Clermont-Soubiran
Clermont-Soubiran est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Clermont-Soubiran | |||||
La place du village avec l'Ă©glise Sainte-Victoire et un rempart du chĂąteau | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Agen | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Deux Rives | ||||
Maire Mandat |
Guy Depasse 2020-2026 |
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Code postal | 47270 | ||||
Code commune | 47067 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Clermontois | ||||
Population municipale |
394 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 08âČ 29âł nord, 0° 49âČ 59âł est | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 188 m |
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Superficie | 10,39 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Agen (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Sud-Est agenais | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | clermont-soubiran.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Commune située en Agenais entre Agen et Moissac à 5 km au nord-ouest de Valence-d'Agen, regroupant les hameaux de Coupet, Laspeyres.
Communes limitrophes
Clermont-Soubiran est limitrophe de huit autres communes. Les communes limitrophes sont Gasques, Golfech, LamagistĂšre, Valence, Grayssas, Saint-Romain-le-Noble et Saint-Urcisse.
GĂ©ologie et relief
La superficie de la commune est de 1 039 hectares ; son altitude varie de 45 Ă 188 mĂštres[2].
Hydrographie
Commune arrosĂ©e par le Ruisseau de NĂ©guevieille[3], qui forme sur une partie de son cours une limite avec la commune de LamagistĂšre dans le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne, Ă l'est par la Barguelonne, qui forme aussi une limite avec le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne et la rĂ©gion Occitanie, et plus prĂ©cisĂ©ment les communes de Golfech et Valence[4], et la Garonne qui touche une toute petite partie de la commune dans sa partie extrĂȘme ouest, ainsi que le canal latĂ©ral Ă la Garonne qui traverse la commune dans son extrĂȘme ouest Ă©galement.
Voies de communication et transports
AccĂšs avec la route nationale 113.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941[11] et qui se trouve Ă 21 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Clermont-Soubiran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (88,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,2 %), prairies (13,9 %), forĂȘts (11,4 %), zones urbanisĂ©es (1 %), cultures permanentes (0,1 %), eaux continentales[Note 7] (0,1 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Clermont-Soubiran est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque nuclĂ©aire[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment la Garonne, le Canal latĂ©ral Ă la Garonne, la Barguelonne et le Ruisseau de NĂ©guevieille. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2008, 2009 et 2021[24] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[26]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2002, 2003, 2005, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risque technologique
La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire de Golfech (qui se trouve Ă environ 5 km au sud-est de la mairie), elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 2 km se mettent Ă l'abri[Note 9]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s dâiode stable[Note 10] - [28] - [29].
Histoire
Situé sur le passage de la voie romaine dite « Clermontoise », le village est une ancienne place forte, qui reçut une charte de coutumes en 1262.
La seigneurie, puis baronnie (en 1208) de Clermont Soubeyran, appartient depuis le haut Moyen Ăge Ă la maison de Durfort. C'Ă©tait une des quatre baronnies « de chaise » de l'Ă©vĂȘchĂ© d'Agen, dont les seigneurs avaient le devoir (ou privilĂšge ?) de porter chaque nouvel Ă©vĂȘque dans sa cathĂ©drale le jour de son intronisation. Elle est partagĂ©e (par mariage en 1270) avec la maison de l'isle-Jourdain, puis passe par Ă©change (1375) au comte Jean II d'Armagnac.
Le Comte d'Armagnac Jean V ayant conspirĂ© contre Charles VII (mort en 1461), puis Ă nouveau contre Louis XI, la baronnie fut confisquĂ©e par celui-ci et donnĂ©e (dĂšs 1463 ?) Ă Robert de Balsac (1440-1503), baron d'Entragues, avec Malause et le quart de la seigneurie d'Astafort[30]. De son mariage avec Anne de Chabannes, vint Pierre (ca 1480, + aprĂšs 1531), qui Ă©pousa (par rapt) Anne Malet de Graville, fille de l'Amiral (leurs descendants hĂ©ritĂšrent plus tard du comtĂ© de Graville). Ils eurent Guillaume (1417-1555), Ă©pouse de Louise d'HumiĂšres, d'oĂč Charles (1542- tuĂ© Ă la bataille d'Ivry le 14 mars 1590), mariĂ© Ă HĂ©lĂšne de Meuillon (veuve de Charles de Gondi) ; enfin leur fils Henri (dates mal connues), comte de Graville, fut crĂ©Ă© marquis de Clermont-Sousbiran (dit aussi d'Entragues) en janvier 1617[31] ; mais de son mariage avec Louise Luillier, il ne laissa que deux filles, et le marquisat dĂ»t s'Ă©teindre avec lui (bien que la justice ait continuĂ© d'ĂȘtre exercĂ©e).
