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Complément d'objet indirect

Dans la syntaxe traditionnelle de certaines langues, le complĂ©ment d’objet indirect (COI), appelĂ© aussi complĂ©ment indirect ou objet indirect[1] est un constituant de la phrase simple ou de la proposition membre d’une phrase complexe, difficile Ă  dĂ©finir, Ă  cause de son caractĂšre hĂ©tĂ©rogĂšne du point de vue de la forme et de son contenu[2] - [3]. Il a des dĂ©finitions diffĂ©rentes dans des grammaires de diverses langues, mais aussi dans celles d’une mĂȘme langue, en fonction de plusieurs points de vue : sĂ©mantique, morphologique et structurel[2]. Certaines grammaires, mĂȘme traditionnelles, ne prennent pas en compte un tel complĂ©ment[4].

L’une des dĂ©finitions gĂ©nĂ©rales du COI est donnĂ©e par contraste avec celle du complĂ©ment d'objet direct (COD). Alors que celui-ci est impliquĂ© dans l’action en tant qu’objet sur lequel s’exerce cette action, le COI y est lui aussi impliquĂ©, mais en tant qu’objet en liaison avec lequel l’action est effectuĂ©e[5].

Selon une autre définition générale, qui part du sens du verbe régissant, également en contraste avec la définition du COD, qui complÚte le sens des verbes transitifs directs, le COI complÚte le sens des verbes transitifs indirects, sauf dans le cas des verbes ayant le sens de « donner » et de « dire », qui sont ditransitifs, pouvant avoir les deux types de compléments[6].

Dans des grammaires du français, le COI est dĂ©fini toujours en contraste avec le COD, mais d’un point de vue structurel. Leurs dĂ©nominations sont prises Ă  la lettre, c’est-Ă -dire le COD est celui qui est reliĂ© Ă  son rĂ©gissant sans prĂ©position, s’il est exprimĂ© par un nom ou un pronom disjoint, alors que le COI y est connectĂ© par une prĂ©position, sauf s’il est exprimĂ© par un pronom conjoint[1].

Une autre dĂ©finition structurelle est formulĂ©e Ă©galement par contraste avec le COD, du moins dans des grammaires de langues dans lesquelles le verbe peut ĂȘtre Ă  la voix passive. Le COD d’un verbe actif peut ĂȘtre sujet lorsque le verbe devient passif, ce qui n’est pas le cas du COI[7] - [2].

Le COI peut ĂȘtre plus facilement dĂ©limitĂ© du COD, du complĂ©ment d'agent et de certains complĂ©ments circonstanciels, que de certains autres complĂ©ments considĂ©rĂ©s comme circonstanciels, et ce en prenant en compte tous les traits sĂ©mantiques, morphologiques et structurels qu’on peut lui trouver. Certains linguistes mettent mĂȘme en doute l’utilitĂ© de le dĂ©limiter[8].

Les régissants du COI

Le COI peut dĂ©terminer tout d’abord un verbe. Celui-ci peut ĂȘtre transitif indirect. Exemples :

  • (fr) La grĂȘle a nui aux rĂ©coltes[9] ;
  • (en) This occurred to me « Cela m’est arrivĂ© (Ă  moi) »[2] ;
  • (ro) Opinia dumitale contravine realității « Votre opinion contrevient Ă  la rĂ©alitĂ© »[10] ;
  • (sr) Nisam mislio na vas « Je n’ai pas pensĂ© Ă  vous »[6].

Le verbe rĂ©gissant peut aussi ĂȘtre ditransitif, et alors le COI se trouve en prĂ©sence d’un COD. Dans ce cas, la tradition scolaire française parle de complĂ©ment d'objet second (COS) :

  • (fr) donner une pomme Ă  un enfant[1] ;
  • (en) John gave Mary the book « John a donnĂ© le livre Ă  Mary »[2] ;
  • (ro) Se va atribui cuiva un premiu de consolare? « Attribuera-t-on Ă  quelqu’un un prix de consolation ? »[10] ;
  • (cnr) Izdala je sobu dvjema studentkinjama « Elle a louĂ© une chambre Ă  deux Ă©tudiantes »[11].

