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Le Gué-de-Longroi

Le Gué-de-Longroi est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Le Gué-de-Longroi
Le Gué-de-Longroi
Ancienne gare du Gué-de-Longroi.
Blason de Le Gué-de-Longroi
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes des Portes EurĂ©liennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Pascal Boucher
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28188
DĂ©mographie
Population
municipale
948 hab. (2020 en augmentation de 2,49 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 137 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 30â€Č 06″ nord, 1° 43â€Č 14″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 161 m
Superficie 6,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Auneau
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Le Gué-de-Longroi
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Le Gué-de-Longroi
Liens
Site web GuédeLongroi.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    • Situation gĂ©ographique
    • Le GuĂ©-de-Longroi dans son arrondissement.
      Le Gué-de-Longroi dans son arrondissement.
    • Carte de la commune du GuĂ©-de-Longroi.
      Carte de la commune du Gué-de-Longroi.

    Communes limitrophes

    Hameaux et Ă©carts

    • Saint-ChĂ©ron-du-Chemin
    • Occonville
    • Angles

    Hydrographie

    La commune est traversée par la riviÚre la Voise, affluent en rive droite de l'Eure, sous-affluent du fleuve la Seine.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 612 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 604,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă  16 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Gué-de-Longroi est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (82,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (81,8 %), forĂȘts (12,9 %), zones urbanisĂ©es (5,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune duGuĂ©-de-Longroi est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondationset sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau et par ruissellement et coulĂ©e de boue, notamment la Voise. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1983, 1999, 2016 et 2021[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux duGué-de-Longroi.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 72 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 372 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 334 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 90 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Vadum de Loonrai vers 1200, Vadum Longi Regis en 1300, le Gué de Lonroy en 1349[25].

    Ce nom composĂ© rĂ©sulte d'une traduction de l'ancien terme du proto-roman d'origine gauloise rito- « guĂ© », d'oĂč Longroi « long guĂ© ». Il s'agit donc d'un composĂ© tautologique, car l'Ă©lĂ©ment -roy n'a plus Ă©tĂ© compris dans son sens initial. Xavier Delamarre voit dans le premier Ă©lĂ©ment le mot gaulois longo qui signifie navire. La forme gallo-romane serait donc *longoritum avec le sens de « le guĂ© des navires »[26]

    Homonymie partielle avec Longroy, commune de Seine-Maritime.

    Histoire

    Changement d'appellation

    Jusqu'en mars 1838, la commune était nommée Saint-Chéron-du-Chemin[27] :

    • 1817 : dĂ©limitation rĂ©alisĂ©e de Saint-ChĂ©ron-du-Chemin d’avec Bleury et Ymeray par Ordonnance Royale du : Bleury et Ymeray cĂšdent leur partie du village du GuĂ©-de-Longroi Ă  Saint-ChĂ©ron-du-Chemin[28].
    • 1818 : dĂ©limitation rĂ©alisĂ©e de Bleury d’avec Levainville et Saint-ChĂ©ron-du-Chemin par Ordonnance Royale du [28].

    Desserte ferroviaire

    De 1892 à 1938, cette commune bénéficiait d'une gare permettant aux voyageurs d'emprunter la ligne d'Auneau-Ville à Dreux via Maintenon.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1986 Paul Boucher
    1986 mars 1989 Bernard Le Ferrec
    mars 1989 avril 2011 Daniel Deshayes
    mai 2011 mars 2014 Pascal Laya
    mars 2014 En cours Pascal Boucher[29] - [30] Commerçant

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 948 habitants[Note 8], en augmentation de 2,49 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    307307291576593590562505532
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    501432447432416388408511434
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    427431440426393384383376340
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    320318354461733718746750909
    2017 2020 - - - - - - -
    945948-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le lavoir du GuĂ©-de-Longroi est un des plus vieux lavoirs d'Eure-et-Loir. PositionnĂ© en bordure de la Voise, il est au point de dĂ©part de « La route du blĂ© » ;
    • La commune a la particularitĂ© de ne pas possĂ©der d'Ă©glise sur son territoire[35].
    • Lieux et monuments
    • La Voise et le lavoir.
      La Voise et le lavoir.
    • Le lavoir.
      Le lavoir.
    • Pont ferroviaire de la ligne d'Auneau-Ville Ă  Dreux, prĂšs de la route D331.6.
      Pont ferroviaire de la ligne d'Auneau-Ville Ă  Dreux, prĂšs de la route D331.6.
    • Caserne des sapeurs-pompiers.
      Caserne des sapeurs-pompiers.

    Personnalités liées à la commune

    • Paulette Legrand (1916-1994), Ă©pouse d'apiculteur, y est nĂ©e.
    • Roger Ascot (1928-2011), Ă©crivain et journaliste français, y possĂ©dait une rĂ©sidence secondaire.
    • Garcimore (1940-2000), le cĂ©lĂšbre magicien avait sa demeure dans la commune. Il repose au cimetiĂšre municipal.
    • Jean Todt (nĂ© en 1946), ancien copilote de rallye français, directeur d'Ă©curie de sport automobile, prĂ©sident de la FIA.

    HĂ©raldique

    Blason de Le Gué-de-Longroi Blason
    De gueules à sept filets ondés en fasce d'azur, à la fleur de lis d'argent accompagnée de deux épis de blés d'or, les tiges ployées et posés en chevron renversé, le tout brochant ; à la filiÚre d'azur.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Citation littéraire

    « Un peu plus tard, ils traversÚrent des villages dont les noms chantaient comme des poÚmes à Jeanne : Occonville, Umpeau, Cherville, Villiers-les-Bois, Houville-la-Branche, Nogent-le-Phaye. »

    — MichĂšle Sarde, Histoire d'Eurydice pendant la remontĂ©e, Paris, Seuil 1991, page 69-70.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Gué-de-Longroi et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Gué-de-Longroi et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune duGué-de-Longroi », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    25. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , p. 68.
    26. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 206.
    27. Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture d'Eure-et-Loir, tome XIV, annĂ©e 1838, page 85 : "Extrait de l'ordonnance royale. Paris le 31 mars 1838, Louis-Philippe, Roi des Français, A tous prĂ©sens (sic) et Ă  venir, Salut : Sur le rapport de notre ministre secrĂ©taire d'État au dĂ©partement de l'intĂ©rieur, le comitĂ© de l'intĂ©rieur de notre conseil d'État entendu, nous avons ordonnĂ© et ordonnons ce qui suit : Art. 6. La commune de Saint-Cheron-du-Chemin, arrondissement de Chartres, dĂ©partement d'Eure et Loir, portera Ă  l'avenir le nom du GuĂ©-de-Longroi."
    28. Archives nationales-F 2 II Eure-et-Loir 1, plan annexé à la minute.
    29. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    30. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Simon Dechet, « L’emplacement des Ă©glises pourrait dĂ©finir les conditions d’entrĂ©e des communes », sur http://www.lechorepublicain.fr/accueil.html, (consultĂ© le ).
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