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Culture Ă  Lille

Lille, ville principale de l'une des principales aires urbaines de France dispose d'une vie culturelle riche et diversifiée.

Braderie de Lille 2005, rue Faidherbe

Faits notables

Musées

Le Palais des beaux-arts

Le Palais des beaux-arts de Lille est considéré comme le second musée des beaux-arts de France en nombre d'œuvres exposées, après le palais du Louvre. Il contient une collection de peintures qui présente de nombreuses œuvres d'artistes majeurs, notamment Brueghel, Rubens, Antoine van Dyck, Francisco de Goya, Jacob Jordaens, Jean Siméon Chardin, Jacques Louis David, Eugène Delacroix, Gustave Courbet, Édouard Manet, Pablo Picasso. Il contient également un cabinet de dessins, une galerie de sculptures, une collection de céramiques, une quinzaine de plans en relief de villes fortifiées du nord de la France et de Belgique et une collection numismatique[1].

Situé rue de la Monnaie, dans le Vieux-Lille, l'Hospice Comtesse abrite également un musée consacré à la vie dans les Flandres du Moyen Âge à la Révolution. Il présente une collection de peintures, principalement flamandes, et de nombreux meubles et objets d'époque (céramiques, orfèvrerie lilloise, tapisseries, etc.)[2].

Installé dans un ancien couvent, rue des Canonniers, le musée des canonniers retrace l'histoire militaire de la ville et en particulier celle de ses nombreux sièges. Le musée présente des objets militaires mais aussi des témoignages de la vie quotidienne des canonniers sédentaires de la ville[3].

Fondé en 1816, le Muséum d'histoire naturelle de Lille présente quatre grandes collections : zoologique, géologique, industrielle et ethnographique. Il présente également en moyenne deux expositions temporaires par an[4].

La Maison natale de Charles de Gaulle, située rue Princesse, a été transformée en musée en 1983. Il comporte deux parties séparées par une cour-jardin : le logis familial et la « Fabrique d'histoire ». La première permet au visiteur de se situer à l'époque de la naissance de Charles de Gaulle ; la seconde, installée dans l'ancienne fabrique de tulle de son grand-père maternel, est aménagée en centre culturel[5].

À côté de ces collections permanentes, Lille possède plusieurs lieux d'expositions temporaires, comme le Tri Postal, le Palais Rameau, l'église Sainte-Marie-Madeleine, les Maisons Folies de Wazemmes et de Moulins ou, tout récemment, la Gare Saint-Sauveur.

Liste des musées

Il contient une collection de peintures qui présente de nombreuses œuvres d'artistes majeurs, notamment Brueghel, Rubens, Antoine van Dyck, Francisco de Goya, Jacob Jordaens, Jean Siméon Chardin, Jacques Louis David, Eugène Delacroix, Gustave Courbet, Édouard Manet, Pablo Picasso. Il contient également un cabinet de dessins, une galerie de sculptures, une collection de céramiques et une quinzaine de plans en relief de villes fortifiées du nord de la France et de Belgique.

Le musée de l'hospice Comtesse est consacré à la vie dans les Flandres du Moyen Âge à la Révolution. Il présente une collection de peintures et de nombreux objets d'époque. Le musée en lui-même est un bâtiment dont les origines remontent à 1237.

Installé dans un ancien couvent, le musée des canonniers retrace l'histoire militaire de la ville et en particulier celle de ses nombreux sièges. Le musée présente des objets militaires mais aussi des témoignages de la vie quotidienne des Canonniers Sédentaires de la ville.

Fondé en 1816, le musée d'histoire naturelle et de géologie présente 4 grandes collections : zoologique, géologique, industrielle et ethnographique. Il présente également en moyenne deux expositions temporaires par an.

Le Musée de l'Institut Pasteur retrace la vie et l'œuvre de Louis Pasteur, d'Albert Calmette et de Camille Guérin. Le bâtiment est un ancien dispensaire créé en 1901 par Albert Calmette.

