Flers-en-Escrebieux
Flers-en-Escrebieux [flÉÊs ÉÌ.nâżÉskÊÉbjĂž] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Nord en rĂ©gion Hauts-de-France. Elle fait partie de lâagglomĂ©ration du Douaisis.
Flers-en-Escrebieux | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Douaisis Agglo | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Peyraud 2020-2026 |
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Code postal | 59128 | ||||
Code commune | 59234 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Flersois | ||||
Population municipale |
5 751 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 809 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 23âČ 55âł nord, 3° 03âČ 48âł est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 43 m |
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Superficie | 7,11 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Douai | ||||
LĂ©gislatives | Dix-septiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.flers-en-escrebieux.fr/ | ||||
Les habitants de la commune sont les Flersois.
GĂ©ographie
Localisation
Flers-en-escrebieux est une commune des Hauts de France, situĂ©e entre Douai et Auby le long de lâautoroute A21 qui relie Aix-Noulette Ă Douchy-les-Mines. Son altitude moyenne est de 23 mĂštres environ[1].
Hameaux et Ă©carts
Ă lâorigine trois hameaux distincts, Flers centre, Pont de la DeĂ»le et le Villers aujourdâhui ces hameaux ont Ă©tĂ© rattachĂ©s par Flers-en-Escrebieux .
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est
- Traversée par l'Escrebieux, affluent de la Scarpe.
- La Rache, délimite la commune passe par le quartier de Pont de la Deûle limitrophe avec les villes de Auby et Roost-Warendin.
- Le FossĂ© de Noire Bredis, dĂ©limite la commune par le nord, ce cours dâeau passe dans le parc des PrĂšs Loribe
- le canal de la dérivation de la Scarpe.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Douai », sur la commune de Douai, mise en service en 1962[8] et qui se trouve Ă 3 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 716,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10].
Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Ăpinoy », sur la commune d'Ăpinoy, dans le dĂ©partement du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et Ă 20 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 10,9 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Flers-en-Escrebieux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[18] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixiÚme plus importante de la France en termes de population, derriÚre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (66,5 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (47,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (34 %), terres arables (33,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (16,6 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (15,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[24].
Voies de communication et transports
La gare de Pont-de-la-Deûle, sur la ligne de Paris-Nord à Lille, qui se trouve dans la commune, est desservie par le réseau TER Hauts-de-France et permet de relier Lille, Douai et Valenciennes. Depuis la gare de Douai on peut prendre un TGV, et se rendre à Paris en 1 heure, Bruxelles en 1 heure 40.
La commune est desservie par les lignes 2, 5, 6 et 110 du rĂ©seau urbain ĂvĂ©ole, la ligne 853 du rĂ©seau interurbain Arc-en-Ciel 2 ainsi que par la ligne 413 du rĂ©seau interurbain du Pas-de-Calais.
Toponymie
Le nom de Flers est attesté au Xe siÚcle.
Il s'agit d'un type toponymique commun dans le Nord de la France : Flers (Somme), Fles 1030, Flers XIIIe siĂšcle), Flers (Nord II, Fles 1066, Flers 1273), Flers (Pas-de-Calais) et Flers (Orne)[25]. La localisation dans le Nord de la France incite les spĂ©cialistes Ă proposer lâĂ©tymon germanique (vieux bas francique) *hlar qui signifie « terrain marĂ©cageux, friche ou vaine pĂąture », Ă l'origine de l'ancien français larris, d'oĂč le français lairis.
Le dĂ©terminant complĂ©mentaire de en-Escrebieux, riviĂšre qui traverse la ville du mĂȘme nom, fut ajoutĂ© au dĂ©but du XXe siĂšcle.
En 1938, Flers est renommée en Flers-en-Escrebieux[26].
Histoire
Flers-en-Escrebieux est depuis longtemps habitĂ©. Lors de fouilles archĂ©ologiques sur la commune des objets prĂ©historiques ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s. Le plus ancien objet a Ă©tĂ© dĂ©couvert en 1884, il sâagit dâune hache de silex poli ou de bronze, emmanchĂ© dâun bois de cerf. Dâautres objets ont Ă©tĂ© dĂ©couverts datant d'avant la crĂ©ation de la ville comme des vases et une urne romaine, un cimetiĂšre Gallo-Romain et une nĂ©cropole MĂ©rovingienne datant des VIe et VIIe siĂšcles.
