Azincourt
Azincourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Azincourt | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | CC des 7 Vallées | ||||
Maire Mandat |
Nicolas Poclet 2020-2026 |
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Code postal | 62310 | ||||
Code commune | 62069 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Azincourtois | ||||
Population municipale |
311 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 27′ 50″ nord, 2° 07′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 142 m |
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Superficie | 8,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Fruges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ses habitants sont appelés les Azincourtois.
La commune fait partie, de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019, et du Pays des Sept Vallées.
Elle est connue pour la bataille d'Azincourt qui s'est déroulée sur son territoire le pendant la guerre de Cent Ans et qui a débouché sur une défaite des Français face aux Anglais.
Une partie du territoire de la commune est située sur le site classé de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) des vallées de la Créquoise et de la Planquette.
Géographie
Localisation
La commune, située à une quinzaine de kilomètres au nord-est d'Hesdin, se trouve dans le Pays des Sept Vallées.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Paysages
La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3] - [2]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [3].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 4] : les vallées de la Créquoise et de la Planquette. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d’Artois et le Ternois et constituent un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[4].
Urbanisme
Typologie
Azincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [5] - [6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73 %), prairies (21,7 %), zones urbanisées (3 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Voies de communication
La commune est desservie par la route départementale D 71[12].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 7 km de la gare de Blangy-sur-Ternoise, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples. C'est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France.
Toponymie
On relève dans les documents les formes anciennes Aisincurt en 1165 ; Asincurtis et Aisgincurt au XIIe siècle ; Aisincort vers 1202 ; Asincort en 1208 ; Ainsencourt, Aisencourt en 1375 ; Aisencourt au XIVe siècle ; Arsincourt en 1415 ; Azincourt-delez-Blangy-en-Ternois en 1415 ; Ainsincourt en 1474 ; Asincourt au XVe siècle ; Aizincourt en 1545[13] ; Azincourt depuis 1793[14].
Ces noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. L'appellatif toponymique -court (français moderne cour) est issu du gallo-roman CORTE qui signifie « domaine », lui-même issu du bas latin cortem ou curtis, évolution du latin classique cohors, d'abord « cour de ferme » puis « domaine rural »[15]. Cet appellatif est généralement précédé d'un nom de personne germanique. Ces formations toponymiques datent du Moyen Âge. Cette façon de nommer les lieux serait liée à l'apport germanique du VIe siècle[Note 7] - [16].
Le premier élément Azin- s'explique par un nom de personne germanique, Aizo[17].
Histoire
C'est sur le territoire de la commune que s'est déroulée la bataille d'Azincourt le (pendant la guerre de Cent Ans). Ce fut une défaite française face aux troupes anglaises. En quelques heures, près de 10 000 Français, dont de nombreux membres de la noblesse, y perdirent la vie. Jean d'Azincourt et Walerand d'Azincourt furent du nombre de même que Regnault d'Azincourt, seigneur d'Azincourt et de Rutel (commune actuelle de Villenoy en Seine-et-Marne)[18].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Jumelages
La commune est jumelée avec :
Ville | Pays | Période | ||
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Middleham[24] | Royaume-Uni | depuis |
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[25].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Azincourtois[26].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2020, la commune comptait 311 habitants[Note 8], en augmentation de 2,98 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 155 hommes pour 153 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, dans la commune, il y a 112 ménages fiscaux qui comprennent 283 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 9] de 20 230 euros, soit supérieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[32] - [33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Nicolas, fin XVIIe-début XVIIIe siècle.
- L'église Saint-Laurent, au hameau de Bucamps, XVIIIe siècle.
- Le site de la bataille d'Azincourt (1415) à mi-distance entre les agglomérations d'Azincourt, de Tramecourt et de Maisoncelle.
- Le monument aux morts[34].
- L'église Saint-Nicolas.
- Le monument aux morts.
- Le mémorial de la bataille d'Azincourt.
Patrimoine culturel
- Le centre historique médiéval d'Azincourt. Dans le musée ouvert en 2001, a été installée une scénographie interactive de la bataille et, depuis, l'Alliance anglo-française d'Azincourt organise annuellement une reconstitution historique (re-enactment) de la bataille d'Azincourt. En 2015, Azincourt fête le 600e anniversaire de la bataille, du 23 au 26 juillet. Le nouveau centre Azincourt 1415 a été inauguré le en présence de l’animateur Stéphane Bern et de Brigitte Macron[35].
- Chroniques d’Enguerrand de Monstrelet, la bataille d'Azincourt.
- Chevaliers pendant la reconstitution historique 2012.
Azincourt dans les arts
- Azincourt est le lieu choisi par Georges Perec pour situer une partie de son roman lipogrammique La Disparition.
- Azincourt est le titre d'une chanson de l'album In extremis de Francis Cabrel.
- Azincourt par temps de pluie est un roman de Jean Teulé (2022) qui relate la bataille de 1415.
Personnalités liées à la commune
- Regnault d'Azincourt (v.1358-1415), seigneur d'Azincourt et de Rutel, mort à la bataille d'Azincourt.
- Jean II Le Meingre (1364-1421), dit Boucicaut, maréchal de France, combattit à la bataille d'Azincourt avant d'être fait prisonnier.
- Charles Ier d'Albret (1368-1415), connétable de France, mort à la bataille d'Azincourt.
- Jean Ier d'Alençon (1385-1415), duc d'Alençon, mort à la bataille d'Azincourt.
Héraldique
Blason | D'argent à une aigle bicéphale de gueules, becquée, languée et membrée d'azur[36].
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Détails |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Azincourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Azincourt » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Hypothèse reprise en 1976 par Maurice Lebègue, professeur de français à l'École Normale d'Amiens, à la suite d'un travail réalisé sur l'origine des noms des communes de la Somme.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Définition de l’unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d'unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d'équivalence (dite de l'OCE) tient compte des économies d'échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Fruges », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais, Paris, 1907, p. 25 (lire en ligne sur DicoTopo).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Marianne Mulon, Origine et histoire des noms de famille : essais d'anthroponymie, Éditions Errance, , p. 162.
- Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35000 noms de lieux, 4 volumes, Genève, Droz, 1990-1998.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- Aline Chartrel, « Azincourt – «On va être de plus en plus obligé de travailler avec les autres communes» : LES PROJETS DES MAIRES. Après trente et un ans passés à la tête de la commune, l’ancien maire Bernard Boulet a tiré sa révérence. Qui pour lui succéder ? Nicolas Poclet, ancien conseiller municipal de 42 ans, dont la conception du rôle de premier magistrat se veut avant-gardiste », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Azincourt - Nicolas Poclet est élu pour la première fois au fauteuil de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=35342 »
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- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Azincourt (62069) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Claire de Vregille (photogr. Séverine Courbe), « La bataille d’Azincourt comme si vous y étiez, au centre historique médiéval », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « 62069 Azincourt (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).