Ron Howard
Ronald Howard, dit Ron Howard, [rÉn ËhaÊÉd][1], est un rĂ©alisateur, acteur et producteur amĂ©ricain, nĂ© le Ă Duncan, en Oklahoma.
Nom de naissance | Ronald William Howard |
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Surnom | Ronny Howard |
Naissance |
Duncan, (Oklahoma) |
Nationalité | Américaine |
Profession | RĂ©alisateur, acteur, producteur |
Films notables |
American Graffiti Willow Apollo 13 Da Vinci Code Rush |
SĂ©ries notables |
Happy Days Arrested Development Genius |
Comme acteur, il incarne Richie Cunningham, le héros de la série culte des années 1970 Happy Days.
La décennie suivante, il s'impose comme réalisateur en signant plusieurs longs métrages : Cocoon (1985), Willow (1988) et Backdraft (1991).
Il accÚde à la reconnaissance critique durant les années 1990-2000 : Apollo 13 (1995) lui vaut une nomination au Golden Globe du meilleur réalisateur, puis deux biopics avec Russell Crowe, Un homme d'exception (2001) et De l'ombre à la lumiÚre (2005) lui permettent de décrocher l'Oscar du meilleur réalisateur et du meilleur film. Il confirme avec un autre film historique, Frost/Nixon (2008), salué par une nomination à l'Oscar du meilleur film et du meilleur réalisateur.
Durant les années suivantes, il poursuit sa collaboration avec Tom Hanks (entamée avec Splash (1984) et Apollo 13), en signant la trilogie des aventures de Robert Langdon (2006-2016). Ses films ont rapporté plus de 3 milliards de dollars de recettes au box-office mondial[2].
Biographie
Jeunesse
Ronald William Howard naĂźt le Ă Duncan, en Oklahoma.
Il est le fils des comédiens Rance Howard et Jean Speegle Howard, il est également le frÚre aßné de l'acteur Clint Howard.
Révélation télévisuelle (années 1970)
Enfant star, Ron Howard débute à l'écran à l'ùge de dix-huit mois dans Frontiere Woman puis six mois plus tard sous la direction de son pÚre dans la piÚce The Seven Year Itch. à cinq ans, il tient un petit rÎle dans Le Voyage d'Anatole Litvak puis commence à apparaßtre à la télévision dans des dizaines de dramatiques et de séries.
En 1973, il s'est fait connaßtre du grand public en jouant le rÎle de Steve Bolander dans le film American Graffiti de George Lucas. Il est ensuite invité dans un épisode de la série M*A*S*H fin 1973.
AprÚs ses études secondaires, il interprÚte le rÎle de Richie Cunningham dans la série télévisée Happy Days à partir de 1974. Il quitte la série dÚs 1980, se contentant de faire quelques réapparitions sporadiques en 1983 et 1984.
Passage à la réalisation de comédies (années 1980)
Tout en poursuivant sa carriÚre d'acteur au cinéma, Ron Howard se lance dans la réalisation en 1977, avec la comédie dramatique, Lùchez les bolides, puis la comédie Les Croque-morts en folie en 1982 - pour laquelle il dirige aussi son ex-collÚgue Henry Winkler - et surtout Splash, qui lui permet non seulement de remporter un grand succÚs commercial en 1984, mais surtout de diriger pour la premiÚre fois Tom Hanks tout en s'essayant à la science-fiction.
Il se lance dÚs l'année suivante dans un registre dramatique avec le mélodrame fantastique Cocoon. Il continue néanmoins à se diversifier sur un terrain léger : en menant Michael Keaton pour la satire Gung Ho, du saké dans le moteur (1986), en plongeant dans l'épopée fantastique pour Willow (1988), en réalisant la comédie dramatique familiale Portrait craché d'une famille modÚle. Si les deux premiers films divisent la critique, le dernier essai est acclamé par la critique.
Reconnaissance dans un registre dramatique (années 1990)
Ron Howard entame les années 1990 en réalisant le salué thriller d'action Backdraft, avec un casting de vétérans du cinéma hollywoodien : Kurt Russell, William Baldwin, Robert De Niro et Donald Sutherland. Il poursuit en 1992 avec une romance, mal reçue, Horizons Lointains - portée par le tandem de méga-stars de la décennie Tom Cruise / Nicole Kidman - mais renoue avec la critique pour la comédie dramatique Le Journal, en 1994.
En 1995, il connait le second succĂšs majeur de sa carriĂšre avec Tom Hanks - l'aventure spatiale Apollo 13 connait un large succĂšs critique et commercial et vaut au cinĂ©aste une citation de la Directors Guild of America au titre de meilleur rĂ©alisateur, et reçoit le prix du meilleur film lors des Directors Guild of America Awards de 1996. La mĂȘme annĂ©e, il livre le thriller La Rançon, portĂ© par Mel Gibson et Rene Russo.