Le musée comporte deux parties séparées par une cour-jardin : le logis familial et la "Fabrique d'histoire". La première permet au visiteur de se situer à l'époque de la naissance de Charles de Gaulle ; la seconde, installée dans l'ancienne fabrique de tulle de son grand-père maternel, est aménagée en centre culturel.

Situé dans la crypte moderne de la cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille, le Centre d'art sacré contemporain présente des œuvres de la collection Delaine sur le thème de la Passion.

  • L'ÉcomusĂ©e des Écoles Publiques de Lille

Situé dans l'ancienne école Récamier, au 4 de la rue Frédéric Mottez, il reconstitue une salle de classe des années 1930. Dans une pièce adjacente, la bibliothèque du musée contient une collection d'ouvrages d'école.

Bibliothèques

Médiathèque Jean Lévy

La médiathèque Jean Lévy

La mĂ©diathèque Jean LĂ©vy est le principal Ă©tablissement du rĂ©seau de bibliothèques de Lille. InaugurĂ©e en 1965 et rĂ©cemment rĂ©novĂ©e, c'est tout Ă  la fois une bibliothèque de lecture publique et de prĂŞt, une bibliothèque d'Ă©tude (650 000 documents imprimĂ©s et 11 000 titres pĂ©riodiques sont accessibles sur place) et une bibliothèque de conservation (manuscrits, incunables, livres anciens, photographies, estampes, affiches, etc.) Le fonds est notamment l'hĂ©ritier de la bibliothèque du chapitre de la collĂ©giale Saint-Pierre constituĂ©e Ă  partir du XIVe siècle. Il se caractĂ©rise aussi par des collections particulières comme le fonds musical, le fonds japonais et chinois, les fonds de biographies et portraits, d'Ă©tiquettes de fil, d'images pieuses et de chansons de carnaval[6]. La mĂ©diathèque Jean LĂ©vy assure Ă©galement la collecte du dĂ©pĂ´t lĂ©gal rĂ©gional qui recueille la production imprimĂ©e des dĂ©partements du Nord et du Pas-de-Calais.

Établissements municipaux

Le réseau de la bibliothèque municipale est complété par sept bibliothèques de quartier dont la première a été ouverte en 1971 et la dernière en 2003.

Les archives municipales sont par ailleurs accessibles à l'hôtel de ville, où une salle de lecture est mise à disposition. Elle possède un fonds qui s'étend du XIIIe siècle à nos jours et qui comprend en particulier des actes de catholicité et d'état-civil, des comptes rendus de conseils municipaux, des plans et cartes, des permis de construire.

Centre d'arts plastiques et visuels

Le Centre d'arts plastiques et visuels de la Ville de Lille dĂ©tient Ă©galement un fonds spĂ©cialisĂ© en arts plastiques, histoire de l'art, peinture, sculpture, dessin, arts graphiques, photographies et nouveaux mĂ©dias. Ce fonds documentaire met Ă  disposition plus de 3 000 ouvrages (monographies d’artistes du XIVe siècle Ă  nos jours, Ă©crits sur l’art, catalogues d’expositions, etc.), 42 titres de revues (revues spĂ©cialisĂ©es et magazines de l’actualitĂ© artistique) ainsi que 400 DVD (cinĂ©ma d’animation, documentaires, vidĂ©o art, etc.)

Théâtres et salles de spectacle

Le premier théâtre lillois, la Comédie, a été inauguré en 1702. Il possédait une troupe permanente et donnait quatre représentations hebdomadaires. En 1741, Voltaire y assistera à la première de Mahomet[7]. Jugé insuffisant, un édifice plus vaste, la nouvelle comédie, est construit sur les plans de l'architecte lillois Michel-Joseph Lequeux. Inauguré en 1787, il sera détruit par un incendie en 1903.

