Chartainvilliers
Chartainvilliers est une commune française située à 15 km au nord-est de Chartres, dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Chartainvilliers | |||||
Ancienne Ă©olienne pour l'alimentation en eau (1861). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres Métropole | ||||
Maire Mandat |
Alain Boutin 2020-2026 |
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Code postal | 28130 | ||||
Code commune | 28084 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Carnutes | ||||
Population municipale |
690 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 76 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 32âČ 41âł nord, 1° 33âČ 09âł est | ||||
Altitude | Min. 109 m Max. 167 m |
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Superficie | 9,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Ăpernon | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.chartainvilliers.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
- Superficie de la commune : 907 hectares
- Altitude : 155,5 m Ă la mairie et 162 m au point culminant
- Situation :
- Chartainvilliers dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Chartainvilliers.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
Le territoire de la commune est traversé par la route départementale 906, reliant Chartres, Maintenon et Rambouillet.
Relief et géologie
Chartainvilliers est une commune de plateau situĂ©e sur la rive gauche de lâEure. Le sol est constituĂ© de craie sĂ©nonienne, dâargile Ă silex et dâargile yprĂ©sienne avec une couverture limoneuse qui favorise les cultures cĂ©rĂ©aliĂšres. Les terres cultivĂ©es occupent 689 hectares (soit 76 % de la superficie gĂ©nĂ©rale) et les bois couvrent 136 hectares principalement localisĂ©s sur les bordures du plateau et sur les talus du canal Louis XIV, lâancien aqueduc devant relier Pontgouin Ă Versailles.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[7] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 604,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă 9 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Chartainvilliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (82,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (82 %), forĂȘts (13,3 %), zones urbanisĂ©es (4,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Chartainvilliers est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1983 et 1999[22] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 48,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 307 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 212 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 69 %, Ă comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible dâavoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusquâĂ 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[26].
Toponymie
Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous la forme Carnotense villare en 1207[27], câest-Ă -dire âdomaines des Carnutesâ au temps de la Gaule romaine[28].
Le mot « carnute » a donnĂ© lâadjectif « chartain », dâoĂč : Chartainvilliers.
Histoire
- Les Carnutes
Le nom du village Ă©tait autrefois Carnotance Villare, câest-Ă -dire âdomaines des Carnutesâ au temps de la Gaule romaine. Les Carnutes, des Celtes, se sont installĂ©s dans la rĂ©gion vers 500 ans av. J.-C., sur un territoire composĂ© de landes incultes, dâĂ©paisses forĂȘts et de marais qui sera dĂ©frichĂ© au Moyen Ăge âpour devenir une terre cĂ©rĂ©aliĂšreâ.
La commune de Chartainvilliers fait partie historiquement du pays chartrain, en Beauce chartraine, trĂšs prĂšs du pays drouais et de lâĂle-de-France (au nord du ruisseau de Gas et de la Voise). - Les Terrasses
- En 1685, Louis XIV, installĂ© Ă Versailles, dĂ©sire que les fontaines du chĂąteau fonctionnent jour et nuit; un projet, parmi tant dâautres, consiste Ă dĂ©tourner les eaux de lâEure Ă partir de Pontgouin et de les mener aux divers bassins alimentant le parc.
- L'eau voyage au niveau du sol jusquâĂ ThĂ©lĂ©ville (lieu-dit de Bouglainval), puis il faut traverser la vallĂ©e de lâEure Ă Maintenon, pour cela Vauban projette la construction dâun aqueduc de 4 480 m de long sur trois niveaux dâarcades (70 m de haut). La dĂ©claration de guerre Ă lâEspagne, et le manque dâargent, arrĂȘtent les travaux qui ne seront jamais repris. 30 000 hommes ont travaillĂ© sur le site, 10 000 sont morts de maladie (malaria, scorbut). Les Terrasses sont le tĂ©moignage de ce passĂ©.
- Durant la guerre de 1870, le village fut occupé à du 30 septembre 1870 au 15 février 1871 par les troupes allemandes[29].
- Le 16 juin 1940, pendant la Bataille de France, d'importants combats ont eu lieu sur les coteaux de Chartainvilliers, oĂč l'armĂ©e française avait installĂ© des canons pour arrĂȘter l'avancĂ©e de l'armĂ©e nazie. 56 soldats du 26e rĂ©giment de tirailleurs sĂ©nĂ©galais y sont tuĂ©s[30] - [31]. Une stĂšle rappelle ce sacrifice.
