Chevincourt
Chevincourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Chevincourtois.
Chevincourt | |||||
La mairie sous le brouillard | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC des Deux Vallées | ||||
Maire Mandat |
Annie Genermont 2020-2026 |
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Code postal | 60150 | ||||
Code commune | 60147 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chevincourtois, Chevincourtoises | ||||
Population municipale |
790 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 97 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 30′ 22″ nord, 2° 50′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 181 m |
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Superficie | 8,12 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Thourotte | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.chevincourt.info/ | ||||
Géographie
Description
Chevincourt est un bourg périurbain picard du Compiégnois dans l'Oise, situé à 10 km ai nord de Compiègne, 38 km au nord-ouest de Soissons, 50 km au sud-ouest de Saint-Quentin, 60 km au sud-est cd'Amiens et à l'est de Beauvais.
La commune s'étend sur 8,16 km2 et son altitude moyenne est à 45 m. Le sentier de grande randonnée RG 123 tangente à l'ouest le territoire communal, sur la Montagne du Paradis.
Elle est proche (environ 24 km) du parc naturel régional Oise-Pays de France.
Communes limitrophes
Chevincourt est entourée par les communes de Mélicocq, Marest-sur-Matz et Villers-sur-Coudun
Élincourt-Sainte-Marguerite | Cannectancourt | |||
N | Machemont | |||
O Chevincourt E | ||||
S | ||||
Marest-sur-Matz | Mélicocq |
Hydrographie
Le village est limité au sud par le Matz, un affluent de l'Oise. et donc un sous-affluent de la Seine.
Le ruisseau des Loyaux, qui se jette dans le Matz, draine la commune du nord au sud, ainsi que le ruisseau de Saint-Amand .
Le Matz, bordé de zones humides, est apprécié des pêcheurs[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Chevincourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (43,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,5 %), terres arables (33,4 %), zones urbanisées (8,4 %), mines, décharges et chantiers (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), prairies (3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La Cense est un écart situé au nord du village.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 408, alors qu'il était de 385 en 2013 et de 365 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 2 % des résidences secondaires et 8,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,6 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chevincourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Histoire
Antiquité
Des médailles romaines sont découvertes en 1838 au lieu-dit La Plaine[22].
Moyen Âge
Selon Émile Coët[23], « la terre de Chevincourt appartenait à l'abbaye de Saint-Riquier ou de Centule ; la possession fut confirmée à ce monastère par le roi Louis le Débonnaire, le 3 du mois d'avril 817, sous le nom de Cinani curtem cum Bronoïlo (...)
En 878, Louis le Bègue, à la demande de l'abbé Guelfe de Sainte-Colombe, exempta les habitants de Chevincourt du logement des gens de guerre, dont ils étaient fort incommodés, à cause des mouvements de troupes qui avaient lieu pour protéger les diocèses de Beauvais et de Noyon, contre les incursions des Normands. (...)
Au mois de novembre 1266, l'abbaye racheta de Jean, seigneur de Coudun, chevalier, du consentement de sa femme Eustache, le manoir de Chevincourt, avec quatre hôtes, des vignes, des terres et des bois. Le roi Louis IX donna des lettres de confirmation et d'amortissement, au mois de février de la même année.
Des difficultés s'élevèrent plusieurs fois entre l'abbaye et le prieuré de Saint-Amand, à propos de leurs droits respectifs à Chevincourt, notamment en 1180 et en 1484. Dans celte dernière année, le 24 août, une sentence arbitrale fixa et modifia les limites de leurs propriétés et des dimages
Les vignobles de l'abbaye étaient affermés, à la charge, par les habitants, de lui délivrer l'ame de leurs raisins, après les avoir foulés une nuit seulement, sans les charger pour écouler plus fort que de raison, « sans cavilation, ni tricherie, » ce qui fut établi
par des lettres de Jean de Bouberch, bailli du temporel de l'abbaye, en l'année 1401. On récoltait ainsi assez de vin pour la consommation du couvent pendant toute l'année ».
Époque moderne
« En 1730, la terre et seigneurie de Chevincourt consistaient en deux fermes, un moulin, des dîmes, champart, droits de justice et autres[23] ».
Le curé de Chevincourt touchait de l'abbaye, quatre cents livres pour les grosses dîmes. L'abbé de Saint-Riquier nommait le curé, qui portait le titre de sous-prieur. La paroisse relevait du doyenné de Coudun et de l'archidiaconé de Breteuil[23].
Sous l'Ancien Régime, Chevincourt dépendait du bailliage et de l'élection de Compiègne, et de la généralité de Paris[23].
Un édit royal du mois de juin 1787, crée une assemblée municipale à Chevincourt[23].
Époque contemporaine
A la fin du XIXe siècle, Chevincourt comptait deux moulins à eau produisant de la farine[23].
Première Guerre mondiale
Chevincourt est envahie dès le début de la Première Guerre mondiale le et occupée jusqu'au . Proche du front, le village devient un lieu de cantonnement de troupes françaises tandis que sa partie nord-est, et notamment les carrières, est soumise régulièrement à des échanges d’artillerie.
