Curzay-sur-Vonne
Curzay-sur-Vonne est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Curzay-sur-Vonne | |||||
Le chĂąteau de Curzay-sur-Vonne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine du Grand Poitiers | ||||
Maire Mandat |
Rozenn Sénélas 2022-2026 |
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Code postal | 86600 | ||||
Code commune | 86091 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Curzéens | ||||
Population municipale |
383 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 46° 29âČ 30âł nord, 0° 02âČ 47âł est | ||||
Altitude | Min. 109 m Max. 159 m |
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Superficie | 16,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Lusignan | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée par la Vonne.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Menigoute_sapc », sur la commune de MĂ©nigoute, mise en service en 1950[7] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 959,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă 22 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Curzay-sur-Vonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (90,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (64,5 %), prairies (20,5 %), forĂȘts (9,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,1 %), zones urbanisĂ©es (2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Curzay-sur-Vonne est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Vonne et la ChaussĂ©e. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999, 2010 et 2011[22] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[23]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[25]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [26].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Curzay-sur-Vonne est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[27].
Toponymie
Le nom de Curzay-sur-Vonne est formé de deux toponymes gaulois :
- cor-ceton pour Curzay, qui signifie « petit bois » (cor signifie « petit » et ceton signifie « bois ») ;
- vidunna pour Vonne, qui signifie « riviĂšre de la forĂȘt » (vidunna est formĂ© de la base vidu- qui signifie « bois »).
Le nom de Curzay pourrait provenir, aussi, du nom du premier seigneur du site: Arnulfus de Cursiaco[28].
Avant 1945, le nom de la commune Ă©tait simplement Curzay. « sur Vonne » a Ă©tĂ© officiellement ajoutĂ© cette annĂ©e-lĂ afin d'Ă©viter les mĂ©prises avec Curçay, situĂ©e dans le mĂȘme dĂ©partement, et qui s'est alors nommĂ©e elle-mĂȘme « Curçay-sur-Dive ».
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour dâassises de la Vienne.
DĂ©mographie
Ses habitants sont appelĂ©s les CurzĂ©ens[30]. L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 383 habitants[Note 9], en diminution de 10,09 % par rapport Ă 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, selon lâInsee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 28 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France
Ăconomie
Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que douze exploitations agricoles en 2010 contre 22 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont chuté de 35 % et sont passées de 1 166 hectares en 2000 à 758 hectares en 2010. 43 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement), 31 % pour les oléagineux (colza), 11 % pour le fourrage et 10 % reste en herbes[35].
Trois exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un Ă©levage de bovins (165 tĂȘtes en 2010 contre 521 tĂȘtes en 2000). quatre exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un important Ă©levage de chĂšvres (3 250 tĂȘtes en 2010 contre 2 371 tĂȘtes en 2000)[35]. Câest un des troupeaux importants de caprins du dĂ©partement de la Vienne ( 74 500 tĂȘtes en 2011) qui est le deuxiĂšme dĂ©partement pour lâĂ©levage des chĂšvres derriĂšre le dĂ©partement des Deux-SĂšvres[36]. L'Ă©levage de moutons a connu une baisse importante : 710 tĂȘtes en 2000 rĂ©partis sur onze fermes contre 78 tĂȘtes en 2010 rĂ©partis sur trois fermes[35]. Cette Ă©volution est conforme Ă la tendance globale du dĂ©partement de la Vienne. En effet, le troupeau dâovins, exclusivement destinĂ© Ă la production de viande, a diminuĂ© de 43,7 % de 1990 Ă 2007[36]. L'Ă©levage de volailles est anecdotique : 291 tĂȘtes en 2000 sur dix fermes et 86 tĂȘtes en 2010 pour six exploitations[35].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le chĂąteau de Curzay :
Le chùteau est inscrit comme Monument Historique depuis 1927. Les façades et les toitures de l'aile sud des communs, la grange dimiÚre, la chapelle et le bùtiment situé à l'ouest de la grange, le sont depuis 1983.
- L'église de Saint-Martin de Curzay fut construite au tout début du XVIe siÚcle, trÚs probablement par Artus Ratault, seigneur de Curzay. à l'origine, c'était la chapelle funéraire des seigneurs de Curzay. Elle s'appelait Notre-Dame-de-Recouvrance. C'était une simple chapelle sans transept. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1925[37].
- La chapelle : Devenue trop petite du fait de l'accroissement de la population au XIXe siĂšcle, l'Ătat, en 1836, construisit une chapelle latĂ©rale, cĂŽtĂ© nord, dĂ©diĂ©e Ă la Vierge Marie. En 1838, la famille Duval de Curzay fait construire le pendant, cĂŽtĂ© sud, en y ajoutant le clocher que l'on voit de nos jours. Les deux chapelles forment ainsi le transept.
Au XXe siĂšcle, l'Ă©glise Ă©tait en trĂšs mauvais Ă©tat. Le Vicomte de Curzay proposa alors de construire une nouvelle Ă©glise en assurant lui-mĂȘme le financement des travaux. Les discussions avec l'administration des Monuments Historiques durĂšrent une bonne vingtaine d'annĂ©es. L'Ă©glise est classĂ©e Monument Historique en 1925. La solution retenue fut, alors, un agrandissement de l'Ă©difice classĂ©. Le vicomte avança les fonds en 1930 pour la rĂ©alisation des travaux qui ne furent, en fin de compte, jamais terminĂ©s, notamment le chĆur. C'est dans cette partie que s'installa en 1988 le musĂ©e du vitrail.
