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Fontclaireau

Fontclaireau (prononcer [fɔ̃klΔʀo]) est une ancienne commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Charente (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Fontclaireau
Fontclaireau
Mairie de Fontclaireau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente
Arrondissement Confolens
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes CƓur de Charente
Statut Commune déléguée
Code postal 16230
Code commune 16140
DĂ©mographie
Gentilé Clarifontains
Population 436 hab. (2020 en augmentation de 4,81 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 78 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 53â€Č 44″ nord, 0° 12â€Č 12″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 124 m
Superficie 5,61 km2
Élections
DĂ©partementales Canton de Boixe-et-Manslois
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Mansle-les-Fontaines
Localisation
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Fontclaireau
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Fontclaireau
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Fontclaireau
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Fontclaireau

    Le , elle devient commune déléguée de Mansle-les-Fontaines.

    Ses habitants sont les Clarifontains et les Clarifontaines[1].

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    La N 10 Ă  Fontclaireau.

    Fontclaireau est une commune du Nord-Charente situĂ©e Ă  km au nord-est de Mansle et 28 km au nord d'AngoulĂȘme.

    Le bourg est aussi Ă  15 km au sud de Ruffec[2].

    La principale voie de communication de la commune est la route nationale 10 de Paris Ă  Bordeaux, qui parcourt toute la commune du sud au nord.

    Le bourg est desservi par la D 56, route de Mansle à Bayers, qui rattrape l'entrée nord de la déviation de Mansle de la N.10[3].

    La gare la plus proche est celle de LuxĂ© Ă  km, desservie par des TER Ă  destination d'AngoulĂȘme, Poitiers et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    Le centre de population le plus important de la commune est l'important hameau de Monpaple, situé dans le sud de la commune, prÚs de la Charente.

    Parmi les autres hameaux, nous pouvons citer : la CÎte ; les Coirards ; la Gagnaderie, village situé sur l'ancien passage de la RN 10, à la sortie du pont de Mansle et qui est en réalité un faubourg de cette ville : la Sangle, dans le nord de la commune, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Fontclaireau
    Fontenille LichĂšres
    Fontclaireau Mouton
    Mansle
    (Mansle-les-Fontaines)
    Puyréaux

    GĂ©ologie et relief

    Limitée au sud et au sud-est par la Charente, qui la sépare des communes de Puyréaux et de Mouton, la commune de Fontclaireau occupe un plateau élevé qui domine la vallée du fleuve.

    Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien). La vallée de la Charente est occupée par des alluvions du quaternaire[4] - [5] - [6].

    Le relief de la commune est celui d'un bas plateau surplombant la vallĂ©e de la Charente qui limite la commune au sud et Ă  l'est. Un mĂ©andre du fleuve forme une rive concave avec un Ă -pic de 45 m au lieu-dit la CĂŽte, escarpement qui va en diminuant au sud de la commune.

    Le point culminant est Ă  une altitude de 124 m, situĂ© au sud-ouest du bourg (borne IGN). Le point le plus bas est Ă  56 m, situĂ© le long de la Charente en limite sud-ouest, en face de Mansle. Le bourg est Ă  106 m d'altitude[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Fontclaireau.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Fontclaireau est sur la rive droite de la Charente, en aval de Ruffec et en amont d'AngoulĂȘme, fleuve qui borde la commune Ă  l'est et au sud. D'une longueur totale de 381,4 km, ce fleuve prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de ChĂ©ronnac, et se jette dans le Golfe de Gascogne, aprĂšs avoir traversĂ© 117 communes[9].

    La fontaine des Rateaux est située en bord de vallée, au sud-ouest de Monpaple. La fontaine Bonneau est au nord-ouest du bourg[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin Charente[10]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Fontclaireau est une commune rurale[Note 1] - [12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13] - [14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (73,5 %), prairies (9,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,9 %), zones urbanisĂ©es (6,7 %), forĂȘts (1,8 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Fontclaireau est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[18]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[19].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999[20] - [18].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fontclaireau.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 44,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 221 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 97 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 44 %, Ă  comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[22].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[23].

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[25].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Terra... Fontis Claras en 1059-1081, Fontis Clari en 1110[26], Fontclaras en 1305, Fonclaras en 1405, Fontibus claris au XIVe siĂšcle[27].

    L'origine du nom de Fontclaireau remonte au bas latin fontem clarellum signifiant « claire fontaine » ou « fontaine de la clairiÚre » selon les interprétations[28] - [29] - [Note 3].

    Histoire

    L'ancienne voie romaine de PĂ©rigueux Ă  Poitiers par Mornac, Montignac, Mansle, Ruffec et Rom traversait l'ouest de la commune[30].

    PrÚs de Monpaple, au Pont Seguin, les vestiges d'une ancienne villa romaine ont été signalés vers 1958[31].

    En 1070, la terre de Fontclaireau avait Ă©tĂ© donnĂ©e par Guillaume de Montbron, Ă©vĂȘque de PĂ©rigueux et ses deux frĂšres au chapitre de Saint-Pierre d'AngoulĂȘme. Plus tard, cette terre passa entre les mains de la famille PrĂ©vĂ©raud, qui la possĂ©dait au XVIe siĂšcle.

