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Axelrodichthys

Axelrodichthys est un genre Ă©teint de poissons Ă  membres charnus rattachĂ© Ă  la famille des Mawsoniidae, elle-mĂȘme regroupĂ©e au sein des Coelacanthiformes. Plusieurs espĂšces sont connues, dont les restes ont Ă©tĂ© dĂ©couverts dans le CrĂ©tacĂ© infĂ©rieur (Aptien-Albien) du BrĂ©sil[1], d’Afrique du Nord[2], et possiblement du Mexique[3] - [4], ainsi que dans le CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur du Maroc (CĂ©nomanien)[5], de Madagascar (Coniacien-Santonien)[2] et de France (Campanien infĂ©rieur – Maastrichtien infĂ©rieur)[6] - [7]. Les Axelrodichthys du CrĂ©tacĂ© infĂ©rieur frĂ©quentaient Ă  la fois les eaux saumĂątres et les eaux marines cĂŽtiĂšres (environnement laguno-cĂŽtier) tandis que l’espĂšce la plus rĂ©cente vivait exclusivement en eaux douces (lacs et riviĂšres)[6] - [7]. Les spĂ©cimens français sont les derniers cƓlacanthes d'eau douce connus[7]. Les espĂšces de ce genre mesuraient en moyenne entre 1 et 2 m de longueur[1]. Axelrodichthys fut nommĂ© en 1986 par John G. Maisey en l’honneur de l’ichtyologiste AmĂ©ricain Herbert R. Axelrod[1].

Axelrodichthys
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Fossile d'Axelrodichthys araripensis au Muséum Senckenberg de Francfort-sur-le-Main, Allemagne.

Genre

† Axelrodichthys
Maisey, 1986

EspÚces de rang inférieur

  • † A. araripensis (type) Maisey, 1986
  • † A. lavocati ? (Tabaste, 1963)
  • † A. maiseyi Carvalho et al., 2013
  • † A. megadromos Cavin et al., 2016

Description

Fossile d'Axelrodichthys araripensis.

Comme son cousin Mawsonia, Axelrodichthys est un cƓlacanthe au crĂąne allongĂ©, bas et large, dont les os du toit crĂąnien et de la joue sont caractĂ©risĂ©s par une forte ornementation[7]. Il diffĂšre de Mawsonia principalement par une rĂ©gion pariĂ©tonasale plus allongĂ©e, le dĂ©veloppement du processus descendant du supratemporal, et par la forme et la disposition des os de la joue et de la mĂąchoire infĂ©rieure. Sur cette derniĂšre, les deux branches postĂ©rieures du dentaire sont de longueur similaire chez Axelrodichthys alors que la branche infĂ©rieure de la bifurcation est beaucoup plus longue que la supĂ©rieure chez Mawsonia. La surface de contact avec l’angulaire est Ă©galement plus Ă©tendue chez Axelrodichthys[8].

Taxonomie

Plusieurs espĂšces d’Axelrodichthys ont Ă©tĂ© dĂ©crites. La validitĂ© de certaines d’entre elles est discutĂ©e et d’autres spĂ©cimens sont laissĂ©s en nomenclature ouverte car reprĂ©sentĂ©s par des fossiles trop incomplets pour une dĂ©termination spĂ©cifique. Le genre comprend les taxons suivants :