Le mobilier fut complÚtement rénové au début des années 1950. Les chaises disparurent au profit de bancs modernes. L'autel, le confessionnal, la croix au-dessus du retable, le couvercle des fonts baptismaux ainsi que le porte-cierge pascal furent réalisés par un artisan de la commune suivant les plans dessinés par dom Bercher de l'abbaye de Ligugé.
Au début des années 1980, les murs furent piquetés et enduits. Le confessionnal, autrefois dans la chapelle de la Vierge, remplaça le banc du chùteau. Ceci permit de mettre en valeur les fonts baptismaux du XIIe siÚcle situés dans la chapelle du clocher. Ils étaient autrefois, dans l'ombre, au fond de l'église prÚs du portail.
Le retable avec les anges date du XVIIe siÚcle, le Christ en croix et le fauteuil du célébrant sont du XVIIIe siÚcle.
Le plan de l'église à la forme d'une croix latine. La nef est formée de quatre travées de voûtes d'ogives de style flamboyant. Les nervures des voûtes retombent sur des culs-de-lampe figurés. Ils ont été décapités lors de la Révolution. Ceux qui étaient à la croisée du transept représentaient les quatre symboles des évangélistes, à savoir le lion pour Marc, le taureau pour Luc, le jeune homme pour Matthieu et l'aigle pour Jean.
La façade occidentale est surmontée d'un pignon qui supporte une élégante croix en fer forgé.
Le portail est formé de trois arcs à gorges et archivoltes. L'ensemble est orné de crochets, d'un fleuron et de pinacles sculptés.
- Le Musée du Vitrail :
Le MusĂ©e du Vitrail est lâune des rares structures consacrĂ©es au vitrail en France. Il est installĂ© dans une partie non-cultuelle de lâĂ©glise Saint-Martin de Curzay-sur-Vonne, dans la Vienne depuis 1988. Il est rattachĂ© Ă Grand Poitiers communautĂ© urbaine depuis janvier 2017.
Le MusĂ©e du Vitrail propose un Ă©clairage sur lâhistoire de cet art ancestral, les diffĂ©rentes techniques de fabrication et il met Ă lâhonneur le vitrail contemporain. Il valorise les Ćuvres et les artistes verriers dont la vision moderne du vitrail contribue Ă sa richesse et sa diversitĂ©. Il propose de dĂ©couvrir le vitrail dans ses dimensions historiques, artistiques et techniques Ă travers son parcours permanent, ses expositions temporaires et les actions mises en place dans son Atelier.
Le parcours permanent prĂ©sente, au rez-de-chaussĂ©e, une partie de la collection du MusĂ©e, des vitraux religieux mais Ă©galement civils du 15e siĂšcle Ă nos jours, oĂč murs didactiques et tactiles, vidĂ©os, tablettes participent Ă une scĂ©nographie pĂ©dagogique accessible pour chaque visiteur. Les expositions temporaires, installĂ©es Ă lâĂ©tage, proposent de dĂ©couvrir suivant une thĂ©matique annuelle donnĂ©e des crĂ©ations dâartistes verriers contemporains.
Le MusĂ©e du Vitrail, ouvert dâavril Ă novembre, propose des visites guidĂ©es tous les jours ouvrables Ă 15h, des audioguides en trois versions (adulte et enfant en français, et adulte en anglais), et pour le jeune public un espace ludique.
LâAtelier, situĂ© en face du MusĂ©e, ouvre ses portes toute lâannĂ©e et propose des ateliers adaptĂ©s suivant les publics accueillis (enfants dĂšs 3 ans, adultes, personnes en situation de handicap, scolaires), des stages adultes dâinitiation Ă la pratique du vitrail (technique traditionnelle au plomb) guidĂ©s par un vitrailliste professionnel, des temps dâĂ©changes, de dĂ©couverte et de dĂ©monstrations avec des artistes verriers, des rĂ©sidences dâartiste estivales.
Personnalités liées à la commune
- François Boleslas Casimir du Val de Chassenon ( - paroisse Saint-LĂ©onard, Nantes â - chĂąteau de Curzay-sur-Vonne), vicomte de Curzay, maire de Curzay, auditeur au Conseil d'Ătat, intendant de Fiume ( - 1810), sous-prĂ©fet de PloĂ«rmel, prĂ©fet des Deux-SĂšvres (), prĂ©fet des CĂŽtes-du-Nord (), prĂ©fet de la VendĂ©e (), prĂ©fet de Loire-InfĂ©rieure (), prĂ©fet d'Ille-et-Vilaine (), prĂ©fet de la Gironde (), dĂ©putĂ© de la Vienne (, , , ), gentilhomme ordinaire de la chambre de Charles X, officier de la LĂ©gion d'honneur (1826).
Voir aussi
Illustration filmée : le musée du Vitrail dans l'émission La Carte au trésor diffusée sur France 3 le 6 juillet 2009.
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Curzay-sur-Vonne », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes â Edition FLOHIC â 2002 â (ISBN 2-84234-128-7).
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste â Bulletin no 12 de mai 2013
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105449