AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Colin Farrell

Colin Farrell [ˈkɒlÉȘn ˈfĂŠÉčəl][1], nĂ© le Ă  Castleknock, dans la banlieue de Dublin, est un acteur irlandais.

Colin Farrell
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Colin Farell au Comic-Con de San Diego en 2016.
Nom de naissance Colin James Farrell
Naissance
Castleknock (en) (Irlande)
Nationalité Drapeau de l'Irlande Irlandaise
Profession Acteur
Films notables Minority Report
Alexandre
Miami Vice : Deux flics Ă  Miami
Bons baisers de Bruges
Dumbo
The Gentlemen
SĂ©ries notables True Detective
Site internet www.colinfarrell.org

Il est rĂ©vĂ©lĂ© en 2000 par le film de guerre Tigerland, de Joel Schumacher. Il est alors recrutĂ© pour plusieurs grosses productions : Mission Évasion (2002), S.W.A.T. unitĂ© d'Ă©lite (2003), La Recrue (2003) et Daredevil (2003). Il retrouve Ă©galement le rĂ©alisateur Joel Schumacher pour le film concept Phone Game (2003) et le film biographique Veronica Guerin (2003).

Par la suite, il est propulsĂ© tĂȘte d'affiche, pour des projets ambitieux : il incarne Alexandre le Grand dans le biopic Alexandre (2004), d’Oliver Stone ; partage l'affiche du thriller Miami Vice : Deux flics Ă  Miami (2006), de Michael Mann, avec Jamie Foxx. Il incarne aussi le capitaine Smith dans la fresque Le Nouveau Monde (2006), rĂ©alisĂ© par Terrence Malick.

Par la suite, il tourne beaucoup en Europe : Le RĂȘve de Cassandre (2007), Bons baisers de Bruges (2008), Ondine (2009), Les Chemins de la libertĂ© (2010), London Boulevard (2011) et Sept psychopathes (2012). Le rĂ©alisateur grec YĂłrgos LĂĄnthimos le dirige pour The Lobster (2015) et Mise Ă  mort du cerf sacrĂ© (2017).

ParallÚlement, il revient à Hollywood pour des projets commerciaux et plus légers : il participe à la comédie potache Comment tuer son boss ? (2011), la comédie d'horreur Fright Night (2011). Il porte ensuite le blockbuster Total Recall : Mémoires programmées (2012), puis joue dans Les Animaux fantastiques (2016). Par ailleurs, il revient à un registre dramatique pour tenir le premier rÎle masculin de la deuxiÚme saison de la série anthologique True Detective (2015). Au cinéma, il est derniÚrement apparu dans Les Proies (2017) de Sofia Coppola, Dumbo (2019) de Tim Burton, The Gentlemen (2020) de Guy Ritchie, The Batman (2022) de Matt Reeves et Treize Vies (2022) de Ron Howard.

Biographie

Jeunesse

Colin Farrell grandit Ă  Castlenock, une banlieue rĂ©sidentielle de Dublin, en Irlande, le plus jeune de quatre enfants (un grand frĂšre et deux grandes sƓurs). Son pĂšre possĂ©dait un restaurant et tient aujourd'hui un magasin diĂ©tĂ©tique[2].

Dans les années 1960, son pÚre Eamon et son oncle Tommy étaient footballeurs pour les Shamrock Rovers, le club de la capitale. Enfant, il envisage de suivre leurs traces, mais l'entrée dans l'adolescence lui fait passer le goût pour les entraßnements.

Il abandonne aussi l'Ă©cole Ă  17 ans. Il devient pendant huit mois danseur en ligne dans une troupe qui fait des dĂ©monstrations de danse country dans des clubs irlandais[3]. Il passe aussi une audition pour la formation du boys band Boyzone. Il Ă©choue aprĂšs avoir, selon ses dires, massacrĂ© Careless Whisper de George Michael[4]. Il part un an en Australie avec deux copains, s'essaye Ă  divers petits boulots alimentaires (serveur
) et connaĂźt lĂ -bas sa premiĂšre expĂ©rience thĂ©Ăątrale en jouant un petit rĂŽle dans un spectacle amateur sur la vie de Ned Kelly[5].

