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Bernard Le Grelle

Bernard le Grelle, né le à Alost en Belgique, est un journaliste d'investigation belge, lobbyiste et conseiller politique[1]. Il est membre de la famille Le Grelle.

Bernard Le Grelle
Bernard Le Grelle
Biographie
Naissance
Nationalité
Belge
Formation
Activité
Journaliste d'investigation, consultant politique
Famille

Il se distingue notamment pour son enquĂȘte sur l'assassinat de John F. Kennedy en 1963.

Jeunesse

Abbaye Saint-André

AprÚs ses études primaires au CollÚge Notre-Dame d'Anvers, Bernard Le Grelle fait ses études au pensionnat de l'Abbaye Saint-André (Bruges). Il y remporta le concours du Lyons Club de Bruges pour son essai sur la paix dans le monde[2].

Tour du monde

Bernard Le Grelle a commencĂ© sa carriĂšre en voyageant. AprĂšs un voyage en Syrie en 1968, qui s'est terminĂ© dans une prison turque suite Ă  un accident de voiture impliquant un camion de l'armĂ©e[3], il a parcouru 30 000 km[4] - [5] d'Anvers Ă  Katmandou (NĂ©pal) le long du Hippie trail[6]. L'expĂ©dition fut couverte par la presse Ă  son dĂ©part[7] - [8]. Il a depuis racontĂ© ce voyage Ă  plusieurs journaux[9] - [10].

Études

En 1969, il obtient un baccalauréat supérieur à l'université Saint-Louis de Bruxelles et en 1973, une licence en sciences économiques, sociales et politiques de l'Université catholique de Louvain (UCL).

Premiers pas en tant que journaliste

La promotion 1974 et JFK

En 1973, il entre Ă  la Graduate School of Journalism de l'UniversitĂ© Columbia. À cette Ă©poque, il commence Ă  enquĂȘter sur l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy. En cette annĂ©e du dixiĂšme anniversaire, plusieurs de ses camarades de classe ont Ă©galement Ă©tĂ© saisi par cet assassinat dont le cĂ©lĂšbre journaliste du New York Times, Robert Pear (en), Zachary Sklar, qui Ă©crivit avec Oliver Stone le scĂ©nario du film JFK[11] et Jean Lesieur qui publiera en 2017, "Un Meurtre Ă  Georgetown", une enquĂȘte sur l'assassinat de la derniĂšre maitresse de JFK.

De WCBS aux Nations Unies

En janvier 1974, il est embauché comme journaliste stagiaire pour travailler avec Jim Jensen, le présentateur de WCBS Evening news. Il assiste avec son camarade de classe Paul Brown à un cours de reportage aux Nations unies dirigé par Kathleen Teltsch de The New York Times et Mike Berlin du New York Post couvrant la 28e Assemblée générale de septembre 1973 et les nombreux Conseils de sécurité convoqués pendant la guerre du Kippour en octobre.

DĂ©but de carriĂšre

Bernard Le Grelle dĂ©bute sa carriĂšre en 1973 en tant que consultant du Programme des Nations unies pour le dĂ©veloppement lors d'un voyage qu'il effectue au PĂ©rou pour enquĂȘter sur des projets de dĂ©veloppement urbain. Il travaille ensuite au siĂšge mondial d'ITT Ă  New York pour Edward Gerrity, le vice-prĂ©sident exĂ©cutif, qui a aidĂ© Harold Geneen Ă  faire d'ITT le premier conglomĂ©rat mondial amĂ©ricain, sur une analyse du livre d'Anthony Sampson, "The Sovereign State". En 1974 il est consultant pour l'Institut des Nations unies pour la formation et la recherche (UNITAR).

Bernard Le Grelle, Ă©diteur de The Tobago News.

