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ForĂȘt de Cerisy

La forĂȘt de Cerisy, aussi appelĂ©e forĂȘt de Balleroy, est une forĂȘt domaniale de 2 255 hectares[2] plantĂ©e de hĂȘtres Ă  75 % du territoire, situĂ©e dans les dĂ©partements français du Calvados et de la Manche.

ForĂȘt de Cerisy
Image illustrative de l’article ForĂȘt de Cerisy
Une allée forestiÚre.
Localisation
Position Cerisy-la-ForĂȘt, Montfiquet
CoordonnĂ©es 49° 11â€Č 20″ nord, 0° 53â€Č 20″ ouest[1]
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
GĂ©ographie
Superficie 2 255 ha
Compléments
Protection réserve naturelle, Natura 2000, ZNIEFF.
Statut domaniale
Essences HĂȘtre, Houx, ChĂȘne sessile.
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
ForĂȘt de Cerisy
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
(Voir situation sur carte : Normandie)
ForĂȘt de Cerisy

Depuis 1976, elle est une rĂ©serve naturelle nationale gĂ©rĂ©e par l'Office national des forĂȘts (ONF). Son intĂ©rĂȘt rĂ©side dans la prĂ©sence d'une sous-espĂšce endĂ©mique du carabe Ă  reflet cuivrĂ© : le carabe dorĂ© Ă  reflet cuivrĂ©, protĂ©gĂ© au niveau national.

GĂ©ographie

Situation

Elle est situĂ©e presque entiĂšrement sur la commune de Montfiquet dans le Calvados, une petite partie dĂ©bordant sur la commune de Cerisy-la-ForĂȘt dans la Manche, Ă  mi-chemin entre Saint-LĂŽ et Bayeux sur la D 572, entre Cerisy-la-ForĂȘt et Balleroy dans le Calvados.

Topographie et géologie

La topographie de la forĂȘt est relativement plate. Les parties sud du massif de la forĂȘt sont plus accidentĂ©es et plus hautes, atteignant un maximum de 143 mĂštres Ă  proximitĂ© de Litteau, au contact du Pays Saint-Lois. L'altitude minimale est de 76 mĂštres Ă  proximitĂ© de Montfiquet au sud[3].

GĂ©ologiquement, la forĂȘt occupe un vaste plateau de schiste du ProtĂ©rozoĂŻque recouvert de terre.

Climat

Le climat de la forĂȘt de Cerisy est de type ocĂ©anique doux et humide. Les donnĂ©es climatiques sont comparables Ă  celles des stations de Caen-Carpiquet, situĂ©e Ă  environ 35 km et plus accessoirement de Cherbourg-Cap de la Hague, situĂ©e Ă  environ 90 km, Ă  « vol d'oiseau » de la ForĂȘt de Cerisy. Au printemps, les pĂ©riodes de trop fortes pluies peuvent occasionner une importante mortalitĂ© dans les peuplements des plants arboricoles. Les gelĂ©es de printemps peuvent, elles aussi, ĂȘtre prĂ©judiciables aux jeunes plants. Des coups de vent violents jusqu'Ă  120 km/h peuvent avoir lieu cette forĂȘt comme ce fut le cas lors des tempĂȘtes de fin dĂ©cembre 1999 en Europe, ce qui entraĂźna des dĂ©gĂąts dans les peuplements supĂ©rieurs Ă  25 m de haut.

