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Civray-de-Touraine

Civray-de-Touraine est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire.

Civray-de-Touraine
Civray-de-Touraine
Blason de Civray-de-Touraine
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes de Bléré Val de Cher
Maire
Mandat
Fanny Hermange
2020-2026
Code postal 37150
Code commune 37079
DĂ©mographie
Gentilé Civraisiens
Population
municipale
1 782 hab. (2020 en diminution de 3,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 78 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 19′ 59″ nord, 1° 02′ 58″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 129 m
Superficie 22,88 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bléré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Civray-de-Touraine
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Civray-de-Touraine
Liens
Site web civraydetouraine.fr/

    GĂ©ographie

    Localisation et paysages

    Chemin situé en varenne du Cher, proche de la limite ouest de la commune

    Une commune à cheval sur le Cher : seule commune de Touraine à s'étendre largement de part et d'autre du Cher, ce qui lui valut, d'ailleurs, d'être coupée en deux parties par la ligne de démarcation entre l'armistice de 1940 et novembre 1942 : l'une en zone occupée (nord), l'autre en zone non occupée (sud). Le terroir présente ainsi une grande variété : de la forêt d'Amboise en passant par les coteaux couverts de vignes, la Varenne humide en fond de vallée et au sud l'amorce du plateau de la Champeigne tourangelle.

    Communes limitrophes : Amboise, Souvigny-de-Touraine, Chenonceaux, Francueil, Luzillé, Bléré (chef-lieu de canton), La Croix-en-Touraine.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de Civray-de-Touraine.

    La commune est traversĂ©e d'est en ouest par le Cher (1,756 km). Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 23,3 km, comprend Ă©galement divers petits cours d'eau dont la Fosse Triomphe (0,621 km)[1] - [2].

    Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source Ă  714 mètres d'altitude Ă  MĂ©rinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire Ă  Villandry, Ă  40 m d'altitude, après avoir traversĂ© 117 communes[3]. Le Cher prĂ©sente des fluctuations saisonnières de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Tours [Pont Saint Sauveur]. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  192 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 4,96 m le [5] - [6]. Ce cours d'eau est classĂ© dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut ĂŞtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă  la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă  des prescriptions permettant de maintenir le très bon Ă©tat Ă©cologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit ĂŞtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des règles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă  dĂ©faut, l'exploitant[7] - [8]. Sur le plan piscicole, le Cher est classĂ© en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].

    Deux zones humides[Note 3] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la prairie de Chenonceaux » et « l'étang de la Quantinerie »[10] - [11].

    Urbanisme

    Typologie

    Civray-de-Touraine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Tours, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 38 communes[15] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,8 %), terres arables (25 %), cultures permanentes (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (7,7 %), prairies (3,9 %), eaux continentales[Note 6] (1,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Civray-de-Touraine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2002, 2016 et 2018[24] - [22].

    Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif d'Amboise, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Civray-de-Touraine.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[26]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 94,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 862 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 666 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 77 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [28].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999, 2001 et 2012[22].

    Histoire

    Le , Civray sur Cher est devenu Civray de Touraine.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1953 Marc Deschamps SFIO Président de cave coopérative
    1953 1971 Henri Courault
    1971 1971 Marcel Avrin
    1971 1977 Virgile Girard PCF
    1977 1979 Jean-Claude Perochon
    1979 1983 Virgile Girard PCF
    1983 1995 Claude Bouchaud
    1995 1999 Christian Rocher Agriculteur
    1999 2018 Alain Bernard DVD Retraité Fonction publique
    2018 En cours Fanny Hermange DVD Directrice générale des services dans une collectivité territoriale[29]

    Population et société

    DĂ©mographie

    Écluse, barrage et pont de Civray de Touraine
    Lavoir du village de la vallée de Mesvres inondé, le 31 mai 2016

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 1 782 habitants[Note 7], en diminution de 3,41 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8648989449721 0291 0451 0831 0871 116
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1521 1861 1491 1331 1601 1851 1971 1241 017
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0201 003976945900825839841947
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    9739181 0371 1581 3771 5231 6861 7131 815
    2015 2020 - - - - - - -
    1 8451 782-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Civray-de-Touraine se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription d'Amboise.