Le théâtre du Nord

Aujourd'hui, le Théâtre du Nord, centre dramatique national situé sur la Grand-Place, est installé dans un édifice érigé en 1717 qui servait alors de corps de garde pour la garnison de la ville. Réaménagé en 1989, il comprend une grande salle, la salle Roger Salengro, d'environ 460 places, une petite salle d'une centaine de places et une salle de répétition. Issu de l'équipe de « la Salamandre » de Gildas Bourdet, le théâtre du Nord a ensuite été dirigé par Daniel Mesguich de 1991 à 1998 puis par Stuart Seide[8].

Construit Ă  la veille de la Première Guerre mondiale, après l'incendie de la nouvelle comĂ©die, l'OpĂ©ra de Lille a Ă©tĂ© profondĂ©ment rĂ©novĂ© et modernisĂ© entre 1998 et 2004. DotĂ© d'une salle Ă  l'italienne, il comprend six loges d'avant-scène et quatre niveaux de galeries et propose 1 138 places. Il prĂ©sente chaque annĂ©e une quinzaine de spectacles du rĂ©pertoire lyrique, de danse et de musique. Il accueille Ă©galement des artistes en rĂ©sidence, dont le chĹ“ur de l'OpĂ©ra de Lille, qui participent Ă  la programmation[9].

Construit en 1903 et restaurĂ© en 1997 et 1998, le Théâtre SĂ©bastopol est la seconde grande scène de Lille avec 1 450 places qui lui permettent notamment d'accueillir des spectacles populaires, de théâtre ou d'opĂ©rette mais aussi de variĂ©tĂ©[10].

Plus récemment, en 2004, le théâtre Le Prato s'est installé dans la Filature, ancienne usine textile située dans le quartier de Moulin. Dirigée par Gilles Defacque, la troupe propose des one-man-show burlesques, mais également des pièces de théâtre plus complexes ainsi que des spectacles de cabarets et de variétés auxquels participent de nombreux artistes extérieurs[11].

La Barraca Zem c’est le théâtre jeune public de Lille. Un lieu multi-culturel où se croisent les arts du monde, théâtre, danses et musiques brésiliennes, capoeira, théâtre amateur, zumba, yoga, taï-chi, sophrologie, rencontres conviviales autour de la cuisine, du bien-être et rendez-vous brésilien[12].

Le Théâtre Massenet, situé dans le quartier de Fives, a pour mission première le soutien et l’accueil de création de théâtre contemporain, en proposant des résidences et des temps de représentation à des compagnies majoritairement émergentes. Ce lieu propose une programmation pour tous types de publics, d'âges, de milieux sociaux différents[13].

Le jeune public dispose aussi d'un lieu qui lui est dédié avec Le Grand Bleu, centre dramatique national pour l'enfance et la jeunesse qui propose des spectacles de théâtre, de danse, de cirque, de marionnettes, de hip-hop, etc.[14].

Lille possède également une école de théâtre, l'École professionnelle supérieure d'art dramatique (EPSAD)[15], créée en 2003, installée dans le quartier des Bois-Blancs et une école de cirque, le Centre régional des arts du cirque[16], situé à Lomme.

Lille compte par ailleurs de nombreuses salles de spectacle privĂ©es telles que le ZĂ©nith de Lille (7 000 places) ou encore l'AĂ©ronef et le Biplan, acteurs de la scène rock lilloise.

Musique

C'est au cours du XVIIIe siècle que le goût pour la musique connait une forte expansion à Lille. Elle est notamment marquée par la création de la Société du Concert par le duc de Boufflers en 1726, puis, à sa suite, par de nombreuses autres sociétés de concert[17].

Le Conservatoire National de RĂ©gion de Lille est l'hĂ©ritier de l'AcadĂ©mie de musique de Lille crĂ©Ă©e en 1803. Il a obtenu le label Conservatoire Ă  rayonnement rĂ©gional en 2006. AnimĂ© par une Ă©quipe de 120 enseignants, il accueille plus de 2 000 Ă©lèves et Ă©tudiants auxquels il dispense des cours de musique, de danse et d'art dramatique. DotĂ© d'un auditorium de 400 places, il donne des concerts tous les jeudis.