Histoire

La forĂȘt de Cerisy est le vestige d’un ancien massif qui s’étendait des faubourgs de Bayeux, aux hauteurs de Caumont au sud, aux rives de la Vire Ă  l’ouest et Ă  celle de la Tortonne au nord. Au XIe la forĂȘt de Cerisy et les diffĂ©rentes forĂȘts des alentours plus ou moins reliĂ©es entre elles (forĂȘt du Tronquay, forĂȘt de Saint-Paul-du-Vernay
 ) formaient le grand massif de la forĂȘt ducale de Bur. Au XIIe, sous Jean Sans Terre, le massif prend le nom de "forĂȘt de Burleroy". En 1204, lors du rattachement de la Normandie Ă  la couronne de France, il intĂšgre le domaine royal. Au XVIIe siĂšcle, les possessions royales ont bien diminuĂ©. La forĂȘt de Burleroy ne comprend que 2 538 ha dont la forĂȘt des Biards. Les forĂȘts du Vernay et du Tronquay ont Ă©tĂ© cĂ©dĂ©es par Louis XIV en 1650 au Sieur de Choisy, pour alimenter la forge installĂ©e Ă  Balleroy sur la DrĂŽme, Ă  la porte de la forĂȘt[4].

La forĂȘt de Cerisy a portĂ© plusieurs noms :

  •  du XIe au XIVe : Le "Grand Buisson" ou la "Grande ForĂȘt" .
  •  du XIVe au XVIIIe siĂšcle : La "forĂȘt des Biards".
  •   AprĂšs 1791 : La "forĂȘt de Cerisy", qui devient bien de l'État.

Historiquement, on distingue une partie de la forĂȘt de Cerisy :

  • Le Bois l'AbbĂ© (200 ha), situĂ© au nord de la forĂȘt sur Cerisy-la-ForĂȘt, est donnĂ© en 1042 par Guillaume le ConquĂ©rant aux moines de l'abbaye de Cerisy. AprĂšs la RĂ©volution, ce bois est rĂ©clamĂ© par l'État, auquel il n'est rattachĂ© qu'en 1846.

Le 5 septembre 1846, une ordonnance royale unifie les deux parties de la forĂȘt de Cerisy et fixe le traitement de cette forĂȘt en futaie de hĂȘtres.

Les bombardements de 1944, les prélÚvements pour les besoins de la guerre ont provoqué de graves dommages au massif forestier. Ainsi, tous les peuplements situés autour de l'actuel carrefour de l'Embranchement ne datent que des années 1960.

À noter d'ailleurs la prĂ©sence de nombreux impacts de bombes dans toute la partie est du massif. Des caches d'armes sont Ă©galement visibles.

Économie

La forĂȘt constitua de tout temps une rĂ©serve de bois de chauffage pour toute la rĂ©gion.

La forĂȘt servit Ă  fournir en tan, issu des Ă©corces de chĂȘne, les nombreuses tanneries de la vallĂ©e de l'Elle du XIIIe siĂšcle au XXe siĂšcle. Chaque printemps, les pelards Ă©corçaient les jeunes chĂȘnes avec une serpe et un os. Les Ă©corces mises en bottes Ă©taient sĂ©chĂ©es puis Ă©crasĂ©es dans les moulins Ă  tan. Dans le massif minier (Le Molay-Littry), l’étayage des galeries et la construction des infrastructures d’extraction ont Ă©galement « rĂ©clamĂ© Â» leur tribut Ă  la forĂȘt.

La gestion de la forĂȘt

La forĂȘt de Cerisy est une forĂȘt domaniale, cela veut dire qu’elle fait partie du domaine privĂ© de l’État. Ce dernier confie par la loi la gestion des forĂȘts domaniales, dont celle de Cerisy, Ă  un Ă©tablissement public : l'Office national des forĂȘts (ONF), hĂ©ritier de l'ancienne Administration des Eaux et ForĂȘts.

Statut connexe

La forĂȘt est classĂ©e en zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type I, sous le no 250006468[2]. La zone couvre les territoires des communes suivantes : Litteau, Montfiquet, BĂ©rigny, Saint-Georges-d'Elle, Balleroy, Vaubadon, Cerisy-la-ForĂȘt, Molay-Littry, Bazoque et Le Tronquay.

Faune

C. auronitens.

On peut y apercevoir des cervidés tels que cerfs, chevreuils, mais également des sangliers, blaireaux, renards. Il est donc conseillé de faire trÚs attention en promenade à ne pas perturber cette population mais aussi en voiture pour ne pas percuter un animal, les accidents n'étant pas rares.