En 1975, Bernard Le Grelle devient expert de l'UNESCO Ă  Tobago. Il fonde "The Tobago News", le premier et unique journal de l'Ăźle dont il est rĂ©dacteur en chef (1975) et Ă©diteur de 1975 Ă  1977. En 1977, en tant que directeur adjoint du Nouvel Économiste Ă  Paris, il organise, sur le modĂšle des voyages d'affaires du magazine Time, une mission Ă©conomique pour vingt prĂ©sidents de grandes entreprises françaises, totalisant 30 milliards de dollars de chiffre d'affaires et employant plus d'un demi-million de salariĂ©s, dont le banquier Guy de Rothschild[12] pour rencontrer la nouvelle administration Carter. À cette occasion, ils firent pression pour obtenir les droits d'atterrissage du Concorde Ă  New York[13] - [14] - [15] - [16] - [17] - [18] - [19].

La délégation française de 17 PDG de grandes entreprises françaises lors de leur rencontre avec le vice-Premier ministre Kang Shi'en.

En 1978, il organise la premiĂšre mission Ă©conomique française en Chine depuis Mao Zedong et sert d'intermĂ©diaire entre plusieurs gouvernements (dont la CorĂ©e du Sud, les Philippines, les États-Unis et la Chine) et de grands groupes industriels français tels que Bouygues, Framatome, Air Liquide, Air France, Accor, Essilor et Thomson[20].

Bernard Le Grelle entre Wang Yao-Ting président du Conseil chinois pour le commerce international et Francis Bouygues.

En 1980, il organise une mission en CorĂ©e et aux Philippines sous la direction de François Giscard d'Estaing envoyĂ© spĂ©cial du prĂ©sident français. RĂ©sultats de la visite : Framatome remporta l'appel d'offres pour deux centrales nuclĂ©aires[21] - [22] et Francis Bouygues remporta le marchĂ© de 1,7 milliard pour la construction de l'universitĂ© de Riyad[23] - [24].

En 1982, avec Lee Huebner[25], l'éditeur et PDG de l'International Herald Tribune, il organise la rencontre de 300 hommes d'affaires, banquiers et diplomates venus de 35 pays avec les membres du gouvernement socialiste français dont Pierre Mauroy, Premier ministre, Michel Rocard et Laurent Fabius, Jacques Delors, Jacques Attali, représentant le président Mitterrand, des dirigeants syndicaux, des parlementaires et deux panels de banquiers et d'industriels internationaux. La conférence fut couverte par 200 journalistes de 21 pays, 17 stations de radio et un pool de 19 télévisions[26] - [27] - [28] - [29] - [30] - [31].

En 1982, il lance avec Norman Pearlstine, The Wall Street Journal/Europe[32] - [33] - [34] - [35] - [36] et en 1984, il lance avec Al Neuharth, l'Ă©dition internationale en Europe de USA Today[37] - [38] - [39] - [40].

En 1986, il organise Ă  Monaco un conseil extraordinaire de l'American Newspaper Publishers Association (ANPA) en collaboration avec Thomas Fichter Senior Vice-President de l'ANPA, Allen Neurath (Ganett), Warren Phillips (Dow Jones), Arthur Ochs Sulzberger (New York Times) et Katharine Graham (Washington Post et Newsweek). À la demande de Thomas Fichter d'organiser une grande manifestation autour de la MĂ©diterranĂ©e, Bernard Le Grelle invite le vice-amiral Edward Martin, commandant de la sixiĂšme flotte amĂ©ricaine basĂ©e Ă  Naples. Le Vice-Amiral et le GĂ©nĂ©ral Bernard Rogers, Commandant SuprĂȘme des Forces AlliĂ©es de l'OTAN vinrent Ă  Monaco pour une confĂ©rence Ă  bord du porte-avion USS America prĂ©sent pour l'occasion avec son unitĂ© de soutien. La manifestation a Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme une opportunitĂ© pour la Maison Blanche d'exposer ses objectifs politiques aux responsables de la presse amĂ©ricaine[41] - [42].

Le programme spatial américain

Le Premier ministre français Pierre Mauroy annonçant le Bicentenaire de l'Air et de l'Espace 1983 lors d'une confĂ©rence de presse. Également sur le podium, le gĂ©nĂ©ral Jacques Mitterrand, ministre des Transports, Charles Fiterman, l'astronaute Jean-Loup ChrĂ©tien et l'astronaute Patrick Baudry.
La cĂ©rĂ©monie annonçant l'annĂ©e du Bicentenaire de l’Air et de l’Espace Ă  la Maison Blanche, le 7 fĂ©vrier 1983.

