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Cambernon

Cambernon est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 703 habitants[Note 1].

Cambernon
Cambernon
L'église Notre-Dame-en-l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Coutances Mer et Bocage
Maire
Mandat
Philippe Vaugeois
2020-2026
Code postal 50200
Code commune 50092
Démographie
Gentilé Cambernonais
Population
municipale
703 hab. (2020 en diminution de 4,61 % par rapport à 2014)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 49″ nord, 1° 23′ 08″ ouest
Altitude Min. 57 m
Max. 177 m
Superficie 17,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Coutances
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coutances
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Cambernon
Liens
Site web cambernon50.fr

    Géographie

    Couvrant 1 701 hectares, le territoire de Cambernon est le plus étendu du canton de Coutances.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 942 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coutances », sur la commune de Coutances, mise en service en 1974[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 061,2 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 31 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Cambernon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Coutances, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (80,8 %), terres arables (15,5 %), forêts (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de Cambernon est initialement attesté sous les formes Campo Bernulfi (s.d.)[23], puis Camb[er]nolf et Campbernolf en 1203[24].

    Il représente « le champ[25] (c'est-à-dire la terre mise en culture) de Bernulf »[23]. Ce dernier nom, d'origine germanique continentale, a pu se confondre avec son équivalent anglo-saxon Beornwulf, ou encore représenter la réfection éventuelle du scandinave Björnúlfr. Ces trois variantes sont issues du type germanique Bernwulf, combinaison des éléments bern- « ours » et -wulf « loup »[26].

    La forme en -bernon n'apparaît qu'à la fin du XIIIe siècle (Chambernon c. 1280[23]), et se substitue à la précédente. Elle représente la forme romane de Berno, hypocoristique de Bernwulf et, d'une manière générale, de tous les noms de type germanique dont le premier élément est bern-. C'est cette dernière forme du toponyme que René Lepelley interprète par « le terrain de Bernon »[27].

    Le gentilé est Cambernonais.

    Histoire

    Un seigneur de Cambernon est aux côtés de Guillaume le Conquérant à Hastings. La famille se développa en Angleterre. Des chercheurs anglais ont établi un lien avec la famille écossaise des Cameron[28]. À la fin du XVIIe ou au début du XVIIIe siècle Charles Michel (1678-1712) était seigneur de Cambernon, Camprond et autres lieux[29].

    La commanderie de Valcanville possédait à Cambernon des biens qui passèrent des Templiers aux chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem[28].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    19… Alphonse Jean
    19… Pierre Sébire
    1966 Eugène Briard
    19… (6 mois) Joseph Périers
    1973 1987 Alexandre Hélaine
    1987 mars 2001 Claude Leroy
    mars 2001[30] mars 2008 Émile Alexandre
    mars 2008[31] En cours Philippe Vaugeois[32] DVD Salarié MSA, vice-président de la communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[32].

    Enseignement

    Cambernon possède une école primaire, trois établissements éducatifs.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2020, la commune comptait 703 habitants[Note 9], en diminution de 4,61 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Cambernon a compté jusqu'à 1 532 habitants en 1821.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1381 3771 5061 5321 4461 3711 3651 3561 390
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2881 2471 2101 1551 1211 3091 018943888
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    821832873766745777794808786
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    800720701640691696698698735
    2018 2020 - - - - - - -
    699703-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Taux de chômage (2007) : 7 %.

    Revenus moyens par ménages (2004) : 13 915 â‚¬/an.

    Économie

    L'activité principale est liée à l'agriculture et plus particulièrement l'élevage de bovins, notamment de race normande, pour la production de lait. Néanmoins, des races moins mixtes ont pris place : hollandaise, Prim'Holstein.

    Quelques éleveurs ont des élevages de races de viande (limousine, charolaise, Maine-Anjou…).

    Le nombre de fermes diminue et leur taille augmente.

    Les principales cultures sont le maïs qui est ensilé à l'automne pour les bovins. Il y a peu de maïs grain produit car trop peu de rendement.

    Le blé, présent depuis toujours dans cette région, est de plus en plus semé à l'automne pour être récolté vers le . Une bonne année, un agriculteur peut espérer 80 quintaux.

    Il n'y a ni seigle, ni lin de semé dans cette région, seulement quelques parcelles d'orge. On ne plante pas de pommes de terre ou betteraves car l'automne est souvent trop pluvieux pour espérer retourner dans les champs en cette saison.

    Le parc de logement du territoire se situe aux alentours de 18 résidences secondaires et 255 résidences principales. Une activité importante est également réalisée par le secteur médico-social qui est présent sur Cambernon au travers d'un EHPAD de 35 places appartenant au Groupe Résalia-MS spécialisé dans l'aide à la gestion et au conseil des maisons de retraite. Ce groupe gère quatre établissements en Normandie[37].

    Plusieurs artisans ont leur activité sur la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-en-l'Assomption (XIIIe – XIXe siècles)[28] : clocher-porche à voûte d'ogives, boiseries et retable (XVIIIe). Une Vierge à l'Enfant et une statue de saint Martin du XIVe sont classées au titre objet aux monuments historiques[38] - [39]. L'église abrite également un lutrin du XVIIIe[28].
    • Le calvaire (XIXe)[28] à la sortie du bourg.
    • Croix de chemin dite croix Burnel[28].
    • Manoir des Réaux (XVIe siècle)[28] partiellement inscrit aux monuments historiques[40] : logis rectangulaire, deux tours d'angle circulaires posées en diagonale, restes d'enceinte, escalier intérieur.
    • Manoir du Val (XVIe siècle)[28].
    Pour mémoire
    • Ancien château féodal de Cambernon au lieu-dit la Motte, près de l'église[28].

    Activités et manifestations

    La commune dispose d'une vie associative riche avec un club d'anciens, la société de chasse et un comité des fêtes.

    L'Entente Cambernon-Courcy fait évoluer une équipe de football en division de district[41].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 124

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Coutances - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Cambernon et Coutances », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Coutances - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Cambernon et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 90.
    24. Thomas Stapelton, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, Londres, 1840-1844, p. 522 et 524.
    25. L'initiale Cam- correspond ici à la forme dialectale normano-picarde du français champ.
    26. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècles, Paris, CNRS, t. I (les noms issus du germanique continental et les créations gallo-germaniques), 1968, p. 54a.
    27. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 139.
    28. Gautier 2014, p. 124.
    29. Gautier 2014, p. 126.
    30. « Les maires du canton à l'heure des bilans », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. « Philippe Vaugeois élu maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. Réélection 2020 : « Municipales à Cambernon. Philippe Vaugeois retrouve son poste de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Resalia-MS - Présentation du Groupe » (consulté le ).
    38. « Statue : Vierge à l'Enfant ».
    39. « Statue : Saint Martin ».
    40. « Manoir des Réaux », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Ent. Cambernon-Courcy » (consulté le ).
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