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Clermont-Soubiran

Clermont-Soubiran est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Clermont-Soubiran
Clermont-Soubiran
La place du village avec l'Ă©glise Sainte-Victoire et un rempart du chĂąteau
Blason de Clermont-Soubiran
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Rives
Maire
Mandat
Guy Depasse
2020-2026
Code postal 47270
Code commune 47067
DĂ©mographie
Gentilé Clermontois
Population
municipale
394 hab. (2020 en augmentation de 4,51 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 38 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 08â€Č 29″ nord, 0° 49â€Č 59″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 188 m
Superficie 10,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-Est agenais
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Clermont-Soubiran
Liens
Site web clermont-soubiran.fr/

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune située en Agenais entre Agen et Moissac à 5 km au nord-ouest de Valence-d'Agen, regroupant les hameaux de Coupet, Laspeyres.

    Communes limitrophes

    Clermont-Soubiran est limitrophe de huit autres communes. Les communes limitrophes sont Gasques, Golfech, LamagistĂšre, Valence, Grayssas, Saint-Romain-le-Noble et Saint-Urcisse.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 039 hectares ; son altitude varie de 45 Ă  188 mĂštres[2].

    Hydrographie

    Commune arrosĂ©e par le Ruisseau de NĂ©guevieille[3], qui forme sur une partie de son cours une limite avec la commune de LamagistĂšre dans le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne, Ă  l'est par la Barguelonne, qui forme aussi une limite avec le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne et la rĂ©gion Occitanie, et plus prĂ©cisĂ©ment les communes de Golfech et Valence[4], et la Garonne qui touche une toute petite partie de la commune dans sa partie extrĂȘme ouest, ainsi que le canal latĂ©ral Ă  la Garonne qui traverse la commune dans son extrĂȘme ouest Ă©galement.

    Voies de communication et transports

    AccĂšs avec la route nationale 113.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 775 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941[11] et qui se trouve Ă  21 km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Clermont-Soubiran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (88,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,2 %), prairies (13,9 %), forĂȘts (11,4 %), zones urbanisĂ©es (1 %), cultures permanentes (0,1 %), eaux continentales[Note 7] (0,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Clermont-Soubiran est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque nuclĂ©aire[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue Ă   dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment la Garonne, le Canal latĂ©ral Ă  la Garonne, la Barguelonne et le Ruisseau de NĂ©guevieille. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2008, 2009 et 2021[24] - [22].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Clermont-Soubiran.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[26]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2002, 2003, 2005, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque technologique

    La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire de Golfech (qui se trouve Ă  environ 5 km au sud-est de la mairie), elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 9]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 10] - [28] - [29].

    Histoire

    Situé sur le passage de la voie romaine dite « Clermontoise », le village est une ancienne place forte, qui reçut une charte de coutumes en 1262.

    La seigneurie, puis baronnie (en 1208) de Clermont Soubeyran, appartient depuis le haut Moyen Âge Ă  la maison de Durfort. C'Ă©tait une des quatre baronnies « de chaise » de l'Ă©vĂȘchĂ© d'Agen, dont les seigneurs avaient le devoir (ou privilĂšge ?) de porter chaque nouvel Ă©vĂȘque dans sa cathĂ©drale le jour de son intronisation. Elle est partagĂ©e (par mariage en 1270) avec la maison de l'isle-Jourdain, puis passe par Ă©change (1375) au comte Jean II d'Armagnac.