Il quitte la décennie en faisant un clin d'oeil à la télévision avec la satire En direct sur Edtv (1999).
Entre adaptations et biographies (années 2000)
La dĂ©cennie 2000 sera marquĂ©e par de nombreux projets commerciaux, d'oĂč n'Ă©mergeront que deux biopics avec Russell Crowe, tous deux saluĂ©s par la critique.
En effet, aprÚs avoir signé la comédie familiale populaire qu'est l'adaptation Le Grinch en 2000, il renoue avec le registre dramatique deux ans plus tard.
La consĂ©cration critique du cinĂ©aste intervient en 2002 lorsqu'il reçoit l'Oscar du meilleur rĂ©alisateur lors de la 74e cĂ©rĂ©monie des Oscars pour Un homme d'exception, qui remportera Ă©galement l'Oscar du meilleur film. Le film est une biographie de John Forbes Nash (interprĂ©tĂ© par Russell Crowe), un grand mathĂ©maticien souffrant de schizophrĂ©nie paranoĂŻde. Sa mĂ©diatisation est alors Ă son comble : Il assure lui-mĂȘme sa voix dans plusieurs Ă©pisodes de la sĂ©rie Les Simpson en 1998, 1999 et 2002.
En 2003, il s'aventure sur le terrain du western avec Les Disparues, portĂ© par Cate Blanchett et Tommy Lee Jones, qui ne convainc ni la critique, ni le public[3]. Du cĂŽtĂ© de la tĂ©lĂ©vision, il produit, dans la mĂȘme annĂ©e, la comĂ©die tĂ©lĂ©visĂ©e Arrested Development (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e), crĂ©Ă©e par Mitchell Hurwitz. Le cinĂ©aste prĂȘte Ă©galement sa voix au narrateur du programme. Les critiques sont bonnes, mais les faibles audiences contribuent Ă l'arrĂȘt du programme en 2006, au bout de trois saisons.
En 2005, le tandem Ron Howard / Russell Crowe se reforme pour une autre biographie De l'ombre Ă la lumiĂšre qui marque aussi le retour du premier Ă l'Ă©criture. Les critiques sont bonnes.
Ron Howard accepte ensuite un projet ouvertement commercial : l'adaptation de Da Vinci Code, le best-seller de Dan Brown, prévu pour la fin de l'année 2006. Ce projet lui permet de retrouver pour une troisiÚme fois Tom Hanks, cette fois dans le rÎle du personnage principal Robert Langdon. L'adaptation fait l'ouverture du 59e festival de Cannes et remporte un grand succÚs au box-office (550 millions de dollars), le plus gros succÚs du réalisateur. Pourtant le film recevra des critiques désastreuses, les plus mauvaises de sa carriÚre[4].
En 2008, il vient défendre un film plus intimiste : la biographie Frost/Nixon, l'heure de vérité, adapté de la piÚce de théùtre de Peter Morgan. Cet essai lui permet de livrer un thriller politique racontant l'affrontement télévisuel entre le président Américain Richard Nixon et le présentateur David Frost et il renoue de façon spectaculaire avec la critique[5].
La décennie se conclut néanmoins avec la suite de Da Vinci Code : une adaptation du roman Anges et Démons, également signé Dan Brown. C'est un nouveau succÚs au box-office en dépit des critiques trÚs médiocres[6].
Années 2010
En 2011, la comĂ©die Le Dilemme est un flop critique et commercial[7], qui ne rembourse mĂȘme pas son budget. En 2012, le long mĂ©trage Rush lui permet cependant de renouer avec le succĂšs. Ce long-mĂ©trage sur le monde de la Formule 1, raconte la cĂ©lĂšbre rivalitĂ© entre les pilotes autrichien Niki Lauda et britannique James Hunt dans les annĂ©es 1970. Le film est acclamĂ© par la presse[8], les recettes sont satisfaisantes, malgrĂ© une distribution limitĂ©e.
L'année suivant, il revient à la comédie, mais cette fois télévisée, en co-produisant une quatriÚme saison d'Arrested Development, lancée en 2013 par la plateforme Netflix.
En 2015, il rĂ©alise le blockbuster d'aventures Au cĆur de l'ocĂ©an, qui est nĂ©anmoins rapidement considĂ©rĂ© comme un Ă©chec[9], malgrĂ© la prĂ©sence de la star montante Chris Hemsworth qu'il avait dĂ©jĂ dirigĂ© dans Rush 3 ans plus tĂŽt.
En 2016, il poursuit la saga des aventures de Robert Langdon avec le thriller ésotérique Inferno, adapté du roman éponyme sorti en 2013. Les critiques sont aussi mauvaises que pour le précédent opus[10].
à l'été 2017, il est le président d'honneur de la 13e édition du Festival « Un Réalisateur dans la Ville » à Nßmes[11].
