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Coquainvilliers

Coquainvilliers est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Calvados en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 844 habitants[Note 1].

Coquainvilliers
Coquainvilliers
Église de Coquainvilliers et maison augeronne.
Blason de Coquainvilliers
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lisieux Normandie
Maire
Mandat
Evelyne Le Barbier
2020-2026
Code postal 14130
Code commune 14177
DĂ©mographie
Gentilé Coquainvillais
Population
municipale
844 hab. (2020 en diminution de 2,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 71 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 11â€Č 56″ nord, 0° 12â€Č 40″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 146 m
Superficie 11,90 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lisieux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pont-l'ÉvĂȘque
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Coquainvilliers
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Coquainvilliers
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Coquainvilliers

    GĂ©ographie

    Le territoire, situĂ© Ă  quelques kilomĂštres au nord de Lisieux, est traversĂ© par la route dĂ©partementale no 48 reliant Lisieux et Pont-l'ÉvĂȘque (route dite basse Ă  l'ouest de la Touques) et par la RD 270 reliant Coquainvilliers Ă  la RD 45 qui la borde Ă  l'ouest (Lisieux-Villers-sur-Mer, passant par le bourg voisin de Manerbe). Coquainvilliers est au croisement de la vallĂ©e de la Touques et du val du PrĂ© d'Auge, son affluent. Le GR 26 passe par Coquainvilliers.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 779 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lisieux_sapc », sur la commune de Lisieux, mise en service en 1994[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 892,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et Ă  20 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Coquainvilliers est une commune rurale[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lisieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 57 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (88,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (71,9 %), terres arables (10,2 %), forĂȘts (7,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (4,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,7 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Cauquainvilla en 1172[23] - [24], Cauquenviler en 1197[23], Chaukainviler[23] et Cauquainvilliers[24] en 1198 et Couquainviller en 1319[23]. Il serait issu d'un anthroponyme germanique tel que Gaugenus[23] - [25] ou le féminin Gaugina[24]. L'élément Villiers est issu du gallo-roman villare (voire ici tardivement de villa si l'on considÚre la forme de 1172).

    Le gentilé est Coquainvillais[26].

    Histoire

    Coquainvilliers a été le domaine de la marquise de Prie, dont le manoir, en ruines, subsiste dans les herbages de la vallée, à faible distance du bourg.

    Paul Cornu, marchand de cycles à Lisieux, a été le premier homme à y avoir décollé à bord d'un hélicoptÚre de sa fabrication, le . Un lycée professionnel de cette ville porte son nom.

    HĂ©raldique

    Armes de Coquainvilliers

    Les armes de la commune de Coquainvilliers se blasonnent ainsi :
    de gueules aux trois cƓurs de lys d’or[27].

