Escandolières
Escandolières est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.
Escandolières | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Villefranche-de-Rouergue |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Rignacois |
Maire Mandat |
Christian Palayret 2020-2026 |
Code postal | 12390 |
Code commune | 12095 |
Démographie | |
Gentilé | Escandoliérois(e) |
Population municipale |
242 hab. (2020 ) |
Densité | 18 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 28′ 11″ nord, 2° 20′ 25″ est |
Altitude | Min. 294 m Max. 638 m |
Superficie | 13,5 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Rodez (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Enne et Alzou |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ttp://www.escandolieres.fr/ |
Géographie
Réseau hydrographique
La commune est drainée par le Riou Viou, le Riou Mort, le Ruisseau de la Bindouyre, le Riou Nègre, le ruisseau de Glassac et par divers petits cours d'eau[1].
Le Riou Viou, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune d'Escandolières et se jette dans le Riou Mort à Viviez, après avoir arrosé 9 communes[2].
Le Riou Mort, d'une longueur totale de 23,1 km, prend sa source dans la commune de Escandolières et se jette dans le Lot à Boisse-Penchot, après avoir arrosé 8 communes[3].
Le Ruisseau de la Bindouyre, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune d'Escandolières et se jette dans le Dourdou de Conques à Nauviale, après avoir arrosé 3 communes[4].
Gestion des cours d'eau
La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[5] - [6] - [7].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
|
La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau de la commune[11], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15] - [16] - [17].
Urbanisme
Typologie
Escandolières est une commune rurale[Note 2] - [18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,6 %), prairies (26,3 %), forêts (18,1 %)[20].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes du Pays Rignacois, dont la commune est membre[21].
La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[22].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Escandolières est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[23] - [24].
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[25].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz et une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune d'Escandolières est classée à risque moyen à élevé[27]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[28] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Toponymie
L'étymologie d'Escandolières serait liée à un terme occitan : escandola, du latin scandula qui désigne une variété d'orge ; d'où Las scandolièiras : des terres à orge.
Histoire
Une légende voudrait qu'il y eut une abbaye (à La Badie) avec des annexes spécialisées :
- Fabrègue : dans les travaux de fer et forge.
- L'Aussellerie : dans l'élevage des oiseaux.
- La Bombarderie : dans l'armurerie et les munitions.
- La Pourcellerie : dans l'élevage des porcs.
- Escandolières : dans l'élevage des abeilles et la fabrique des chandelles.
Moyen Âge
- 856 (septembre), don de la moitié de la villa de Fabrègues[30].
- 1001, Les terres de Molières sont cédées à l'abbaye de Conques.
- 1032-1060, Umbert de Belcastel donne à l'abbaye de Conques deux mas situés respectivement à Fabrègues et à l'Abadie. Leur cens est similaire (simile censum) : aux kalendes, deux sous, deux poules, deux setiers d'avoine, un mouton en mai, deux sous et un porc en août. Aujourd'hui les hameaux de Fabrègues et de l'Abadie sont à 1 500 m l'un de l'autre (Commune d'Escandolières)[30]
- 1372, Hugues Bernardi de Belpech ou Belpuech est seigneur d'Escandolières.
- 1534, la paroisse d'Escandolières est signalée dans le livre "L'épervier"
Époque contemporaine
- 1793, création de la commune d'« Escaudolières », le nom « Exaudoulières » est attesté aussi avant celui d'Escandolières[31].
- À la Révolution, le presbytère d'Escandolières est vendu comme bien national et acheté par M. Franques de Molières 600 livres, qui souhaita le rendre à sa destination première. Racheté par M. Gastal curé d'Escandolières jusqu'en 1828, revendu par lui-même à la commune.
- 1825, 30 juillet Fondation du premier conseil de fabrique d'Escandolières.
- 1830, absorption partielle des anciennes communes de Glassac (partagée avec Saint-Christophe-Vallon) et La Capelle (partagée avec Cassagnes-Goutrens)[31].
- 1831, création de la commune d'Escandolières à partir de la commune voisine d'Auzits, réunit les deux anciennes paroisses de St Denis d'Escandolières dépendante de l'évêque de Rodez et St Géraud de La Capelle del Vern dépendante de la paroisse de Goutrens[32].
- 1893, agrandissement de l'église.
- 1890, mise en place d'une grande croix en bois (13 mètres de haut) à la suite d'une mission donnée par le père Dalquié au carrefour de la route départementale. Le Christ a été acheté un peu plus tard, dans la même année que la petite croix de Triboulan.
- 1919, 21 décembre, fête des poilus. Une soixantaine de démobilisés fêtent solennellement leur retour dans les foyers.
- 1929 : Arrivée de l'électricité dans quelques maisons de la commune. Les derniers villages furent desservis au début des années 1960.