Bernard le Grelle est nommĂ© directeur de l'Agence Nationale du Bicentenaire de l'Air et de l'Espace en 1982[43]. En septembre 1982, il est approchĂ© par Larry Mihlon, ancien membre de l'Ă©quipe spatiale du prĂ©sident Kennedy, dans le but de crĂ©er une organisation similaire aux États-Unis et devient membre fondateur du US Bicentennial Committee. Le comitĂ© d'organisation des États-Unis du Bicentenaire de l'Air et de l'Espace de 1983 comprenait le sĂ©nateur Charles Mathias (en)[44], prĂ©sident, le prĂ©sident Ronald Reagan, prĂ©sident honoraire et le vice-prĂ©sident George Bush, le gĂ©nĂ©ral Clifton von Kann (directeur), prĂ©sident de la National Aeronautic Association, Anna Chennault, le sĂ©nateur John Glenn, le sĂ©nateur Barry Goldwater, l'astronaute d'Apollo 17 et sĂ©nateur Harrison Schmitt, Scott Crossfield, l'astronaute d'Apollo 11 Michael Collins et Walter J. Boyne, directeur par intĂ©rim du National Air and Space Museum. Le 12 juillet 1982, le sĂ©nateur Mathias prĂ©senta la S.J.Res.270, une rĂ©solution conjointe du CongrĂšs pour dĂ©signer 1983 comme le Bicentenaire de l'Air et de l'Espace[45]. Le 3 janvier 1983, le prĂ©sident Ronald Reagan signa la proclamation officielle pour dĂ©signer l'annĂ©e commençant le 1er janvier 1983 comme le Bicentenaire de l'Air et de l'Espace, qui est devenue loi (no 97-413)[46] - [47]. Le 9 novembre 1982, Mathias, Mihlon et Bernard Le Grelle organisĂšrent une cĂ©rĂ©monie dans la Caucus room du "Russell Senat Office building", pour lancer l'annĂ©e du bicentenaire. L'Ă©vĂ©nement tĂ©lĂ©visĂ© en direct, animĂ© par le vice-prĂ©sident Bush, comprenait un message enregistrĂ© du prĂ©sident Reagan.

Le 7 février 1983, une cérémonie commémorant l'année du Bicentenaire de l'Air et de l'Espace eu lieu à la Maison Blanche. Le Président prit la parole à 13h15 dans la "East Room" devant un groupe de personnalités du secteur de l'aviation, du gouvernement, de la diplomatie, de l'armée et des affaires[48] - [49].

AprÚs le discours du Président, le sénateur Charles Mathias (en), président du comité du bicentenaire, remit à Walter J. Boyne, directeur par intérim du National Air and Space Museum, le symbole du Bicentenaire de l'Air et de l'Espace qui avait été dans l'espace avec la mission de la navette Columbia en novembre 1982. Le logo, signé par les quatre astronautes, a fait l'objet de la premiÚre émission publicitaire télévisée depuis l'espace lorsque le commandant de mission Vance D. Brand l'a montré à la caméra et a briÚvement raconté l'histoire du bicentenaire[48].

En 1985, la NASA choisit Christa McAuliffe, originaire de Concord dans le New Hampshire, pour ĂȘtre la premiĂšre enseignante Ă  aller dans l'espace. McAuliffe est morte dans la catastrophe de la navette spatiale Challenger (STS-51-L) avec l'Ă©quipage Ă  peine 73 secondes aprĂšs le dĂ©collage le matin du mardi 28 janvier 1986[50]. Lorsque l'explosion se produisit, Bernard Le Grelle Ă©tait Ă  bord du Boeing 757 d'Eastern Airlines Ă  destination de Miami, Ă  39 000 pieds au-dessus du Kennedy Space Center. Bernard Le Grelle, qui Ă©tait au tĂ©lĂ©phone avec Charles Villeneuve, directeur de la rĂ©daction d'Europe 1, devint le premier et le seul journaliste Ă  relater l'accident en direct en regardant l'explosion. Le reportage a Ă©tĂ© citĂ© parmi les grands scoops d'Europe 1[51].

