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Florence Easton

Florence Gertrude Easton[N 1] ([N 2] – ) est une soprano britannique du dĂ©but du 20e siècle, connue professionnellement comme « Le Rossignol de South Bank »[1]. Elle a Ă©tĂ© l'une des chanteuses les plus polyvalentes de tous les temps. Elle a chantĂ© un vaste rĂ©pertoire de plus de 100 pièces, couvrant un large Ă©ventail de styles et d'Ă©poques, Mozart, Meyerbeer, Gounod, Verdi, Wagner, Puccini, Strauss, Schreker et Krenek. Elle a chantĂ© pratiquement chaque partie de soprano, grandes ou petites, de Wagner, comme Senta ou BrĂĽnhilde du CrĂ©puscule des dieux notamment[2].

Florence Easton
Biographie
Naissance
Décès
SĂ©pulture
Nationalité
Activité
Conjoint
Francis Maclennan (d) (de Ă  )
Autres informations
Tessiture

Elle se dĂ©crit comme une soprano lyrique dramatique, ce qui semble Ă  peine adĂ©quat eu Ă©gard aux types de rĂ´les dans lesquels elle excellait. Sa grande rĂ©putation internationale, principalement en Allemagne et en AmĂ©rique du Nord, a Ă©tĂ© presque unique pour une chanteuse britannique de cette Ă©poque. Elle pouvait passer facilement toutes les Ă©tapes, de coloratura lĂ©gère Ă  « Hochdramatische », du romantisme fĂ©minin au puissant drame wagnĂ©rien et straussien. La voix pouvait ĂŞtre lĂ©gère et aĂ©rienne, doucement mĂ©lancolique ou intensĂ©ment passionnĂ©e. L'implication dans le caractère du rĂ´le Ă©tait totale. J. B. Steane (en) a suggĂ©rĂ© que « Cette grande force Ă©tait aussi, Ă©trangement, une source de faiblesse. Elle a chantĂ© tellement de rĂ´les qu'elle ne s'est jamais vraiment identifiĂ©e Ă  aucun de ceux-ci »[3]. MalgrĂ© sa diction italienne souvent suspecte, elle fut choisie par Puccini pour crĂ©er Lauretta dans son opĂ©ra de 1917 Gianni Schicchi

Il n'y a pas de lien entre Florence Easton et le chanteur Robert Easton, né en 1898 à Sunderland.

Biographie

Jeunesse

Florence Easton est la fille aĂ®nĂ©e de John Thomas Easton et d'Isabella Yarrow, et la nièce de Fletcher Easton, elle est nĂ©e le au 52 Napier Street, South Bank, Middlesbrough[1]. Ses parents quittent l'Angleterre quand elle a 5 ans et s'installent avec Florence (Flossie) et son jeune frère Ă  Toronto, en Ontario, au Canada. Flossie chante dans le chĹ“ur de l'Ă©glise mĂ©thodiste de Parkdale, oĂą son père est maĂ®tre de chapelle et sa mère organiste[4]. Son talent musical est devenu Ă©vident dans sa petite enfance et elle a pris des leçons de piano, d'orgue et de chant avec JDA Tripp et M. Harrison. Elle apparaĂ®t en public au piano Ă  8 ans.

Elle a dit « J'ai commencé en tant que pianiste et je n'avais pas l'idée de chanter, encore moins de l'opéra, lorsque j'ai commencé l'étude de la musique ». Florence est l'une des premières femmes à être nommée membre de la Royal Academy of Music le .

Quand sa mère meurt en 1899, Florence retourne avec son père Ă  Middlesbrough, oĂą celui-ci rejoint un partenariat dans une entreprise de vente de fruits en gros avec William Henry Easton, son père et Fletcher Easton, son frère. Une collecte Ă  Middlesbrough recueille assez d'argent pour elle aller Ă©tudier pendant un an Ă  la Royal Academy of Music de Londres. Elle perd son argent le premier jour dans la capitale et son père doit trouver des fonds de remplacement. Elle commence en mai 1900 a Ă©tudiĂ© le chant pendant un an. Le recensement de 1901 la montre en tant qu'Ă©tudiante de 18 ans Ă  la Royal Academy of Music, vivant Ă  Hendon, Middlesex, dans le Middlesex.

En 1901, elle se rend à Paris pour étudier le chant avec Elliott Haslam, un ami de son père[4].

