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BĂ©rigny

BĂ©rigny est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 432 habitants[Note 1].

BĂ©rigny
BĂ©rigny
L'Ă©glise Saint-Gildard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Saint-LĂŽ
Intercommunalité Saint-LÎ Agglo
Maire
Mandat
Denis Lecluze
2020-2026
Code postal 50810
Code commune 50046
DĂ©mographie
Gentilé Bérignais
Population
municipale
432 hab. (2020 en augmentation de 2,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 08â€Č 34″ nord, 0° 56â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 73 m
Max. 159 m
Superficie 12,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-LĂŽ
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pont-HĂ©bert
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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BĂ©rigny
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BĂ©rigny
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BĂ©rigny

    GĂ©ographie

    La commune est Ă  l'est du pays saint-lois. Son bourg est Ă  10 km au sud-ouest de Balleroy, Ă  11 km au sud-est de Saint-Clair-sur-l'Elle, Ă  12 km Ă  l'est de Saint-LĂŽ, Ă  13 km au nord-ouest de Caumont-l'ÉventĂ© et Ă  14 km au nord de Torigni-sur-Vire[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 915 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Balleroy-sur-DrĂŽme », sur la commune de Balleroy-sur-DrĂŽme, mise en service en 2000[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 927,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, dans le département du Calvados, mise en service en 1945 et à 36 kilomÚtres[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    BĂ©rigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-LĂŽ, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (97,4 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (97,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (72,2 %), terres arables (24,8 %), forĂȘts (2,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Berinneio[23], Berinneium en 843[24] et Berigneyo en 1303.

    Le toponyme est issu d'un anthroponyme gaulois[25] ou germanique[24] - [26] tel que Berinius[25] - [26] ou Berinus[24].

    Le gentilé est Bérignais.

    Histoire

    En 1725, Jean Le Coq, prĂȘtre, chanoine de Pouligny Ă  Bayeux, crĂ©a un collĂšge Ă  BĂ©rigny[27].

    En 1790, Jean-Baptiste Guérard fut délégué de Bérigny à l'Assemblée primaire de Saint-Jean-des-Baisants[27].

    Félix-Aimé de Saint-Quentin (1780-1826), mort à Bérigny, fut l'un des chefs de la chouannerie normande, et commandant de la garde nationale à cheval de la Manche en 1816[27].

    En 1812, Bérigny (499 habitants en 1806) absorbe la commune de Saint-Quentin-d'Elle (162 habitants), située au nord de son territoire.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1793 1795 Marin Duvigny
    1796 1797 Pierre Le Baron
    1797 1797 Jean-Baptiste Guérard
    1797 1797 Jean-Baptiste Guelle
    1798 1805 René Gabriel Le Brun
    1805 1814 Pierre Bechevel
    1814 1824 Henri de Saint-Quentin
    1824 1826 Félix Aimé de Saint-Quentin
    1826 1829 Jean Joachim Le Brun
    1830 1846 Pierre Le Baron
    1847 1848 Jean Baptiste Sansrefus
    1848 1867 Bernardin de Saint-Quentin
    1868 1897 Pierre Sansrefus
    1897 1913 Jean-Michel Sansrefus
    1913 1940 Adolphe Dumont
    1940 1953 Pierre MĂ©rienne
    1953 1973 LĂ©on Le Baron
    1973 1983 Émile Le Trone
    1983 1995 Pierre Lehaut
    juin 1995 mars 2008 Michel Bonnet SE
    mars 2008[28] En cours Denis Lecluze[29] SE Commerçant
    Une partie des donnĂ©es est issue d'une liste Ă©tablie par Jean PouĂ«ssel , Élise Gautier-Debroise et Jacqueline Ledunois[27].

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et un adjoint[29].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31].

    En 2020, la commune comptait 432 habitants[Note 9], en augmentation de 2,86 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). BĂ©rigny a comptĂ© jusqu'Ă  722 habitants en 1831.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    425456499672722682675666655
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    692676666603635576561549540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    525552557501509470460406445
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    386372314340359367363394423
    2020 - - - - - - - -
    432--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution dĂ©mographique de Saint-Quentin-d'Elle avant 1812
    1793 1800 1806
    148143162
    (Sources : EHESS[34])

    Lieux et monuments

    La chapelle de Saint-Quentin-d'Elle.

    Activité et manifestations

    Sports

    L'Association sportive de BĂ©rigny-Cerisy fait Ă©voluer deux Ă©quipes de football en divisions de district[36].

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Le Coq. Monnayeur pour le roi Ă  Saint-LĂŽ en 1610 ; officier pour le roi en la Monnaie de Saint-LĂŽ en 1618. Il Ă©pouse avant 1612 Suzanne Du Fresne. Le couple vit en 1618.
    • Michel Le Coq. FrĂšre du prĂ©cĂ©dent. Monnayeur pour le roi Ă  Saint-LĂŽ en 1610 ; officier pour le roi en la Monnaie de Saint-LĂŽ en 1618. Sieur de La Maugerie en 1617. Il vit en 1619. Il Ă©pouse avant 1613 Perrette Hue, parente de Pierre Hue chanoine de Lisieux (1615).
    • Henri Victor Roulland, gĂ©nĂ©ral de brigade, nĂ© en 1751 Ă  Saint-Quentin-d'Elle, dĂ©cĂ©dĂ© le .

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 27.
    • RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 85.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Balleroy-sur-DrÎme - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bérigny et Balleroy-sur-DrÎme », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Balleroy-sur-DrÎme - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bérigny et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. Archives nationales, K 10, n° 52.
    24. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 760.
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    26. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des ßles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 28.
    27. Gautier 2014, p. 85.
    28. « Denis Lecluze candidat pour un nouveau mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. Réélection 2020 : « Municipales à Bérigny. Denis Lecluze élu par le conseil municipal », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Quentin d'Elle », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le )..
    35. « Chùteau de Saint-Quentin-d'Elle », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    36. « AS de Bérigny-Cerisy », sur Site officiel de la Ligue de Normandie (consulté le ).
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