En fonction du sens du verbe, le COI peut ĂȘtre essentiel, c’est-Ă -dire indispensable pour que la phrase soit correcte (ex. L’accident rĂ©sulte de votre imprĂ©voyance[12], donner une pomme Ă  un enfant), ou non essentiel : J’ai cueilli des fleurs pour vous[1].

Nature des mots exprimant le COI

Dans la plupart des cas, le COI est exprimĂ© par un mot de nature nominale, c’est-Ă -dire un nom, un mot substantivĂ© (adjectif, numĂ©ral) ou un pronom :

  • (fr) Les cambrioleurs ont profitĂ© de mon absence, J’ai cueilli des fleurs pour vous[1] ;
  • (en) The man bought the woman a diamond ring « L’homme a achetĂ© une bague Ă  diamant pour la femme », We send you a cheque « Nous t’/vous envoyons un chĂšque »[13] ;
  • (ro) I-a adus apă bunicii « Il/Elle a apportĂ© de l’eau Ă  grand-mĂšre », Li s-a spus la amĂąndoi să vină « On a dit Ă  tous les deux de venir », Și-a amintit de tine « Il/Elle s’est souvenu de toi »[14] ;
  • (sr) Sve zavisi od rezultata « Tout dĂ©pend du rĂ©sultat », ViĆĄe ga se ne plaĆĄim « Je n’ai plus peur de lui »[6].

Plus rarement, le COI est une forme nominale du verbe. En français et en anglais, c’est en gĂ©nĂ©ral l’infinitif : (fr) Elle se force Ă  manger[15].

En roumain, l’infinitif est rarement utilisĂ© en tant que COI, et il est toujours remplaçable par une proposition subordonnĂ©e COI, ex. M-am săturat a vorbi degeaba « J’en ai assez de parler en vain ». Par contre, le gĂ©rondif est plus frĂ©quent dans cette fonction : Nu mă mai satur citind « Je n’en ai jamais assez de lire ». Une autre forme nominale, appelĂ© supin, Ă©quivalente en français Ă  l’infinitif avec la prĂ©position Ă , peut Ă©galement ĂȘtre COI : M-am apucat de făcut conserve « Je me suis mis(e) Ă  faire des conserves »[3].

Parmi les langues standard issues du Serbo-croate (bosnien, croate, montĂ©nĂ©grin et serbe, abrĂ©gĂ©es BCMS), le croate ressemble au français par sa prĂ©fĂ©rence pour l’infinitif COI, alors que le serbe, comme le roumain, prĂ©fĂšre la subordonnĂ©e correspondante. Cependant, ces prĂ©fĂ©rences ne sont exclusives ni en croate ni en serbe : Spremao se dočekati (infinitif) goste vs. Spremao se da dočeka (verbe Ă  l’indicatif prĂ©sent) goste « Il/Elle se prĂ©parait Ă  recevoir des invitĂ©s »[16].

À la diffĂ©rence des autres langues mentionnĂ©es ici, en roumain, le COI peut ĂȘtre exprimĂ© par un adjectif possessif aussi : Ați complotat contra mea « Vous avez complotĂ© contre moi »[3].

Structures Ă  COI

Sans préposition

Dans les langues qui présentent un degré relativement élevé de synthétisme, ayant une déclinaison, le COI est souvent au cas datif sans préposition :

  • (ro) Gheorghe scrie Mariei « Gheorghe Ă©crit Ă  Maria », Vă povestesc totul « Je vous raconte tout »[10] ;
  • (cnr) Zahvaljujemo svim dobročiniteljima « Nous remercions tous les bienfaiteurs »[5] - [17], (sr) Ne prija mi sladoled « La glace ne me fait pas du bien »[6].

Dans une langue comme le français, qui n’a plus de dĂ©clinaison, seuls les pronoms personnels conjoints peuvent ĂȘtre des COI sans prĂ©position, dont ceux qui ont des formes diffĂ©rentes de celles qu’ils ont en fonction de sujet, sont des vestiges de la dĂ©clinaison : Un malheur m’est arrivĂ©, Une idĂ©e lui est venue[18].

Dans des langues comme BCMS, le COI sans prĂ©position peut ĂȘtre Ă  d’autres cas que le datif :

  • au gĂ©nitif : (sr) Seti se obećanja « Souviens-toi de ta promesse »[6] ;
  • Ă  l’instrumental : (cnr) Bavi se naučnim radom « Il/Elle s’occupe de travail scientifique »[19].