Directeur d'une agence d'affaires publiques[52]

En 1982, Bernard Le Grelle fonde la premiÚre agence européenne de lobbying Interel qui a fusionnée en 2022 avec Dentons[53] - [54] - [55] - [56] - [57] - [58] - [59] - [60] - [61] - [62] - [63] - [64] et lance une série de forums mondiaux pour inciter des dirigeants d'entreprise à rencontrer le chef et les membres d'un gouvernement[65] - [66] - [67] - [68] - [69]. Il a aussi, entre autres, fait pression pour la sécurité du tunnel sous la Manche pour James Sherwood et pour l'Initiative de défense stratégique (SDI) en tant que coopération alliée de l'industrie de la défense[70].

En 1984, il devient le partenaire européen de Gray & Company[71], fondée par Robert K. Gray (en), ancien secrétaire de cabinet du président Dwight Eisenhower, directeur adjoint de la campagne présidentielle Reagan-Bush en 1980[72] - [73] - [74] - [75].

De 1982 à 1986, Bernard Le Grelle, avec James I. Campbell Jr.[76], conseiller de Larry Hillblom, le fondateur de DHL, ont contribué à briser le monopole postal existant[77] en Europe, ouvrant la voie à des entreprises telles que FedEx, UPS, TNT et DHL pour opérer sur le continent européen[78] - [79] - [80].

Vie politique

Consul de France

En 1976, il devient Consul de France à Tobago, nommé par Henri Chollet, ambassadeur de France à Port-d'Espagne (Trinidad)[81].

Campagnes présidentielles

En 1980, Bernard Le Grelle est membre de l'Ă©tat-major de campagne pour la rĂ©Ă©lection du prĂ©sident ValĂ©ry Giscard d'Estaing. En 1996, lorsque Steve Forbes entre dans les primaires rĂ©publicaines pour la prĂ©sidence des États-Unis, Bernard Le Grelle rejoint sa campagne dans le New Hampshire. Bien qu'il remporta les primaires de l'Arizona et du Delaware et obtenu des parts importantes du vote dans d'autres primaires, Forbes n'obtint pas l'investiture rĂ©publicaine.

Conseiller politique

Bernard Le Grelle fut conseiller politique, en charge de la promotion des investissements Ă©trangers et de la valorisation de l'image du pays pour le compte de plusieurs Premiers ministres, dont Pierre Mauroy, Wilfried Martens et Ruud Lubbers. Il organisa la visite officielle aux États-Unis du vice-Premier ministre belge Willy De Clercq[82], GĂ©rard Longuet, ministre français des Postes et TĂ©lĂ©communications en 1986[83] - [84], et de Jacques MĂ©decin, secrĂ©taire d'État au Tourisme et maire de Nice en 1984. Il devient en 2008 prĂ©sident du ComitĂ© de soutien pour l'attribution du prix Nobel de mĂ©decine Ă  Jean-Claude Chermann, co-dĂ©couvreur du virus du sida, qui n'a pas reçu du prix Nobel pour sa dĂ©couverte, contrairement Ă  Luc Montagnier et Françoise BarrĂ©-Sinoussi. Le comitĂ© aurait rĂ©uni "plusieurs centaines" de mĂ©decins, professeurs et scientifiques[85] - [86].

Bernard Le Grelle Ă  l’ElysĂ©e avec le lieutenant-colonel Jean-Louis EsquiviĂ© et le commissaire divisionnaire Charles Pellegrini de la cellule antiterroriste.

