Basse-Goulaine
Basse-Goulaine (Bass-Góleinn en gallo) est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Basse-Goulaine | |||||
L'église paroissiale. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Nantes | ||||
Intercommunalité | Nantes Métropole | ||||
Maire Mandat |
Alain Vey 2020-2026 |
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Code postal | 44115 | ||||
Code commune | 44009 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Goulainais | ||||
Population municipale |
9 410 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 685 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 12′ 58″ nord, 1° 27′ 51″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 44 m |
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Superficie | 13,74 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Nantes (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Sébastien-sur-Loire | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.basse-goulaine.fr/ | ||||
Géographie
Situation
Basse-Goulaine est située sur la rive sud de Loire, aux portes du Vignoble du Muscadet-Sèvre et Maine, au sud-est de Nantes ; la commune est arrosée par la rivière de Goulaine qui traverse son territoire au nord-est.
Les communes limitrophes sont : Nantes, Sainte-Luce-sur-Loire, Saint-Julien-de-Concelles, Haute-Goulaine, Vertou et Saint-Sébastien-sur-Loire.
Transports
La commune est desservie par une ligne Chronobus (C9), 2 lignes de bus (27 et 60) et un service de transport à la demande (TAD Basse-Goulaine) du réseau TAN[1], et par les lignes 331 et 333 du réseau régional Aléop au niveau du lycée de la Herdrie[2].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Golena en 1123[3], Goulena en 1287[4].
Le nom de Basse-Goulaine est un transfert de celui de la rivière la Goulaine, et de la position topographique du village en aval de la rivière par rapport à Haute-Goulaine en amont (voir Goulaine#Hydronymie)
Basse-Goulaine possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Bass-Góleinn (écriture ELG) ou Bâss Goulènn (écriture MOGA), prononcé [bɑs.gu.lɛn][5] - [6].
Goueled-Goulen en breton[4].
Histoire
Période de la Révolution française
Lors de la réorganisation administrative de 1789, la paroisse de Basse-Goulaine devient une commune, formant avec Saint-Sébastien (chef-lieu) le troisième canton du district de Nantes.
En 1793, la population de Basse-Goulaine prend en grande majorité le parti de l'insurrection vendéenne, comme celle de Saint-Sébastien. Les troupes républicaines reprennent le contrôle militaire de ce secteur à la fin de l'année 1793, mais ce n'est qu'en 1796 que la situation redevient à peu près normale. Pendant quelques années, il n'existe pas d'administration municipale, mais seulement une administration cantonale, concernant les deux communes.
XXe siècle
Le 22 octobre 1941, 6 des 16 otages fusillés à Nantes, dans le cadre des représailles après la mort de Karl Hotz, sont inhumés dans le cimetière de Basse-Goulaine :
- Paul Birien : 50 ans, né à Redon, soupçonné d’avoir favorisé des évasions de prisonniers de guerre. Inhumé dans le cimetière Miséricorde de Nantes ;
- Joseph Blot : 50 ans, né à Orvault, soupçonné d’avoir favorisé des évasions de prisonniers de guerre. Inhumé dans le cimetière de la Chauvinière de Nantes ;
- Joseph Gil : 19 ans, de Nantes, militant communiste, soupçonné d’actes de résistance. Inhumé dans le cimetière de la Chauvinière de Nantes ;
- Jean Grolleau : 21 ans, né à Bournezeau, soupçonné d’actes de résistance. Inhumé dans le cimetière de la Chauvinière de Nantes ;
- Léon Ignasiak : 22 ans, de Saint-Herblain, communiste, soupçonné d’actes de résistance. Inhumé dans le cimetière de la Chauvinière de Nantes ;
- Jean Platiau : 20 ans, né aux États-Unis, soupçonné d’actes de résistance. Inhumé dans le cimetière de la Chauvinière de Nantes.
Le 22 octobre 1944, une importante cérémonie commémorative a lieu[7].
Emblèmes
Héraldique
La commune de Basse Goulaine a organisé un concours, demandant aux élèves de l'école primaire de faire des propositions de dessins pour le blason de la commune. Ils devaient prendre des éléments significatifs à leurs yeux de leur commune. Il a été retenu la pierre frite que les élèves assimilaient à un menhir ainsi qu'un poisson (en référence à la Goulaine qui traverse la commune.