Reconstitution du crĂąne et de la tĂȘte de l’espĂšce Axelrodichthys megadromos. A, boite crĂąnienne en vue latĂ©rale droite avec le suspensorium gauche et la mĂąchoire infĂ©rieure en vue mĂ©diale; B, crĂąne avec suspensorium, joue et Ă©lĂ©ments operculaires en vue latĂ©rale droite; C, toit du crĂąne en vue dorsale; D, partie ethmosphĂ©noĂŻde en vue ventrale.
  • Axelrodichthys araripensis est l’espĂšce type du genre. Elle est aussi l’espĂšce la mieux connue grĂące Ă  la dĂ©couverte de nombreux spĂ©cimens entiers exceptionnellement conservĂ©s en trois dimensions dans des nodules carbonatĂ©s[1] - [8]. Ces fossiles proviennent de la formation de Crato, datĂ© de l’Aptien, et surtout de la formation de Romualdo (anciennement un membre de la formation de Santana, cette derniĂšre ayant Ă©tĂ© Ă©levĂ©e au rang de groupe), Ă  laquelle est attribuĂ© un Ăąge albien mais qui pourrait dater de l’Aptien supĂ©rieur[9]. Ces deux formations sont situĂ©es dans le bassin d’Araripe au nord-est du BrĂ©sil (États de CearĂĄ, Pernambouc et PiauĂ­). Il est possible que cette espĂšce soit Ă©galement prĂ©sente dans la formation de TlayĂșa (Albien supĂ©rieur) dans l’ État de Puebla au Mexique[3]. Cependant, le spĂ©cimen mentionnĂ© dans la littĂ©rature scientifique n'a jamais Ă©tĂ© dĂ©crit et a malheureusement Ă©tĂ© perdu par la suite[4].
  • Axelrodichthys maiseyi provient de la Formation de CodĂł, datĂ©e de l’Albien moyen - supĂ©rieur, et situĂ©e dans le bassin de GrajaĂș (Ă©tat de MaranhĂŁo) au nord-est du BrĂ©sil. L’espĂšce est nommĂ©e d’aprĂšs John G. Maisey le crĂ©ateur du genre Axelrodichthys[10]. Toutefois, le statut d’A. maiseyi est discutĂ© par certains auteurs qui doutent de l’interprĂ©tation de certaines structures anatomiques et suggĂšrent de rĂ©viser cette espĂšce[8].
  • Axelrodichthys megadromos provient de diverses formations gĂ©ologiques du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur du sud de la France dont l’ñge s’étend du Campanien infĂ©rieur au Maastrichtien infĂ©rieur. L’espĂšce est nommĂ©e d’aprĂšs le grec megas, grand, et dromos, allĂ©e, et fait rĂ©fĂ©rence Ă  la fois Ă  l’arrivĂ©e en Europe de ce taxon originaire du Gondwana, et Ă  la construction d’une nouvelle autoroute Ă  proximitĂ© de la localitĂ© type[6]. A. megadromos est reprĂ©sentĂ© par un crĂąne partiel et de nombreux os crĂąniens isolĂ©s provenant de plusieurs sites localisĂ©s en Provence (Bouches-du-RhĂŽne et Var) et en Occitanie (Aude et HĂ©rault)[7]. Les spĂ©cimens les plus anciens, tels le crĂąne holotypique dĂ©couvert Ă  Ventabren dans les Bouches-du-RhĂŽne, datent du Campanien infĂ©rieur. Le spĂ©cimen le plus rĂ©cent, provenant de la formation des Marnes Rouges InfĂ©rieures dans l’Aude, est datĂ© par la magnĂ©tostratigraphie du Maastrichtien infĂ©rieur, il y a 71,5 millions d’annĂ©es[6] - [7] - [11]. Cette espĂšce est donc le dernier reprĂ©sentant connu des Mawsoniidae d'eau douce[7] et l’un des derniers cƓlacanthes fossiles avec le genre Megalocoelacanthus d’AmĂ©rique du Nord d’ñge comparable[12] - [13] (le cƓlacanthe fossile le plus rĂ©cent Ă©tant un mawsoniidĂ© fragmentaire trouvĂ© dans les couches marines du Maastrichtien supĂ©rieur du Maroc[14]). La prĂ©sence d'A. megadromos dans ce qui Ă©tait l’üle IbĂ©ro-Armoricaine durant le CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur est la preuve d’un Ă©vĂ©nement de dispersion du genre Axelrodichthys depuis le Gondwana occidental (Afrique + AmĂ©rique du Sud) vers l’archipel europĂ©en de cette Ă©poque[6] - [7].
  • ? Axelrodichthys lavocati, nommĂ© d’aprĂšs le palĂ©ontologue français RenĂ© Lavocat, provient de sĂ©diments de la fin du CrĂ©tacĂ© infĂ©rieur (Albien) et/ou du dĂ©but du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur (CĂ©nomanien) du Maroc et d’AlgĂ©rie[15] - [16] - [5]. Seulement connue par des os isolĂ©s, cette espĂšce fut d’abord attribuĂ©e au genre Mawsonia[15] - [16] avant d’ĂȘtre reversĂ©e dans le genre Axelrodichthys en 2019[8]. Le statut de cette espĂšce reste toutefois incertain car le matĂ©riel regroupĂ© sous le nom lavocati pourrait en fait appartenir Ă  la fois aux genres Mawsonia et Axelrodichthys[17].
  • Gottfried et des collĂšgues ont attribuĂ© Ă  une espĂšce indĂ©terminĂ©e d’Axelrodichthys deux os isolĂ©s dĂ©couverts Ă  Madagascar dans les grĂšs d’Ankazomihaboka d’ñge Coniacien-Santonien (89,8 Ă  83,6 millions d’annĂ©es)[2]. Le genre serait Ă©galement prĂ©sent dans l’Aptien du Niger[2].

