise[19], dont les ancĂȘtres ont Ă©galement servi leurs souverains[20].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[17].

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmÚtres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. À l'initiative des intercommunalitĂ©s concernĂ©es[23], la Commission dĂ©partementale de coopĂ©ration intercommunale (CDCI) adopte le 26 fĂ©vrier 2016 le principe de la fusion de :
    - la communautĂ© de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
    - la communautĂ© de communes de la rĂ©gion de FrĂ©vent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communautĂ© de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communautĂ© de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le SchĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale (SDCI), intĂ©grant notamment cette Ă©volution, est approuvĂ© par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [25] - [26].

    La communautĂ© de communes du Ternois, qui rĂ©sulte de cette fusion et dont la commune fait dĂ©sormais partie, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral qui a pris effet le [27].

    Circonscriptions administratives

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Circonscriptions Ă©lectorales

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixiÚme circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Valentin Charles Hubert Malet de Coupigny est maire de Fiefs au moment de la Restauration.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Omer Tailly Agriculteur
    Aristide Davion Agriculteur
    Irénée Annequin Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 24 février 2022)
    René Choquet Responsable de dépÎt
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[28] - [29] - [30] - [31]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[32] - [33]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

    La commune administre une école élémentaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 115)[34].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dĂ©pend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pĂŽle nationalitĂ© du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[35].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Fieffois[36].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[38].

    En 2020, la commune comptait 390 habitants[Note 6], en augmentation de 0,78 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    802782779788865900871776774
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    742790778752758665700701636
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    654654592508491482484397439
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    395400366334304329370382390
    2018 2020 - - - - - - -
    385390-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  38,2 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 24,2 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 190 hommes pour 195 femmes, soit un taux de 50,65 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    0,5
    6,8
    75-89 ans
    10,8
    15,8
    60-74 ans
    13,8
    14,7
    45-59 ans
    16,9
    23,2
    30-44 ans
    20,5
    11,6
    15-29 ans
    14,4
    27,4
    0-14 ans
    23,1
    Pyramide des ùges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Germain. DĂ©truite par les bombardements en , elle est reconstruite en 1956-1957 sur les plans des architectes Henri Frey et Jean Bureau, les vitraux sont de Gabriel Loire et la statue de Saint-Germain en pierre polychrome de Jean Lambert-Rucki[42]. Elle hĂ©berge cinq Ă©lĂ©ments patrimoniaux, rĂ©pertoriĂ©s dans la base Palissy, classĂ©s ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont un est classĂ©[43].
    • Le monument aux morts[44].

    Personnalités liées à la commune

    • Celestin Sulpice Fleury (d) (1742-1790), personnalitĂ© politique, nĂ© Ă  Fiefs.
    • Jean-Baptiste Personne (1744-1812), personnalitĂ© politique, nĂ© Ă  Fiefs.

    HĂ©raldique

    Blason de Fiefs Blason
    D'azur à cinq fusées d'argent accolées en fasce[45].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© de type 4 apparaĂźt comme une transition entre l'ocĂ©anique franc (type 5) et l’ocĂ©anique dĂ©gradĂ© (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'Ă  l’Ouest, cette transition s'Ă©largit jusqu'Ă  atteindre plus de 150 km. Elle affecte Ă©galement le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne Ă  l'Aveyron et le nord des PyrĂ©nĂ©es. La tempĂ©rature moyenne annuelle est assez Ă©levĂ©e (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilitĂ© interannuelle moyenne. Les prĂ©cipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’étĂ© Ă©tant assez sec. (Source : CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau le grand ruyot (E5401840) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Quévaussart (E5401830) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - NEDONCHEL (E3641070) » (consulté le )
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « ZNIEFF 310013281 - Vallon de Bergueneuse à Fiefs », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    14. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
    15. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Pernes - Camblain », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
    16. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothĂšque nationale de France.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    18. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne.
    19. « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ), Dossier LH/1705/13.
    20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 98, lire en ligne.
    21. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    23. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est dĂ©jĂ  sur de bons rails : C’est l’actualitĂ© du moment : dans la plupart des communautĂ©s de communes, les Ă©lus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige Ă  fusionner pour crĂ©er des intercommunalitĂ©s de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, RĂ©gion de FrĂ©vent) font office de trĂšs bon Ă©lĂšve et en sont dĂ©jĂ  Ă  discuter des modalitĂ©s de l’« aprĂšs-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    24. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hÎpitaux, couvents, prisons
).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    25. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2017 portant schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, PrĂ©fecture du Pas-de-Calais (consultĂ© le ).
    26. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    27. « ArrĂȘtĂ© interprĂ©fectoral du 30 aoĂ»t 2016 portant crĂ©ation d'une communautĂ© de communes issue de la fusion des communautĂ©s de communes de l'Auxilois, de la rĂ©gion de FrĂ©vent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
    28. Aline Chartrel, « « Le Bilan du maire » Ă  Fiefs : cap sur le tourisme mais aussi prioritĂ© Ă  l’isolation : Repartira, repartira pas ? AprĂšs ĂȘtre devenu conseiller en 1989, adjoint au mandat suivant et maire Ă  celui d’aprĂšs, RenĂ© Choquet ne se prononce pas sur une Ă©ventuelle troisiĂšme candidature. RĂ©ponse le 18 janvier lors de la cĂ©rĂ©monie des vƓux, oĂč il Ă©voquera sĂ»rement ses derniĂšres rĂ©alisations, parmi lesquelles l’isolation des Ă©coles, de la mairie et de la salle des fĂȘtes. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    30. Aline Chartrel, « Fiefs : «Pour ĂȘtre aux normes, il nous faut douze citernes » : Les projets des maires. Et de trois pour RenĂ© Choquet. Trois mandats Ă  la tĂȘte de la commune, qui verra au cours de ces prochaines annĂ©es sa voirie entretenue et la dĂ©fense incendie renforcĂ©e. Avec l’isolation de l’école et une Ă©tude sur l’éclairage public, l’édile semble aussi se diriger vers des Ă©conomies d’énergie. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. Catherine Szumilo (clp), « Agir en fonction de nos moyens et des financements », en 2017 : Samedi dernier se dĂ©roulait la cĂ©rĂ©monie des vƓux du maire RenĂ© Choquet. Des vƓux Ă  l’image du village qui aime et sait recevoir. Pas d’annonces particuliĂšres de gros chantiers, mais quelques travaux seront rĂ©alisĂ©s dans l’annĂ©e », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
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