Accueil🇫🇷Chercher

Bison d'Amérique

Bison bison

Le Bison d'AmĂ©rique (Bison bison) est l'une des deux espèces de bison encore vivantes, l'autre Ă©tant le Bison d'Europe. Le Bison des plaines (Bison bison bison), une de ses deux sous-espèces, est caractĂ©ristique des grandes prairies du Midwest en AmĂ©rique du Nord ; il Ă©tait un animal essentiel pour de nombreuses cultures amĂ©rindiennes. L'Ă©conomie des Indiens des Grandes Plaines Ă©tait largement fondĂ©e sur sa chasse, alors qu'il vivait en immenses troupeaux migrant au grĂ© des saisons. Avant l'arrivĂ©e des colons europĂ©ens en AmĂ©rique, on comptait encore 50 Ă  70 millions de Bisons d'AmĂ©rique, vivant et migrant sur les plaines herbeuses du Mexique au Canada. Ces troupeaux ont Ă©tĂ© pourchassĂ©s et presque exterminĂ©s Ă  la fin du XIXe siècle par les colons, pour rĂ©duire les AmĂ©rindiens, au point de menacer quasiment la survie de l'espèce (il n'en restait que 325 en 1884[1]). C'est le premier cas amĂ©ricain de rĂ©introduction rĂ©ussie d'une espèce de mammifères Ă  l'Ă©tat sauvage (il y en aurait environ 500 000 en 2015, et au moins quelques-uns dans chaque État). En , le bison devient le mammifère officiel des États-Unis Ă  la suite de la promulgation du National Bison Legacy Act[2] - [3].

Sous-espèces

Il existe deux sous-espèces de Bison bison en AmĂ©rique du Nord, le Bison des plaines (Bison bison bison) et le Bison des bois (Bison bison athabascae). Cette dernière sous-espèce, qui a toujours Ă©tĂ© moins abondante, habite le Canada (environ 3 000 tĂŞtes dans les annĂ©es 1990) et est majoritairement composĂ©e d'animaux vivant en libertĂ©. La principale diffĂ©rence entre les deux sous-espèces est la forme de la bosse : arrondie chez Bison bison bison, plus grande et « carrĂ©e » chez Bison bison athabascae. La sous-espèce des plaines n'est pas protĂ©gĂ©e par la CITES, tandis que la sous-espèce des forĂŞts est classĂ©e en annexe II. Certains scientifiques (Reynolds, 1982 ) estiment qu'il n'y a pas lieu de diffĂ©rencier deux sous-espèces, tant elles se ressemblent.

  • Bison des plaines (Bison bison bison).
    Bison des plaines (Bison bison bison).
  • Bison des bois (Bison bison athabascae).
    Bison des bois (Bison bison athabascae).

2 sous-espèces sont éteintes :

  • †Bison de l'Oregon (Bison bison oregonus)
  • †Bison de Pennsylvanie (Bison bison pennsylvanicus).

Principales caractéristiques physiques et éthologiques

Bison d'Amérique en hiver. La neige sur sa face provient du fait que le bison cherche sa nourriture en écartant la neige au sol par des mouvements latéraux de sa tête.

Le bison possède un manteau d'hiver aux longs poils brun foncĂ© et un pelage d'Ă©tĂ© plus lĂ©ger, d’un brun plus clair. Le bison peut atteindre 2 mètres au garrot, 3,60 mètres en longueur ; il pèse en moyenne entre 450 et 900 kg. Les plus grands spĂ©cimens peuvent dĂ©passer 1 000 kg. La tĂŞte et le train avant sont Ă©normes. Les femelles comme les mâles sont dotĂ©s de deux cornes courtes et incurvĂ©es, qu'ils utilisent dans leur lutte pour obtenir un meilleur rang Ă  l'intĂ©rieur du troupeau et pour la dĂ©fense. Le bison s’accouple en aoĂ»t et septembre et un seul veau de couleur rouge-brun naĂ®t au printemps suivant. Sa mère l'allaitera pendant un an. Les bisons sont adultes Ă  l'âge de trois ans et ont une espĂ©rance de vie de 18 Ă  22 ans, ou de 35 Ă  40 ans en captivitĂ©.

Le bison blanc est un phénomène rare lié à un gène récessif, se manifestant chez un animal né avec une fourrure brun-rougeâtre qui devient blanche à l’âge adulte. L'animal n'est pas un véritable albinos, car la couleur de l'œil est normale, comme c’est le cas pour l’ours.