DĂ©buts (1995-2000)

De retour en Irlande, il continue à chercher sa voie. Son frÚre réussit à le convaincre de prendre des cours de comédie. Il s'inscrit donc à la Gaiety School of Acting, qu'il abandonne assez vite car en 1998, il commence à jouer des petits rÎles dans des téléfilms et des séries télévisées. Il obtient en particulier un petit rÎle récurrent dans la série Ballykissangel produite par la BBC et située en Irlande. Il trouve aussi de petits rÎles dans quelques films de cinéma, notamment dans le premier film que tourne Tim Roth en tant que réalisateur, The War Zone.

Alors qu'il interprĂšte un jeune semi-autiste dans une piĂšce de thĂ©Ăątre, In a Little World of Our Own, l'acteur amĂ©ricain Kevin Spacey, de passage Ă  Londres, le remarque et lui propose un petit rĂŽle dans un film oĂč il est tĂȘte d'affiche, Ordinary Decent Criminal. Le film conte l'histoire d'une bande de truands irlandais, et c'est le premier film amĂ©ricain dans lequel joue Farrell.

Ascension Ă  Hollywood (2000-2004)

Fort de ces expĂ©riences, il part tenter sa chance aux États-Unis, y rencontre des agents. On lui propose le casting de Tigerland, un film de guerre rĂ©alisĂ© par Joel Schumacher avec un budget relativement modeste. N'ayant pu se rendre au casting, il rĂ©alise une vidĂ©o, et c'est grĂące Ă  cet enregistrement qu'il est sĂ©lectionnĂ© pour le premier rĂŽle.

Le film, réalisé par Joel Schumacher, ne fait pas beaucoup d'entrées, mais ce rÎle de soldat rebelle lui permet de se faire remarquer par la critique et le milieu du cinéma. En 2000, il gagne le prix de la Boston Society of Film Critics dans la catégorie meilleur acteur.

Il s'ensuit un bouche Ă  oreille qualifiant Farrell de « Hollywood Next Big Thing », la nouvelle rĂ©vĂ©lation sur laquelle Hollywood mise gros (alors qu'il n'a encore jouĂ© dans aucun film Ă  succĂšs)[6]. À partir de ce moment, les projets de films amĂ©ricains s'enchaĂźnent : un western (American Outlaws), un rĂŽle dans un thriller militaire avec Bruce Willis (Mission Évasion), puis en 2002, un second rĂŽle dans Minority Report de Steven Spielberg, face Ă  Tom Cruise. Cette derniĂšre apparition confirme le lancement de sa carriĂšre hollywoodienne.

L'annĂ©e 2003 marque ainsi un premier tournant, placĂ© sous le sceau de l'action : l'acteur retrouve d'abord le rĂ©alisateur Joel Schumacher pour Phone Game, un thriller concept oĂč il est quasiment le seul personnage principal Ă  l'Ă©cran, puisqu'il incarne un jeune playboy pris au piĂšge par un psychopathe dans une cabine tĂ©lĂ©phonique. Il Ă©volue ensuite aux cĂŽtĂ©s d Al Pacino dans La Recrue, de Roger Donaldson, puis partage l'affiche avec Samuel L. Jackson du thriller d'action S.W.A.T.. Il continue Ă  cultiver une ambigĂŒitĂ© concernant son image, en prĂȘtant ses traits au super-vilain Bullseye dans l'adaptation du comic book Daredevil.

ParallĂšlement Ă  cette intense activitĂ© cinĂ©matographique, les journaux people s'intĂ©ressent Ă  Farrell et font leur titres sur ses maniĂšres de mauvais garçon fĂȘtard, lui prĂȘtant des aventures avec des cĂ©lĂ©britĂ©s. Il y gagne son surnom d’« Irish bad boy (« mauvais garçon irlandais ») », et ses interviews dĂ©complexĂ©es ne font rien pour infirmer cette rĂ©putation.

Son ascension dans le star-system est fulgurante (ce que Farrell décrit en disant qu'il n'a pas gravi les échelons peu à peu mais en a sauté énormément d'un coup[7]) : en l'espace de deux ou trois ans seulement, il entre dans le classement des acteurs les mieux payés d'Hollywood.

À Cologne, en dĂ©cembre 2004, pour la premiĂšre d'Alexandre.

Grands réalisateurs (2004-2007)

L'annĂ©e 2004 lui permet de s'Ă©loigner des productions de pur divertissement en portant le drame intimiste La Maison au bout du monde, puis en incarnant Alexandre le Grand dans un ambitieux pĂ©plum signĂ© Oliver Stone, et dans lequel il a pour partenaire Angelina Jolie. L'exploitation en salles d'Alexandre rembourse Ă  peine son budget Ă©norme[8]. D'une certaine façon, l'attente suscitĂ©e par le film, et l'ampleur du rĂŽle, Ă©rigent nĂ©anmoins l'Ɠuvre comme le sommet de sa carriĂšre.

