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Buxeuil (Vienne)

Buxeuil est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Buxeuil
Buxeuil (Vienne)
L'Ă©glise Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement ChĂątellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Chùtellerault
Maire
Mandat
David Cathelin
2020-2026
Code postal 37160
Code commune 86042
DĂ©mographie
Gentilé Buxeuillois
Population
municipale
913 hab. (2020 en diminution de 5,88 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 76 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 58â€Č 32″ nord, 0° 40â€Č 39″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 115 m
Superficie 11,96 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Descartes
(banlieue)
Aire d'attraction ChĂątellerault
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de ChĂątellerault-2
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Buxeuil
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Buxeuil

    La commune appartient Ă  la banlieue Sud de Descartes, ville Ă  laquelle elle est reliĂ©e par un pont sur la Creuse. Elle est donc limitrophe du dĂ©partement d'Indre-et-Loire et de la rĂ©gion Centre-Val de Loire. Cette particularitĂ© fait qu'elle est desservie par le bureau postal de Descartes, dont elle partage le mĂȘme code postal.

    Ses habitants sont appelés les Buxeuillois[1].

    GĂ©ographie

    GĂ©ologie et relief

    La région de Buxeuil présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[2] :

    • pour 34 % de calcaire dans les vallĂ©es et les terrasses alluviales,
    • pour 22 % de champagnes (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) sur les collines, seuil du Poitou.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est arrosé par la riviÚre Creuse qui traverse le territoire communal sur une longueur de km.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 691 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Dange-Fleau », sur la commune de DangĂ©-Saint-Romain, mise en service en 1993[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 659 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le dĂ©partement d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et Ă  52 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Buxeuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Descartes, une agglomĂ©ration inter-rĂ©gionale regroupant 3 communes[19] et 5 579 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (63,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (37,9 %), forĂȘts (29,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19 %), zones urbanisĂ©es (5,6 %), prairies (4,1 %), eaux continentales[Note 8] (3,6 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Buxeuil est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1993, 1994, 1999, 2006 et 2010[27] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Buxeuil.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[28]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[29]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[30]. 84,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [31].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[25].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage d'Éguzon, un ouvrage de classe A[Note 10] situĂ© dans le dĂ©partement de l’Indre et prĂ©sentant une hauteur d’eau maximale de 56,7 m et une capacitĂ© totale de retenue de 57,8 millions de m3. Le PPI a Ă©tĂ© approuvĂ© le . À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[33].

    Toponymie

    Le nom du village provient du latin buxus qui signifie buis et du radical celte ialo qui signifie clairiÚre, lieu défriché puis, par extension, village[34].

    Le climat est océanique avec des étés tempérés.

    Histoire

    Comme une partie de la France, Buxeuil accueille favorablement la RĂ©volution française. Elle plante ainsi son arbre de la libertĂ©, symbole de la RĂ©volution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fĂȘtes et des principaux Ă©vĂ©nements rĂ©volutionnaires, comme la cĂ©lĂ©bration de la prise de Toulon, mais il finit abattu nuitamment, aprĂšs la fin de la Terreur[35]. Trois autres sont plantĂ©s aprĂšs la RĂ©volution française de 1848, en avril : Ă  Saint-Jacques, Ă  Lilette et devant l’église du bourg[36]. Enfin, un autre arbre de la libertĂ© est plantĂ© en 1920 sur la place Saint-Jacques. Victime d’un bombardement en 1940, il est remplacĂ© par un acacia en 1948, pour le centenaire de la RĂ©volution française de 1848[37].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[38] En cours Dominique Boireau DVD

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[40].

    En 2020, la commune comptait 913 habitants[Note 11], en diminution de 5,88 % par rapport Ă  2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    625645640650677713643742750
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    750745754748764728726682679
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    619686725701724691716676744
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    744677765847896900925935963
    2018 2020 - - - - - - -
    925913-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 78 hab./km2, 61 hab./km2 pour le dĂ©partement de la Vienne, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 en France.

    Économie

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 5 exploitations agricoles en 2010 contre 10 en 2000[43].

    Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont diminuĂ© et sont passĂ©es de 402 hectares en 2000 Ă  307 hectares en 2010. 63 % sont destinĂ©es Ă  la culture des cĂ©rĂ©ales.

    Les Ă©levages d'ovins et de volailles ont disparu en 2010 (respectivement 28 tĂȘtes et 142 tĂȘtes sur 3 et 5 fermes en 2000)[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    • Le chĂąteau de la Roche-Amenon date du XVIIIe siĂšcle. Il est situĂ© en bordure de la Creuse. Il est inscrit comme monument historique depuis 2004 pour ses douves, son pigeonnier, son portail, sa clĂŽture, son logis, ses communs, sa ferme, sa cour et son jardin. Ancienne demeure fĂ©odale de la famille La Roche qui passa ensuite Ă  Guy de MotlĂ©on dont la branche ainĂ© sÂŽinstalla Ă  Touffou. Le Marquis dÂŽHarambure alors Gouverneur de Poitiers lÂŽacheta le 24.09.1779. Il fit dĂ©molir la demeure fĂ©odale pour construire en partie le chĂąteau actuel. Son Ă©pouse revendra le chĂąteau en 1809 au comte de Vaucelles qui terminera lÂŽensemble actuel.
    • Le chĂąteau de Falaise, qui ne sera rattachĂ© Ă  la commune des Ormes que le 8 mars 1836, dĂ©pendait de la paroisse de Buxeuil et de la Touraine selon l'atlas des Gabelles de 1665.

    Patrimoine naturel

    Personnalités liées à la commune

    • RenĂ© Boylesve (mort en 1929), qui a dĂ©crit le village dans son roman : L'enfant Ă  la balustrade.
    • Jean-Baptiste Chevrier dit RenĂ© de Buxeuil, compositeur et chansonnier nĂ© au lieu-dit "Plancoulaine".
    • RenĂ©e Moreau, nĂ©e en 1919 Ă  Buxeuil, rĂ©sistante française.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Robert Petit, Les arbres de la libertĂ© Ă  Poitiers et dans la Vienne, Poitiers, CLEF 89/FĂ©dĂ©ration des Ɠuvres laĂŻques, , 235 p. (ISBN 978-2-905061-20-1)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[32].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Dange-Fleau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Buxeuil et Dangé-Saint-Romain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Dange-Fleau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Buxeuil et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    14. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
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    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chùtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
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    25. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Buxeuil », sur Géorisques (consulté le )
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    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Buxeuil », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    32. Article R214-112 du code de l’environnement
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    34. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    35. Robert Petit 1989, p. 195.
    36. Robert Petit 1989, p. 215.
    37. Robert Petit 1989, p. 220.
    38. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
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    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    44. Poitou-Charentes Nature, 2000
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