    Les plus anciens registres paroissiaux remontent Ă  1617.

    Au XVIIIe siÚcle, c'était un fief dépendant de la baronnie de Verteuil, et appartenant à Joseph Coyteux, qui mourut jeune, laissant trois filles. L'aßnée, Anne Coyteux, épousa en 1744, Pierre Prévost du Las, juge à Verteuil[32].

    Au tout début du XXe siÚcle, le moulin de Beaudant (écrit Baudan jadis) avait été transformé en usine hydro-électrique pour fournir l'éclairage des rues de Mansle.

    À la suite de l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [33] portant crĂ©ation de la commune nouvelle de Mansle-les-Fontaines, Fontclaireau devient une commune dĂ©lĂ©guĂ©e au .

    Administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1959 1987 Pierre Mourier Mouvement réformateur
    puis UDF
    Conseiller général
    depuis 1995 En cours Philippe Boireaud DVG Employé
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[35].

    En 2020, la commune comptait 436 habitants[Note 4], en augmentation de 4,81 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    527525579590590589606626617
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    560555526552535477411366360
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    315318312275275285285295333
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    354324292300360358410435436
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  33,7 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,4 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 219 hommes pour 218 femmes, soit un taux de 50,11 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    0,5
    7,4
    75-89 ans
    9,3
    16,2
    60-74 ans
    16,3
    22,1
    45-59 ans
    20,8
    18,3
    30-44 ans
    20,6
    16,4
    15-29 ans
    11,5
    18,6
    0-14 ans
    21,0
    Pyramide des ùges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[40].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Fontclaireau possÚde une école élémentaire comprenant deux classes. Le secteur du collÚge est Mansle[41].

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre : lorsque Guillaume de Montbron donna, en 1070, la terre de Fontclaireau au chapitre cathĂ©dral, c'Ă©tait Ă  charge d'y construire une Ă©glise, qui fut Ă©difiĂ©e peu aprĂšs. Presque complĂštement dĂ©truite par les protestants, sa rĂ©Ă©dification dura de 1603 Ă  1651. De nos jours elle comprend une nef plafonnĂ©e sans pilastre, ni contrefort, ainsi qu'une travĂ©e, jadis sous berceau. Une chapelle a Ă©tĂ© ajoutĂ©e, au sud, Ă  l'extrĂ©mitĂ© de la nef. Les murs latĂ©raux sont nus, la façade, sans dĂ©coration, et percĂ©e d'une porte Ă  un rouleau avec, au-dessus, une baie allongĂ©e ; le pignon se termine par un clocher-arcade Ă  une ouverture[42]. Elle possĂšde un tableau de saint Vincent de Paul du dĂ©but du XIXe siĂšcle inscrit monument historique au titre objet depuis 1994[43].
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Sarcophages en pierre.
      Sarcophages en pierre.

    Personnalités liées à la commune

    • Étienne Corriveau, fils de François, fut le premier de ce nom Ă  venir s’établir en Nouvelle-France. Il partit de Fontclaireau et s’établit en 1668 Ă  Sainte-Famille, Île d’OrlĂ©ans au QuĂ©bec, et traversa Ă  Saint-Vallier en octobre 1678, ou plus exactement dans la paroisse de la Durantaye, paroisse Ă©rigĂ©e par monseigneur de Laval le 30 octobre 1678[44].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[24].
    3. Dauzat indique que clarellum signifie « clair », au masculin (et non pas « eau claire »). Mot à mot : fontaine du claireau.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Fontclaireau » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous GĂ©oportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Fontclaireau », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « la Charente »
    10. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    18. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Fontclaireau », sur Géorisques (consulté le )
    19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Fontclaireau », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    24. Article R214-112 du code de l’environnement
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    26. Jean Nanglard, Cartulaire de l'Ă©glise d'AngoulĂȘme, t. IX, Bulletins et mĂ©moires de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re Ă©d. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 84,126
    27. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, Ă©vĂȘque d'AngoulĂȘme [« Liber feodorum »], t. 5, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique de la Charente, (1re Ă©d. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 43,52,115,141
    28. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 294.
    30. Auguste-François LiÚvre, Les chemins gaulois et romains entre la Loire et la Gironde, Niort, L.Clouzot, , 2e éd., 127 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 15
    31. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 142
    32. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 180
    33. « Recueil des actes administratifs N°16-2022-163 : 16-2022-12-15-00003 - ArrĂȘtĂ© portant crĂ©ation de la commune nouvelle de Mansle-les-Fontaines », p. 185
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fontclaireau (16140) », (consultĂ© le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Charente (16) », (consultĂ© le ).
    40. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    42. Jean Nanglard, « PouillĂ© historique du diocĂšse d'AngoulĂȘme, t. I », dans Bulletin et mĂ©moires de la sociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique de la Charente, t. II-IV, AngoulĂȘme, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
      Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
    43. « Tableau dans l'église », notice no PM16000560, base Palissy, ministÚre français de la Culture
    44. Association des Corriveau d'Amérique

    Voir aussi

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