- 1930 : Arrivée de la première cabine téléphonique.
- 1930, avril, arrivée de l'électricité à Escandolières.
- 1932, Première voiture automobile (Peugeot 201) achetée par M. Lachet, instituteur, suivi par le curé Forestier et Palayret de Galadieu.
- 1936, 4 février, rattachement de l'Aussellerie à la paroisse d'Escandolières.
- 1936, 15 novembre, pose d'une plaque des morts de la guerre 14 -18 offerte par les anciens combattants. Mise en place d'une grille en fer forgé par M. CALMELS serrurier au GUA à la grande croix.
- 1946, octobre, création du Syndicat Intercommunal d'adduction d'eau potable Montbazens - Rignac.
- 1950, 8 septembre, rattachement du village du Mas à la paroisse d'Escandolières.
- 1985, 11 novembre, Inauguration du nouveau monument aux morts.
- 2005, 9 septembre, passage du Tour de l'avenir cycliste à Escandolières.
- 2006, 28 janvier importante chute de neige d'environ de 80 cm à 90 cm.
- 2007 mars, plantation d'arbres sur la place de la mairie après suppression du terrain de tennis devenu impraticable.
- 2007, 27 juin, départ vers un atelier spécialisé pour restauration du tableau de La Capelle del Vern représentant un moine Franciscain.
- 2008, 12 février, Début des travaux de restauration de la route 253 entre Escandolières et Triboulan.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Escandolières est membre de la communauté de communes du Pays Rignacois[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rignac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[33].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Enne et Alzou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[34].
- Escandolières dans l'intercommunalité en 2020.
- Escandolières dans le canton d'Enne et Alzou en 2020.
- Escandolières dans l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue en 2020.
Élections de 2020
Le conseil municipal d'Escandolières, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[35] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[36]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[37] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 75,51 %[38]. Christian Palayret, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [39].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[40]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes du Pays Rignacois[41].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].
En 2020, la commune comptait 242 habitants[Note 4], en augmentation de 7,08 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 98 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 218 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 050 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4,7 % | 7,9 % | 4,2 % |
Département[I 8] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 146 personnes, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (73,6 % ayant un emploi et 4,2 % de chômeurs) et 22,2 % d'inactifs[Note 6] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 53 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 109, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,2 %[I 11].
Sur ces 109 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 83,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
16 établissements[Note 7] sont implantés à Escandolières au [I 14]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 16 entreprises implantées à Escandolières), contre 12,4 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 42 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 32 en 2000 puis à 23 en 2010[49] et enfin à 20 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[50] - [Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 848 ha en 1988 à 938 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 47 ha[49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Point de vue : au-dessus d'Escandolières, sur la D189 en direction d'Auzits, superbe panorama jusqu'aux Monts d'Auvergne et à l'Aubrac, avec une très belle table d'orientation installée au bord, mais au-dessus de la route.
- Église Saint-Denis d'Escandolières : gothique, des XVe et XVIe siècles.
- Église Saint-Géraud de la Capelle del Vern.
- Église
- Point de vue de la table d'orientation
Bibliographie
- Frédéric de Gournay, Le Rouergue au tournant de l'an mil : de l'ordre carolingien à l'ordre féodal, IXe – XIIe siècle, Toulouse, CNRS, Université de Toulouse-Le Mirail, coll. « Méridiennes », , 512 p., couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 2-912025-16-8, ISSN 1297-8531, BNF 39266403)
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Rinhac : Anglars, Ausits, Bèl Castèl, Bornasèl, Gotrens,Las Candolièiras, Mairanh / Christian-Pierre Bedel et los estatjants del Rinhagués, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 230 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-04-1, ISSN 1151-8375, BNF 36652250)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Escandolières » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Escandolières » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Escandolières » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Escandolières » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Escandolières » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).
Autres sources
- « Fiche communale d'Escandolières », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le Riou Viou »
- Sandre, « le Riou Mort »
- Sandre, « le ruisseau de la Bindouyre »
- « EPAGE Aveyron amont », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
- « Aveyron amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- site officiel du SMB2
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Orthodromie entre Escandolières et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escandolières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escandolières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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- « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/ (consulté le )
- [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune d'Escandolières », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le )
- [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Transport de matières dangereuses », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
- [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
- « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Philippe Ducourant, Laure Fockembeghe et Christian Pfiser, Le patrimoine des communes de la Méridienne verte, Paris, Flohic, coll. « Le patrimoine des communes de France », , 1741 p., 2 vol. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 25 cm (ISBN 2-84234-101-5, ISSN 1272-4734, BNF 37676402)
- « communauté de communes du Pays Rignacois - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
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- Article L. 252 du Code électoral
- « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le )
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- « Résultats du 1er tour pour Escandolières », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le )
- « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
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