L'avifaune de la forĂȘt de Cerisy est diverse et variĂ©e. On peut y apercevoir notamment le Pic noir et le Pic mar, le Hibou moyen-duc, le Loriot d'Europe et beaucoup d'autres espĂšces, ce qui en fait un espace agrĂ©able pour les ornithologues avertis ou non. Les insectes sont aussi une grande richesse de cette forĂȘt et notamment le carabe dorĂ© Ă  reflet cuivrĂ© (Chrysocarabus auronitens ssp cupreonitens) endĂ©mique de la forĂȘt[5] - [6] et dont la prĂ©sence constitue l'une des raisons ayant contribuĂ© au classement en rĂ©serve naturelle. Il y a Ă©galement de remarquables papillons. Pour les amphibiens, on peut trouver le Triton alpestre, le Triton palmĂ©, la Grenouille agile ainsi que la Salamandre tachetĂ©e... Il y a Ă©galement des reptiles comme la VipĂšre pĂ©liade ou le LĂ©zard vivipare[7]...

Flore

La forĂȘt de Cerisy est composĂ©e Ă  75 % de hĂȘtre, 12 % de chĂȘne et 3 % de pin sylvestre. On trouve aussi de nombreuses autres espĂšces d'arbres telles que le bouleau, le chĂątaignier, l'aulne glutineux... des arbustes : le houx, l'aubĂ©pine monogyne, le noisetier... et de nombreuses fleurs : l'euphorbe des bois, la digitale pourpre, l’anĂ©mone des bois sylvie...

Habitat

Il existe depuis le 1er juillet 2008 la Maison de la forĂȘt et du tourisme qui prĂ©sente la forĂȘt de Cerisy, son histoire, sa faune et sa flore. L'Ă©quipe de la Maison de la forĂȘt propose des animations pour groupes et individuels (sorties pĂ©dagogiques, sorties nature, randonnĂ©es patrimoine et ateliers enfants).

Tourisme

SituĂ©e en Basse-Normandie, rĂ©gion peu forestiĂšre en dehors du dĂ©partement de l'Orne, la forĂȘt prĂ©sente un intĂ©rĂȘt touristique pour le Pays saint-lois. De nombreux sentiers sont amĂ©nagĂ©s pour les promeneurs, un arboretum a Ă©tĂ© crĂ©Ă©. L'Ă©tang du Titre est un rendez-vous des dimanches bocains.

Lieux remarquables

La forĂȘt elle-mĂȘme, est la premiĂšre chose Ă  apprĂ©cier Ă  Cerisy et aux alentours, soit pour sa beautĂ©, sa nature ou sa dimension lĂ©gendaire. La circulation sur les routes offre dĂ©jĂ  certaines opportunitĂ©s, ainsi la route principale entre Cerisy-la-ForĂȘt et Balleroy ne manque pas de charme « [...] ses longues branches forment une voĂ»te, une tonnelle devrait-on dire, d'un si beau vert au printemps-Ă©tĂ© et d'un ton or Ă  l'automne. Â»

On peut y dĂ©couvrir une borne royale du XVIIIe siĂšcle gravĂ©e d’une fleur de lys qui dĂ©limitait le domaine royal.

  • La route forestiĂšre de la ChĂȘnesse.
    La route forestiĂšre de la ChĂȘnesse.
  • L'Ă©tang du Titre.
    L'Ă©tang du Titre.
  • La borne royale.
    La borne royale.

La forĂȘt et ses environs

  • Le Molay-Littry est une ville d'environ 3 092 habitants situĂ©e au nord de la forĂȘt. La ville a accueilli la plus importante des deux mines de charbon de Normandie. Elle prĂ©sente aujourd'hui un musĂ©e de la mine.

Autres lieux

  • La maison de la ForĂȘt et du Tourisme (expositions sur la faune et flore en forĂȘt de Cerisy, mĂ©tiers liĂ©s au bois, animations pour groupes et individuels).
  • Le moulin de Marcy au Molay-Littry.
  • Les jardins de Castillon.
  • Les Ă©tangs de Planquery.
  • Le jardin d'Elle Ă  Villiers-Fossard.
  • Le parc des Sources d'Elle.

