Boubers-sur-Canche
Boubers-sur-Canche est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Boubers-sur-Canche | |||||
L'Ă©glise Saint-LĂ©ger et le monument aux morts. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Tinchon 2020-2026 |
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Code postal | 62270 | ||||
Code commune | 62158 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
580 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 63 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 17âČ 28âł nord, 2° 14âČ 16âł est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 142 m |
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Superficie | 9,23 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
LĂ©gislatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | bouberssurcanche-villagefleuri.com | ||||
Ses habitants sont appelés les Boubersois.
La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Boubers-sur-Canche, traversé par la Canche (fleuve cÎtier, faisant l'objet d'un SAGE (SAGE de la Canche) et dont l'estuaire est inclus dans un projet de zone marine protégée)[1], est situé dans le département du Pas-de-Calais.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversĂ©e par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Ătaples et Le Touquet-Paris-Plage[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[3].
ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Espaces protégés et gérés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[4].
Dans ce cadre, on trouve sur le territoire de la commune deux terrains gérés par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France:
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : la haute vallĂ©e de la Canche en amont de Conchy-sur-Canche. Cette ZNIEFF correspond Ă la moyenne et Ă la haute vallĂ©e de la Canche, de lâamont de la commune de Conchy-sur-Canche jusquâaux sources, au niveau de Magnicourt-sur-Canche[7].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Elle offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pùturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[8].
Urbanisme
Typologie
Boubers-sur-Canche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [9] - [10] - [11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (78,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,7 %), prairies (18,9 %), forĂȘts (15,6 %), zones urbanisĂ©es (5,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,1 %)[14].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[15].
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 112 et D 340 reliant Ligny-sur-Canche à Hesdin[16].
Transport ferroviaire
La commune se trouve Ă 14 km de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise, situĂ©e sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise Ă Ătaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[17].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Budberz et Bobert en 1079, Botbercii en 1099, Buberch en 1129[18] - [19].
Albert Dauzat et Ernest NÚgre ont vu dans Boubers un nom de personne germanique en -bert fixé absolument. Albert Dauzat suggÚre *Bud- en tant qu'élément d'anthroponyme non attesté en l'état des sources[18]. Ernest NÚgre évite l'écueil d'un nom de personne non attesté en proposant Baldebertus[19], cependant il faut supposer préalablement que Balde- soit devenu Baude- réduit à Bod- postérieurement.
Ils rapprochent Boubers-sur-Canche de Boubers-lĂšs-Hesmond (Pas-de-Calais, Budberz et Buberch 1079) dont les formes anciennes ne comportent pas non plus un Ă©lĂ©ment Balde- devenu Baude-, mais le mĂȘme Ă©lĂ©ment Bud-. Ils pensent sans doute que les formes en -berz, -bert sont les formes primitives du toponyme, alors que celles en -berc(h) rĂ©sultent soit de l'attraction des toponymes en -berg environnants (voir Humbert et Hesmond), soit que la consonne c (Botbercii, Buberch) note dans ce cas un t comme cela arrive souvent avec les graphies mĂ©diĂ©vales. Ils omettent le toponyme Mons-Boubert (Somme, Boberc en 1176, Bobers en 1187, Bouberc de 1209, Bouberch rĂ©guliĂšrement de 1220 Ă 1616) qui partage vraisemblablement la mĂȘme Ă©tymologie. Sa situation au sud de la Somme rend problĂ©matique l'attraction d'un autre toponyme en -berg pour expliquer les formes rĂ©guliĂšres en -berc(h), puisqu'il ne s'en trouve pas dans son environnement. Maurits Gysseling compare directement avec les noms de lieux du domaine germanophone Budberg[20].
L'Ă©lĂ©ment -bers doit reprĂ©senter directement le germanique berg « Ă©lĂ©vation, colline, mont », prĂ©cĂ©dĂ© d'un substantif ou d'un adjectif germanique non identifiĂ©. Le recours Ă l'appellatif berg se justifie aussi par la topographie : le dĂ©nivelĂ© est de 90 m sur le territoire de la commune, de mĂȘme pour Boubers-les-Hesmond avec 86 m et Mons-Boubert qui domine une profonde vallĂ©e correspondant Ă une cassure du plateau et dont Mons « mont(s) » anciennement associĂ© Ă Boubert est la traduction romane de berg.
La Canche traverse la commune.
Histoire
La terre de Boubers entra au XVIe siÚcle dans la Maison de Berghes, par héritage des familles de Neuville et de Bailleul.