Paléoécologie

Les Axelrodichthys ont vĂ©cu dans des environnements diffĂ©rents selon les espĂšces et l’époque. Durant le CrĂ©tacĂ© infĂ©rieur, l’espĂšce A. araripensis habitait Ă  la fois les eaux saumĂątres et les eaux marines cĂŽtiĂšres du Gondwana occidental. En effet, la formation de Romualdo, d’oĂč provient essentiellement cette espĂšce, s’est dĂ©posĂ©e dans une lagune cĂŽtiĂšre influencĂ©e par des cycles de transgressions et rĂ©gressions marines et un apport variable en eau douce[9]. À la fin du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur, l’espĂšce A. megadromos vivait exclusivement en eau douce (lacs et riviĂšres), sur l’üle IbĂ©ro-Armoricaine, une terre Ă©mergĂ©e constituĂ©e d’une grande partie de la France et de la pĂ©ninsule IbĂ©rique[6] - [7] - [18]. Tous les sites ayant livrĂ© cette espĂšce ne prĂ©sentent aucune influence marine. Les spĂ©cimens du Campanien infĂ©rieur proviennent de dĂ©pĂŽts lacustres, et ceux du Campanien supĂ©rieur et du Maastrichtien infĂ©rieur furent dĂ©couverts dans des sĂ©diments de riviĂšres et de plaines inondables[19] - [6] - [7]. Les restes d’Axelrodichthys du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur du Maroc et de Madagascar proviennent Ă©galement de sĂ©diments d’eau douce[5] - [2]. L’arrivĂ© du genre Axelrodichthys dans les Ă©cosystĂšmes continentaux du sud-ouest de l’Europe s’est probablement effectuĂ© Ă  la suite de connexions terrestres ayant permis des liaisons fluviales entre l’Europe et le Gondwana[18].

Le rĂ©gime alimentaire des mawsoniidĂ©s est encore mal connu. Bien que des dents minuscules soient prĂ©sentes sur le palais et la partie interne de la mandibule, la bouche de ces poissons est essentiellement Ă©dentĂ©e. Aussi certains auteurs ont supposĂ© qu’ils devaient se nourrir en aspirant leurs proies Ă  la maniĂšre du Latimeria actuel. D’autres chercheurs ont proposĂ© un mode d’alimentation par filtration des nutriments[20]. La description en 2018 d’un spĂ©cimen articulĂ© d’A. araripensis ayant avalĂ© un poisson entier semble confirmer le mode d’alimentation par aspiration[21].

Classification phylogénique

Position du genre Axelrodichthys de la famille Ă©teinte des Mawsoniidae[22] :

Une analyse phylogĂ©nĂ©tique de la famille publiĂ©e en 2020 a trouvĂ© une polytomie regroupant les genres crĂ©tacĂ©s “Lualabaea”, Axelrodichthys, Mawsonia, ainsi que le genre marin du Jurassique Trachymetopon. “Lualabaea” pourrait ĂȘtre congĂ©nĂ©rique avec Axelrodichthys[7].




Outgroup





Diplurus





Parnaibaia





Chinlea





Trachymetopon liassicum



“Mawsonia” lavocati



Mawsonia



Axelrodichthys + “Lualabaea”