Carrière professionnelle

Florence est dĂ©terminĂ©e, et fait ses dĂ©buts Ă  l'opĂ©ra dans le rĂ´le du berger dans Tannhäuser Ă  Newcastle upon Tyne en 1903 avec la Moody-Manners Opera Company de Charles Manners (bass) (en). Le premier soir de la saison Ă  Covent Garden, elle chante Stephano dans RomĂ©o et Juliette. Son premier rĂ´le important Ă  Royal Opera House Ă  Covent Garden est Arline dans The Bohemian Girl de Balfe, puis elle obtient le succès en 1903, dans Madame Butterfly[5].

Florence s'est mariĂ©e deux fois ; en , elle Ă©pouse Francis Maclennan (de) (1873-1935), un tĂ©nor amĂ©ricain de la Moody-Manners Opera Company[4]. Elle fait ses dĂ©buts amĂ©ricains, dans le rĂ´le de Gilda dans Rigoletto Ă  Baltimore avec l'English Grand Opera Company de Henry Wilson Savage (en) en novembre 1905, et elle chante un certain nombre de rĂ´les avec cette compagnie aux États-Unis et au Canada au cours des deux annĂ©es suivantes. En 1905, Maclennan tient le rĂ´le-titre de Parsifal dans la tournĂ©e amĂ©ricaine de Henry W. Savage. et Florence abandonne sa carrière de chanteuse pour s'installer en AmĂ©rique. Ils ont un fils en 1906 et une fille, Wilhelmina, en 1912 ; ils divorcent en 1928. Wilhelmina est morte lors de l'Ă©pidĂ©mie de grippe espagnole de 1919.

Son premier succès notable en AmĂ©rique vient lors de la saison 1906-1907, dans le rĂ´le de Cio-Cio-San dans la première en anglais de Madame Butterfly. Sa reprĂ©sentation du est la deuxième aux États-Unis, suivant celle d'Elsa Szamosy de seulement douze jours. Florence dĂ©tient le record mondial avec plus de trois cents apparitions dans Madame Butterfly, son rĂ´le prĂ©fĂ©rĂ©.

De 1907 Ă  1913, elle et son mari Francis Maclennan sont membres de la troupe du Staatsoper Unter den Linden de Berlin, chantant de nombreux rĂ´les d'une grande variĂ©tĂ©. Elle doit apprendre le rĂ´le de Marguerite en allemand dans un dĂ©lai de 10 jours, suivi par l'apprentissage et l'exĂ©cution de la partie de Aida dans un dĂ©lai de 48 heures, sans rĂ©pĂ©tition. Elle reçoit immĂ©diatement un contrat de cinq ans. Ils deviennent d'excellents amis de l'empereur Guillaume II. Florence est dirigĂ©e par Richard Strauss pour le rĂ´le-titre de la version anglaise d'Elektra Ă  Londres, première Ă  Covent Garden en 1910. Après la saison 1912-13; les Maclennan rejoignent l'OpĂ©ra de Hambourg Stadtische, et elle chante avec Enrico Caruso en 1913[6].

En 1915-16, le couple fait des tournĂ©es en AmĂ©rique oĂą Florence apparaĂ®t dans une reprĂ©sentation unique comme BrĂĽnhilde dans Siegfried, rĂ©alisant un grand succès populaire et auprès des critiques. En raison de la guerre, il est trop risquĂ© de retourner en Allemagne, ils restent aux États-Unis, et deviennent membres de la troupe Chicago Opera Association oĂą elle fait ses dĂ©buts dans Siegfried. Elle reste avec la compagnie de Chicago pendant deux saisons, devenant l'une des sopranos wagnĂ©riennes les plus connues aux États-Unis. Elle chante avec la Society of American Singers, Ă  New York en 1916. En 1917, elle rejoint Le Metropolitan Opera de New York, et  fait ses dĂ©buts, le , dans le rĂ´le de Santuzza dans Cavalleria Rusticana. Elle reste au Met 12 saisons, chantant 41 pièces et environ 295 reprĂ©sentations. Pendant cette pĂ©riode Ă  New York, Easton Ă©tudie avec Anna Schoen-RenĂ© (de)[4], une Ă©lève de Pauline Viardot-Garcia et Manuel GarcĂ­a[7].

Florence Easton dans « Saint Elizabeth ». Photographie de Herman Mishkin

C'est son interprĂ©tation du rĂ´le de Sainte Elisabeth dans la mise en scène de la version de Die Legende von der heiligen Elisabeth de Liszt, en 1918, qui la met au premier rang des Ă©toiles du Metropolitan Opera.