Dame blanche de Balleroy

Le fantĂŽme d'une jeune fille, morte renversĂ©e par un chauffard en 1960, hanterait la sortie de Balleroy, sur la route en direction de Cerisy-la-ForĂȘt. Apparaissant les nuits pluvieuses, vĂȘtue de blanc, paraissant avoir moins de vingt ans, elle demande Ă  ĂȘtre dĂ©posĂ©e dans un village proche oĂč vit sa mĂšre, puis disparaĂźt une fois traversĂ© le carrefour de l’Embranchement[8]. L'histoire se rattache au mythe de l'auto-stoppeuse fantĂŽme.

Le Varou

Autrefois, avant la rĂ©volution française, lorsqu’un crime Ă©tait commis et que l’auteur demeurait introuvable, on avait recours Ă  un moyen qui permettait quelquefois de le dĂ©couvrir. Le prĂȘtre de la paroisse prononçait un monitoire durant l’office du dimanche, pendant lequel le coupable ou ceux qui connaissaient son identitĂ© Ă©taient menacĂ©s d’excommunication s’ils ne se dĂ©nonçaient pas.

La cĂ©rĂ©monie Ă©tait rĂ©pĂ©tĂ©e trois semaines de suite. Si le coupable restait muet et ne s’était pas dĂ©voilĂ©, il Ă©tait condamnĂ© Ă  subir une terrible expiation. Pendant sept ans, Ă  la nuit tombante et Ă  dates fixes, il devait revĂȘtir une peau de bĂȘte souvent de loup mais aussi de chĂšvre ou de mouton qu’on appelait la «hure» ou la «haire» et se transformait en animal. Il Ă©tait alors comme poussĂ© par une force surnaturelle et partait dans une course folle Ă  travers les champs, les mares, les ronces et les broussailles. À chaque carrefour, un fouet invisible s’abattait sur lui. On dit que c’est Satan lui-mĂȘme qui, chevauchant le pĂ©nitent, lui infligeait cette sentence. Le matin venu, le malheureux reprenait forme humaine mais brisĂ©, Ă©reintĂ©, ensanglantĂ© et tout crottĂ©, il conservait ainsi les traces de sa nuit maudite. Il pouvait alors ĂȘtre reconnu, et devenait «l’homme qui porte le varou».

Il y avait un moyen de délivrer un homme qui portait le varou. Pour ce faire, il fallait lui sauter dessus et lui faire couler le sang entre les yeux. Il était alors délivré et retrouvait son état normal. Mais si on ratait son coup, la peine était reconduite pour sept nouvelles années.

On dit quelquefois que les varous seraient la mĂ©tamorphose du corps de damnĂ©s parvenus Ă  s’échapper des entraves de leurs tombeaux. Lorsque l’un d’entre eux, appelĂ© Ă  devenir loup-garou, commence Ă  ressentir l’appel de sa destinĂ©e maudite, il dĂ©vore le suaire qui lui couvre le visage avant de faire entendre de pĂ©nibles et terrifiantes lamentations. Il soulĂšve la terre qui recouvre son cercueil et surgit hors de sa tombe, accompagnĂ© des flammes de l’enfer.

Jadis, les curĂ©s prenaient grand soin de surveiller les cimetiĂšres pendant la nuit. S’ils entendaient quelques lamentations, s’ils constataient l’émanation de flammes ou si la terre Ă©tait aussi haute sur une tombe qu’au jour de l’inhumation, il ne pouvait s’agir Ă  coup sĂ»r que d’un malheureux appelĂ© Ă  devenir loup-garou. Face Ă  ce cas dĂ©sespĂ©rĂ©, aidĂ© de son sacristain et armĂ© d’une bĂȘche neuve, le curĂ© dĂ©terrait le cadavre tourmentĂ© et lui tranchait la tĂȘte avant d’aller la jeter dans la riviĂšre oĂč elle allait connaĂźtre Ă  jamais les tourments de l’enfer au fin fond d’un prĂ©cipice.