Avec préposition

Dans les langues ayant un degrĂ© relativement rĂ©duit de synthĂ©tisme, sans dĂ©clinaison, les prĂ©positions sont le moyen principal de formation du COI avec des mots de nature nominale, sauf les pronoms conjoints. Le français est une langue dans laquelle c’est toujours le cas : nuire Ă  son prochain, Je compte sur vous[1].

En roumain, langue plus synthĂ©tique que le français et moins synthĂ©tique que BCMS, beaucoup de COI sont construits avec diverses prĂ©positions, surtout avec des mots au cas accusatif qui, en fait, ne se distingue que trĂšs rarement par sa forme du cas nominatif, ce qui rapproche les constructions en cause de celle du français : Am primit scrisoare de la părinți « J’ai reçu une lettre de mes parents », M-am adresat către director « Je me suis adressĂ©(e) au directeur », Copilul seamănă cu mama « L’enfant ressemble Ă  sa mĂšre », Și-a amintit de tine « Il/Elle s’est souvenu de toi »[20]. Plus rares, il y a aussi des COI au cas gĂ©nitif avec prĂ©position : Nevoile s-au abătut asupra casei lor « Les malheurs se sont abattus sur leur maison »[14].

En BCMS il y a aussi des COI avec prĂ©position, au cas gĂ©nitif [(sr) Sve zavisi od rezultata « Tout dĂ©pend du rĂ©sultat »[6]], Ă  l’accusatif [(cnr) Ljutim se na vas « Je suis fĂąchĂ© contre vous »[21]], Ă  l’instrumental [(sr) Nastavićemo s veĆŸbama « Nous allons continuer avec des exercices »[6]] ou au locatif : (bs) O vama će se puno pisati « On Ă©crira beaucoup sur vous »[22].

Constructions avec plus d’un objet

Les constructions des verbes ditransitifs comprenant un COD et un COI, sont frĂ©quentes. Un tel COI est appelĂ© « d’attribution » ou « objet second » (par rapport au COD qui est alors appelĂ© « objet premier ») :

  • (fr) Je me (COI) coupe une tranche (COD) de jambon[23] ;
  • (en) I can show it (COD) to you (COI) « Je peux te le/la montrer »[24] ;
  • (ro) A mărturisit totul (COD) mamei (COI) « Il/Elle a tout confessĂ© Ă  sa mĂšre »[10] ;
  • (hr) Ja sam joj (COI) oduzeo neĆĄto (COD) « Je lui ai arrachĂ© quelque chose (Ă  elle) »[25].

Certains verbes peuvent avoir deux COI :

  • (fr) un secret dont j’ai hĂ©ritĂ© de mon grand-pĂšre[1] ;
  • (ro) Ți-am vorbit despre ea « Je t’ai parlĂ© d’elle », Din urs s-a prefăcut Ăźn om « D’ours il s’est transformĂ© en homme »[3] ;
  • (cnr) Zahvalite im za brigu « Remerciez-les pour leur prĂ©occupation »[26].

Il y a aussi des cas oĂč le verbe a un COD et deux COI, donc trois objets : l’un correspondant au COD (l’objet attribuĂ©), un autre correspondant au COI qui exprime celui qui reçoit l’objet attribuĂ© sans ĂȘtre son bĂ©nĂ©ficiaire, et un autre encore, exprimant le bĂ©nĂ©ficiaire. Exemple en peul: Duudu hokkanii Buuba Muhammadu ceede « Duudu a donnĂ© de l’argent Ă  Muhammadu, pour Buuba ». Le verbe hokkanii contient un suffixe, -an-, qui se rĂ©fĂšre spĂ©cifiquement au bĂ©nĂ©ficiaire[27].

Redoublement du COI

Dans certaines langues, comme le français ou le roumain, il y a des cas de redoublement du COI exprimĂ© par un mot Ă  sens lexical ou un pronom disjoint, et anticipĂ© ou repris par un pronom conjoint correspondant, sans qu’il s’agisse de deux COI.

En français, c’est seulement un procĂ©dĂ© de mise en relief d’une partie de la phrase : On ne peut jamais lui demander un service, Ă  lui (anticipation), Toi, on t’a pas demandĂ© ton avis (reprise)[28].

