Champseru
Champseru est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Champseru | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres Métropole | ||||
Maire Mandat |
Corinne Brillot 2020-2026 |
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Code postal | 28700 | ||||
Code commune | 28073 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
344 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 35″ nord, 1° 39′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 134 m Max. 157 m |
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Superficie | 14,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auneau | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Géographie
Situation
- Champseru dans son arrondissement.
- Carte du territoire communal.
Communes limitrophes
Hameaux et écarts
- Loinville
Voies de communication et transports
Avant la construction de l'A 11 en 1971, une route mène de Champseru à Monceau, hameau de la commune d'Umpeau et traverse la RN 10 au sommet d'une montée appelée le Moulin. Le cadastre napoléonien de 1812 y mentionne le moulin Guerrier ; une ferme a été exploitée jusqu'au début du XXe siècle par la famille Deshayes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 604,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Champseru est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,2 %), forêts (4 %), zones urbanisées (1,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Champseru est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vallée aux Loups. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[22] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 38,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 150 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 34 sont en en aléa moyen ou fort, soit 23 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes De Campo Serico entre 1131 et 1141 ; De Campo Seru avant 1180 ; Terra apud Champseru après 1193[27] ; Champserut en 1225[28] ; De Campo Seruco avant 1250 ; De Campo Seruco avant 1250 ; « Terre sita apud Campumsirutum, in censiva capituli Carnotensis » en 1271[29] ; De Camposeru en 1268[30] ; Champseru en 1409[31] ; Champserat en 1740[32] ; Champseru au XVIIIe siècle[33].
Du bas latin Campus et Serecho, nom de personne d’origine germanique.
Histoire
Moyen Âge
Propriété du seigneur Geoffrey de la Boulaye, le fief de Champseru (Chanserru) fut acheté en 1228 par Hervé de Châteauneuf, seigneur de Brezolles et la Ferté qui le donna aux templiers en 1233[34].
L'épidémie de 1784
D’après le curé d'Umpeau, une épidémie de peste toucha la paroisse de Champseru ; de fin janvier à mi-mars on enregistra 14 inhumations[35]. Mais comment peut-on parler de peste alors que les villages voisins ne furent pas atteints ?
L'orage de 1839
Le 18 juin 1839, pendant un orage d'une violence inouïe, au milieu d'éblouissants éclairs accompagnés de continuels et terrifiants éclats de tonnerre, la grêle ravagea les récoltes de la commune[36].
L'incendie de 1841
Le dimanche 3 octobre 1841, un incendie considérable a éclaté dans dix meules de grains et de fourrages appartenant au sieur Imbault, fils, cultivateur à Montceaux, commune de Champseru. Malgré des secours promptement et habilement dirigés, l'intensité du feu était si grande qu'il s'est arrêté que lorsque tout a été consumé. La perte est estimée à 10.900 francs. La population des communes environnantes, un escadron du 3° hussard et un détachement d'infanterie, en garnison à Chartres, ont rivalisé de zèle dans cette déplorable circonstance ; en moins d'un heure les pompes des communes de Gallardon, de Soulaires, de Chartres, d'Auneau, de Béville, de Francourville, de Houx, de Jouy, de Saint-Piat et de Saint-Prest étaient réunies sur le lieu du sinistre. Au nombre des personnes qui se sont particulièrement distinguées, M. le maire de Champseru (Jean Mathurin Leloup) m'a cité : les hussards Ursin qui a été blessé et dont les vêtements ont été brûlés ; Guémonet et Addé ; le brigadier Bouron ; les sieurs Goussard, vétérinaire à Gallardon, Berthelot, fils, cultivateur à Champseru, Manceau charron audit lieu, Denis-Martin, père et fils, de Brez, commune d'Umpeau, et Buisson fils, d'Armenonville, dont le zèle et le dévouement ont été dignes d'éloges[37].
Les combats de 1940
Le 16 juin 1940, après les combats de la ferme des Bordes en début de matinée, un détachement allemand gagne à partir de Pont-sous-Gallardon par la route des Poteries, l'actuelle RN 10. Il rejoint Loinville par la petite route et encercle le village faisant prisonniers une centaine de zouaves battant en retraite. Ce régiment de tirailleurs tunisiens se battra vaillamment à Houville-la-Branche[Note 8].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2020, la commune comptait 344 habitants[Note 9], en augmentation de 14,67 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Martin
L'édifice date du XIIe siècle et a vu au XVIe l'adjonction d'une travée latérale[43]. Le lundi 16 novembre 1733 fut bénite la petite cloche de l'église pesant 557 livres et demi (environ 277 kg). Elle est dédiée à saint Martin, patron de la paroisse.
Personnalités liées à la commune
- Un vitrail, ayant le père Jacques-Désiré Laval (1803-1864) pour motif, se trouve dans l’église Saint-Martin de Champseru.
- Narcisse-Anténor Leloup, né à Loinville, hameau de Champseru, le 30 octobre 1823. Fils de Jean Mathurin Leloup (1774-1844), maire de Champseru de 1837 à 1844. Auteur de Pionnier de Nouvelle-Calédonie 1863-1867[44], recueil des lettres adressées à son ami Ferdinand Jumeau lors de son séjour en Nouvelle-Calédonie où il meurt le 28 août 1869. Il est aussi le neveu de l'abolitionniste français François-André Isambert, avocat, député d'Eure-et-Loir et vice-doyen de la Cour de cassation.
- Arsène Millocheau (ou Millochau selon les sources), né le 21 janvier 1867 et mort le 4 mai 1948 à Paris XI), coureur cycliste français, est né dans la commune[45]. Il est connu pour avoir été la « lanterne rouge » du premier Tour de France. Il a également obtenu une 5e place sur Bordeaux-Paris 1897[46].
Voir aussi
Bibliographie
- Usages de l'église paroissiale de Saint-Martin-de-Champseru, Chartres, Garnier, 1878.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Voir le cimetière militaire d'Houville-la-Branche.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Champseru et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Champseru et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Livre d’anniversaires, Obituaires de Sens, t. 2, p. 115.
- Cartulaire du Grand-Beaulieu.
- 1Obituaire de Sens, t. 2, p. 52.
- Obituaire de Sens, t. 2, p. 117.
- A.N.-JJ 163, n° 370, fol. 206.
- B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 39.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Charles Métais, Les Templiers en Eure-et-Loir : Histoire et Cartulaire, Chartres, coll. « Archives du diocèse de Chartres » (no VII), , 263 p. (lire en ligne), p. LI, 121-122 (doc. 102), 135 (doc. 112)Charles Métais mentionne à tort que Hervé de Châteauneuf était seigneur de Châteauneuf, ce n'est pas ce qu'indique les documents n°102 et n°112. C'est son frère Hugues IV qui hérita de la seigneurie de Châteauneuf..
- Registre des baptêmes, mariages, sépultures (recherches Jacques Hivert)
- Notice historique concernant la commune de Champseru, par Edmond Genet, instituteur honoraire, Chartres, imprimerie Laffray, Place Marceau, 6, 1903.
- Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Eure-et-Loir, année 1841, numéro 25
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- https://www.chartres-metropole.fr/actualites/detail/champseru-cest-toute-une-histoire
- Livre publié aux éditions L'Harmattan en mai 2016, 245 pages.
- « Milloochau Arsène (Florentin Arsène). », sur memoire-du-cyclisme.eu.
- « Arsène Millocheau », sur les-sports.info.