Le titre de prince (Ă©rection en principautĂ©) est donnĂ© Ă Madrid le par le roi d'Espagne (Ă l'Ă©poque la rĂ©gion appartenait Ă l'Espagne) Ă EugÌ Ăšne de Berghes, (maison de Berghes-Saint-Winock), comte de RĂąches, seigneur de Boubers, membre du conseil de guerre du roi, maĂźtre de camp gĂ©nĂ©ral des armĂ©es aux Pays-Bas, grand Bailli et gouverneur du Hainaut, chevalier de la Toison d'Or, en sa faveur et pour ses descendants, « mĂąles et femelles », avec permission d'appliquer ce titre sur celle de ses terres qui lui plaira, pourvu qu'elle soit situĂ©e sous domination d'Espagne[21] (voir RĂąches pour plus de dĂ©tails)[22].
Le chĂąteau de RĂąches ayant Ă©tĂ© dĂ©truit en 1674, pendant les guerres de conquĂȘte des Flandres, Philippe Ignace de Berghes, petit neveu d'EugĂšne de Berghes, paraĂźt avoir fait construire le chĂąteau de Boubers dans le premier tiers du XVIIIe siĂšcle.
il s'agissait d'un vaste édifice, un des plus vastes de l'Artois, de plan rectangulaire et double en profondeur, dont chacune des deux façades comptait quinze travées.
De chaque cÎté, les trois travées centrales formaient un avant-corps en légÚre avancée, surmonté d'un étage supplémentaire et d'un fronton courbe.
Toute en pierre, l'élévation comportait un sous-sol assez élevé, un piano nobile, et un étage surmonté d'un toit mansardé.
La terre de Boubers relevant du chùteau d'Hesdin, reste dans les mains de la famille de Berghes jusqu'à sa vente en 1828 par les héritiers de Constantine Fortunée Ghislaine de Berghes, morte en 1814, épouse de Jean Charles Annet Victorin de Lasteyrie du Saillant, maire de Boubers sur Canche, préfet du département de la Lippe, qui partit habiter le chùteau des Pressoirs du Roi.
L'acquéreur, le manufacturier Guillaume Louis Ternaux, transforme le chùteau en entreprise textile et meurt prématurément en 1833.
Le domaine de Boubers et son chùteau sont alors revendus en 1835 à un autre manufacturier, le baron de Fourment[23], également implanté, non loin de là , dans l'ancienne abbaye de Cercamp, auquel succÚde son fils, Louis François Luglien Leroy, mort en 1916[24].
AprÚs ce dernier, le chùteau, démoli au début des années 1920, et la manufacture, passent successivement à plusieurs entreprises textiles, le Comptoir Linier, Saint-frÚres, Agache-Willot, puis Safilin[25].
Seules subsistent aujourd'hui une aile du chùteau, une partie des dépendances et un majestueux portail d'entrée, situé à proximité de l'église paroissiale[26].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune faisait partie de la petite communauté de communes de la région de Frévent, créée fin 1998.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le préfet du Pas-de-Calais a publié le 12 octobre 2015 un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[28].
à l'initiative des intercommunalités concernées[29], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[30] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants
Le schĂ©ma, intĂ©grant notamment cette Ă©volution, est approuvĂ© par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [31] - [32] et la communautĂ© de communes du Ternois, dont la commune est dĂ©sormais membre, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du qui a pris effet le [33].
Circonscriptions administratives
La commune fait partie depuis 1801 du canton d'Auxi-le-Chùteau[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la premiÚre circonscription du Pas-de-Calais.
Ălections municipales et communautaires
à la suite de la diffusion d'un tract jugé diffamatoire, le tribunal administratif a annulé le second tour des élections municipales de 2014[35], des élections municipales complémentaires ont eu lieu le 14 septembre 2014[36].
Liste des maires
Espaces publics
Boubers-sur-Canche est labellisé « Villes et Villages Fleuris » 4 fleurs[41] - [42].
Ăquipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[43].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants de la commune sont appelés les Boubérois[44].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[46].
En 2020, la commune comptait 580 habitants[Note 6], en diminution de 5,23 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 34,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 28,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 290 hommes pour 297 femmes, soit un taux de 50,6 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Ă©glise Saint-LĂ©ger.
- Le monument aux morts[50].
- La plaque aux morts de la paroisse située dans l'église[51].
HĂ©raldique
Blason | D'or au lion de gueules, armé et lampassé d'azur, accompagné de trois écussons de gueules, deux en chef et un en pointe à dextre[52]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Boubers-Sur-Canche », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Boubers-Sur-Canche » sur Géoportail.