Professeur et conférencier

Bernard Le Grelle a Ă©tĂ© professeur Ă  l'UniversitĂ© de Saint-Gall en Suisse et le fondateur, directeur du module "Law, Lobbying and Public Affairs" du programme "Executive Master of European and International Business Law" de cette mĂȘme universitĂ©. Il a Ă©galement Ă©tĂ© professeur invitĂ© Ă  HEC Paris Ă  l'UniversitĂ© de la Sorbonne (UniversitĂ© de Paris 1 PanthĂ©on Sorbonne) et la CECA (Centre Entreprise et Communication AvancĂ©e). Il a tenu des confĂ©rences sur les stratĂ©gies de lobbying pour la Commission europĂ©enne et des universitĂ©s, des chambres de commerce, des organisations professionnelles et des associations patronales en Belgique, France, Suisse, Autriche, Espagne, Italie, aux États-Unis, au Zimbabwe et au Nigeria[87] - [88].

Cercles, Clubs, Associations

Bernard le Grelle est membre du Cercle de l'Union interalliée. Il était un membre du Rallye Vielsalm[89]. Il est également membre du Cercle mbc à GenÚve et Paris, des Columbia Alumni Associations (New York, Paris, GenÚve et Bruxelles), de l'association Anciens (Alumni) de l'école de journalisme de l'Université de Columbia, du groupe CU J-School International Alums, des American University Clubs of France (AUC France) et il est un ancien membre de la Young Presidents' Organization (YPO) (en). Il a été administrateur de la Chambre de Commerce belgo-luxembourgeoise à Paris et membre actif du Comité français de la Chambre de commerce internationale. Entre 2002 et 2005, Bernard le Grelle a été Vice-Commodore du Trophée Bailli de Suffren[90], une course à la voile de bateaux traditionnels entre Saint-Tropez et Malte.

Vie privée

En 2007, il épouse Karine Higounet, avocate française. Ils ont un fils, Amaury né en 2007. Ils vivent à Paris et à Cordon prÚs de MegÚve dans les Alpes françaises[91] - [92] - [93].

Livres, publications et filmographie

Livres

  • Lobbyman, Le Pouvoir des Coulisses (Hachette, 1988)[94] - [95].
  • Les Hommes PrĂ©fĂšrent les Myopes (Editions LPM, 1998)[96]
  • Tout le monde doit connaĂźtre cette histoire (Editions Stock, 2009) avec Jean-Claude Chermann, Olivier Galzi.

Publications

Filmographie

  • California 1972, documentaire de 20 min pour CamĂ©ra au poing (RTB, tĂ©lĂ©vision belge 1972).
  • Katia (1994), coproducteur d'un court mĂ©trage avec Lise Fayolle.
  • Les hommes prĂ©fĂšrent les myopes (2004), scĂ©nariste avec Donna Smith, ancienne vice-prĂ©sidente de la production et de la post-production d'Universal Pictures.