Après l'Opération Alberich de mars 1917, le front s'éloigne, mais les habitants doivent évacuer Chevincourt lors de l'Offensive du Printemps 1918. Le village est au centre des combats de la bataille du Matz (9 - 11 juin 1918). Les Allemands occupent alors le village, qui n'est libéré que par la contre-offensive du menée par les soldats du 288e RI et 12e RI[24].
175 soldats sont morts à Chevincourt, dont 161 dans les combats de juin et août 1918[25] - [26].
Chevincourt a été détruit à plus de 80 %[27], et 22 soldats mobilisés originaires du village et un civil ont été tués pendant la Guerre[26].
Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [28].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Ribécourt-Dreslincourt[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
Chevincourt est membre de la communauté de communes des Deux Vallées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Équipements et services publics
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Machemont dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal. L'école de Chevincourt date de la fin des années 1990[33]
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2020, la commune comptait 790 habitants[Note 8], en diminution de 8,67 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 422 hommes pour 422 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre, dont le chœur date du XVIe siècle et est de style Renaissance. La travée droite est délimitée par quatre pilastres surmontés de chapiteaux d’ordre composite (c’est-à -dire mélangeant les ordres dorique, caractérisé par les volutes d’angle, et corinthien, caractérisé par la feuille d’acanthe). Un cartouche au-dessus du premier pilastre sud porte la date de 1539. Le chœur s'achève par une abside à cinq pans en hémicycle séparés par une colonne en délit surmontée d'un chapiteau corinthien aux angles décorés de têtes humaines supportant des statues récentes et un dais décoré avec art. Chaque dais est différent et constitue une architecture en miniature accueillant le répertoire décoratif propre à la Renaissance : coquilles Saint-Jacques, feuilles de choux, pilastres à décor de losanges, frontons triangulaires, petits dômes…
Très largement détruite en 1918 — le clocher a été alors totalement détruit et la nef fortement endommagée — l'église s'est vue dotée d"un nouveau clocher dans les années 1920, qui s'inspire du précédent, datant sans doute du XIXe siècle La nef, refaite également, comporte des arcades reçues sur des piles rectangulaires et s’inspire de la construction précédente.
On peut noter un tabernacle remarquable du XVIIe siècle[39].
Personnalités liées à la commune
- Hugues de Chevincourt est abbé de Saint-Riqnier, de 1210 à 1236[23].
- Henri de la Ruelle de Chevincourt et Hessie, son épouse, donnent en 1250 en aumône à l'abbaye d'Ourscamp, une vigne située à Chevincourt, au lieu appelé : Sommiers[23].
- Gaucher, châtelain de Thourotte et de Noyon, donne en 1283, aux Grandmontains (Bonshommes) de Francport, une rente annuelle de deux muids du meilleur vin, à prendre sur ses tailles de Chevincourt[23].
- Lord William Ashbourne (1868-1942), noble britannique qui a milité pour la créatuion de l'état irlandais, époux en 1896 de Marianne de Monbrison. Il a poarticipé à la reconstruction de l'église de Chevincourt avant de s'installer définitivement en France en 1939/1940. Interné au camp de Royallieu au début de l'occupation, il meurt en 1942 et est inhumé au cimetière communal[40]
- Angus Maddison (1926-1910), économiste et historien britannique, professeur émérite à l'Université de Groningue, a habité la commune.
- Mylène Farmer (1961- ), auteure-compositrice-interprète, productrice et actrice franco-canadienne, a possédé une maison à Chevincourt
Héraldique
Blason | D'or à la croix pattée et alésée de sable; à la champagne ondée de gueules sommée d'argent et chargée d'un listel d'or surchargé de l'inscription « CHEVINCOURT » en lettres de sable[41]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Abbé Hénocque, « Prévôté et seigneurie de Chevincourt », dans Histoire de l'abbaye et de la ville de Saint-Riquier, t. 3, Amiens, Douillet et Cie, coll. « Mémoires de la Société des Antiquaires de Picardie », (lire en ligne), p. 347-357; sur Gallica.
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Chevincourt (60147) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Chevincourt », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Chevincourt » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Chevincourt » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chevincourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chevincourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Alexis Bisson, « Dans l’Oise, les plus jeunes pêchent aussi… en ligne », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chevincourt et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chevincourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise, Paris, Imprimerie impériale, , 208 p. (lire en ligne), p. 154.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 385-388, sur Gallica.
- « Chevincourt durant la Grande guerre », Livre-mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
- Bruno Dauzat, « L’histoire de Chevincourt pendant la bataille du Matz exposée 100 ans plus tard : Une exposition de panneaux contenant des photos colorisées est à parcourir jusqu’à la mi-novembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Une exposition sur le lourd bilan de la Grande Guerre ce week-end à Chevincourt : Les innombrables tués, blessés et destructions de 14-18 sont abordés du samedi 9 au lundi 11 novembre à la salle des fêtes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Election du maire », Le Courrier picard, édition de l'Oise, no 22190,‎ , p. 14.
- « À Chevincourt, Annie Genermont en lice pour un nouveau mandat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Compte-rendu sommaire du conseil municipal du 25 mai 2020 », Réunions conseil municipal, sur https://www.chevincourt.info (consulté le ).
- Régis Lefèvre, « Les parents refusent la fermeture d'une classe », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chevincourt (60147) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Chevincourt, église Saint-Pierre : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- Bruno Dauzat, « Un Lord irlandais repose au cimetière de Chevincourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.