- Site de la commune
Notes et références
Notes
- Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la SaÎne). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Les défis du SAGE de la Canche », sur sagedelacanche.fr (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « espace protégé FR4505531 - marais de Boubers », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR4505945 - étang de Waligny », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310014123 - Haute vallée de la Canche en amont de Conchy-sur-Canche », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, DENLF, p. 100b
- Ernest NĂšgre, TGLF (lire en ligne)
- Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, p. 201 (lire en ligne) .
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 404.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 373.
- Roger RodiĂšre, Epigraphie du Pas de Calais, tome VI, arrondissement de Saint-Pol, fascicule 3, canton d'Auxy le ChĂąteau, Arras, Commission des monuments historiques du Pas de Calais, , p. 550
- « Le dossier de Légion d'honneur », sur Les données de la base Léonore des Archives nationales de France (consulté le ).
- « Histoire du village », sur www.bouberssurcanche-villagefleuri.com (consulté le )
- Philippe Seydoux, GentilhommiĂšres d'Artois et du Boulonnais, tome 1, Arrageois, BĂ©thunois, Ternois, Paris, Editions de la Morande, (ISBN 2-902091-35-4), p. 210-212 & 375
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Ternois : le redĂ©coupage des intercommunalitĂ©s est en marche ! : La commission dĂ©partementale de coopĂ©ration intercommunale (CDCI) se rĂ©unissait hier aprĂšs-midi Ă la prĂ©fecture pour continuer Ă dessiner les contours du futur nouveau dĂ©coupage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est dĂ©jĂ sur de bons rails : Câest lâactualitĂ© du moment : dans la plupart des communautĂ©s de communes, les Ă©lus sâarrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige Ă fusionner pour crĂ©er des intercommunalitĂ©s de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, RĂ©gion de FrĂ©vent) font office de trĂšs bon Ă©lĂšve et en sont dĂ©jĂ Ă discuter des modalitĂ©s de lâ« aprĂšs-fusion », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- Les populations mentionnĂ©es dans les actes concernant les intercommunalitĂ©s sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-Ă -dire regroupant la population municipale, c'est-Ă -dire les personnes ayant leur rĂ©sidence habituelle sur le territoire de la commune Ă laquelle s'ajoute la population comptĂ©e Ă part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivitĂ©s (internats, casernes, hĂŽpitaux, couvents, prisonsâŠ).
Dans les tableaux de population mentionnĂ©s dans les articles de wikipĂ©dia ne sont habituellement mentionnĂ©es que les populations municipales, ce qui explique l'Ă©cart entre les chiffres mentionnĂ©s dans le SDCI et ceux des tableaux dĂ©mographiques - « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2017 portant schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, PrĂ©fecture du Pas-de-Calais (consultĂ© le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « ArrĂȘtĂ© interprĂ©fectoral du 30 aoĂ»t 2016 portant crĂ©ation d'une communautĂ© de communes issue de la fusion des communautĂ©s de communes de l'Auxilois, de la rĂ©gion de FrĂ©vent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture de la Somme, nos 2016-069,â , p. 37-39 (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Alexis Degroote, « Boubers-sur-canche - Le tribunal administratif annule le second tour des municipales : il faudra revoter ! », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Annie-Sophie Pujol, « Ălections complĂ©mentaires Ă Boubers-sur-Canche : « On a compris le message du village » : Il nâa fallu quâun tour, aux habitants de Boubers-sur-Canche, pour Ă©lire les six conseillers municipaux restants, ce dimanche lors des Ă©lections complĂ©mentaires. Deux listes sâopposaient, comme en mars lors des municipales. Aujourdâhui, elles assurent vouloir travailler ensemble. ApaisĂ©es sont les tensions, enfin », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Boubers-sur-Canche - Jean-Marie Tinchon Ă©lu maire au cours dâun conseil tendu », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
- « Boubers-sur-Canche », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
- Premier prix national 1959, 1960, 1962, 1963, 1964, Hors concours 1961 et 1965, Prix d'honneur 1966, 4 fleurs 1967-1986 et depuis 2006 ; source : Alain Pruvost, « Origine du nom de Boubers vers le VIe siĂšcle », Boubers-sur-Canche, Histoire et vie des Boubersois au cours des siĂšcles,â 2011, p.105-106.
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boubers-sur-Canche (62158) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
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- « Plaque aux morts de la paroisse », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).