Morphologie

  • longueur du corps : 2 Ă  3,5 m
  • longueur des cornes : latĂ©rales, 40 cm
  • hauteur au garrot : 1,5 Ă  2 m
  • poids adulte : 500 Ă  600 kg pour les femelles, 800 Ă  1 100 kg pour les mâles.

Physiologie

Bison femelle et petit.
  • maturitĂ© sexuelle : 2 ans 1/2
  • gestation : 9 mois
  • nombre de jeunes par portĂ©e : un, très rarement deux (la mère dĂ©laisse alors le plus faible, gĂ©nĂ©ralement condamnĂ©)
  • nombre de portĂ©es par an : une, pĂ©riode de rut en juillet-aoĂ»t, mises-bas en avril-mai
  • longĂ©vitĂ©
    • libre : 18 Ă  22 ans
    • captif : 25 Ă  30 ans voire plus de 30 ans.

Comportements reproductifs

Un jeune bison à la fin du mois de mai au parc d'État de Custer, au Dakota du Sud.

Les bisons d'Amérique sont polygames : les mâles dominants règnent sur un harem de femelles avec lesquelles ils s'accouplent. Les mâles solitaires courtisent les femelles jusqu’à ce qu’elles leur permettent de s'accoupler, les suivant et les surveillant pour chasser les mâles concurrents.

Lors des parades nuptiales, les mâles se livrent des combats avant lesquels ils se roulent dans leur urine pour s’imprégner de leur odeur hormonale et grattent la terre pour intimider leurs rivaux. Ces combats de quelques secondes pour la plupart peuvent conduire à une mise à mort portée par un coup de corne fatal[4].

Des comportements homosexuels allant jusqu’au simulacre d’accouplement sont fréquents chez les bisons. La cérémonie de l’Okipa chez les Indiens Mandans se termine par un rituel mettant en scène ce comportement, pour « assurer le retour du bison au cours de la saison à venir ». Les Lakotas se réfèrent à eux comme étant des pte winkte — pte signifiant « bison » et winkte signifiant « deux-esprits ».

RĂ©gime alimentaire

Le bison est un herbivore qui consomme diverses herbacées, dont le panic érigé, l'Herbe des Indiens (Sorghastrum nutans), l'East Gamagrass (Tripsacum dactyloides), la grande et petite Bluestem (respectivement Andropogon gerardii et Schizachyrium scoparium) et d'autres graminées de prairie ou de jeunes plants de végétaux ligneux.

Origines

Bien avant l'arrivĂ©e des humains en AmĂ©rique du Nord, le bison a Ă©tĂ© le principal grand mammifère colonisateur du continent, y prospĂ©rant mieux que bien d'autres herbivores dont les chevaux et mammouths. Le dĂ©but de son expansion et l'explication de cette aptitude Ă  coloniser une vaste aire sont restĂ©s un mystère jusqu'Ă  une Ă©poque rĂ©cente. Des analyses gĂ©nomiques[5] rĂ©centes faites Ă  partir de plus de 40 fossiles, ont levĂ© le voile, montrant que les ancĂŞtres des actuels bisons sont arrivĂ©s entre 195 000 et 135 000 ans AP (Avant le PrĂ©sent), soit au moins 110.000 ans avant les humains, mais il a fallu environ 20 000 ans Ă  ces animaux pour se rĂ©pandre sur presque tout le continent[6], en profitant des zones libres de glace[7], avant d'ĂŞtre confrontĂ©s aux humains[8] et alors que d'autres grands mammifères nord-amĂ©ricains connaissaient une crise d'extinction entre 40.000 et 10.000 AP[9] pour finalement aussi subir des croisements avec des bovins domestiques[10].

Prédateurs

Meute de loups gris encerclant un bison.

Outre l'homme, les prédateurs du bison d'Amérique sont le puma, le loup et le grizzli[11].