En , deux jours aprÚs que Lucasfilm ait annoncé le renvoi de Phil Lord et Chris Miller, Ron Howard est appelé pour reprendre la réalisation du film sur Han Solo sorti en [12].
En , il est annoncé pour diriger le pilote de 68 Whiskey, l'adaptation télévisuelle d'une série israélienne intitulée Charlie Golf One[13].
Années 2020
Il met en scÚne Une ode américaine, un drame familial basé sur les mémoires de l'homme d'affaires J. D. Vance. Le film est diffusé fin 2020 sur Netflix. Il reçoit plusieurs nominations aux Oscars et aux Golden Globes.
Il dirige ensuite Treize Vies (Thirteen Lives), film sur les opérations de secours de la grotte de Tham Luang en juin 2018 et sorti en 2022.
Vie privée
Ron Howard se marie le avec l'actrice Cheryl Aley. Ils ont quatre enfants, dont l'actrice-réalisatrice Bryce Dallas Howard.
Filmographie
En tant qu'acteur
- 1959 : La QuatriÚme Dimension (série TV), épisode Souvenir d'enfance (Walking Distance) : Le petit qui joue aux billes
- 1959 : Le Voyage (The Journey), d'Anatole Litvak : le petit Billy Rhinelander
- 1960 - 1968 : The Andy Griffith Show de Sheldon Leonard (série TV - 114 épisodes) : Opie Taylor
- 1961 : Five Minutes to Live (Five Minutes to Live), de Bill Karn : Bobby Wilson
- 1963 : Il faut marier papa (The Courtship of Eddie's Father), de Vincente Minnelli : Eddie Corbett
- 1965 : Village of the Giants, de Bert I. Gordon : Genius
- 1969 : Land of the Giants/Au pays des géants (série TV), de Irwin Allen : Jodar the little genius
- 1971 - 1972 : Ah ! Quelle famille (The Smith Family) (série TV) : Bob Smith
- 1971 : Le Pays sauvage (The Wild Country), de Robert Totten : Virgil Tanner
- 1973 : American Graffiti, de George Lucas : Steve Bolander
- 1973 : Happy Mother's Day, Love George, de Darren McGavin : Johnny
- 1974 : Du sang dans la poussiĂšre (The Spikes Gang), de Richard Fleischer : Les Richter
- 1974 - 1980 : Happy Days (Happy Days) (série TV) : Richie Cunningham
- 1976 : Ă plein gaz (Eat My Dust), de Charles B. Griffith : Hoover Niebold
- 1977 : Le Dernier des géants (The Shootist), de Don Siegel : Gillom Rogers
- 1978 : LĂąchez les bolides (Grand Theft Auto), de Ron Howard
- 1979 : American Graffiti, la suite (More American Graffiti), de Bill L. Norton : Steve Bolander
- 1981 : Fire on the Mountain, téléfilm de Donald Wrye : Lee Mackie
- 1998 : Welcome to Hollywood d'Adam Rifkin et Tony Markes : lui-mĂȘme
- 2001 : Osmosis Jones, de Bobby et Peter Farrelly : Tom Colonic (voix)
- 2003 - 2006, puis 2013 : Arrested Development, crĂ©Ă©e par Mitchell Hurwitz, et dont Ron Howard est le producteur : Narrateur (toutes les saisons), puis lui-mĂȘme (dernier Ă©pisode de la saison 3 et saison 4)
- 2016 : The Odd Couple créé par Matthew Perry et Danny Jacobson : Stanley
- 2016- : This Is Us, crĂ©Ă©e par Dan Fogelman : lui-mĂȘme
Clip
- 2009 : Blame It (On Alcohol), interprété par Jamie Foxx avec la participation de T-Pain, clip réalisé par Hype Williams : simple apparition
Longs métrages
- 1977 : LĂąchez les bolides (Grand Theft Auto)
- 1982 : Les Croque-morts en folie (Night Shift)
- 1984 : Splash
- 1985 : Cocoon
- 1986 : Gung Ho, du saké dans le moteur (Gung Ho)
- 1988 : Willow
- 1989 : Portrait craché d'une famille modÚle (Parenthood)
- 1991 : Backdraft
- 1992 : Horizons Lointains (Far and Away)
- 1994 : Le Journal (The Paper)
- 1995 : Apollo 13
- 1996 : La Rançon (Ransom)
- 1999 : En direct sur Edtv (EdTV)
- 2000 : Le Grinch (How the Grinch Stole Christmas)
- 2001 : Un homme d'exception (A Beautiful Mind)
- 2003 : Les Disparues (The Missing)
- 2005 : De l'ombre Ă la lumiĂšre (Cinderella man)
- 2006 : Da Vinci Code (The Da Vinci Code)
- 2008 : Frost/Nixon
- 2009 : Anges et DĂ©mons (Angels & Demons)
- 2011 : Le Dilemme (The Dilemma)
- 2013 : Rush
- 2015 : Au cĆur de l'ocĂ©an (In the Heart of the Sea)
- 2016 : Inferno
- 2018 : Solo: A Star Wars Story
- 2020 : Une ode américaine (Hillbilly Elegy)
- 2022 : Treize Vies (Thirteen Lives)