Flers fut fondée en 972. La commune était un bourg de terre agricole et de marais.
Au Moyen Ăge, la superficie de la commune Ă©tait plus importante, Ă cette Ă©poque Flers comprenait Lauwin (aujourdâhui Lauwin Planque), Le Bellou aujourd'hui disparu, Auby et le hameau de BellefouriĂ©re aujourdâhui rattachĂ© Ă la ville de Roost-Warendin. Ce territoire de Flers Ă©tait dĂ©coupĂ© en 6 seigneuries, 3 laĂŻques et 3 religieuses.
Au XVIIe siÚcle, pendant des guerres de Révolution qui opposaient les Français aux Espagnols, Flers fut saccagé par ces deux armées.
En 1710 lors du siĂšge de Douai pendant la guerre de succession dâEspagne, Flers fut pillĂ©e par lâarmĂ©e française du roi Louis XIV.
Grùce à la création de réseaux de drainage (fossés et aqueducs) la superficie marécageuse se fut de plus en plus petite au fil des siÚcles et laissa de plus en plus de terre exploitables.
Au cours des XIXe et XXe siĂšcles, deux nouveaux hameaux voient le jour: Pont de la DeĂ»le et le Villers. Ces hameaux se dĂ©veloppent grĂące Ă lâactivitĂ© de lâindustrie charbonniĂšre, en ce qui concerne Pont de la DeĂ»le, grĂące au chemin de fer, dont la ligne de Paris-Nord Ă Lille ouvre en 1846 et Ă l'exploitation miniĂšre (Compagnie des mines de l'Escarpelle) en plus des houillĂšres , de ses canaux et de son marchĂ©.
Pendant la PremiĂšre Guerre mondiale, la ville subit de nombreux dĂ©gĂąts. LâĂ©glise de la commune est complĂštement dĂ©truite et de nombreuses habitations fut aussi ravagĂ©e .
Pendant lâentre deux guerres, une reconstruction de la ville fut engagĂ©e. Entre 1923 et 1926, lâĂ©glise fut entiĂšrement reconstruite.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, comme dans beaucoup de villes et de villages, de nombreuses personnes ont fait acte de rĂ©sistance. De nombreux flersois et flersoises ont Ă©tĂ© dĂ©portĂ©s ou fusillĂ©s pendant cette guerre pour des faits de rĂ©sistance. Des habitants du hameau de Pont de la Deule ont Ă©crit une musique sur le sujet de lâoccupation autour du piano dâun bar de ce hameau.
En 1974, l'Imprimerie nationale installe un site sur la commune de Flers-en-Escrebieux
En 1983, lâenseigne Rond-point sâimplante sur la commune et quelques annĂ©es plus tard, Carrefour rachĂšte l'enseigne dans la rĂ©gion et crĂ©e une zone commerciale autour de son magasin.
Depuis les annĂ©es 2000, la crĂ©ation dâune Zone dâActivitĂ© a vu le jour sur la commune, Ă proximitĂ© de lâautoroute et des marais des PrĂ©s Loribe
Le parc Ă©olien de l'Escrebieux, Ă©galement sis sur Esquerchin et Courcelles-lĂšs-Lens, est construit Ă partir d'octobre 2020 pour une mise en service en 2021[27]
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dix-septiÚme circonscription du Nord.
Elle faisait partie de 1801 Ă 1991 du canton de Douay-Ouest, annĂ©e oĂč elle intĂšgre le canton de Douai-Nord-Est[26]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, la commune est dĂ©sormais rattachĂ©e au canton de Douai.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté d'agglomération du Douaisis, créée en 2002, et qui a pris en 2019 le nom de communication de Douaisis Agglo.
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf siÚges sont à pourvoir ; on dénombre 3 561 inscrits, dont 1 256 votants (35,27 %), 33 votes blancs (2,63 %) et 1 133 suffrages exprimés (90,21 %). La liste conduite par Jean-Jacques Peyraud, étiquetée divers droite, menée par le maire sortant recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[28] - [29].
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].
En 2020, la commune comptait 5 751 habitants[Note 9], en diminution de 2,9 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 40,2 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 22,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 2 798 hommes pour 3 018 femmes, soit un taux de 51,89 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie et industrie
Industrie
- Depuis 1974, important site de INGroupe (ex-Imprimerie nationale), consacré aux titres et plateformes sécurisés (env. 600 p. en 2019)[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
- Albert James Dixon (1895 â 1917), sous lieutenant canadien du 8e squadron de la Royal Naval Air Service, nĂ© Ă Ottawa. Dans le cadre de la PremiĂšre Guerre mondiale, il se fait enrĂŽler le et meurt au combat le Ă lâĂąge de 22 ans Ă Flers-en-Escrebieux. Il repose aujourdâhui au cimetiĂšre de Flers centre[39] - [40].