Certains individus seraient devenus loups-garous aprÚs avoir passé un pacte avec le diable. Ils obtenaient alors le privilÚge de se transformer en animal de leurs choix ; le plus souvent en chien, en chat ou en cheval.

Dans le Bessin, on croit que les sorciers ont le pouvoir de transformer les hommes sur lesquels ils jettent leur dĂ©volu, gĂ©nĂ©ralement en chien ou en loup. L’un d’entre eux, appelĂ© Rongeur d’os, hanterait, la nuit, les rues de Bayeux.

Un loup-garou dĂ©masquĂ© court d’énormes dangers. Tout Ă©chec dans une tentative tendant Ă  le dĂ©livrer ou le simple fait de l’appeler par son nom d’homme reconduira sa pĂ©nitence pour sept nouvelles annĂ©es. S’il est possible de tuer un loup-garou, on veillera cependant Ă  n’utiliser que des balles bĂ©nites et Ă  taire la chose. SitĂŽt mort, le loup-garou reprendra forme humaine, gardant nĂ©anmoins quelques sĂ©quelles de cette mĂ©saventure telle sa grande taille due Ă  l’allongement d’une de ses jambes[9].

La forĂȘt dans la littĂ©rature

Le Roman de Renart fut composĂ© de 1174 Ă  1250 par plusieurs auteurs, dont notamment Richard de Lison, un clerc qui raconte de maniĂšre romancĂ©e des faits d'intĂ©rĂȘt local ayant pour dĂ©cor les alentours de la forĂȘt : « Renart se dirige vers le bois du Vernay mais lorsqu'il rencontre l'abbĂ© Huon et sa meute, il retourne sur ses pas aprĂšs avoir franchi deux fois la Siette et le DrĂŽme (riviĂšres de la forĂȘt de Cerisy). Il rencontre Tibert le chat Ă©tendu sur un rocher dans le bois du Molay, tous deux dĂ©cident de prendre la direction du Vernay pour aller chercher fortune dans l'enclos de Guillaume Bacon, « loing del castel desos la ville ». Or voici que survient ledit Guillaume Bacon, seigneur du lieu, Renart prend un chemin de traverse, Tibert grimpe sur un chĂȘne. BientĂŽt se joint aux chasseurs, le prĂȘtre du Breuil-en-Bessin qui fait route vers Saint-Martin-de-Blagny. Tibert rĂ©ussit Ă  s'enfuir « tot le chemin de BlagniĂ© ». À hauteur de TourniĂšres, entre la ChĂȘnĂ©e et la lande de Bernesq, il rencontre Renart qui n'en croit pas ses yeux. Il lui annonce son intention de l'emmener avec lui Ă  Saint-Martin Ă  « BlaengniĂ© » oĂč il diront l’office... ».

Notes et références

  1. GĂ©oportail
  2. « ZNIEFF 250006468 - ForĂȘt de Cerisy », sur Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
  3. « Géoportail »
  4. Madame LAPLACE-DOLONDE, « Recherche historique sur la ForĂȘt de Cerisy », DĂ©partement de gĂ©ographie - UniversitĂ© de Caen,‎
  5. La Normandie, Coll. La bibliothÚque du naturaliste, pages 222, 223, Delachaux et Niestllé SA, Lonay (Suisse), 2003, (ISBN 2-603-01295-9).
  6. « Le réseau des réserves naturelles de Basse-Normandie » (consulté le )
  7. http://www.maisondelaforetdecerisy.com/fr/foret-de-cerisy/la-faune/default.asp
  8. Pascal Villeroy, Contes et légendes de Normandie, Normandie héritage
  9. « traditions populaires de la Normandie le varou », sur Persée

Articles connexes

Bibliographie

  • L'Univers illustrĂ© no 22 du 16 octobre 1858, M. GĂ©rome, ChĂȘne de la forĂȘt de Cerisy.

Liens externes

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