Courts métrages
- 1969 : Old Paint
- 1969 : Deed of Daring-Do
- 1969 : Cards, Cads, Guns, Gore and Death
- 2010 : Presidential Reunion, sketch de Funny or Die
Documentaires
- 2013 : Made in America
- 2016 : The Beatles: Eight Days a Week
- 2019 : Pavarotti
- 2020 : Rebuilding Paradise
En tant que producteur
- 1988 : Retour Ă la vie (Clean and Sober), de Glenn Gordon Caron
- 1991 : Closet Land, de Radha Bharadwaj
- 1998 : De la Terre à la Lune (From the Earth to the Moon), minisérie de 13 épisodes de 50 minutes, avec Tom Hanks, produite par HBO
- 2007 : In the Shadow of the Moon, de David Sington, documentaire autour du programme lunaire américain Apollo
- 2008 : L'Ăchange (Changeling), de Clint Eastwood
- 2003 : Arrested Development, de Mitchell Hurwitz. Il est Ă©galement la voix off dans la version originale.
- 2011 : Cowboys et Envahisseurs (Cowboys and Aliens), de Jon Favreau
- 2011 : J. Edgar, de Clint Eastwood
- 2011 : Restless, de Gus Van Sant[14]
- 2016-2018 : Mars, série télévisée[15]
- 2017-2018 : Genius, série télévisée sur la vie d'Einstein.
- 2017 : Barry Seal: American Traffic (American Made), de Doug Liman
- 2017 : La tour sombre, de Nikolaj Arcel
- 2020 : Une ode amĂ©ricaine (Hillbilly Elegy) de lui-mĂȘme
- 2021 : The Lost Symbol, série télévisée
Distinctions
RĂ©compenses
- Golden Globes 1978 : Golden Globe du meilleur acteur dans une série télévisée musicale ou comique pour Happy Days
- Oscars 2002 : Oscar du meilleur film et Oscar du meilleur réalisateur pour Un homme d'exception (A Beautiful Mind)
- Critics' Choice Movie Awards 2015 : Louis XIII Genius Award
Hommage
- (12561) Howard, astéroïde nommé en son nom.
Voix françaises
- Constantin Pappas[16] dans :
- Arrested Development (série télévisée)
- The Odd Couple (série télévisée)
- Et aussi
- François Leccia[16] dans Du sang dans la poussiÚre
- Pierre Jolivet dans Happy Days (série télévisée - 1re voix, 1976)
- Ăric Baugin dans Happy Days (sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e - 2e voix, 1987)
- Jean-François Vlérick dans American Graffiti, la suite
Notes et références
- Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
- (en) « Ron Howard Movie Box Office Results », sur www.boxofficemojo.com (consulté le )
- (en) « The Missing (2003) » [vidéo], sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
- « Allociné - Da Vinci Code ».
- (en) « Frost/Nixon (2008) » [vidéo], sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
- « Allociné - Anges et Démons »
- (en) « The Dilemma (2011) » [vidéo], sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
- (en) « Rush (2013) » [vidéo], sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
- (en) « In the Heart of the Sea (2015) » [vidéo], sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
- (en) « Inferno (2016) » [vidéo], sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
- « Nßmes : Ron Howard invité du festival Un réalisateur », sur MidiLibre.fr (consulté le )
- (en) Brent Lang, « 'Star Wars' Han Solo Spinoff : Ron Howard Is Director », sur Variety.com, (consulté le ).
- « Ron Howard va adapter une sĂ©rie israĂ©lienne pour Paramount Network », CinĂ©SĂ©ries,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Sa fille Bryce Dallas Howard et Brian Grazer ont coproduit le film avec lui.
- YS, « Mars : Ron Howard vous emmÚne vers la planÚte rouge sur National Geographic », sur Allocine.fr, (consulté le ).
- http://www.rsdoublage.com/acteur-22151-Ron-Howard.html
Liens externes
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
- Allociné
- Ciné-Ressources
- (en) AllMovie
- (en) Disney A to Z
- (de + en) Filmportal
- (pl) Filmweb.pl
- (en) IMDb
- (en) Rotten Tomatoes
- Ressources relatives Ă la musique :
- Discogs
- (en) MusicBrainz
- (en) Songkick
- Ressource relative à la bande dessinée :
- (en) Comic Vine
- Ressource relative Ă la vie publique :
- (en) C-SPAN
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :