Flers (Pas-de-Calais)
Flers (prononcĂ© [flÉÊ]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Pas-de-Calais en rĂ©gion Hauts-de-France. Ses habitants sont appelĂ©s les Flersois.
Flers | |||||
Le chĂąteau de Flers, monument historique. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Ingrid Gaillard 2020-2026 |
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Code postal | 62270 | ||||
Code commune | 62337 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Flersois | ||||
Population municipale |
222 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 19âČ 17âł nord, 2° 15âČ 15âł est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 143 m |
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Superficie | 5,5 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Pol-sur-Ternoise (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
LĂ©gislatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
La commune se situe Ă 10 km au sud-ouest de la commune de Saint-Pol-sur-Ternoise et fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Il est traversé par le Monchel-sur-Canche, un petit cours d'eau naturel non navigable de 3,56 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Canche au niveau de la commune de Boubers-sur-Canche[1].
Un autre petit cours d'eau court sur la commune, le Blangerval, d'une longueur de 1,7 km, qui prend sa source dans la commune et finit sa course dans la commune[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[3].
ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pùturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[4].
Statut biogéographique des espÚces
Le site de lâInventaire national du patrimoine naturel (INPN) renseigne sur le statut biogĂ©ographique des 206 espĂšces faunistiques et floristiques recensĂ©es sur le territoire de la commune[5].
Urbanisme
Typologie
Flers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [6] - [7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (79,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (64,4 %), prairies (15 %), forĂȘts (14 %), zones urbanisĂ©es (6,6 %)[11].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[12].
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 102, D 103 et D 109[13].
Transport ferroviaire
La commune se trouve Ă 10 km, au sud-ouest, de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise, situĂ©e sur les lignes de Saint-Pol-sur-Ternoise Ă Ătaples et d'Arras Ă Saint-Pol-sur-Ternoise, desservie par des trains TER Hauts-de-France[14].
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes Fleirs en 1079 ; Fles en 1104 ; Flers en 1119 ; Flers-lÚs-Héding en 1371[15]; Flers depuis 1793 et 1801[16].
Il s'agit d'un type toponymique commun dans le Nord de la France : Flers (Nord I, Fles 1030, Flers XIIIe siĂšcle, Flers (Nord II, Fles 1066, Flers 1273), Flers (Somme) et Flers (Orne)[17].
Ătymologie
La localisation dans le Nord de la France incite les spĂ©cialistes Ă proposer lâĂ©tymon germanique (vieux bas francique) *hlar qui signifie « terrain marĂ©cageux, friche ou vaine pĂąture », Ă l'origine de l'ancien français larris, d'oĂč le français lairis.
Histoire
Avant la Révolution française , Flers est le siÚge d'une seigneurie détenue au XVIIe siÚcle par un membre de la famille d'Ostrel[19].
Seigneurs de Flers
- Robert d'Ostrel (voir Ostreville), seigneur de Flers, Conchy, Marconnelle et autres lieux, a pris pour Ă©pouse Bonne de Lannoy (maison de Lannoy). Il meurt le et son Ă©pouse, le [20].
- Jacques d'Ostrel, seigneur de Flers, reçoit le , un brevet de chevalerie accordĂ© par Louis XIV pour lui et son frĂšre Victor d'Ostrel, seigneur de Conchy. Ils descendent d'une ancienne famille noble, alliĂ©e aux meilleurs maisons de Picardie et d'Artois, dont la maison d'HumiĂšres. Leurs ancĂȘtres ont toujours portĂ© la qualitĂ© de chevalier[19].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[16].
Commune et intercommunalités
La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmÚtres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. à l'initiative des intercommunalités concernées[23], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communautĂ© de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le SchĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale (SDCI), intĂ©grant notamment cette Ă©volution, est approuvĂ© par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [25] - [26].
La communautĂ© de communes du Ternois, qui rĂ©sulte de cette fusion et dont la commune fait dĂ©sormais partie, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral qui a pris effet le [27].
Circonscriptions administratives
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[16]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifiĂ© et regroupe dĂ©sormais 88 communes, dont Ăcoivres.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la premiÚre circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
Elle administre une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 4)[32].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dĂ©pend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pĂŽle nationalitĂ© du tribunal judiciaire dâArras et du tribunal pour enfants d'Arras[33].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants sont appelés les Flersois[34].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[36].
En 2020, la commune comptait 222 habitants[Note 6], en stagnation par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 34,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 25,7 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 116 hommes pour 108 femmes, soit un taux de 51,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Monuments historiques
La commune compte deux monuments qui font lâobjet dâune inscription au titre des monuments historiques :
- Le chùteau de Flers XVIIIe siÚcle, inscrit depuis le [40] - [41], ancienne résidence de la famille de Fresnoye de Flers (Armes : d'or à la croix ancrée de gueules) :
- Son imposante façade, située au fond de la cour d'honneur en forme d'hémicycle, est soulignée par un avant-corps central aux saillants arrondis, calé entre deux ailes en retour en forte saillie sur la cour. Le parc, tracé au XIXe siÚcle, ainsi que les deux pavillons symétriques coiffés d'une toiture à quatre pans situés à l'entrée du potager entouré de hauts murs de briques est également protégé
- L'Ă©glise Saint-Ăloi et sa chapelle seigneuriale, inscrite depuis le [42]. Elle hĂ©berge huit Ă©lĂ©ments patrimoniaux, rĂ©pertoriĂ©s dans la base Palissy, inscrits au titre d'objet des monuments historiques[43] comme la plaque funĂ©raire de Robert d'Ostrel, seigneur de Flers et de son Ă©pouse[20].
Autres lieux et monuments
- Le monument aux morts[44].
- Le parc du chĂąteau de Flers.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Luc Hermetz (pcd) (1957-), écrivain, auteur de nouvelles et de romans policiers, y est né. Il a publié aux éditions Sokrys La Baule Le café de la nouvelle AthÚnes ainsi que Mystérieuses destinées, livre préfacé par Pierre Bellemare.
HĂ©raldique
Blason | ĂcartelĂ© : aux 1er et 4e d'azur Ă trois dragons couronnĂ©s d'or, aux 2e et 3e d'or Ă la croix ancrĂ©e de gueules[45]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Flers » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la SaÎne). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - MONCHEL-SUR-CANCHE (E5401450 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Blangerval (E5401780) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques sur le satut biogéographique des espÚces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothĂšque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France., Librairie Guénégaud 1979, p. 291b.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p.41, lire en ligne.
- « Plaque funéraire de Robert d'Ostrel, seigneur de Flers », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est dĂ©jĂ sur de bons rails : Câest lâactualitĂ© du moment : dans la plupart des communautĂ©s de communes, les Ă©lus sâarrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige Ă fusionner pour crĂ©er des intercommunalitĂ©s de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, RĂ©gion de FrĂ©vent) font office de trĂšs bon Ă©lĂšve et en sont dĂ©jĂ Ă discuter des modalitĂ©s de lâ« aprĂšs-fusion », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- Le populations mentionnĂ©es dans les actes concernant les intercommunalitĂ©s sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-Ă -dire regroupant la population municipale, c'est-Ă -dire les personnes ayant leur rĂ©sidence habituelle sur le territoire de la commune Ă laquelle s'ajoute la population comptĂ©e Ă part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivitĂ©s (internats, casernes, hĂŽpitaux, couvents, prisonsâŠ).
Dans les tableaux de population mentionnĂ©s dans les articles de wikipĂ©dia ne sont habituellement mentionnĂ©s que les populations municipales, ce qui explique l'Ă©cart entre les chiffres mentionnĂ©s dans le SDCI et ceux des tableaux dĂ©mographiques - « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2017 portant schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, PrĂ©fecture du Pas-de-Calais (consultĂ© le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « ArrĂȘtĂ© interprĂ©fectoral du 30 aoĂ»t 2016 portant crĂ©ation d'une communautĂ© de communes issue de la fusion des communautĂ©s de communes de l'Auxilois, de la rĂ©gion de FrĂ©vent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture de la Somme, nos 2016-069,â , p. 37-39 (lire en ligne).
- « Le bilan dâHenri Lacaille, maire de Flers: « La mairie Ă©cole est flambant neuve et nous avons lâADSL » : En 2014, cela fera 49 ans, quâHenri Lacaille sâimplique au conseil municipal de sa commune natale. Ălu conseiller en 1965, il devient maire en 1983. « Câest assez. Jâai dĂ©cidĂ© dâarrĂȘter. » Le premier magistrat de la commune de 200 habitants a dĂ©sormais lâintention de « passer plus de temps avec ses petits-enfants ». », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Charles Demey, « Flers : « Les TAP nous ont Ă©tĂ© imposĂ©s, mais ça a Ă©tĂ© une expĂ©rience bĂ©nĂ©fique » : Un mot dâordre pour Ingrid Gaillard : remettre plus de lien social dans la commune. GrĂące au bĂ©nĂ©volat notamment, avec des petits travaux pour embellir le village, et sâoccuper des fameux TAP », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Christian Pruvost, « Flers : Ingrid Gaillard briguera un nouveau mandat de maire en mars : Ingrid Gaillard, maire, a accueilli les habitants de la commune pour la cĂ©rĂ©monie des vĆux. La salle Ă©tait comble pour ce rendez-vous qui a permis de faire un bilan des chantiers », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Ă Flers, un deuxiĂšme mandat de maire pour Ingrid Gaillard : Le conseil municipal a Ă©tĂ© installĂ© mercredi soir. Ingrid Gaillard a Ă©tĂ© rĂ©Ă©lue maire. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Ăcole de la commune », sur le site du ministĂšre de lâĂducation nationale et de la jeunesse (consultĂ© le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Flers (62337) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- « Chùteau de Flers », notice no PA00108279, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Le parc du chùteau », notice no IA62001039, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « L'Ă©glise Saint-Ăloi », notice no PA00108280, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- « ĂlĂ©ments patrimoniaux de la commune inscrits ou classĂ©s au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministĂšre de la Culture (consultĂ© le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).