    L'école primaire Les 2 Rives accueille les élèves de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Façade principale (sud) de la mairie

    Église Saint Germain (XIIIe siècle)

    L'Église paroissiale fut classĂ©e monument historique en 1946. Elle est dĂ©diĂ©e Ă  saint Germain. En effet, au VIe siècle, Civray Ă©tait un domaine appartenant Ă  Germain de Paris, Ă©vĂŞque de Paris. Les parties les plus anciennes de l'Ă©difice ont aujourd'hui près de 900 ans puisqu'elles datent du XIIe siècle : il s'agit de la nef et du transept. Le chĹ“ur, Ă  chevet plat et voĂ»te angevine, date du XIIIIe siècle tout comme les trois vitraux retraçant la vie de saint Germain. Ă€ l'intĂ©rieur, une pierre d'autel armoriĂ©e (XVIIe siècle) provient du donjon de Mesvres. L'Ă©glise occupe l'emplacement d'un sanctuaire plus ancien : on a retrouvĂ© au XIXe siècle, les vestiges d'un baptistère carolingien (VIIIe siècle) Ă©quipĂ© d'une cuve en poterie (un dolium) qui devait ĂŞtre Ă  l'origine (IVe ou Ve siècle) une grande jarre utilisĂ©e pour le stockage du grain ; ce dolium est conservĂ© Ă  Tours par la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Touraine. Une partie des vitraux de l'Ă©glise proviendrait de l'ancien prieurĂ© de Montoussan, aujourd'hui en ruine et situĂ© en forĂŞt d'Amboise sur la commune de Souvigny de Touraine.

    Donjon de Mesvres (XIIe-XVe siècle)

    Classé à l'inventaire des monuments historiques en 1932. La vallée de Mesvres se situe en limite ouest de la commune, à 3 km du centre-bourg. Il s'agit d'une petite agglomération longiligne qui s'étend sur près de 2 km, le long du ruisseau du même nom, lui-même affluent du Cher. Le château occupe une position centrale dans la vallée. Les parties les plus anciennes datent des XIIe et XIIIe siècles mais le bâtiment fut en grande partie reconstruit au XVe siècle. On peut encore voir la massive silhouette du donjon carré, équipé d'une bretèche sur la face sud. Une chapelle (désaffectée) lui est accolée. Des restes de douves et plusieurs souterrains sont également conservés.

    L'ensemble d'Ă©clusage sur le Cher

    Il est composé d'un barrage, d'une écluse et de sa maison-éclusière. On pouvait en effet remonter le Cher depuis Tours jusqu'à Saint-Aignan (Loir-et-Cher) et parvenir à Vierzon, Bourges et même Nevers par le canal du Berry. Les travaux d'aménagement remontent au XIXe siècle (le canal du Berry fut ouvert en 1828). Le barrage, haut de deux mètres est muni d'aiguilles que l'on retire en période de hautes eaux. La maison-éclusière porte les marques des deux grandes crues de mai et juin 1856. Pendant la dernière guerre, dans l'est du département et jusqu'à Bléré, la ligne de démarcation suivait le cours du Cher : Civray se trouvait donc coupé en deux entre zone occupée (au nord) et zone non-occupée (au sud) ; les barrage-écluses étaient alors des lieux stratégiques.

    Autres monuments

    Château de Civray.
    • Château de la Grillonnière (XVe-XVIe siècle)
    • Logis de Diane (XVIe siècle)
    • Château de Civray-de-Touraine (XVIIIe siècle)
    • Manoir de ThorĂ© (XIXe siècle)
    • Nombreux puits et lavoirs et quelques loges de vignes.

    Blasonnement

    Les armoiries de Civray-de-Touraine se blasonnent ainsi :

    D'azur à un pont voûté d'une arche en ogive d'or, maçonné de sable, accompagné de trois tours d'argent aussi maçonnées de sable et ouvertes du champ, et surmonté d'une grappe de raisin tigée au naturel

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    2. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    3. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Civray-de-Touraine », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    4. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    5. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    6. « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    7. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    9. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    11. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Civray-de-Touraine », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
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    25. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    29. « Fanny Hermange élue maire sans surprise », La Nouvelle République,
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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