Escanecrabe
Escanecrabe est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.
Escanecrabe | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Arseguet 2020-2026 |
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Code postal | 31350 | ||||
Code commune | 31170 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Escanécrabais | ||||
Population municipale |
232 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 16′ 26″ nord, 0° 44′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 340 m Max. 676 m |
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Superficie | 16,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Gaudens | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, le ruisseau Riou Pudé et par divers autres petits cours d'eau.
Escanecrabe est une commune rurale qui compte 232 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 852 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Escanécrabais ou Escanécrabaises.
Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune d'Escanecrabe se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 67 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 18 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Ciadoux (1,8 km), Castéra-Vignoles (2,4 km), Montgaillard-sur-Save (2,6 km), Montbernard (3,7 km), Mondilhan (4,0 km), Saint-Pé-Delbosc (4,2 km), Saman (4,6 km), Esparron (4,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Escanecrabe fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[4].
Les communes limitrophes sont Cassagnabère-Tournas, Castéra-Vignoles, Ciadoux, Esparron, Mondilhan et Montbernard.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 607 hectares ; son altitude varie de 340 à 676 mètres[5].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Save, le ruisseau Riou Pudé, le ruisseau de Caillole, le ruisseau de Gondes, le ruisseau de la garosse, le ruisseau de la Motte, le ruisseau de Maubaret, le ruisseau de Montfort, le ruisseau des Bernets, le ruisseau des Massips et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan (65) et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 46 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[14] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[15] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 42 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21] - [22] - [23].
Urbanisme
Typologie
Escanecrabe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [24] - [I 2] - [25]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,6 %), zones agricoles hétérogènes (36,3 %), forêts (16,4 %), prairies (10,7 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Accès par la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).
Voir aussi l'ancienne ligne de Toulouse à Boulogne-sur-Gesse.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Escanecrabe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Save. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[29] - [27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 130 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 130 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Toponymie
S'applique a un passage dangereux même pour les chèvres, qui risquent de tomber. Escanecrabe (éreintechèvre) : évocation de passages difficiles y compris pour les chèvres.
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Saint-Sabin-d'Escanecrabe, reçoit le nom de Escanecrabe[32] qu'elle a conservé jusqu'à aujourd'hui.
Ses habitants sont appelés les Escanécrabais.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[33] - [34].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Escanecrabe faisait partie de l'ex-canton de Boulogne-sur-Gesse et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du Boulonnais).
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2020, la commune comptait 232 habitants[Note 6], en augmentation de 1,31 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Escanecrabe fait partie de l'académie de Toulouse.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 104 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 230 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 200 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 4,2 % | 6,3 % | 8,6 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 128 personnes, parmi lesquelles on compte 68,8 % d'actifs (60,2 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 31,2 % d'inactifs[Note 8] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 10]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 56 en 2013 et 59 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 84, soit un indicateur de concentration d'emploi de 65,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,2 %[I 11].
Sur ces 84 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 82,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
16 établissements[Note 9] sont implantés à Escanecrabe au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 16 entreprises implantées à Escanecrabe), contre 25,9 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 33 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 28 en 2000 puis à 19 en 2010[44] et enfin à 16 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[45] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 061 ha en 1988 à 861 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 54 ha[44].
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- Casteras (de) Lignée de haute extraction espagnole originaire de Ciudad-Rodrigo et bras armé des Rois de Navarre depuis l'an 970. Cette famille eut de très nombreuses possessions en Armagnac, Comminges, Bigorre, Languedoc et Foix. Spoliée par la maison de l'île-Jourdain, la maison de Casteras se retrancha à la fin du XVe siècle sur ses terres d'Escanecrabe (Escanacrabe alors) qui fut son dernier fief. Parmi les membres éminents de cette lignée, figure le fameux d'Artagnan. Si Consistant adversum me castra non, temebit cormeum, telle est sa devise ; de gueules, au château d'argent, maçonné ouvert et ajouré de sable ;couronne de marquis à supports de deux licornes, telles sont ses armes.
Héraldique
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Son blasonnement est : D'azur à la chèvre grimpant sur des rochers, le tout d'argent, au chef cousu de gueules chargé de quatre épis de blé d'or. |
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Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Escanecrabe » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune d'Escanecrabe » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Escanecrabe » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Escanecrabe » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Escanecrabe » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Escanecrabe » (consulté le ).
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Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Escanecrabe et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escanecrabe et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Escanecrabe », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Escanecrabe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Save »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Escanecrabe - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).