- Une piÚce de théùtre écrite par Gérard Valin-Ruggiero del Ponte met en scÚne cet épisode dramatique de la campagne de France :v "Le Mémorial de Chartres", 2013, L'Harmattan.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[37].
En 2020, la commune comptait 690 habitants[Note 8], en diminution de 5,61 % par rapport Ă 2014 (Eure-et-Loir : â0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La population est de 764 habitants lors du recensement de 2008, dont :
- 378 femmes et 386 hommes ;
- 240 habitants de moins de 20 ans ;
- 58 habitants de plus de 65 ans.
Année | Nombre d'habitants |
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1616 | 100 feux, soit environ 423 habitants |
1726 | 336 |
1826 | 504 |
1926 | 252 |
Culture locale et patrimoine
Ăglise Saint-Jean-Baptiste
BĂątie en grĂšs, lâĂ©glise Saint-Jean-Baptiste, semble dater du XIV-XVe siĂšcle, comme l'indiquent le profil des fenĂȘtres et contrefort, ainsi que les poutres maĂźtresses de la charpente. TrĂšs dĂ©gradĂ©e, elle a Ă©tĂ© restaurĂ©e en 1691 sous lâĂ©gide de Madame de Maintenon, comme en tĂ©moigne le bandeau sculptĂ© sur le portail (armoiries stylisĂ©es sur la feuille communale mensuelle "La Voix du Frou").
- Rue de l'Avenir.
- Façade ouest et mur nord.
- Armoiries de Madame de Maintenon.
- Chevet.
- Chevet sud et clocher.
Autres lieux et monuments
- Le canal de l'Eure passant sur le territoire du village (voir ci-dessus « Les Terrasses »), subsistent deux tunnels construits en 1680 permettant de le franchir : « La Petite Voûte » et « La Grande Voûte », cette derniÚre étant inscrite au titre de monument historique en 1934[40].
- Les bornes du chapitre. Six bornes sont positionnées en limite de Chartainvilliers et de Bouglainval, entre le canal Louis XIV et la route départementale 136. Aux XVIIe et XVIIIe siÚcles, elles servaient à délimiter la propriété du seigneur de Maintenon (Adrien Maurice de Noailles, l'époux de Françoise Charlotte d'Aubigné, niÚce de Madame de Maintenon) de celle du chapitre de Chartres. Sur certaines faces, peu lisibles, figurent les armes de la famille de Noailles (gueules à bande d'or) et sur d'autres faces les armes du chapitre de Chartres (la "chemisette"). Ces vestiges, d'environ un mÚtre de haut, rappellent la limite des propriétés respectives[41].
- Le monument aux morts, qui comporte, à gauche du monument principal recensant nominativement les victimes de la Grande Guerre et celles de la Seconde Guerre mondiale, une stÚle ainsi rédigée : « A la mémoire des officiers et soldats du 26Úme Régiment de Tirailleurs Sénégalais tombés sur le territoire de la commune en juin 1940. Ils sont 56 ! »
- Le tunnel la Grande Voûte.
- Borne située prÚs du canal Louis XIV.
- Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
La date de 1691 et les armoiries de Madame de Maintenon, qui figurent sur le fronton de lâĂ©glise, attestent lâimportance que lâamie du Grand Roi devait apporter Ă ce lieu de culte en le reconstruisant.
Blasonnement
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Les armoiries de Chartainvilliers se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Chartainvilliers sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chartainvilliers et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chartainvilliers et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Chartainvilliers », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chartainvilliers », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, , 281 p. (lire en ligne), p. 41.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 371.
- Guerre de 1870/1871 à Chartainvilliers, rapport du Préfet
- Jean-Jacques François, La guerre de 1939-40 en Eure-et-Loir : la journée du dimanche 16 juin 1940, t. 3, La ParcheminiÚre, , 527 p. (ISBN 2-9509931-3-3).
- « La Bataille de France : La derniÚre bataille », http://batailles-1939-1940.historyboard.net.
- « Le Conseil municipal (2008-2014) », sur http://www.mairie-chartainvilliers.fr (consulté le ).
- « Délibérations du Conseil municipal du 3 juillet 2012 » [PDF], sur http://www.chartainvilliers.fr.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Tunnel », notice no PA00096990, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Bouglainval », sur Association Office de tourisme des Portes euréliennes (consulté le ).