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 janvier 1985 Pierre Levasseur SE Chef d’entreprise
    1989 mars 2008 Michel Picot[28] SE Fonctionnaire Sécurité sociale
    mars 2008[29] mars 2014 Yves Victor SE Retraité de l'enseignement
    mars 2014[30] En cours Évelyne Le Barbier SE SecrĂ©taire-comptable
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[31].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 844 habitants[Note 9], en diminution de 2,54 % par rapport Ă  2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    717719713670605606593584535
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    487446458455526530536485422
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    373381339358390425416412414
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    415427523669712765723809852
    2015 2020 - - - - - - -
    867844-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • GĂźtes de sĂ©jour et chambres d'hĂŽtes.
    • Cidrerie et distillerie de calvados, marque de tradition Boulard, anciennement restaurant oĂč l'on mange dans des tonneaux. MĂȘme groupe que le PĂšre Magloire Ă  Pont-l'ÉvĂȘque. SociĂ©tĂ© crĂ©Ă©e au XIXe siĂšcle (lieu-dit le Moulin).
    • Fabrication de palettes (groupe PGS, ex-sociĂ©tĂ© Perurena).
    • Transformateur EDF.
    • Transport collectif mis Ă  disposition des habitants.
    • En 1936 existait encore une briqueterie au lieu-dit Goulafre[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Fontaine vouĂ©e Ă  saint Martin.
    • Le manoir du Pontif fait l’objet d’une inscription au titre des Monuments historiques depuis le 4 juillet 2005[37].
    • Église Saint-Martin, du XVIIe siĂšcle, implantĂ©e sur un promontoire Ă©levĂ© dominant la vallĂ©e de la Touques. Clocher normand d'ardoises Ă  tour carrĂ©e et flĂšche Ă  couverture octogonale. L'Ă©glise est illuminĂ©e le soir. Elle abrite une grande cloche nommĂ© Louise Adrienne et une petite cloche nommĂ©e Marie CĂ©lestine Augustine, fondues vers 1867-1868 par les Établissements Louis BollĂ©e au Mans (Sarthe), une poutre de toiture en bois avec forme en T et un maĂźtre-autel avec retable baroque. La charpente est datĂ©e de 1686.
    • Le manoir de la marquise de Prie, abandonnĂ©, est situĂ© dans un herbage auprĂšs de la Touques. En 1832, selon le cadastre, il appartenait Ă  monsieur Devilliers et comportait plusieurs bĂątiments.
    • Illuminations de NoĂ«l.
    • Maisons augeronnes Ă  pans de bois.
    • La mairie.
      La mairie.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Église Saint-Martin.
      Église Saint-Martin.
    • Vue du village.
      Vue du village.

    Jumelages

    Label

    La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[38].

    Activité

    • PĂȘche protĂ©gĂ©e dans la Touques (truites de mer
).
    • Visite et dĂ©couverte de la ferme d’Argentel, Ă©levage de porc de Bayeux (race normande patrimoniale ancienne). Élevage en plein air ayant reçu le premier prix de l’agrobiodiversitĂ© animale dĂ©cernĂ© par la fondation du patrimoine au Salon international de l’agriculture de Paris 2019

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Peulevey (1815 Ă  Coquainvilliers - 1885), avocat, homme politique, dĂ©putĂ© du Havre, dont le frĂšre ThĂ©odule sera maire de Lisieux.
    • Paul Cornu (1881-1944), inventeur et aviateur, dont le lycĂ©e professionnel de Lisieux porte le nom. Il est le premier Ă  avoir fait dĂ©coller un hĂ©licoptĂšre de sa fabrication Ă  Coquainvilliers, le . Paul Cornu (alors ĂągĂ© de 26 ans) effectue le premier dĂ©collage vertical d’un engin motorisĂ© sans Ă©lan. Une semaine plus tard, il recommencera l’expĂ©rience avec une machine amĂ©liorĂ©e pesant 330 kg. Cette fois-ci, il est Ă  bord, mais, fort de l’expĂ©rience du 13 novembre, a pris soin d’amarrer l’engin avec de fortes cordes. Il meurt sous les bombes des AlliĂ©s Ă  62 ans en 1944.
    • Philippe TrouvĂ© (1936-2005), peintre et poĂšte, y a installĂ© un atelier

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Lisieux_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Coquainvilliers et Lisieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Lisieux_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Coquainvilliers et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 981
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    25. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des ßles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 132
    26. « La question bĂȘte. Les Coquainvillais sont-ils des coquins ? », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le )
    27. « GASO, la banque du blason - Coquainvilliers Calvados » (consulté le )
    28. « Michel Picot ne sollicitera pas un nouveau mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    29. « Yves Victor a été élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    30. « Évelyne Le Barbier Ă©lue maire Ă  l'unanimitĂ© », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le )
    31. « Coquainvilliers (14130) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Recensement 1936 de Coquainvilliers, vues 30 Ă  32.
    37. « Manoir du Pontif », notice no PA14000052, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
    38. « PalmarÚs du concours des villes et villages fleuris » (consulté le )

    Bibliographie

    Liens externes

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