Coquainvilliers
Coquainvilliers est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 844 habitants[Note 1].
Coquainvilliers | |
Ăglise de Coquainvilliers et maison augeronne. | |
HĂ©raldique |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Calvados |
Arrondissement | Lisieux |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Lisieux Normandie |
Maire Mandat |
Evelyne Le Barbier 2020-2026 |
Code postal | 14130 |
Code commune | 14177 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Coquainvillais |
Population municipale |
844 hab. (2020 ) |
Densité | 71 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 49° 11âČ 56âł nord, 0° 12âČ 40âł est |
Altitude | Min. 22 m Max. 146 m |
Superficie | 11,90 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Lisieux (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Pont-l'ĂvĂȘque |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
Le territoire, situĂ© Ă quelques kilomĂštres au nord de Lisieux, est traversĂ© par la route dĂ©partementale no 48 reliant Lisieux et Pont-l'ĂvĂȘque (route dite basse Ă l'ouest de la Touques) et par la RD 270 reliant Coquainvilliers Ă la RD 45 qui la borde Ă l'ouest (Lisieux-Villers-sur-Mer, passant par le bourg voisin de Manerbe). Coquainvilliers est au croisement de la vallĂ©e de la Touques et du val du PrĂ© d'Auge, son affluent. Le GR 26 passe par Coquainvilliers.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lisieux_sapc », sur la commune de Lisieux, mise en service en 1994[9] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 892,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et Ă 20 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Coquainvilliers est une commune rurale[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lisieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 57 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (88,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (71,9 %), terres arables (10,2 %), forĂȘts (7,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (4,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,7 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Cauquainvilla en 1172[23] - [24], Cauquenviler en 1197[23], Chaukainviler[23] et Cauquainvilliers[24] en 1198 et Couquainviller en 1319[23]. Il serait issu d'un anthroponyme germanique tel que Gaugenus[23] - [25] ou le féminin Gaugina[24]. L'élément Villiers est issu du gallo-roman villare (voire ici tardivement de villa si l'on considÚre la forme de 1172).
Histoire
Coquainvilliers a été le domaine de la marquise de Prie, dont le manoir, en ruines, subsiste dans les herbages de la vallée, à faible distance du bourg.
Paul Cornu, marchand de cycles à Lisieux, a été le premier homme à y avoir décollé à bord d'un hélicoptÚre de sa fabrication, le . Un lycée professionnel de cette ville porte son nom.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune de Coquainvilliers se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[31].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].
En 2020, la commune comptait 844 habitants[Note 9], en diminution de 2,54 % par rapport Ă 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
- Gßtes de séjour et chambres d'hÎtes.
- Cidrerie et distillerie de calvados, marque de tradition Boulard, anciennement restaurant oĂč l'on mange dans des tonneaux. MĂȘme groupe que le PĂšre Magloire Ă Pont-l'ĂvĂȘque. SociĂ©tĂ© crĂ©Ă©e au XIXe siĂšcle (lieu-dit le Moulin).
- Fabrication de palettes (groupe PGS, ex-société Perurena).
- Transformateur EDF.
- Transport collectif mis Ă disposition des habitants.
- En 1936 existait encore une briqueterie au lieu-dit Goulafre[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Fontaine vouée à saint Martin.
- Le manoir du Pontif fait lâobjet dâune inscription au titre des Monuments historiques depuis le 4 juillet 2005[37].
- Ăglise Saint-Martin, du XVIIe siĂšcle, implantĂ©e sur un promontoire Ă©levĂ© dominant la vallĂ©e de la Touques. Clocher normand d'ardoises Ă tour carrĂ©e et flĂšche Ă couverture octogonale. L'Ă©glise est illuminĂ©e le soir. Elle abrite une grande cloche nommĂ© Louise Adrienne et une petite cloche nommĂ©e Marie CĂ©lestine Augustine, fondues vers 1867-1868 par les Ătablissements Louis BollĂ©e au Mans (Sarthe), une poutre de toiture en bois avec forme en T et un maĂźtre-autel avec retable baroque. La charpente est datĂ©e de 1686.
- Le manoir de la marquise de Prie, abandonné, est situé dans un herbage auprÚs de la Touques. En 1832, selon le cadastre, il appartenait à monsieur Devilliers et comportait plusieurs bùtiments.
- Illuminations de Noël.
- Maisons augeronnes Ă pans de bois.
- La mairie.
- Le monument aux morts.
- Ăglise Saint-Martin.
- Vue du village.
Jumelages
- Creech St Michael (en) (Royaume-Uni) depuis 1995, comté du Somerset, 2 400 habitants.
Label
La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[38].
Activité
- PĂȘche protĂ©gĂ©e dans la Touques (truites de merâŠ).
- Visite et dĂ©couverte de la ferme dâArgentel, Ă©levage de porc de Bayeux (race normande patrimoniale ancienne). Ălevage en plein air ayant reçu le premier prix de lâagrobiodiversitĂ© animale dĂ©cernĂ© par la fondation du patrimoine au Salon international de lâagriculture de Paris 2019
Personnalités liées à la commune
- Louis Peulevey (1815 à Coquainvilliers - 1885), avocat, homme politique, député du Havre, dont le frÚre Théodule sera maire de Lisieux.
- Paul Cornu (1881-1944), inventeur et aviateur, dont le lycĂ©e professionnel de Lisieux porte le nom. Il est le premier Ă avoir fait dĂ©coller un hĂ©licoptĂšre de sa fabrication Ă Coquainvilliers, le . Paul Cornu (alors ĂągĂ© de 26 ans) effectue le premier dĂ©collage vertical dâun engin motorisĂ© sans Ă©lan. Une semaine plus tard, il recommencera lâexpĂ©rience avec une machine amĂ©liorĂ©e pesant 330 kg. Cette fois-ci, il est Ă bord, mais, fort de lâexpĂ©rience du 13 novembre, a pris soin dâamarrer lâengin avec de fortes cordes. Il meurt sous les bombes des AlliĂ©s Ă 62 ans en 1944.
- Philippe Trouvé (1936-2005), peintre et poÚte, y a installé un atelier
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lisieux_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Coquainvilliers et Lisieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lisieux_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Coquainvilliers et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 981
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des ßles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 132
- « La question bĂȘte. Les Coquainvillais sont-ils des coquins ? », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le )
- « GASO, la banque du blason - Coquainvilliers Calvados » (consulté le )
- « Michel Picot ne sollicitera pas un nouveau mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Yves Victor a été élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Ăvelyne Le Barbier Ă©lue maire Ă l'unanimitĂ© », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le )
- « Coquainvilliers (14130) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Recensement 1936 de Coquainvilliers, vues 30 Ă 32.
- « Manoir du Pontif », notice no PA14000052, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- « PalmarÚs du concours des villes et villages fleuris » (consulté le )
Bibliographie
- Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 4 : Arrondissement de Pont-l'ĂvĂȘque, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 449-455