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Château-Garnier

Château-Garnier est une commune du centre-ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Château-Garnier
Château-Garnier
Blason de Château-Garnier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
François Audoux
2020-2026
Code postal 86350
Code commune 86064
Démographie
Gentilé Castelgarnerois
Population
municipale
612 hab. (2020 en diminution de 2,24 % par rapport à 2014)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 15′ 35″ nord, 0° 25′ 36″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 159 m
Superficie 35,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Château-Garnier

    Ses habitants sont appelés les Castelgarnerois[1].

    Géographie

    Localisation

    Château-Garnier est situé à 6,5 km, à l'est de Sommières-du-Clain, par la route départementale D25. Le bourg fait partie de pays civraisien qui se caractérise par un paysage de collines.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 850 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Ferrière Airoux_sapc », sur la commune de La Ferrière-Airoux, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 771,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Château-Garnier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), prairies (6,9 %), forêts (4 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %), zones urbanisées (1,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Château-Garnier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Clain et le Drion. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Château-Garnier.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[24]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1037 sous la forme latinisée Castello Garnerii[28]. Le nom est formé du terme d’oïl château, et d’un nom propre d’origine germanique, Garnerius[28], ancien prénom Garnier devenu par la suite le patronyme Garnier Ce lien renvoie vers une page d'homonymie (quand celui-ci ne représente pas Warnhari).

    Histoire

    En 1944, pour fêter la Libération et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté (un acacia)[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[30] En cours François Audoux

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 612 habitants[Note 8], en diminution de 2,24 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8057367488991 0021 0299741 0211 076
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1421 1531 1881 1931 2591 2671 2551 2861 220
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2321 2811 2341 0621 0661 0621 0351 0611 006
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 016856771712660600632631631
    2015 2020 - - - - - - -
    620612-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, la densité de population de la commune était de 18 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département de la Vienne, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 en France.

    Économie

    Selon la Direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 27 exploitations agricoles en 2010 contre 32 en 2000[36].

    38 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 20 % pour les oléagineux (50 % en colza et 50 % en tournesol), 25 % pour le fourrage et 13 % reste en herbes. En 2000,2 hectares (0 en 2010) répartis sur 10 fermes sont consacrés à la vigne[36].

    7 exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un élevage de bovins (730 têtes en 2010 contre 547 têtes en 2000). C’est un des troupeaux de bovins importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[37].

    13 exploitations en 2010 (contre 17 en 2000) abritent un élevage important d'ovins (4 541 têtes en 2010 contre 4 560 têtes en 2000). Le troupeau d’ovins est exclusivement destiné à la production de viande. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[38].

    L'élevage de volailles a connu une baisse importante : 663 têtes en 2000 répartis sur 13 fermes contre 55 têtes en 2010 répartis sur quatre fermes.

    L'élevage de chèvres a aussi connu une forte diminution: 1 049 têtes en 2010 sur 3 fermes contre 5 382 têtes en 2000 partagés par 5 fermes)[36]. C’est un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne (74 500 têtesen 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[37]. Cette forte baisse est révélatrice de l’évolution qu’a connu, en région Poitou- Charente, cet élevage au cours des deux dernières décennies: division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par 6 des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution des structures de production caprine a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d’éleveurs en préretraite et encouragé l’adaptation structurelle des élevages restant[39]. La vocation laitière du troupeau est très forte. Moins de 2 % des élevages caprins sont non laitiers en 2000. La quasi-totalité de la production laitière, en constante augmentation (de 2000 à 2011 : + 44 %[38]) est livrée à l’industrie agro-alimentaire soit 96 % des 485 000 hectolitres récoltés dans l’ensemble du département de la Vienne en 2004. La production de fromage à la ferme reste très marginale et ne représente que 1 % de la production de lait et 6 % des fermes. 75 % des élevages sont basés sur un système de production de type hors sol, la surface agricole étant destinée essentiellement dans ce cas, à la production de fourrage. 75 % de ces exploitations n’élèvent que des chèvres. Le dynamisme de cet élevage, l’accent porté sur la qualité des produits a permis d’obtenir les AOC « Chabichou du Poitou » et « Sainte Maure de Touraine » pour les fromages produits[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    Le manoir de Monchandy s'élève sur une petite île artificielle entourée par les eaux du Clain. Le château est austère avec son pavillon d'entrée à pont-levis et ses tours rondes.

