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Bussière-Saint-Georges

Bussière-Saint-Georges est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Bussière-Saint-Georges
Bussière-Saint-Georges
Église Saint-Georges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Creuse Confluence
Maire
Mandat
Gérard Thomazon
2020-2026
Code postal 23600
Code commune 23038
Démographie
Gentilé Bussiérois, Bussiéroises
Population
municipale
252 hab. (2020 en diminution de 0,79 % par rapport à 2014)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 24′ 03″ nord, 2° 08′ 41″ est
Altitude Min. 358 m
Max. 498 m
Superficie 22,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boussac
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Bussière-Saint-Georges
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Bussière-Saint-Georges

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 988 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Boussac_sapc », sur la commune de Boussac, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 922,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols, dans le département de l'Indre, mise en service en 1893 et à 58 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bussière-Saint-Georges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), prairies (29,8 %), terres arables (29,4 %), forêts (7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bussière-Saint-Georges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bussière-Saint-Georges.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 26,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 207 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 12 sont en en aléa moyen ou fort, soit 6 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Bussière-Nouvelle[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1881 1884 Camille Cousset (1833-1895) Avocat
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Marcel Deschamps
    mars 2008 En cours Gérard Thomazon DVG Agriculteur retraité

    Politique environnementale

    Parc éolien du Pays de Boussac : en 2012, mise en activité de l'un des deux parcs éoliens (ZDE) de Creuse (7 éoliennes sur le territoire communal, 2 sur le territoire de la commune voisine, Saint-Marien) hauteur des éoliennes 146 mètres, puissance de 2,5 MW par éolienne. Inauguration officielle le 6 septembre 2012 en présence des personnalités du département.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 252 habitants[Note 6], en diminution de 0,79 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    490470440602763803797720694
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    688651654685726712746783798
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    787769734657618602628582513
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    483422355256239184208211244
    2017 2020 - - - - - - -
    256252-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L’église de Bussière-Saint-Georges est placée sous le vocable de saint Georges, le saint cavalier pourfendeur du dragon. Bien que le site ait été peuplé dès l’époque gallo-romaine, l’origine de l’église actuelle doit remonter au XIIe siècle comme beaucoup d’églises des environs. La trace visible de cette origine est la présence des modillons sur le haut du mur de l’abside, grossièrement sculptés en forme de visages humains ainsi que celle de quatre petites fenêtres obturées mais encore visibles sur le mur sud de la nef et également sur l’abside. L’ancienne paroisse de Bussière-Saint-Georges était, elle, placée sous la protection des saints Gervais et Protais. Le jour de leur fête, le 19 juin, avaient lieu des foires sur la place du bourg, ainsi que des processions à une source située à une centaine de mètres de l’église et aménagée en lavoir. L’église fut naturellement restaurée à plusieurs reprises, et même, semble-t-il, reconstruite vers 1625 (un graffiti découvert sous les boiseries l’atteste). Les restaurations ultérieures datent de 1842 et 1887. Le clocher est typique des clochers creusois, de plan carré tronconique passant sans transition au plan octogonal.

    Devant l’église, côté nord et est, se trouvait l’ancien cimetière, transféré en dehors du bourg sur un terrain offert à la commune par un généreux donateur en 1842. Depuis le XVIIIe siècle, le mouvement de transfert des cimetières à l’extérieur était quasi généralisé. Ce déplacement était rendu ici d’autant plus nécessaire que le sol très rocheux de son emplacement ne permettait que des inhumations à trop faible profondeur. Après le transfert, et du fait du développement de la commune, qui compta jusqu’à 797 habitants à cette époque, il fut question de construire le nouveau presbytère sur cet emplacement mais on dut renoncer à ce projet et le donateur intervint de nouveau pour offrir un terrain un peu excentré par rapport au bourg et le presbytère, qui existe toujours, y fut construit en 1844, favorisé de plus par un don de la reine Marie-Amélie, épouse du roi Louis-Philippe.