Sa performance marque ainsi le dĂ©but de la seconde partie de sa carriĂšre : celle placĂ©e sous la direction de grands cinĂ©astes. En 2005, il joue John Smith dans une nouvelle adaptation de l'histoire de Pocahontas, Le Nouveau Monde, de Terrence Malick. Cette fresque historique et mythique impressionne la critique, mais déçoit au box-office. La mĂȘme annĂ©e, il fait partie des acteurs en concours pour le rĂŽle de James Bond que dĂ©croche Daniel Craig avec aussi Goran Visnjic, Henry Cavill, Julian McMahon, James Purefoy, Sam Worthington, Ewan McGregor, Orlando Bloom, Christian Bale, Jude Law ou encore Hugh Jackman.

De mĂȘme en 2006, lorsqu'il reprend au cĂŽtĂ© de Jamie Foxx le rĂŽle de Sonny Crockett dans Miami Vice : Deux flics Ă  Miami, un autre film Ă  gros budget signĂ© Michael Mann. Il y interprĂšte un flic ombrageux, flirtant avec l'illĂ©galitĂ©, et Ă©pris d'une femme d'affaires impitoyable incarnĂ©e par l'actrice chinoise Gong Li. Les rĂ©sultats au box-office sont Ă©galement dĂ©cevants.

Il tourne ensuite pour Woody Allen, dans le drame Le RĂȘve de Cassandre, oĂč il joue un trentenaire de South London, empĂȘtrĂ© dans des affaires de jeu, et traĂźnant son frĂšre incarnĂ© par Ewan McGregor dans sa quĂȘte dĂ©sespĂ©rĂ©e d’ascension sociale.

Ces projets ambitieux ne rencontrent cependant pas un grand succĂšs en salles. Farell fait donc confiance au producteur Tom Cruise pour la romance historique sortie en 2006, Demande Ă  la poussiĂšre, Ă©crite et rĂ©alisĂ©e par Robert Towne. Il retente ensuite le registre du policier social avec Le Prix de la loyautĂ©, de Gavin O'Connor, oĂč il a pour partenaire Edward Norton. Deux Ă©checs. Il retourne donc en Europe.

Cinéma européen (2008-2010)

Au Slamdance Film Festival 2008.

En 2008, il connaĂźt un succĂšs critique et commercial avec Bons baisers de Bruges, une comĂ©die noire rĂ©alisĂ©e par le dramaturge anglo-irlandais Martin McDonagh, dans laquelle il Ă©volue aux cĂŽtĂ©s de son compatriote Brendan Gleeson. Ce film lui vaut aussi un Golden Globe du meilleur acteur de comĂ©die, devant son partenaire, nommĂ© dans la mĂȘme catĂ©gorie et pour le mĂȘme film.

En 2009, il est choisi aux cÎtés de Jude Law et Johnny Depp pour remplacer Heath Ledger, soudainement décédé, afin d'achever le film fantastique du britannique Terry Gilliam que le comédien tournait alors : L'Imaginarium du docteur Parnassus[9].

En 2010, il joue dans la fresque romantique Ondine, de son compatriote Neil Jordan, qui lui permet de tourner une nouvelle fois en Irlande. Une prestation de nouveau saluĂ©e par la critique. Il continue ensuite Ă  voyager en parcourant l'Eurasie sous la direction du rĂ©alisateur Peter Weir, pour le drame historique Les Chemins de la libertĂ©, dont il partage l'affiche avec Jim Sturgess et Ed Harris. Cette mĂȘme annĂ©e, il conclut son pĂ©riple hors Hollywood avec le thriller londonien London Boulevard, premiĂšre rĂ©alisation du scĂ©nariste William Monahan, oĂč il a pour partenaire Keira Knightley.

Retour en demi-teinte Ă  Hollywood (2011-2015)

Au Festival International du Film de Toronto 2012, pour la premiĂšre mondiale de Seven Psychopaths.

L'année 2011 est en effet marquée par un retour aux productions américaines légÚres : d'abord dans la comédie, en jouant les patrons psychopathes dans la satire Comment tuer son boss ? de Seth Gordon, puis sous la forme d'un mystérieux vampire dans la parodie de film d'horreur Fright Night, de Craig Gillespie.