Blasonnement :
Coupé : au premier, d'argent au pelven adextré de sa pierre ronde, le tout d'azur ; au second, d'azur à un brochet d'argent posé en fasce.
Commentaires : Les deux roches évoquent les mégalithes de la commune : le pleven (ou pierre frite) orienté vers le lever du soleil au solstice d'été est âgé de plus de 5 000 ans. Le brochet fait référence à la lettre adressée par Napoléon III à un restaurateur de Basse-Goulaine pour le complimenter de son brochet au beurre blanc. Le brochet est devenu une tradition culinaire de Basse-Goulaine. Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du ), enregistré le . |
Devise
La devise de Basse-Goulaine : Saxo Diuturnor Alacrior Lucio.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Basse-Goulaine fait partie de l'aire urbaine, de l'unité urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes[10]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 83 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires » et 17 % dans des zones « peu denses »[11].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[13].
En 2020, la commune comptait 9 410 habitants[Note 2], en augmentation de 10,81 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 442 hommes pour 4 651 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 43 526 €, ce qui plaçait Basse-Goulaine au 1 173e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[18].
Patrimoine
- Menhir dit la Pierre Frite.
- L'église Saint-Brice.
- La ligne de chemin de fer du Petit Anjou, qui a fonctionné de 1899 à 1947, atteignait Basse-Goulaine par un viaduc au-dessus de la Patouillère ; ce viaduc existe encore (rue du Pont-Brédy).
- Le parc de la Grillonnais et son château, un centre d'accueil pour handicapés moteur, et le parc des Grézillières et son château, une maison d'enfants à caractère social. Aujourd'hui le parc de la Grillonnais est accessible à la population.
- Le château de Launay-Bruneau, propriété du XVIIIe siècle ayant appartenu à la famille Viot au XIXe siècle, avant de devenir la propriété de la famille Naudeau au siècle suivant, puis aux o'Jeanson de Damoiseau.
- Le domaine de la Trêperie, ancienne propriété de François Lyrot dont la famille l'avait acquis au XVIe siècle.
- Le manoir de la Prétière.
- Le château de la Ravelonnière, remontant au XVe siècle, qui passe à la famille d'Espinose vers 1650.
- Le domaine de la Champagnère (ou Champanière) qui appartenu à la famille de Bourgues.
- Les bords de la Goulaine étaient réputés pour leurs restaurants qui avaient pour spécialités les cuisses de grenouille et le beurre blanc. Ces restaurants ont reçu, dans les années 1960 et 1970, des personnalités politiques et cinématographiques. Seuls deux restaurants (Restaurant de la Rivière, antérieurement Coco Charette, et le Restaurant du Pont) perpétuent encore cette tradition.
- Le port : ancien centre important pour la pêche à la civelle en Loire.
- Croix des Fosses : la croix, en granit, que l'on peut voir aujourd'hui n'est pas celle d'origine. Elle a été remplacée en 2010, lorsque les constructions ont commencé dans le parc de la Grillonnais. L'ancienne était plus haute que la croix actuelle.
- Les trois jours cyclistes de Basse-Goulaine. Dans les années 1980, cette compétition sportive animait la commune de Basse-Goulaine qui l'espace de 3 jours (du vendredi ou dimanche) se transformait en vélodrome.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[21]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Haie-Fouassière », sur la commune de La Haie-Fouassière, mise en service en 1960[25] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[26] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 843,3 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 13 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 12,5 °C pour 1981-2010[30], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[31].
Urbanisme
Typologie
Basse-Goulaine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [32] - [33] - [34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nantes, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[35] et 645 324 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nantes est la huitième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux et Nice[36] - [37].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[38] - [39].
En quelques années, Basse-Goulaine a considérablement changé. Elle était il y a 30 ans une commune rurale avec des vignes (muscadet, gros-plant), le muguet et des cultures maraîchères. Un quartier de la commune était tourné vers la pêche. On trouve d'ailleurs encore des noms de rues qui rappellent ce passé : la rue du Pont, la rue du canal, place de la rivière. Les exploitations agricoles ont disparu.
Il reste encore quelques maisons et quelques fermes anciennes comme place de la rivière, où se situerait l'une des plus anciennes maisons de Basse-Goulaine, ou bien rue de la Jarniganière bien que la quasi-totalité fût rasée au profit d'immeubles.