    Le Comte d'Armagnac Jean V ayant conspirĂ© contre Charles VII (mort en 1461), puis Ă  nouveau contre Louis XI, la baronnie fut confisquĂ©e par celui-ci et donnĂ©e (dĂšs 1463 ?) Ă  Robert de Balsac (1440-1503), baron d'Entragues, avec Malause et le quart de la seigneurie d'Astafort[30]. De son mariage avec Anne de Chabannes, vint Pierre (ca 1480, + aprĂšs 1531), qui Ă©pousa (par rapt) Anne Malet de Graville, fille de l'Amiral (leurs descendants hĂ©ritĂšrent plus tard du comtĂ© de Graville). Ils eurent Guillaume (1417-1555), Ă©pouse de Louise d'HumiĂšres, d'oĂč Charles (1542- tuĂ© Ă  la bataille d'Ivry le 14 mars 1590), mariĂ© Ă  HĂ©lĂšne de Meuillon (veuve de Charles de Gondi) ; enfin leur fils Henri (dates mal connues), comte de Graville, fut crĂ©Ă© marquis de Clermont-Sousbiran (dit aussi d'Entragues) en janvier 1617[31] ; mais de son mariage avec Louise Luillier, il ne laissa que deux filles, et le marquisat dĂ»t s'Ă©teindre avec lui (bien que la justice ait continuĂ© d'ĂȘtre exercĂ©e).

    La cadette Marie (1617-1691), qui hĂ©rita des biens de sa sƓur aĂźnĂ©e, morte sans enfants en 1682, avait Ă©pousĂ© en 1651 le comte de Marchin (alias Marsin ou Marcin), d'oĂč vint Ferdinand (1656-1706), MarĂ©chal de France. Malheureusement, celui-ci fut trĂšs nĂ©gligent dans ses affaires, et ne laissa que des dettes. Le domaine passa ensuite aux familles de Gasquet (1712), de Picot (1774), puis Ă  un gendre (mariĂ© en 1784), le gĂ©nĂ©ral de Lameth (qui fut prĂ©sident de l'AssemblĂ©e Nationale), et aux NicolaĂż. Il fut finalement vendu Ă  la famille de Laborie.

    La commune s'appelait Clermont-Dessus jusqu'en 1972. Elle a repris son nom ancien, d'origine occitane.

    Politique et administration

    La mairie

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2014 est de onze[32] - [33].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de l'Agen de la communauté de communes des Deux Rives et du canton du Sud-Est agenais (avant le redécoupage départemental de 2014, Clermont-Soubiran faisait partie de l'ex-canton de Puymirol).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1989 mars 2008 Aldée Bernardin Agricultrice
    mars 2008 En cours Guy Depasse Retraité des postes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[35].

    En 2020, la commune comptait 394 habitants[Note 11], en augmentation de 4,51 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 184877869861895849869874760
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    750658655563539520550529514
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    481476413371380347340310333
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    315316270236301333367378367
    2014 2019 2020 - - - - - -
    377393394------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
    Rang de la commune dans le département 171 165 247 187 164 169 173 175
    Nombre de communes du département 326 311 313 317 317 319 319 319

    Économie

    Viticulture la commune compte deux vignobles en appellation contrÎlée, la Bastide et Brissou Brulhois (AOC).

    Enseignement

    Clermont-Soubiran fait partie de l'académie de Bordeaux.

    Clermont-Soubiran possĂšde une Ă©cole.

    Culture et festivités

    ComitĂ© des fĂȘtes,

    Cinéma

    Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Clermont-Soubiran Blason
    De gueules Ă  un lion d'argent[42].
    DĂ©tails
    Au XXe siÚcle, la commune portait les 6 flanchis (petits sautoirs) de la famille de Balsac, marquis de Clermont d'Entragues. Mais ce blason n'étant plus compris, la mairie demanda à prendre les armes des Durfort, leurs premiers seigneurs. Le duc de Duras, peu soucieux de voir son blason orner les poubelles municipales, n'autorisa que les 2e et 3e quartiers de ses armes, qui est le lion des Lomagne, mais qui n'a guÚre de rapport avec l'histoire de la commune. Le changement a eu lieu dans les années 1990.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    10. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    3. « Ruisseau de néguevieille [O6140510] », sur eaufrance.fr (consulté le ).
    4. Présentation de Clermont-Soubiran sur le site de la C. C. des Deux Séounes
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station météofrance Agen-La Garenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Clermont-Soubiran et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Clermont-Soubiran », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    30. Anselme de Sainte-Marie (PÚre), Histoire de la maison royale de France, Paris, Cie des Libraires, rééd; du Palais-Royal, 1726-1967, tome 2 page 437E
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