Florence Easton dans le rôle de Lauretta à la première mondiale de Gianni Schicchi, 14 décembre 1918.

Giacomo Puccini Ă©crit un trio d'opĂ©ras nommĂ© Il trittico composĂ© de Il tabarro, Suor Angelica et Gianni Schicchi. Florence crĂ©Ă© le rĂ´le de Lauretta Ă  la première mondiale de Gianni Schicchi, le au Metropolitan Opera de New York; elle est la première Ă  chanter le cĂ©lèbre air « O mio babbino caro » (« O Mon bien-AimĂ© Papa »). Puccini ne peut se rendre Ă  New York pour la première, le directeur gĂ©nĂ©ral du Met Giulio Gatti-Casazza envoie un tĂ©lĂ©gramme Ă  Puccini, après l'exĂ©cution de la Trittico :

« Très heureux d'annoncer le complet succès authentique du Trittico. À la fin de chaque opéra, de longues manifestations très sincères, plus de quarante chauds rappels. En dépit de l'avis public interdisant les rappels, l'aria de Lauretta étaient répété. Force principale Moranzoni magnifique. Farrar, Muzio, Easton, De Luca, Montesanto (it), Didur chanteurs et acteurs incomparables. La presse quotidienne confirme le succès en s'exprimant très favorablement sur la valeur des opéras pour Schicchi ».

Elle chante plusieurs autres premiers rĂ´les, y compris Aelfrida dans The King's Henchman de Deems Taylor, le et la Mère Tyl dans  L'oiseau bleu de Wolff. Elle est Ă©galement en vedette dans de nombreuses premières amĂ©ricaines, dont La cena delle beffe, Così fan tutte et Der Rosenkavalier. Son rĂ©pertoire comprend plus de 100 rĂ´les en 4 langues. Elle apparaĂ®t avec Chaliapine, basse de grande renommĂ©e, et aussi avec le cĂ©lèbre Enrico Caruso lors de sa dernière reprĂ©sentation, la veille de NoĂ«l 1920, quand elle  joue Rachel, et lui ÉlĂ©azar dans La Juive d'Halevy. En 1926, elle gagne 800 $ pour chaque reprĂ©sentation de Turandot. En 1929, elle chante sa dernière crĂ©ation pour le Metropolitan, la mise en scène de l'opĂ©ra de jazz Jonny spielt aufpar Otto Kahn. En , elle se rend en Europe pendant plusieurs mois, en s'amusant avec le produit de ses annĂ©es de chant avec seulement quelques courtes pauses. Toutefois, elle perd sa fortune dans le Krach de Wall Street de 1929.

En quinze jours, entre le 3 et le , elle chante le rĂ´le de Maddalena, dans La Gioconda d'Andrea ChĂ©nier, Rachel dans La Juive, Madame Butterfly et la MarĂ©chale dans Der Rosenkavalier. Il est surprenant qu'elle puisse gĂ©rer tout et dans un laps de temps relativement court, il est Ă©tonnant que les critiques soient Ă©logieuses sur presque tout. Ă€ bien des Ă©gards, Easton a beaucoup de choses en commun avec Lilli Lehmann. Ă€ force d'application, d'intelligence, de facilitĂ© musicale et de travail acharnĂ©, elle rĂ©ussit Ă  transformer une soprano lyrique lĂ©gère en un instrument dramatique capable non seulement de grimper les hauteurs wagnĂ©riennes, mais avec l'endurance nĂ©cessaire pour rester lĂ -haut du dĂ©but Ă  la fin de la saison.

Florence Easton est cĂ©lèbre pour sa capacitĂ© Ă  prendre une pièce inconnue Ă  8 heures du matin et Ă  l'exĂ©cuter parfaitement devant le public, 12 heures plus tard[8]. Souvent, elle est appelĂ©e au dernier moment pour remplacer certaines grandes soprano momentanĂ©ment indisponibles. Elle chante sa première Isolde sans une seule rĂ©pĂ©tition, appelĂ©e Ă  le faire Ă  l'heure dite. Dans le courant de la saison 1929, sa mĂ©moire lui fait dĂ©faut, et elle demande Ă  ĂŞtre libĂ©rĂ©e de son contrat[9]. Elle annonce qu'elle ne va plus chanter, et se retire dans une maison Ă  Hampstead, Ă  Londres. Elle Ă©pouse Stanley Roberts, un banquier New-yorkais de la direction de la Celanese Corporation of America et baryton, en 1931.

L'annĂ©e suivante, elle rĂ©apparaĂ®t et enregistre « BrĂĽnhilde » de Siegfried avec Lauritz Melchior, Ă  Covent Garden. Entre 1932 et 1935, elle vit en Angleterre, en chantant, Ă  Covent Garden, au Sadler's Wells Theatre et au Promenade Concerts sous la direction de Sir Henry Wood, avec l'Orchestre philharmonique de Londres sous la direction de Sir Thomas Beecham et avec l'Orchestre Symphonique de la BBC dans la première radiodiffusion mondiale. Son accompagnateur rĂ©gulier est Harold Craxton. Ă€ Covent Garden en 1932, elle joue Isolde dans Siegfried en face de Lauritz Melchior, le seul moment oĂą ils sont apparus ensemble. Elle est Tosca, une improbable Carmen, chante dans Elias de Mendelssohn donne des rĂ©citals de lieder et de chansons. Finalement, elle quitte l'Angleterre, en 1935, elle trouve qu'elle a perdu face Ă  la nouvelle sensation, Kirsten Flagstad, mais elle reste une grande admiratrice de la grande chanteuse norvĂ©gienne. Sa dernière apparition sur la scène de l'opĂ©ra est dans le rĂ´le de BrĂĽnhilde dans la Walkyrie, Ă  New York, le .

Dans une interview à New York en 1935, elle suggère que la raison de son absence au Metropolitan Opera : « C’était un accident lors d’une représentation de Carmen en Angleterre il y a un an qui m’a rendu indisponible pendant plusieurs mois l’an dernier. Déroulant les affres de la mort de Carmen, je me suis prise le talon dans la jupe de ma robe et je suis tombée directement sous le chemin rideau, me tordant la colonne vertébrale. Le public n'avait pas la moindre idée que Carmen, apparemment sans vie, était presque sans vie - et en fait, je l'aurais été deux minutes plus tard si je n'avais pas gardé suffisamment de conscience pour sortir du rideau descendant avec environ une tonne de fer pesant sur ma tête. Cependant, toutes ces choses doivent être prises dans la foulée »[10].

Une fois, Florence Easton est engagée pour chanter le rôle-titre dans Madame Butterfly à Washington, un lieu célèbre pour les lois sur le travail des enfants les plus strictes de toutes les villes du pays. Dolore, fils de Mme Butterfly qui n'apparaît que dans le dernier acte, est toujours recruté localement, un habile metteur en scène produit un nain. Personne ne l'a dit à Mme Easton, de peur qu'elle ne soit un peu délicate. Il est d'usage pour les enfants jouant Dolore d'être présentés à la soprano au premier entracte pour l'habituer au costume et au maquillage japonais.

Retraite et les dernières années

Florence prend sa retraite de la scène en 1939 ; sa dernière apparition avec orchestre est en 1942, lors d'une émission où elle chante des extraits de Tristan und Isolde à l'aide de ses propres traductions en anglais. Ensuite, elle enseigne en privé et à la Juilliard School of Music[4], et donne encore occasionnellement des récitals à New York. Sa dernière apparition a lieu à l' hôtel de Ville de New York, lors d'un récital en 1943. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle s'installe avec son mari à Montréal, Québec, Canada, et ils retournent à New York en 1950. Elle souffre de problèmes cardiaques et meurt le , à Montréal, âgée de 72 ans.

Enregistrements

Florence Easton fait plus de 100 enregistrements dans les annĂ©es 1920 et 1930. Elle enregistre pour les disques OdĂ©on, Eoliennes-Vocalion Records et pour Brunswick Records, initialement des enregistrements acoustiques, puis Ă©lectriques Ă  partir de 1926, qui couvrent l'opĂ©ra, l'opĂ©rette, les chants sacrĂ©s et les ballades populaires. Elle enregistre six Ă©lĂ©ments lyriques pour Edison Records (1927). L'un de ses plus importants enregistrements wagnĂ©riens est fait pour HMV en 1932 : « BrĂĽnhilde » de Siegfried[4] avec Lauritz Melchior (Covent Garden, 1932) « Heil dir Sonne! Heil dir Licht! ». En 1933, HMV enregistre six faces avec des Lieder et des chansons pour RCA Records, accompagnĂ© par Gerald Moore.