Les locaux de l'Orchestre National de Lille

Issu de l'ancien orchestre de l’ORTF Nord Pas-de-Calais, l'orchestre philharmonique de Lille, devenu Orchestre national de Lille en 1980, a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 1976 avec l'aide de la rĂ©gion par son directeur et chef d'orchestre principal, Jean-Claude Casadesus. L'orchestre compte près d'une centaine de musiciens et est logĂ© dans les bâtiments du Nouveau-Siècle Ă  Lille, oĂą il dispose d'un auditorium de 2 000 places. Il accueille Ă©galement des chefs d'orchestre invitĂ©s et des compositeurs en rĂ©sidence (Thierry Escaich, Bernard Cavanna, Bruno Mantovani, etc.) L'orchestre donne environ 120 concerts par an, dans toute la rĂ©gion, mais aussi en tournĂ©es nationales et internationales. Il est notamment l'auteur d'une importante discographie[18].

Dans un tout autre registre, une musique populaire typiquement lilloise voit le jour au début du XVIIIe siècle avec les chansons burlesques patoisantes de François Cottignies. Cette veine se développe considérablement au cours du XIXe siècle, de très nombreuses chansons étant composées, imprimées et vendues, soit par des sociétés amicales à l'occasion du carnaval, soit au bénéfice du Parti ouvrier lors des élections ou de mouvements de grève. Elle donnera naissance à une tradition de chansons ch'ti qui est restée vivace jusqu'au milieu du XXe siècle, parmi lesquelles le P'tit Quinquin d'Alexandre Desrousseaux, véritable hymne de la ville sonné toutes les heures par le carillon du beffroi de la chambre de commerce, reste la plus connue.

Enfin, bien qu'elle atteigne rarement à une notoriété nationale, la scène rock lilloise présente une certaine diversité, parfois héritière de la verve parodique de la musique populaire traditionnelle, avec des groupes comme Buzz, Gronibard, Hynner, Les Blaireaux, Les Fils de Sammy, Loudblast, Open Road, The Bilbocks, Curry & Coco, Stocks ou Unswabbed.

Liste des salles de spectacles

  • Le ZĂ©nith de Lille
  • Le Tri Postal, lieu de spectacle et d'exposition de 5 500 mètres carrĂ©s sur 3 niveaux
  • Le Théâtre du Nord
  • L’OpĂ©ra, théâtre « Ă  l’italienne », sis place du théâtre, bâtiment nĂ©o-classique (1907-1923 par Louis Marie Cordonnier)
  • Le Théâtre SĂ©bastopol
  • Les « Maisons Folies », issues de la manifestation culturelle « Lille 2004 Capitale europĂ©enne de la culture »
  • Le Grand Bleu, Établissement National de Production et de Diffusion Artistique tournĂ© principalement vers les publics jeunes (théâtre, danse, cirque, marionnettes, hip-hop…)
  • Le Prato, théâtre international de quartier
  • Le théâtre la Licorne, qui associe comĂ©diens et plasticiens
  • La Malterie, qui comprend une salle de spectacle et une salle d'exposition
  • Le Théâtre de la Verrière
  • Le Zem Théâtre
  • Le Grand Sud
  • Le Nouveau-Siècle (Auditorium)
  • Le ChapitĂ´
  • Le Splendid
  • L'AĂ©ronef
  • Théâtre du Casino Barrière
  • ComĂ©die de Lille
  • La BoĂ®te Ă  rire
  • Le Spotlight
  • La Barraca Zem, théâtre jeune public[12]
  • Le Théâtre Massenet, soutien et accueil de crĂ©ation de théâtre contemporain [13]

Scène lilloise

La scène lilloise est très active avec de nombreux groupes qui se produisent dans des salles de concerts comme l'Aéronef de Lille, le Splendid, La Malterie, …

Vie nocturne

Accueillant en ses murs de nombreux étudiants, Lille connait une vie nocturne bouillonnante. Autrefois partie intégrante de la culture ouvrière, la fréquentation des cafés et des bars est aujourd'hui essentiellement le fait des jeunes et des étudiants depuis que la plupart des usines ont mis la clé sous le paillasson. La bière (belge en premier lieu) est de loin la boisson la plus consommée sur les comptoirs lillois.