Mais il revient surtout Ă  l'action en 2012, avec le blockbuster de science-fiction Total Recall : MĂ©moires programmĂ©es, remake du film Ă©ponyme de Paul Verhoeven, cette fois signĂ© Len Wiseman. La mĂȘme annĂ©e, il retrouve Martin McDonagh pour son deuxiĂšme long-mĂ©trage, la comĂ©die noire Sept psychopathes, qui lui permet de renouer avec la critique.

Ce qui n'est pas le cas en 2013 pour le thriller d'action Dead Man Down de Niels Arden Oplev, un flop critique et commercial, et dont il est pourtant la tĂȘte d'affiche. À cĂŽtĂ©, il se contente d'un rĂŽle secondaire dans la comĂ©die dramatique historique Dans l'ombre de Mary, de John Lee Hancock, et menĂ© par Emma Thompson.

L'année 2014 est marquée par deux échecs, l'amenant à jouer les prétendants séducteurs : tout d'abord la fresque fantastique Un amour d'hiver d'Akiva Goldsman, éreintée par la critique, et ne rapportant qu'à peine la moitié de son budget ; puis le plus modeste Mademoiselle Julie, de Liv Ullmann, qui ne convainc pas non plus, malgré la présence de Jessica Chastain dans le rÎle-titre.

Regain critique (depuis 2015)

L'annĂ©e 2015 semble placĂ©e sous le sceau de la renaissance : tout d'abord en intĂ©grant la distribution principale de l'acclamĂ©e sĂ©rie policiĂšre True Detective : il y joue un inspecteur de police dĂ©pressif aux cĂŽtĂ©s de Vince Vaughn et Rachel McAdams. Il revient surtout au cinĂ©ma europĂ©en, en tĂȘte d'affiche du thriller romantique de science-fiction The Lobster, de YĂłrgos LĂĄnthimos, qui remporte le Prix du Jury au Festival de Cannes 2015.

Cette mĂȘme annĂ©e, il est Ă©galement Ă  l'affiche du thriller amĂ©ricain PrĂ©monitions, d'Afonso Poyart, dans lequel il incarne le serial-killer poursuivi par les enquĂȘteurs interprĂ©tĂ©s par Jeffrey Dean Morgan et Anthony Hopkins. Ce film, qui recycle un script originellement conçu pour ĂȘtre la suite du film culte Seven de David Fincher, a Ă©tĂ© tournĂ© en 2013.

En 2016, il est Ă  l'affiche du blockbuster Les Animaux fantastiques, film dĂ©rivĂ© de la saga Ă  succĂšs Harry Potter, mis en scĂšne par David Yates. Ce film marque le dĂ©but d'une pentalogie cinĂ©matographique prĂ©quelle aux aventures du jeune sorcier, scĂ©narisĂ©e par la romanciĂšre J.K. Rowling elle-mĂȘme[10].

En 2017, il est à l'affiche de deux films présentés en compétition officielle pour la Palme d'or au Festival de Cannes. Il retrouve Yórgos Lånthimos pour Mise à mort du cerf sacré et tourne pour la premiÚre fois sous la direction de Sofia Coppola dans Les Proies, remake du film homonyme de Don Siegel. Dans chacun de ces deux films, il a pour partenaire Nicole Kidman et chacun a reçu un prix (Prix du scénario pour le premier, et prix de la mise en scÚne pour le second).

En 2018, il tourne sous la direction de Steve McQueen dans le film de braquage Les Veuves aux cÎtés d'une distribution prestigieuse telle que Viola Davis, Michelle Rodríguez, Elizabeth Debicki, Cynthia Erivo, Carrie Coon, Daniel Kaluuya, Jon Bernthal, Robert Duvall et Liam Neeson.

En 2019, il tourne sous la direction de Tim Burton dans le film live de Dumbo aux cĂŽtĂ©s de Michael Keaton et Danny DeVito. La mĂȘme annĂ©e, il tourne Ă©galement pour Guy Ritchie dans The Gentlemen avec Matthew McConaughey, Charlie Hunnam et Hugh Grant. Toujours en 2019, il est choisi pour incarner le Pingouin dans la nouvelle saga The Batman de Matt Reeves face Ă  Robert Pattinson, sortie en 2022. La mĂȘme annĂ©e, il retrouve Martin McDonagh dans le drame Les Banshees d'Inisherin oĂč il retrouve Ă©galement son compatriote Brendan Gleeson[11]. Sa performance lui vaut la Coupe Volpi de la meilleure interprĂ©tation masculine Ă  la Mostra de Venise 2022.