Florence Easton peut ĂŞtre entendue chanter sur le volume 2 de The EMI Record of Singing[11].

Discographie partielle

  • RĂ©cital 1921-1942 (Arias et chansons de Wagner, Verdi, Bizet, Gounod, Rimski-Korsakov, Puccini, Haydn, Wolf, Dvorak, Brahms, R. Strauss, Schumann. Chansons populaires AmĂ©ricaines et allemandes)
  • Claremont – Florence Easton; Absolue Soprano (Enregistrements 1918-1933/1939/1940)
  • Brunswick (label d'origine, re-diffusĂ© Ă  grande Ă©chelle par exemple par Marston & Symposum : Gianni Schicchi (Puccini) O mio babbino caro (CrĂ©atrice de l'enregistrement, qui, bien que magnifiquement chantĂ© prĂ©sente un des pires accents italiens des accents de n'importe quel grand chanteur dans l'enregistrement).
  • Marston – Wagner, Der Ring des Nibelungen (Le « Pot de l'Anneau ») Pearl – Lauritz Melchior Edition Vol. 5
  • Enregistrements hors studio comprennent deux extraits du concert Götterdämmerung au Lewisohn Stadium et 14 Ă©lĂ©ments (principalement des Lieder) Ă  partir d'un rĂ©cital Ă  la Juilliard School of Music () – International Record Collectors Club.
  • Trois extraits de Tristan (deux avec Arthur Carron plus le Liebestod), suivie de la Celanese Hour broadcast (1942).
  • RCA Victor 1705 - « My Laddie » - un enchanteur « Scotch love song » - avec des mots de la romanciee la Princesse AmĂ©lie Rives Troubetzkoy et de la musique de William Armour Thayer, un organiste de Brooklyn. Apparemment, publiĂ© en 1933.

Il y a deux enregistrements moins connus, réalisés par de Brunswick Records dans les années 1920, quand elle était dans ses débuts :

  • Laisse-moi… O nuit d'amour ! avec Mario Chamlee (Marguerite de Gounod Faust - Brunswick 1927)
  • Parigi o cara avec Mario Chamlee (Violetta Verdi' La traviata - Brunswick 1927)
  • Une compilation de 2 CD a Ă©tĂ© publiĂ© en 1997 par Claremont en Afrique du Sud (GSE 78-50-72/73) Ă  partir de l'original disques en gomme-laque.

Références et notes

Notes

  1. Ne pas confondre avec la soprano Florence Easton (1890s soprano) (en), chanteuse et actrice britannique qui a chanté avec la D'Oyly Carte ◊ Company au début des années 1890.
  2. De nombreuses biographies indiquent 1884 comme date de naissance incorrecte

Références

  1. (en-US) admin9480, « Florence Easton 1882-1955 », sur ArsLyrica.fr, (consulté le )
  2. (en) Harriette Brower, Vocal Mastery: Talks with Master Singers and Teachers, Comprising Interviews with Caruso, Farrar, Maurel, Lehmann, and Others, Good Press, (lire en ligne)
  3. (en) « Florence Easton », sur Opera-Arias.com (consulté le )
  4. « Florence Easton | The Canadian Encyclopedia », sur www.thecanadianencyclopedia.ca (consulté le )
  5. (en) Harriette Brower et James Francis Cooke, Great Singers on the Art of Singing, Courier Corporation, (ISBN 978-0-486-29190-1, lire en ligne)
  6. (en) Michael Scott, The Great Caruso, Knopf, (ISBN 978-0-394-53681-1, lire en ligne)
  7. (en) Musical Courier, Sept 1, 1921: 37.
  8. (en) The Musical Monitor, Mrs. David Allen Campbell, Publisher, (lire en ligne)
  9. (en) Opera News, Metropolitan Opera Guild, (lire en ligne)
  10. (en) Victoria Etnier Villamil, "O ma Carmen": Bizet's Fateful Gypsy in Portrayals from 1875 to the Present, McFarland, (ISBN 978-1-4766-6324-1, lire en ligne)
  11. OCLC 34907309

Sources

  • Francis Robinson, livret qui accompagne l'album du , diffusion de Madama Butterfly au Met.
  • K. J. Kutsch, Leo Riemens, GroĂźes Sängerlexikon, Unveränderte Auflage. K. G. Saur, Bern, 1993, Erster Band A–L, Sp. 1794/1795, (ISBN 3-907820-70-3)

Liens externes

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