- Marceau Martin (1907 - 1942), rĂ©sistant habitant Ă Flers, communiste de l'Organisation spĂ©ciale (OS), arrĂȘtĂ© le et fusillĂ© le Ă Wambrechies au fort du Vert-Galant[41].
- Zoé Deprez (1892 - 1979), résistante Francs-tireurs et partisans (FTP),
- Augustin Cachera (1902 - âŠ), rĂ©sistant des Forces françaises de l'intĂ©rieur (FFI), dĂ©portĂ© Ă Dora pour faits de rĂ©sistance[42].
Le géant
Comme beaucoup de villes dans le Nord, Flers-en-Escrebieux possÚde son géant depuis le 24 mai 1988, il se prénomme Euch Tondier , il a été conçu par des employés communaux de la ville. Euch Tondier mesure 5,15 m et pÚse 140 kg[43]. On trouve également l'orthographe Ch'Tondier[44].
HĂ©raldique
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Les armes de Flers-en-Escrebieux se blasonnent ainsi : "D'argent au chevron de gueules, accompagnĂ© d'un annelet du mĂȘme en pointe" . |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Flers-en-Escrebieux sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Flers-en-Escrebieux (59234) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le )
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- à la demande de la fédération PS du Nord, René Arquin est poussé à la démission « A Flers-en-Escrebieux (Nord), c'est à la demande de ta fédération du Nord du PS que le maire, M. René Arquin, a démissionné, à la suite de rumeurs selon lesquelles il aurait lourdement endetté sa commune et touché des pots-de-vin. M. Arquin affirme que ta seconde accusation est sans fondement et que les dettes contractées par la commune sont presque totalement remboursées »
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Présentation de Flers-en-Escrebieux », sur https://www.flers-en-escrebieux.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
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- « Station Météo-France Douai - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Julien Gilman, « Le chantier du parc Ă©olien de l'Escrebieux dĂ©bute le 5 octobre », La Voix du Nord, no 24360,â , p. 10 (lire en ligne).
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- « Ălections municipales 2020 - 1er tour, Flers-en-Escrebieux », L'Observateur du Douaisis, no 897,â , p. 9.
- « Les maires de Flers-en-Escrebieux », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Jean-Jacques Peyraud, maire de Flers-en-Escrebieux, prĂ©sident de la RĂ©gion pendant⊠vingt minutes : En sa qualitĂ© de doyen dâĂąge, le maire de Flers-en-Escrebieux a prĂ©sidĂ© la sĂ©ance dâinstallation du conseil rĂ©gional, ce lundi aprĂšs-midi. Lâoccasion de saluer le front rĂ©publicain qui lui a permis dâĂȘtre Ă©lu, le 13 dĂ©cembre. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Rappelons que le Douaisis sera reprĂ©sentĂ© au conseil rĂ©gional par quatre Ă©lus de la liste menĂ©e par Xavier Bertrand â Jean-Jacques Peyraud, Jean-Paul Fontaine, FrĂ©dĂ©ric Nihous et Jean-Marc Dujardin â et deux du Front national â Hortense de MĂ©reuil et Chantal Bojanek ».
- « Jean-Jacques Peyraud comme au premier jour : Le maire a retrouvĂ© son fauteuil faisant preuve du mĂȘme enthousiasme quâĂ ses dĂ©buts », L'Observateur du Douaisis, no 587,â , p. 16.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Flers-en-Escrebieux (59234) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).
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- « Un documentaire et un dictionnaire biographique des 9 000 dĂ©portĂ©s au camp de Dora Ă©ditĂ©s par la Coupole dâHelfaut : Jeudi, sur lâĂ©cran gĂ©ant du dĂŽme du planĂ©tarium, Ă©lus, responsables de la Coupole, invitĂ©s, enfants de dĂ©portĂ©s se sont souvenus du voyage de quatre jours effectuĂ© en octobre Ă Dora, en Allemagne », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
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- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnĂ©s pour sauver des gĂ©ants abandonnĂ©s », La Voix du Nord, no 24596,â , p. 14-15