La cadette Marie (1617-1691), qui hĂ©rita des biens de sa sĆur aĂźnĂ©e, morte sans enfants en 1682, avait Ă©pousĂ© en 1651 le comte de Marchin (alias Marsin ou Marcin), d'oĂč vint Ferdinand (1656-1706), MarĂ©chal de France. Malheureusement, celui-ci fut trĂšs nĂ©gligent dans ses affaires, et ne laissa que des dettes. Le domaine passa ensuite aux familles de Gasquet (1712), de Picot (1774), puis Ă un gendre (mariĂ© en 1784), le gĂ©nĂ©ral de Lameth (qui fut prĂ©sident de l'AssemblĂ©e Nationale), et aux NicolaĂż. Il fut finalement vendu Ă la famille de Laborie.
La commune s'appelait Clermont-Dessus jusqu'en 1972. Elle a repris son nom ancien, d'origine occitane.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2014 est de onze[32] - [33].
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Commune faisant partie de l'Agen de la communauté de communes des Deux Rives et du canton du Sud-Est agenais (avant le redécoupage départemental de 2014, Clermont-Soubiran faisait partie de l'ex-canton de Puymirol).
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[35].
En 2020, la commune comptait 394 habitants[Note 11], en augmentation de 4,51 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Viticulture la commune compte deux vignobles en appellation contrÎlée, la Bastide et Brissou Brulhois (AOC).
Enseignement
Clermont-Soubiran fait partie de l'académie de Bordeaux.
Clermont-Soubiran possĂšde une Ă©cole.
Culture et festivités
ComitĂ© des fĂȘtes,
Cinéma
Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :
Activités sportives
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- ChĂąteau de Clermont-Soubiran inscrit au titre des monuments historiques ;
- Ăglise Sainte-Victoire de Clermont-Soubiran ;
- Ăglise de Coupet ;
- Ăglise Saint-Pierre de Saint-Pierre-de-Malaure ;
- mairie entiÚrement rénovée en 1992.
Personnalités liées à la commune
- Robert de Balsac ;
- Famille de Durfort : Raymond-Bernard de Durfort ;
HĂ©raldique
Blason | De gueules Ă un lion d'argent[42]. |
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Détails | Au XXe siÚcle, la commune portait les 6 flanchis (petits sautoirs) de la famille de Balsac, marquis de Clermont d'Entragues. Mais ce blason n'étant plus compris, la mairie demanda à prendre les armes des Durfort, leurs premiers seigneurs. Le duc de Duras, peu soucieux de voir son blason orner les poubelles municipales, n'autorisa que les 2e et 3e quartiers de ses armes, qui est le lion des Lomagne, mais qui n'a guÚre de rapport avec l'histoire de la commune. Le changement a eu lieu dans les années 1990. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le pĂ©rimĂštre de 2 km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă lâabri dĂšs lâalerte et suivre les consignes.
- Les comprimĂ©s dâiode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets dâiode radioactif qui pourraient survenir en cas dâaccident nuclĂ©aire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
- « Ruisseau de néguevieille [O6140510] », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Présentation de Clermont-Soubiran sur le site de la C. C. des Deux Séounes
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- PÚre Anselme, op. cité, p 440-D. Lettres enregistrées au Parlement de Bordeaux le 2 décembre 1617 [AD33, 1B21, f° 61v°] ; Thiou, Dictionnaire des Titres (2003) p 98.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « 47067 Clermont-Soubiran (Lot-et-Garonne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).