Le bison et l'Homme

  • RĂ©partition primitive du bison des plaines et du bison des bois en AmĂ©rique du Nord. Le bison de l'Holocène (Bison occidentalis) est une forme primitive Ă  l'origine du bison des plaines et du bison des bois. .mw-parser-output .legende-bloc-centre{display:table;margin:0 auto;text-align:left}.mw-parser-output .legende-bloc ul li{font-size:90%}.mw-parser-output .legende-bloc-vertical ul li{list-style:none;margin:1px 0 0 -1.5em}.mw-parser-output .legende-bloc-vertical ul li li{list-style:none;margin:1px 0 0 -1.0em} Bison de l'Holocène Bison des boisBison des plaines
    Répartition primitive du bison des plaines et du bison des bois en Amérique du Nord. Le bison de l'Holocène (Bison occidentalis) est une forme primitive à l'origine du bison des plaines et du bison des bois.
    • Bison de l'Holocène
    • Bison des bois
    • Bison des plaines
  • Carte du dĂ©clin de la population et de la rĂ©partition du bison jusqu'en 1889 d'après le travail de William Hornaday. .mw-parser-output .legende-bloc-centre{display:table;margin:0 auto;text-align:left}.mw-parser-output .legende-bloc ul li{font-size:90%}.mw-parser-output .legende-bloc-vertical ul li{list-style:none;margin:1px 0 0 -1.5em}.mw-parser-output .legende-bloc-vertical ul li li{list-style:none;margin:1px 0 0 -1.0em} RĂ©partition prĂ©coloniale RĂ©partition en 1870 RĂ©partition en 1889.
    Carte du déclin de la population et de la répartition du bison jusqu'en 1889 d'après le travail de William Hornaday.
    • RĂ©partition prĂ©coloniale
    • RĂ©partition en 1870
    • RĂ©partition en 1889.
  • RĂ©partition des troupeaux de bisons des plaines sur les terres publiques et des troupeaux de bisons des bois captifs ou en libertĂ© en AmĂ©rique du Nord en 2003.
    Répartition des troupeaux de bisons des plaines sur les terres publiques et des troupeaux de bisons des bois captifs ou en liberté en Amérique du Nord en 2003.

Le retour du bison

Bison photographié par Eadweard Muybridge (1887).

Il n’existait plus que 750 bisons en 1890. Le zoo du Bronx a conservĂ© un troupeau en captivitĂ©, dont une partie a Ă©tĂ© transportĂ©e au dĂ©but du XXe siècle au parc national de Yellowstone afin de compenser la faiblesse des troupeaux autochtones (que le braconnage avait rĂ©duit Ă  quelques dizaines d'animaux), en complĂ©ment d’animaux transplantĂ©s d'autres rĂ©serves d’animaux sauvages. Certains de ces derniers provenaient du ranch de Charles Goodnight au Texas.

Un certain nombre de troupeaux de propriĂ©taires privĂ©s ont Ă©galement Ă©tĂ© reconstituĂ©s, Ă  partir de cette population. La population de bisons amĂ©ricains a connu une croissance rapide et est estimĂ©e actuellement Ă  350 000 individus, mais ce chiffre est Ă  comparer Ă  une population estimĂ©e Ă  60-100 millions au cours du deuxième quart du XIXe siècle. Les troupeaux actuels, nĂ©anmoins, sont presque tous partiellement issus de croisements avec d'autres bovins[12] - [13] - [14] - [15]. Aujourd'hui, il existe seulement quatre troupeaux gĂ©nĂ©tiquement distincts, et un seul qui soit Ă©galement indemne de brucellose : il se trouve au parc national de Wind Cave. Une population issue du troupeau de Wind Cave a Ă©tĂ© rĂ©cemment Ă©tablie au Montana par le WWF[16].

Au Canada, la population de bison des bois, espèce protĂ©gĂ©e, est actuellement estimĂ©e Ă  11 433 individus, dont plus de la moitiĂ© dans des troupeaux sauvages touchĂ©s soit par la tuberculose soit par la brucellose[17]. Le plus grand troupeau vit dans les Territoires du Nord-Ouest, au sanctuaire du bison de Mackenzie[18].

Toujours au Canada, l'Ă©levage qui ne concerne que le bison des plaines porte environ sur 250 000 animaux possĂ©dĂ©s par 2 000 Ă©leveurs[19]

Le bison d'Amérique de nos jours

La chasse est autorisĂ©e actuellement Ă  petite Ă©chelle dans certaines zones. Au Montana, les Ă©leveurs de bĂ©tail sont prĂ©occupĂ©s par la propagation chez leurs bovins de la brucellose transmise par des bisons infectĂ©s qui errent en dehors des limites du parc national de Yellowstone. En 2005, une chasse publique au bison limitĂ©e Ă  50 licences a Ă©tĂ© Ă©tablie, puis suspendue, et rĂ©tablie par l'État.

Viande de bison en vente aux États-Unis.