Vie privée

Colin Farrell a arrĂȘtĂ© l'alcool et les drogues fin 2005, aprĂšs le tournage de Miami Vice. Il a fait une cure de dĂ©sintoxication aprĂšs avoir pris conscience qu'il avait « franchi la ligne » au-delĂ  de laquelle il est difficile d'arrĂȘter seul[12].

Il a deux enfants :

  • son premier fils, James PĂĄdraig Farrell, nĂ© en septembre 2003 de sa relation avec le mannequin Kim Bordenave, souffre d'une maladie gĂ©nĂ©tique trĂšs rare (un cas sur douze Ă  vingt mille) appelĂ©e syndrome d'Angelman ;
  • le deuxiĂšme, Henry Tadeusz Farrell, est nĂ© en octobre 2009 de sa relation avec l'actrice et chanteuse polonaise Alicja Bachleda-Curus, qui Ă©tait sa partenaire dans le film Ondine et dont il est sĂ©parĂ© depuis octobre 2010[13].

Filmographie

Années 2000

Années 2010

Années 2020

Séries télévisées

Téléfilms

  • 1998 : Falling for a Dancer de Richard Standeven : Daniel McCarthey

Distinctions

Voix francophones

En version française, Boris Rehlinger est la voix de Colin Farrell dans la quasi-intégralité de ses apparitions[15]. JérÎme Pauwels[15] est sa voix à deux reprises dans Bons baisers de Bruges et Crazy Heart tandis qu'il est doublé à titre exceptionnel par Fabrice Josso dans Ordinary Decent Criminal[15], Jean-Didier Aïssy dans Intermission[16], Michelangelo Marchese dans Ondine et Cédric Chevalme dans Alexandre.

En version québécoise, Martin Watier est également la voix de Colin Farell dans la quasi-intégralité de ses apparitions[17]. Renaud Paradis[17] est sa voix dans Le Combat du lieutenant Hart et L'Imaginarium du Docteur Parnassus.

Versions françaises
  • Boris Rehlinger dans : Minority Report, Phone Game, Daredevil, Scrubs, Miami Vice, L'Imaginarium du docteur Parnassus, Sept psychopathes, True Detective, The Lobster, Les Animaux fantastiques, Les Proies, Mise Ă  mort du cerf sacrĂ©, Dumbo, The Gentlemen, The Batman[15], etc.
Versions québécoises
Note : La liste indique les titres québécois.
  • Martin Watier dans : Alexandre, Le Nouveau Monde, Deux flics Ă  Miami, Bienvenue Ă  Bruges, Crazy Heart, Total Recall : MĂ©moires programmĂ©es, Sept psychopathes, Les Animaux fantastiques, L'Affaire Roman J., Mise Ă  mort du cerf sacrĂ©, Dumbo, The Gentlemen[17], etc.

Notes et références

  1. Prononciation en anglais irlandais retranscrite selon la norme API.
  2. (en) Dailymail.
  3. (en) biographie Talk Talk.
  4. (en) Colin Farrell décrit son embarrassante audition pour Boyzone.
  5. (en) The Biography Channel.
  6. (en) Time, « Hollywood's most wanted ».
  7. (en) Time, « Hollywood's most wanted », « I've skipped so many rungs on the ladder ».
  8. Le box office d'Oliver Stone.
  9. (en) Charlotte Higgins, « Star stand-ins help complete Ledger's last film », sur the Guardian, (consulté le )
  10. Alexis Ferenczi, « "Les Animaux fantastiques", spin-off d'Harry Potter, adapté au cinéma en trilogie », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
  11. The Toronto Star, 13 sept. 2022, Peter Howell, "Brendan Gleeson and Colin Farrell's ‘The Banshees of Inisherin’ is a dark and funny take on ghosting".
  12. (en) GQ Magazine, « I crossed the line and couldn't get back on my own ».
  13. « fr.cinema.yahoo.com/14102010/1
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
  14. (en) « Colin Farrell & Vince Vaughn Cast As Leads In 'True Detective' Season 2 », sur The HuffPost, (consulté le )
  15. « Comédiens ayant doublé Colin Farrell en France » sur RS Doublage, consulté le 17 février 2014.
  16. « Aïssy Jean-Didier », sur allodoublage.com (consulté le ).
  17. « Comédiens ayant doublé Colin Farrell au Québec » sur Doublage.qc.ca

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.