Seuls espaces encore préservés : les Vallées et la Baillée. Cela s'explique par la mise en place d'un PPR (Plan de Prévention des Risques). Ce sont en effet des zones inondables (crue de la Loire de 1910).
Comme dans de nombreuses communes de banlieue, la question de l'urbanisme se pose entre développement et conservation du patrimoine.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (23,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (35,6 %), prairies (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,1 %), eaux continentales[Note 8] (5,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,8 %), terres arables (3,1 %), cultures permanentes (1,8 %), forêts (1,2 %)[40].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[41].
Sports
- Football
L'Athletic Club de Basse-Goulaine (AC Basse-Goulaine) participe au championnat de Régional 1 des Pays de la Loire (5e échelon du football français). Le club a vu le jour le 8 mai 1963 sous l'impulsion d'Alfred Maura, maire de la commune de l'époque, qui en a été le premier président[42]. De nos jours le l'ACBB compte près de 400 licenciés qui s'entraînent et jouent au Complexe Henri Michel dont le terrain principal est doté d'une tribune de 300 places[42] - [43].
- Rugby à XV
Le Rugby club de Saint-Sébastien/Basse-Goulaine(RCSSBG) qui a évolué en Fédérale 3 (équivalent 5e division Nationale) de la saison 2007/2008 à la saison 2018-2019 ou il est relégué en Honneur régional. Il est de nouveau promu en Fédérale 3 pour la saison 2020-2021.
- Football Américain & Flag
Le Football Américain et le Flag sont arrivés sur la commune en 2014 grâce à l'association "Les ESOX" (brochet en latin, emblème de la ville).
Leur section Football Américain est vice championne interrégionale (Pays de la Loire / Bretagne) lors de la saison 2014-2015 et évoluera en Division 3 Nationale a saison suivante avant d'être relégué. Ils sont de nouveau à ce niveau National depuis la saison 2020-2021.
La section Flag est quant à elle championne interrégionale (Pays de la Loire / Bretagne) lors de la saison 2016-2017.
L'association a aussi ouvert ses disciplines aux jeunes de 8 Ã 15 ans en 2018.
Personnalités liées à la commune
- Adolphe Billault (1805-1863), homme politique français, plusieurs fois élu député de Loire-Inférieure ; il décède le à Basse-Goulaine.
- Julien Henri Busson-Billault (1823-1888), ministre président du conseil d'État en 1870. Il épouse Fanny Billault, fille d'Adolphe Billault dont il était le secrétaire. Il est élu député du corps législatif sous le Second Empire. La chute du régime l'oblige à prendre du recul. Il tente un retour en politique en se faisant élire au conseil général de Loire-Inférieure en 1876, mais échoue lors des élections législatives de 1877. Il reçoit plusieurs décorations : chevalier de la Légion d'honneur en 1859, officier en 1862 et commandeur en 1866, officier de l'Instruction publique[44]. Il décède le au château des Grézillères. Une rue porte son nom à Basse-Goulaine et une autre le nom de cette famille.
- Henri-Julien-Marie Busson-Billault (1853-1923), sénateur de Loire-Inférieure de 1920 à 1923.
- René Guy Cadou (1920-1951) a été instituteur à Basse-Goulaine. La médiathèque de Basse-Goulaine porte son nom.
Voir aussi
Bibliographie
- Alain Bergerat, Histoire de Basse-Goulaine. Un village entre Loire et Goulaine, édité par la ville de Basse-Goulaine, Nantes, 1994.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Basse-Goulaine sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Réélu en 2014 et 2020.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Références
- Carte interactive du réseau TAN
- Carte interactive du réseau Aléop
- Michel Priziac - Les noms racontent la nature, Kidour-éditions, 2007, page 20, (ISBN 978-2-917574-27-0).
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
- La Résistance de l'Ouest, 21 octobre 1944.
- « Basse-Goulaine. Nécrologie : M. Louis Edelin, maire honoraire », Ouest-France (archives du journal),‎ (lire en ligne )
- « Commune de Basse-Goulaine (44009) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Basse-Goulaine (44009) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Haie-Fouassière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « AC Basse-Goulaine | L'Histoire du Club », sur acbassegoulaine (consulté le )
- « AC Basse Goulaine | Le Stade », sur acbassegoulaine (consulté le )
- (nl) « Home - Napoleon Trois », sur Napoleon Trois (consulté le ).