La vie nocturne lilloise peut être divisée en deux secteurs géographiques distincts :

  • Le secteur MassĂ©na-SolfĂ©rino dotĂ© d'une quantitĂ© impressionnante de bars et de cafĂ©s en tout genre et frĂ©quentĂ© par une population largement estudiantine.
  • Le Vieux-Lille avec des Ă©tablissements branchĂ©s voire gay-friendly et accueillant une population plus âgĂ©e.

Il y a relativement peu de discothèques à Lille, de nombreux jeunes préférant fréquenter les méga-dancings belges. L'agglomération lilloise connait ainsi tous les week-ends un véritable exode de sa jeunesse vers les clubs belges.

Gastronomie

La façade Art déco du restaurant L'Huitrière

La cuisine de la région montre plusieurs influences : cuisine flamande, cuisine au beurre d'influence picarde et normande, cuisine de la mer grâce à la proximité des côtes de la Mer du Nord ainsi que quelques héritages du voisin anglais.

Autrefois important centre brassicole avec de nombreuses marques locales présentes dans ses cafés (telles que Pelforth, Pélican, Semeuse ou Coq Hardi), Lille et ses environs n'accueillent quasiment plus de brasseries sur son territoire. La plupart ont soit fermé leurs portes dans les années 1970 et 80, soit été englouties dans un grand groupe tel Pelforth dans Heineken. Des brasseries artisanales existent toujours ou ont été créées dans les environs de Lille mais la consommation de leurs productions reste marginale. La culture de la bière reste néanmoins fortement ancrée dans les mœurs lilloises même si la majeure partie de la production brassicole consommée dans les cafés ou à domicile est d'origine belge, alsacienne ou néerlandaise. Ainsi, trois plats régionaux accompagnent et, parfois, utilisent la bière :

Le petit salé lillois, équivalent du potjevleesch réalisé uniquement à base de maigre de jambon, et les moules-frites, plat obligé de la grande braderie de Lille, font également partie du patrimoine culinaire de la ville.

Parmi les fromages, Lille compte une spécialité avec le vieux-lille, fromage à pâte molle à croûte lavée proche du maroilles.

La pâtisserie Méert, où Madame de Gaulle mère aimait, dit-on, acheter ses gaufres lilloises

De nombreuses sucreries sont réalisées à base de vergeoise, qu'il s'agisse de la tarte au sucre, des gaufres fourrées ou des babeluttes de Lille.

Comme dans le reste de la région, la consommation de café est très importante tout au long de la journée. Il existe toujours diverses marques locales ainsi que de petites entreprises de torréfaction à Lille et dans ses environs.

La liqueur traditionnelle est le genièvre, autrefois massivement consommé dans les estaminets. Il est aujourd'hui encore distillé dans les villes voisines de Loos et de Wambrechies. Le genièvre était parfois mélangé au café, donnant alors une "bistouille".

En corollaire à la résurgence de la culture régionale et à la mise en valeur du patrimoine historique local depuis une dizaine d'années, de nombreux restaurants régionaux et estaminets ont ouvert leurs portes afin de profiter de cette vague régionaliste. Mais à côté de ces nombreux restaurants et estaminets qui proposent notamment des spécialités régionales, Lille compte aussi quelques grandes tables qui, sans en faire une capitale gastronomique, contribuent à élargir l'étendue de la gastronomie locale. En 2009, deux restaurants lillois sont crédités d'une étoile au guide Michelin (Philippe Lor pour l'Huîtrière et Jean-Luc Germond pour le Sébastopol[19]).

Liste des spécialités

Folklore

Traditionnel :

Plus récemment :

Notes et références

Liens externes

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