Les bisons sont maintenant Ă©levĂ©s pour la viande et la peau. Plus de la moitiĂ© des 800 000 bisons restants sont Ă©levĂ©s pour la consommation humaine. La viande de bison a une teneur plus faible en graisse et en cholestĂ©rol que la viande bovine, ce qui a conduit au dĂ©veloppement du Beefalo, un hybride fertile du bison et du bĹ“uf domestique. En 2005, environ 35 000 bisons ont Ă©tĂ© abattus pour leur viande aux États-Unis, avec le National Bison Association[20] et le dĂ©partement de l'Agriculture des États-Unis (USDA), qui dĂ©veloppe un programme de « bison americain certifiĂ© » (Certified American Buffalo) avec une traçabilitĂ© de la naissance au consommateur par un suivi du bison par puces RFID auriculaires. Le plus important Ă©leveur de bison est Ted Turner qui, avec ses 14 ranchs, possĂ©derait environ 50 000 tĂŞtes[21].

Au Canada, on estimait que les abattages concernaient 23 000 animaux en 2009, pour un Ă©levage portant sur environ 180 000 animaux[N 1]. Le recensement de 2016 a comptĂ© 119 314 bĂŞtes d'Ă©levage au sein de 975 fermes et ranchs[22]. L'hybridation a Ă©tĂ© beaucoup moins courante au Canada qu'aux États-Unis.

Des Ă©tudes gĂ©nĂ©tiques rĂ©centes sur les troupeaux de bisons de propriĂ©taires privĂ©s montrent que beaucoup d'entre eux sont des animaux possĂ©dant des gènes de bĹ“uf, il existerait seulement 12 000 Ă  15 000 bisons de race pure dans le monde. Les chiffres sont incertains parce que les tests utilisĂ©s jusqu'Ă  prĂ©sent sont fondĂ©s sur l’analyse de l’ADN mitochondrial et, par consĂ©quent, ne dĂ©cèlent pas les gènes hĂ©ritĂ©s des bovins provenant de la lignĂ©e mâle. La plupart des hybrides sont d’apparence identique Ă  celle des bisons de race pure.

Le projet American Prairie Reserve vise à réintroduire des troupeaux de bisons dans un écosystème de prairie au Montana.

Le bison comme symbole

Un buffalo nickel, ou Indian Head nickel, de 1935. Il fut produit de 1913 Ă  1938.

Le bison amĂ©ricain a Ă©tĂ© reprĂ©sentĂ© sur la face arrière des buffalo nickel, une pièce de monnaie des États-Unis de 5 cents en circulation de 1913 Ă  1938. En 2005, la United States Mint a Ă©ditĂ© une nouvelle pièce de 5 cents en alliage de nickel avec une reprĂ©sentation du bison dans le cadre de sa sĂ©rie Westward Journey, ainsi que le quarter (25 cents) de l'État du Kansas dans le cadre de sa sĂ©rie 50 State Quarters. Le Kansas State Quarter ne reprĂ©sente que le bison et ne possède aucune inscription chiffrĂ©e.

Le bison est un symbole du Manitoba, de la Police montée du Canada, de l'université Bucknell, de l’université du Colorado, l'université Lipscomb, l'université Marshall, le Parti de l'indépendance du Minnesota et de l'Université d'État du Dakota du Nord. Il est aussi couramment utilisé comme un symbole de la ville de Buffalo, dans l’État de New York, bien que le nom de cette ville ne vienne pas de l'animal. Le bison est également l’animal symbolique de l'État du Wyoming.

Custer State Park dans le Dakota du Sud hĂ©berge 1 500 bisons, l'un des plus grands troupeaux publics du monde.

Un projet connu sous le nom de Buffalo Commons a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© par une poignĂ©e d'universitaires et de dĂ©cideurs politiques pour restaurer une grande partie de la portion sèche des Grandes Plaines pour reconstituer les prairies originelles oĂą paissaient des bisons. Les promoteurs du projet soutiennent que l'utilisation agricole des prairies Ă  herbe courte n’est pas Ă©cologiquement durable, en rappelant les catastrophes survenant pĂ©riodiquement telles que le Dust Bowl et la diminution significative de la population au cours des 60 dernières annĂ©es. Toutefois, ce plan est rejetĂ© par pratiquement tous ceux qui vivent dans cette rĂ©gion et n'a jamais avancĂ© au-delĂ  des Ă©tudes prĂ©liminaires.

Dangers

Les bisons font partie des animaux dont la rencontre est la plus dangereuse pour les visiteurs des différents parcs nationaux américains, notamment le parc national de Yellowstone. Même s'ils ne sont pas carnivores, ils peuvent attaquer les humains, en cas de provocation ou de sentiment de danger. Apparemment lents, compte tenu de leurs mouvements plutôt léthargiques, ils sont cependant tout à fait capables de surclasser les humains en vitesse — on les a vus courir à des vitesses allant jusqu’à 50 km/h en moyenne avec des pointes à 73 km/h[23]. Leur comportement grégaire les fait rapidement passer de la marche à la course. Ils doivent généralement être considérés comme aussi dangereux que les ours. Des gens ont été piétinés et blessés par les bisons dans les parcs nationaux. De façon inattendue compte tenu de leur taille et de leur morphologie, les bisons ont également la capacité de sauter haut.