En roumain il y a des cas d’anticipation et de reprise facultatives ou obligatoires, avec ou sans mise en relief[3] :

(I-)am dat-o altuia « Je l’ai donnĂ©e Ă  un autre » [littĂ©ralement « (Lui) ai donnĂ©e-la Ă  autre] – anticipation facultative sans mise en relief ;
Îi e somn copilului « Il a sommeil, l’enfant » – anticipation obligatoire pour mettre en relief le mot somn « sommeil » ;
Cui (Ăźi) dai cartea? « À qui donnes-tu le livre ? » – reprise facultative sans mise en relief ;
Copilului Ăźi e somn « L’enfant a sommeil » (littĂ©ralement « À l’enfant lui est sommeil ») – reprise obligatoire sans mise en relief.

Constructions avec des COI

À part l’équivalence mentionnĂ©e plus haut entre construction avec un COI et construction avec une proposition subordonnĂ©e complĂ©ment d’objet indirect, il existe deux types de constructions Ă©quivalentes avec des COI, l’une sans prĂ©position, l’autre avec prĂ©position.

En français il y a une telle Ă©quivalence seulement lorsque le COI est exprimĂ© par un pronom personnel. Le pronom conjoint est placĂ© sans prĂ©position avant le verbe, et le pronom disjoint, avec une prĂ©position, aprĂšs le verbe : Je vous ai cueilli cette rose[23] – J’ai cueilli des fleurs pour vous[1].

En roumain il y a deux telles situations. L’une est analogue Ă  celle du français : ĂŽÈ›i seamănă « Il/Elle te ressemble – Seamănă cu tine litt. « Ressemble avec toi »[3]. Dans l’autre, c’est le nom au datif qui est Ă©quivalent au nom avec prĂ©position Ă  l’accusatif : Construcția corespunde regulii/cu regula « La construction correspond Ă  la rĂšgle », liniște necesară studiului/pentru studiu « calme nĂ©cessaire Ă  l’étude »[29].

En anglais il peut s’agir du nom ou du pronom personnel sans prĂ©position placĂ© juste aprĂšs le verbe et suivi du COD, ou placĂ© avec une prĂ©position aprĂšs le COD :

The woman gave the boy a book – The woman gave a book to the boy « La femme a donnĂ© un livre au garçon »[30] ;
You can even send us a letter « Vous pouvez mĂȘme nous envoyer une lettre »[31] – Send the copy to us « Envoyez-nous la copie »[13].

Construction avec un COI et construction avec un autre constituant

Certains verbes peuvent régir un COI ou un COD en gardant totalement ou presque totalement leur sens avec les deux types de CO :

  • (fr) Aidez-lui Ă  soulever ce fardeau – Il aide sa femme ; applaudir Ă  une initiative – applaudir un acteur[32] ;
  • (ro) a-i ajuta cuiva – a-l ajuta pe cineva « aider Ă  quelqu’un – aider quelqu’un », a-și aminti de ceva – a-și aminti ceva « se souvenir de quelque chose – se rappeler quelque chose », a privi la ceva – a privi ceva « regarder quelque chose » ; Te Ăźmprumut cu doi lei – ĂŽÈ›i Ăźmprumut doi lei « Je te prĂȘte deux lei » ; Mă rog de tine – Te rog « Je te prie »[33].

Pour exprimer la possession, un COI pronom personnel est parfois Ă©quivalent Ă  un adjectif possessif dĂ©terminant dans un groupe nominal COD. En français, cette Ă©quivalence est en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e aux parties du corps : Le cƓur lui battait
 – Son cƓur battait
[18].

Dans les grammaires roumaines et BCMS, on dit que ce pronom personnel est au datif possessif. Il a un emploi plus Ă©tendu qu’en français : (cnr) Đeca su joj dobro (litt. « Enfants sont lui bien ») – Njezina su đeca dobro « Ses enfants (Ă  elle) vont bien »[34].

En roumain, le pronom personnel de la 3e personne au datif peut ĂȘtre Ă©quivalent Ă  l’adjectif possessif et au pronom personnel de la mĂȘme personne au gĂ©nitif, en fonction de complĂ©ment du nom : Îi apreciez eforturile (litt. « Je lui apprĂ©cie les efforts ») – Apreciez eforturile sale « J’apprĂ©cie ses efforts » – Apreciez eforturile lui/ei (litt. « J’apprĂ©cie les efforts de lui / d’elle »)[35].