    Patrimoine naturel

    Le site des bois et des landes des Grandes Forges est situé entre les vallées de la Clouère et du Clain. C’est un ensemble de bois et de landes. Il occupe un plateau d’altitude modérée, marqué seulement à l’ouest par le modeste thalweg d’un ruisselet temporaire qui, plus au nord, se transforme en petit cours d’eau permanent - le Drion - avant de se jeter dans la Clouère au nord-est de Saint-Secondin.

    Comme dans toute cette région du sud du département de la Vienne, les sols sont composés d’argilo-calcaires moyennement profonds alternant avec des sols limoneux, riches en cailloux et blocs de meulières. Ces terres à tendance acide et hydromorphe, sont connues sous le nom de "terres fortes". Sur le site des bois et des landes des Grandes Forges, ce sont les sols argilo-calcaires qui dominent, ce qui explique la nature de la végétation présente : un boisement de chêne pubescent qui est plus ou moins mélangés avec des Pins sylvestres. Ce boisement est interrompu par des pelouses sèches et par quelques mares.

    Le site a été classé et protégé dès 1985 (ZNIEFF)[40] du fait de sa remarquable richesse en Orchidées, dont 15 espèces différentes ont pu être inventoriées. Si certaines sont encore assez communes dans des biotopes similaires poitevins, d’autres présentent une abondance exceptionnelle et tout à fait remarquable. C’est le cas pour deux espèces d’ophrys (les ophrys sont des orchidées qui ont développé une ressemblance étonnante avec les femelles de divers types d’insectes afin d’attirer les mâles de ces espèces pour assurer leur pollinisation) comme l’Ophrys mouche ou l’ Ophrys araignée. Le nombre d’individus se compte par centaines. Mais l’orchidée la plus abondante du site des Grandes Forges est sans conteste l’Orchis pyramidal qui peut totaliser, lors de certaines années climatiquement favorables, le millier d’individus. L’espèce la plus précieuse du site reste toutefois le rare Orchis militaire, une espèce très localisée dans le département de la Vienne.

    Les pelouses sèches du site des bois et des landes des Grandes Forges abritent aussi un nombre important de plantes thermophiles comme le Cytise couché ou le Fumana couché, deux espèces très exigences en chaleur et en sécheresse, ce qui les cantonnent aux biotopes les plus favorables.

    De nos jours, le site des bois et des landes des Grandes Forges connait une évolution défavorable depuis son classement. Cette évolution est due tant à des causes naturelles (régression des pelouses sèches au profit de la chênaie) qu’aux activités humaines notamment avec la présence de deux carrières de marnes dont l’une est encore en exploitation.

    Personnalités liées à la commune

    • Gilles Carrez, député d'ÃŽle-de-France, ayant versé 15 569 € de sa réserve parlementaire à la commune pour le renforcement de la voie communale « Route de Petelièvre ».

    Héraldique

    Blason de Château-Garnier Blason
    D'azur à la foi d'argent parée de sable, surmontée d'un château de trois tours d'or reliées par deux entre-murs du même, ajourées et couvertes de sable, soutenue d'une gerbe de sept épis de blés d'argent posés en éventail ; le tout enfermé dans une bordure de gueules chargée de dix étoiles d'argent[41].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France La Ferrière Airoux_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Château-Garnier et La Ferrière-Airoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France La Ferrière Airoux_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Château-Garnier et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Château-Garnier », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Château-Garnier », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 28962, p. 1661.
    29. Robert Petit, Les arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers, CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, , 235 p. (ISBN 978-2-905061-20-1), p. 221.
    30. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
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    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    37. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    38. Panorama de l’Agriculture en Vienne – juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
    39. Agreste – Bulletin no 11 de décembre 2005
    40. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
    41. « 86064 Château-Garnier (Vienne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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