Claracq
Claracq (en béarnais Clarac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Claracq | |||||
Église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Claude Cassou-Lalanne 2020-2026 |
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Code postal | 64330 | ||||
Code commune | 64190 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Claracquois | ||||
Population municipale |
240 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 30′ 42″ nord, 0° 17′ 55″ ouest | ||||
Altitude | Min. 140 m Max. 262 m |
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Superficie | 9,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune de Claracq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 20 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Ribarrouy (2,5 km), Garlède-Mondebat (2,8 km), Lalonquette (3,1 km), Carrère (3,4 km), Boueilh-Boueilho-Lasque (3,6 km), Taron-Sadirac-Viellenave (3,9 km), Mouhous (4,0 km), Miossens-Lanusse (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Claracq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Hydrographie
La commune est drainée par le Gabas, le Bahus, le Gabassot, le Tourniquet, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le Gabas, d'une longueur totale de 116,7 km, prend sa source dans la commune d'Ossun et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Souprosse, après avoir traversé 43 communes[8].
Le Bahus, d'une longueur totale de 47,9 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Sever, après avoir traversé 16 communes[9].
Le Gabassot, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Lées à Castetbon, après avoir traversé 9 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Disse », sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[16] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[17] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 16 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[23] - [24] - [25].
Urbanisme
Typologie
Claracq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [26] - [27] - [28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29] - [30].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61 %), forêts (16,5 %), prairies (13,6 %), zones agricoles hétérogènes (9 %)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
- Bégué ;
- la Butte ;
- Cazenave ;
- Espialoup ;
- Lourette ;
- Mouly.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route nationale 134 et par les départementales 42, 219 et 296.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Claracq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Gabassot, le Bahus et le Gabas. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[34] - [32].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. 40,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [36].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[38].
Toponymie
Le toponyme Claracq apparaît sous les formes Claracum (XIIe siècle[39], collection Duchesne volume CXIV[40]), Clerac (XIIIe siècle[39], fors de Béarn[41]), la forteresse de Clarac (1443[39], règlement de la Cour Majour[42]) et Claracq en Vic-Bilh (1753[39], dénombrement de Claracq[43]).
Histoire
Le domaine gallo-romain de Clarus devint un village protégé par un castera sur l'emplacement duquel se trouve le château aujourd'hui propriété de la commune.
Paul Raymond[39] note qu'en 1385, Claracq comptait quarante-sept feux et dépendait du bailliage de Pau.
Au XVIe siècle[39], Claracq dépendait de la baronnie de Coarraze. En 1546[39], Garlède et Claracq ne formaient qu'une seule et même commune.
Politique et administration
Intercommunalité
Claracq fait partie de quatre structures intercommunales[44] :
- la communauté de communes des Luys en Béarn ;
- le SIVOS Carrère - Claracq ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées.
Claracq accueille le siège du SIVOS Carrère - Claracq.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].
En 2020, la commune comptait 240 habitants[Note 10], en augmentation de 3,9 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Claracq fait partie de l'aire urbaine de Pau.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Les vestiges d'un ensemble fortifié (ou castelnau[49]) du XIe siècle témoignent du passé ancien de la commune.
Une croix de chemin[50] de 1855 est inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel.
Le château[51] fut reconstruit au XIXe siècle.
Claracq présente un ensemble de fermes et de demeures[52] construites entre le XVIIe et le XIXe siècle.
Au lieu-dit Mouly, un moulin[53] qui apparaissait sur la carte de Cassini, est référencé par le ministère de la Culture.
Patrimoine religieux
L'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie[54] date partiellement du XIe siècle. Elle recèle des objets[55], des tableaux[56] et du mobilier[57] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.
Équipements
- Enseignement
Claracq dispose d'une école primaire, qu'elle met en commun avec Carrère au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[37].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Claracq » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune de Claracq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Claracq et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Claracq et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Claracq », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Claracq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Gabas ».
- Sandre, « le Bahus ».
- Sandre, « le Gabassot ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Claracq et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Claracq et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Claracq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Claracq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Claracq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Claracq », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cour Majour de Béarn, registres manuscrits du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Manuscrits du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'ensemble fortifié
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de chemin
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et fermes anciennes
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le moulin
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
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