SĂ©mantisme du COI

La difficultĂ© de dĂ©limiter le COI selon des critĂšres sĂ©mantiques ressort des diffĂ©rences de vues entre diverses grammaires traditionnelles, non seulement de langues diffĂ©rentes, mais aussi d’une mĂȘme langue, concernant l’inclusion de certains complĂ©ments parmi les COI ou parmi les complĂ©ments circonstanciels. D’ailleurs, Grevisse et Goosse 2007 affirme qu’il n’est pas indispensable de trancher dans les cas douteux[1].

Selon une grammaire roumaine, Avram 1997, le COI a pour sens fondamental d’exprimer l’objet auquel on attribue ou on adresse quelque chose. D’autres sens sont plus ou moins proches du sens fondamental : objet de destination, objet de rĂ©fĂ©rence, objet de l’attachement ou de la sĂ©paration, objet de la ressemblance, objet de l’attitude, objet de l’intĂ©riorisation, source d’une action, point de dĂ©part ou d’aboutissement d’une transformation, objet visĂ© par un Ă©change, objet d’une sĂ©lection, etc.[3]

Divers linguistes sĂ©parent du COI des complĂ©ments qu’ils considĂšrent comme circonstanciels. Pour Avram 1997, par exemple, ce sont les complĂ©ments sociatif, de relation, d’opposition, cumulatif et d’exception[3]. De ceux-ci, seul le CC d’opposition se trouve dans Grevisse et Goosse 2007, par exemple, qui a renoncĂ© Ă  prendre en compte vingt-et-un types de CC sur les vingt-neuf pris en compte dans son Ă©dition de 1980[36]. Selon une autre grammaire roumaine, Coteanu 1982, les complĂ©ments qui expriment la relation, l’association, la rĂ©ciprocitĂ©, l’instrument, le cumul, l’exception, la concession et la condition peuvent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme des COI[10].

Notes et références

  1. Grevisse et Goosse 2007, p. 323.
  2. Bussamnn 1998, p. 553.
  3. Avram 1997, p. 374–379.
  4. Par exemple celles du hongrois.
  5. Čirgić 2010, p. 271.
  6. Klajn 2005, p. 230–231.
  7. Grevisse et Goosse 2007, p. 321.
  8. Par exemple Faltz, L.M., « On indirect objects in universal grammar » [« Sur les objets indirects en grammaire universelle »], Chicago Linguistic Society, no 14, 1978, p. 76-87, ou Ziv, Y. et G. Sheintuch, « Indirect objects reconsidered » [« Reconsidération des objets indirects »], Chicago Linguistic Society, no 15, 1979, p. 390-403, cf. Bussmann 1998, p. 553.
  9. Dubois 2002, article objet.
  10. Coteanu 1982, p. 291-293.
  11. Čirgić 2010, p. 273.
  12. Grevisse et Goosse 2007, p. 318.
  13. Eastwood 1994, p. 10.
  14. Bărbuță 2000, p. 259-260.
  15. Grevisse et Goosse 2007, p. 1126.
  16. Barić 1997, p. 575.
  17. Des verbes ayant le mĂȘme sens dans des langues diffĂ©rentes peuvent avoir une rection diffĂ©rente, ici, COI en BCMS, COD en français.
  18. Grevisse et Goosse 2007, p. 864.
  19. Čirgić 2010, p. 208.
  20. Tine est la forme d’accusatif du pronom tu.
  21. Čirgić 2010, p. 204.
  22. Jahić 2000, p. 381.
  23. Grevisse et Goosse 2007, p. 991.
  24. Eastwood 1994, p. 43.
  25. Barić 1997, p. 442.
  26. Čirgić 2010, p. 274.
  27. Eifring et Theil 2005, chap. 2, p. 38.
  28. Kalmbach 2020, page Formes syncrétiques, dissociées et détachées.
  29. Avram 1997, p. 472.
  30. Crystal 2008, p. 242.
  31. Eastwood 1994, p. 333.
  32. Grevisse et Goosse 2007, p. 325–326.
  33. Avram 1997, p. 373.
  34. Čirgić 2010, p. 200.
  35. Avram 1997, p. 162.
  36. Grevisse et Goosse 2007 p. 390.

Sources bibliographiques

Articles connexes

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