Références

  1. « Bernard le Grelle, El poder polĂ­tico de los que estĂĄn 'entre bastidores' », El Pais,‎ (lire en ligne)
  2. Overhandiging der Prijzen aan de Laureaten van de Opstelwedstrijd De Vrede., Brugsch Handelsblad, , p. 3
  3. J. Somers, , Gazet van Antwerpen, 11 août 1969
  4. A 30.000km Trip, De Standaard,
  5. J. Somers, Het begon met een verkenningstochtje
30.000 km als vakantietrip (Cela a débuté comme une expédition
 30,000 km comme voyage de vacances), Gazet van Antwerpen,
  6. Twee Sinjoren per bestelwagen naar Nepal (Deux anversois en camionnette pour le NĂ©pal), Het Laatste Nieuws,
  7. Twee Sinjoren per bestelwagen naar Nepal (Two Sinjoren by van to Nepal)., Het Laatste Nieuws,
  8. L'attrait de l'aventure, La MĂ©tropole,
  9. Bernard Le Grelle, Avontuur kruidde en halve wereldreis, Twee Antwerpenaars deden vakantie trip van 30.000 km (L’aventure Ă  l’origine d’un demi-tour du monde, Deux anversois font un voyage de 30,000 km), Gazet van Antwerpen (premiĂšre page de l’édition du week-end),
  10. Een Klasse VW-Kombi, Goede Reis Magazine,
  11. Crowdus et Zachary Sklar, « Getting the Facts Straight: An interview with Zachary Sklar », CinĂ©aste, CinĂ©aste, vol. 19, no. 1, vol. 19, no 1,‎ , p. 28–32 (JSTOR 41688065, lire en ligne)
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  13. Ron Scherrer, French Team visits US to push its exports, The Christian Science Monitor,
  14. Baron Guy de Rothschild, one of France 's leading industrialist, said today that landing rights in New York are important for the supersonic Concorde aircraft to be a success, AP, New York,
  15. Jared Ropel, Frenchmen speak planely, New York Post,
  16. Concorde Ban cited, French doubtful on "free trade", Associated Press,
  17. Michael Stern, French Businessmen are guests of Beame: At a Breakfast in Gracie Mansion, Mayor Says He'd like Them to Become Permanent Residents,
  18. Claire Spiegel, pSST! Wanna Invest in the City?,
  19. French Businessmen, worried about communism, eye U.S. investments, The Wall Street Journal,
  20. Jonathan Kaufman, French to offer China $ billions, South China Morning Post,
  21. Korea Electric Nuclear Projects Starts a Reaction Among Bidders,
  22. Korea Electric Orders 2 French Nuclear Power Plants,
  23. Terry Dodsworth, French Group wins Riyad Contract,
  24. Blount-Bouygues Unit to Build Riyad Project,
  25. « Lee Huebner | School of Media & Public Affairs (SMPA) | the George Washington University »
  26. « High French Officials Try To Reassure Business men », The Washington Post,‎
  27. Laurence Minard, France's Socialist government sees no contradiction in pledging nationalization and seeking foreign investment,
  28. David Housego, French Minister reinforce fears over protectionism, The Financial Times,
  29. Frankreich: Politik conform mit Regeln unternehmerischer Freiheit, Die Welt,
  30. Mauroy dĂ  lezione sulla via francese al "socialismo captalista", Corriere della Sera,
  31. Rudolf Mang et Dorothea Palka, Staatstheater : Wie ein PR-Man Frankreichs Regierung antreten ließ. Bernard Le Grelle rief, und allen kamen: ein Premier Minister und ĂŒber 250 internationale Spitzenmanager. Auch Frankreichs Sozialismus braucht Werbung., Capital,
  32. Le Wall Street Journal Ă  Bruxelles, Magazine Pourquoi Pas?,
  33. Les firmes Ă©trangĂšres installĂ©es en Belgique contre la rĂ©duction du temps de travail, Le Wall Street Journal s'installe en fanfare, L’Echo de la Bourse-AGEFI,
  34. L'amĂ©ricain tombĂ© du ciel: Le "Wall Street Journal" lance une Ă©dition europĂ©enne. Par Satellite., L’Express, 15–21 octobre, 1982
  35. Une édition européenne du Wall Street Journal, Libération,
  36. Wall Street Comes to Brussels, America's most authoritative financial paper is opening a European operation in Brussels, The Bulletin,
  37. USA Today, 24 Uur voorbij, Het Laatste Nieuws,
  38. And Europe today, Pourquoi Pas,
  39. Michel Mathot, " USA Today " imprimé en Europe demain ?, Le Soir,
  40. Michael Groth, Eine amerikanisher Zeitung im Fernsehformat, " USA Today " erkundet Europa/ Die Frage der Anzeigen, Franfurther Allgemeine Zeitung,
  41. Un géant des mers devant Monaco, Nice Matin,
  42. Commandant suprĂȘme des forces alliĂ©es en Europe, Le gĂ©nĂ©ral Rogers a rencontrĂ© Ă  Monaco les patrons de la presse amĂ©ricaine, Nice Matin,
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  46. « S.J. Resolution 270 to designate 1983 as the "Bicentennial of Air and Space Flight" 1982 »,
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  82. (nl) Le Grelle. No cheers in his own country, Vice Prime Minister Willy De Clercq was the guest this week in the US.(Le Grelle. Nul n’est prophĂšte dans son propre pays. Le Vice Premier Ministre Willy De Clercq Ă©tait l’invitĂ© cette semaine aux Etats-Unis), Belgique, Het Laatste Nieuws,
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Voir aussi

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