AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Bailleau-le-Pin

Bailleau-le-Pin est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire[1].

Bailleau-le-Pin
Bailleau-le-Pin
La mairie.
Blason de Bailleau-le-Pin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes Entre Beauce et Perche
Maire
Mandat
Martial Lochon
2020-2026
Code postal 28120
Code commune 28021
DĂ©mographie
Gentilé Bailleaulais(e) ou Baillolais(e)
Population
municipale
1 597 hab. (2020 en augmentation de 1,78 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 97 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 22â€Č 04″ nord, 1° 19â€Č 51″ est
Altitude Min. 154 m
Max. 185 m
Superficie 16,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Illiers-Combray
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bailleau-le-Pin
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bailleau-le-Pin
GĂ©olocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir
Bailleau-le-Pin
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Bailleau-le-Pin
Liens
Site web www.bailleau-le-pin.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    • Situation gĂ©ographique
    • Bailleau-le-Pin dans son arrondissement.
      Bailleau-le-Pin dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Bailleau-le-Pin.
      Carte de la commune de Bailleau-le-Pin.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et Ă©carts

    • Rosay-au-Val

    Desserte ferroviaire

    La gare de Bailleau-le-Pin est située sur la ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean. Elle est desservie par des trains du réseau TER Centre-Val de Loire qui effectuent des missions entre Chartres et Brou ou Courtalain - Saint-Pellerin

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 642 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Blandainville », sur la commune de Blandainville, mise en service en 1995[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 622,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă  17 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bailleau-le-Pin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (93,4 %), zones urbanisĂ©es (5,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bailleau-le-Pin est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondationset sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la VallĂ©e de malorne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1987, 1999, 2000, 2001 et 2021[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bailleau-le-Pin.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 75,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 675 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 264 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 39 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[25].

    Toponymie

    Les mentions les plus anciennes de cette commune sont Baliolis en 977[26] - [27], Ballolium Spini v. 1272[28], Baillolum Pini en 1351[28], Baillolium Pini, Baillolum v. 1480[28], Bailleau le Pin en 1710[29], en 1738[30], en 1757[31].

    Il existe trois Bailleau en Eure-et-Loir, tous trois dans l’arrondissement de Chartres: Bailleau-Armenonville, Bailleau-l'ÉvĂȘque et Bailleau-le-Pin.

    Ce toponyme procĂšde de l'anthroponyme latin Ballius, suivi de l'appellatif gaulois ialon « clairiĂšre »[32] ou du nom de personne Balius suivi du mĂȘme Ă©lĂ©ment[27].

    Remarque : En réalité, le nom de personne Ballius est gallo-romain. Il est formé ou influencé par le gaulois ballos « membre » et que l'on retrouve dans les noms de personnes Ballomaros « (celui) aux grands membres » et Andonnoballos « (celui) aux membres bruns »

    Histoire

    Révolution française et Empire

    C'est à Bailleau-le-Pin que fut créée en 1809, à l'initiative du préfet d'Eure-et-Loir Jean-François-Marie Delaßtre (1766-1835) la bergerie départementale, destinée à répandre la race Mérinos, venant d'Espagne, dans le département. Elle fut installée dans une ferme de 120 hectares située à Rosay-en-val, en vertu d'une convention signée le 3 décembre 1808 entre le préfet et André Leloup (né à Mainvilliers le 20 mai 1766, décédé à Chartres le 4 août 1831). Ainsi, le samedi 22 juin 1811 a eu lieu à Chartres, à l'hÎtel de la préfecture, la vente aux enchÚres de 24 béliers, de 20 brebis mÚres et de 800 kilos de laine, le tout de "race pure d'Espagne" et provenant de la bergerie du département.

    L'expérience prit fin en 1816 à la demande du Conseil Général et du préfet. Le 3 juillet 1816 se tient à Rosay-au-Val, commune de Bailleau-le-Pin, la vente aux enchÚres de l'ensemble du troupeau de mérinos. Le produit de la vente est pour partie versé à l'hospice des enfants trouvés de Josaphat, prÚs de Chartres[33].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs Ă  partir de 1945
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Mars 2001 En cours Martial Lochon[34] - [35] Cadre administratif et commercial d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 1 597 habitants[Note 8], en augmentation de 1,78 % par rapport Ă  2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    697710699680804830862948949
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    906932910918930874865893887
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    851876836782780783834868784
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    7899181 1411 1851 4951 4561 4941 5051 504
    2018 2020 - - - - - - -
    1 5581 597-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Lieux et monuments
    • La gare de Bailleau-le-Pin.
      La gare de Bailleau-le-Pin.
    • L'Ă©glise Saint-Cheron.
      L'Ă©glise Saint-Cheron.
    • Le Pavillon Belle-Vue.
      Le Pavillon Belle-Vue.

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune de Bailleau-le-Pin se blasonnent ainsi :

    De gueules à la bande d'or chargée de trois pommes de pin tannées, accompagnée en chef d'un bélier, et, en pointe de deux gerbes de blé d'or liées de tanné, rangées en bande.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Site internet de Bailleau-le-Pin », sur www.bailleau-le-pin.fr, (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Blandainville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bailleau-le-Pin et Blandainville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Blandainville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Bailleau-le-Pin et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Bailleau-le-Pin », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    26. GUERARD (B.) Cartulaire de l'abbaye de Saint-PĂšre de Chartres (1840), t. 1, p.cccxlvj.
    27. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, GenÚve, 1990, t.1, p. 389.
    28. LONGNON T4 Pouillés province de Sens (1904), 1272 : p. 119F; 1351 : p.176B; 1480 : p. 191B.
    29. Merlet (R.) Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790 (Eure-et-Loir) Série E (supp.), canton de Janville, (1871), t. 3, p. 289.
    30. DOUBLET (Nic.) Pouillé du diocÚse de Chartres,...(1738), p. 34.
    31. Plan de Cassini, 1737.
    32. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , p. 47.
    33. Archives départementales d'Eure-et-Loir, dossier sur l'élevage ovin dans le département, cote 7 M 10.
    34. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    35. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.