Voir des bisons d'Amérique en Europe

Notes et références

Notes

  1. D'après la présentation de Terry Kremeniuk, Directeur exécutif de l'Association Canadienne du Bison, donnée le 30 septembre 2010.

Références

  1. Bison set to become U.S. national mammal 2016-05-03.
  2. Acte législatif du sénat américain, voté en mai 2016 : National Bison Legacy Act.
  3. Le bison devient officiellement le mammifère national des États-Unis, FranceTVinfo, 10 mai 2016.
  4. [vidéo] Documentaire, Grandeurs nature : La saison des amours, d’après Natural World : The Mating Game de BBC Two, de Mark Fletcher, coll. « Natural World » (no 3), 2014, de 17:32 à 19:55.
  5. GenBank database (accession nos. KX269109, and KX269112–KX269145).
  6. Duane Froese & al (2017) Fossil and genomic evidence constrains the timing of bison arrival in North America ; doi: 10.1073/pnas.1620754114 résumé.
  7. Bison phylogeography constrains dispersal and viability of the Ice Free Corridor in western Canada Peter D. Heintzman et al., Proc Natl Acad Sci U S A, 2016.
  8. Ice age bison fossils shed light on early human migrations in North America University of California - Santa Cruz, ScienceDaily, 2016.
  9. Mass extinction: Why did half of N. America's large mammals disappear 40,000 to 10,000 years ago? George Washington University, ScienceDaily, 2009.
  10. Preserving an icon: Impact of historical domestic cattle hybridization with American bison revealed Wiley, ScienceDaily, 2012.
  11. Franke 2005, p. 200-201.
  12. « Strands of undesirable DNA roam with Buffalo, By Jim Robbins, 9th January 2007, The New York Times », Wildcattleconservation.org (consulté le ).
  13. Polzhiehn, R.O., C. Strobeck, J. Sheraton et R. Beech, « Bovine mtDNA Discovered in North American Bison Populations », Conservation Biology, vol. 9, no 6,‎ , p. 1638–43 (DOI 10.1046/j.1523-1739.1995.09061638.x, JSTOR 2387208, lire en ligne).
  14. « Halbert, N.D., Ward, T.J., Schnabel, R.D., Taylor, J.F and Derr, J.N. (2005) Conservation genomics: disequilibrium mapping of domestic cattle chromosomal segments in North American bison populations. Molecular Ecology (2005) 14, 2343–2362 » [archive du ], Animalgenomics.missouri.edu, (consulté le ).
  15. « Halbert, Natalie Dierschke (2003) The utilization of genetic markers to resolve modern management issues in historic bison populations: implications for species conservation Ph. D. Dissertation, Texas A&M University, December 2003 » (consulté le ).
  16. L. Nd., Les animaux en voie de disparition, Raleigh, Lulu.com, , 110 pages (ISBN 978-1-409-28601-1), p. 19.
  17. Page Bison sur le site des espèces protégées au Canada.
  18. (en) Mackenzie Bison Sanctuary.
  19. (en) Canadian Bison Association.
  20. (en) Site de la National Bison Association
  21. (en) Page du site de Ted Turner sur ses Ă©levages de bison.
  22. (en) https://www.canadianbison.ca/producers/cba/association.
  23. .
  24. Jura-Bison
  25. Les Bisons du Sachuron.
  26. Elevage du Palais.
  27. Randals Bison.
  28. Ranch des bisons.
  29. Domaine RĂŞve de Bisons.
  30. Ferme de la Marquise.
  31. Ferme des bisons.

Voir aussi

Bibliographie

  • (en) Brian Murray Fagan, Ancient North America : the archaeology of a continent, New York, 2005, 568 p. (ISBN 978-0-500-28532-9, OCLC 495292649)
  • (en) Mary Ann Franke, To save the wild bison : life on the edge in Yellowstone, Norman, University of Oklahoma Press, , 328 p. (ISBN 978-0-8061-3683-7, OCLC 57069390, lire en ligne)
  • (en) Larry Koller, The fireside book of guns, New York, Simon and Schuster, , 284 p. (OCLC 1358559)

Articles connexes

Références taxinomiques

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.