    Près du jeune tilleul se trouve une croix de granit ; elle a été raccourcie d’environ 50 cm à la suite de sa réparation après sa chute dans les années 1980. Devant la croix une pierre plate, de granit elle aussi, dite « pierre des morts » ; c’est en effet sur cette pierre que traditionnellement on posait le cercueil arrivant à l’église. Son extrême simplicité ne permet pas de la dater précisément. Les deux cloches, quant à elles, sont datées comme c’est souvent le cas. L’inscription de la petite cloche nous dit : « L’an 1868, j’ai été bénite par monsieur Jean-Baptiste Justin Peyroux, curé de Bussière-Saint-Georges, monsieur Jean Ladet étant maire, et faite par la générosité des habitants de la paroisse et en particulier de Monsieur Louis Lebas, grand-père du parrain. J’ai eu pour parrain Monsieur Louis Silvain Pascouret, fils de feu Silvain Pascouret et de feue Virginie Marguerite Lebas, et pour marraine Mlle Marie Eugénie Guy, fille de M. Jean Guy et de Madame Françoise Pascouret. Bollée et ses fils, fondeurs à Orléans, 1868 ». L’inscription de la grosse cloche est la même à l’exception du nom du parrain : Jean Tabourin, fils de M. Tabourin et de Mme Maria Auclerc et du nom de la marraine : Mme Marie Pauline Ladet, fille de M. Antoine Ladet et de Mme Jeanne Debize.

    À l’intérieur, on découvre une disposition classique en croix latine ; on voit nettement la séparation entre la voute du chœur et celle de la nef, mal raccordées au moment d’une reconstruction, vraisemblablement en 1842. La chapelle du Nord est consacrée à la Vierge, celle du Sud à saint Georges. Le grand autel est de style baroque, en bois peint en trompe-l'œil de marbre, du XVIIIe siècle ; il recouvre une très ancienne pierre d’autel en granit ; à son sommet, un reliquaire contient les reliques d’un saint non identifié. Quatre statues de bois ornent l’autel : il s’agit des saints Gervais et Protais, les saints patrons tenant la palme du martyre, de saint Antoine et de saint Roch accompagné de l’ange qui le nourrissait lors de sa maladie (certaines versions le représentent avec un chien qui jouait le même rôle). Des logettes plates sont garnies de deux petites statues, les deux autres ayant disparu en 1973. Sur l’autel de la chapelle sud, se trouve une statue baroque qui est certainement de la même origine que celles de l’autel principal du fait de leur grande ressemblance de traits et de style.

    Les autres statues dites « sulpiciennes » sont de la fin du XIXe siècle et représentent sainte Anne et la Vierge, saint Joseph (1893), le Sacré-Cœur, saint François et l’Immaculée-Conception. La statue la plus surprenante est certainement la Pietà ; elle est réalisée en torchis, mélange de paille et de terre non cuite, matériau modeste qui révèle la pauvreté de la paroisse ; elle était à l’origine à la chapelle du Souchet mais a été placée ici pour des raisons de sécurité du fait de la grande vétusté de cette chapelle sise sur le territoire communal. Il faut noter l’étrange changement de l’expression du visage de la Vierge, selon que l’on se place sur sa droite ou sur sa gauche.

    Les vitraux figurent la Vierge et saint Georges dans leurs chapelles respectives ainsi que le Saint-Esprit dans l’oculus. Près de la grande porte se trouve un bénitier richement décoré de feuilles d’acanthe.

    Au lieu-dit Le Souchet se dresse la Chapelle de la Nativité de Notre-Dame.

    Personnalités liées à la commune

    • Camille Cousset (1833-1895) avocat, maire (1881-1884) et député de la Creuse (1885-1893) ; il est inhumé au cimetière de la commune. Sa tombe est encore visible, ainsi que sa maison, au bourg.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Notes

      Références

      1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      7. « Station Météo-France Boussac_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      8. « Orthodromie entre Bussière-Saint-Georges et Boussac », sur fr.distance.to (consulté le ).
      9. « Station Météo-France Boussac_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      10. « Orthodromie entre Bussière-Saint-Georges et Déols », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      12. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      20. « Les risques près de chez moi - commune de Bussière-Saint-Georges », sur Géorisques (consulté le )
      21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
      22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
      23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bussière-Saint-Georges », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
      24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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