Références taxinomiques

Notes et références

  1. (en) J.G. Maisey, « Coelacanths from the Lower Cretaceous of Brazil », American Museum Novitates, vol. 2866,‎ , p. 1-30 (lire en ligne)
  2. (en) M.D. Gottfried, Rogers, R.R. et Curry Rogers, K., « First record of Late Cretaceous coelacanths from Madagascar », dans Arratia, G., Wilson, M..H., Cloutier, R., Recent Advances in the Origin and Early Radiation of Vertebrates, MĂŒnchen, Verlag Dr. Friedrich Pfeil, (ISBN 978-3-89937-052-2), p. 687–691
  3. (en) L. Espinosa-Arrubarrena, S.P. Applegate et K. GonzĂĄlez-RodrĂ­guez, « The first Mexican record of a coelacanth (Osteichthyes: Sarcopterygii) from the Tlayua quarries near Tepexi de RodrĂ­guez, Puebla, with a discussion on the importance of this fossil: Sixth North American Paleontological Convention, Abstracts of Papers », Paleontological Society Special Publication, vol. 8,‎ , p. 116 (DOI 10.1017/S2475262200001180)
  4. (en) K.A. GonzĂĄlez-RodrĂ­guez, Ch. Fielitz, V.M. Bravo-Cuevas et R.E. Baños-RodrĂ­guez, « Cretaceous osteichthyan fish assemblages from Mexico », New Mexico Museum of Natural History and Science Bulletin, vol. 71,‎ , p. 107-119
  5. (en) L. Cavin, L. Boudad, H. Tong, E. LĂ€ng, J. Tabouelle et R. Vullo, « Taxonomic composition and trophic structure of the continental bony fish assemblage from the Early Late Cretaceous of Southeastern Morocco », PLoS ONE, vol. 10(5),‎ , e0125786 (PMID 26018561, PMCID 4446216, DOI 10.1371/journal.pone.0125786)
  6. (en) L. Cavin, X. Valentin et G. Garcia, « A new mawsoniid coelacanth (Actinistia) from the Upper Cretaceous of Southern France », Cretaceous Research, vol. 62,‎ , p. 65-73 (DOI 10.1016/.cretres.2016.02.002)
  7. (en) L. Cavin, E. Buffetaut, Y. Dutour, G. Garcia, J. Le Loeuff, A. MĂ©chin, P. MĂ©chin, H. Tong, T Tortosa, E. Turini et X. Valentin, « The last known freshwater coelacanths: New Late Cretaceous mawsoniids remains (Osteichthyes: Actinistia) from Southern France », PLoS ONE, vol. 15(6),‎ , e0234183 (PMID 32502171, PMCID 7274394, DOI 10.1371/journal.pone.0234183)
  8. (en) L.G.C. Fragoso, P. Brito et Y. Yabumoto, « Axelrodichthys araripensis Maisey, 1986 revisited », Historical Biology, vol. 31(10),‎ , p. 1350-1372 (DOI 10.1080/08912963.2018.1454443)
  9. (en) M.A. CustĂłdio, F. Quaglio, L.V. Warren, M.G. SimĂ”es, F.T. FĂŒrsich, J. A. Perinotto et M.L. Assine, « The transgressive-regressive cycle of the Romualdo Formation (Araripe Basin): Sedimentary archive of the Early Cretaceous marine ingression in the interior of Northeast Brazil », Sedimentary Geology, vol. 359,‎ , p. 1-15 (DOI 10.1016/j.sedgeo.2017.07.010)
  10. (en) M.S.S. de Carvalho, V. Gallo et H.R.S. Santos, « New species of coelacanth fish from the Lower Cretaceous (Albian) of the GrajaĂș Basin, NE Brazil », Cretaceous Research, vol. 46,‎ , p. 80-89 (DOI 10.1016/j.cretres.2013.09.006)
  11. (en) V. Fondevilla, J. DinarĂšs-Turell, B. Vila, J. Le Loeuff, R. Estrada, O. Oms et A. Galobart, « Magnetostratigraphy of the Maastrichtian continental record in the Upper Aude Valley (northern Pyrenees, France): Placing age constraints on the succession of dinosaur-bearing sites », Cretaceous Research, vol. 57,‎ , p. 457-472 (DOI 10.1016/j.cretres.2015.08.009)
  12. (en) D.R. Schwimmer, J.D. Stewart et G.D. Williams, « Giant fossil coelacanths of the Late Cretaceous in the eastern United States », Geology, vol. 22(6),‎ , p. 503-506 (DOI 10.1130/0091-7613(1994)022<0503:GFCOTL>2.3.CO;2)
  13. (en) H. Dutel, J.P. Maisey, D.R. Schwimmer, P. Janvier, M. Herbin et G. ClĂ©ment, « The giant Cretaceous coelacanth (Actinistia, Sarcopterygii) Megalocoelacanthus dobiei Schwimmer, Stewart & Williams, 1994, and its bearing on Latimerioidei interrelationships », PLoS ONE, vol. 10(5),‎ , e49911 (PMID 23209614, DOI 10.1371/journal.pone.0049911)
  14. (en) P.M. Brito, D.M. Martill, I. Eaves, R.E. Smith et S.L.A. Cooper, « A marine Late Cretaceous (Maastrichtian) coelacanth from North Africa », Cretaceous Research, vol. 122,‎ , p. 104768 (DOI 10.1016/j.cretres.2021.104768)
  15. (en) L. Cavin et Forey, P.L., « New mawsoniid coelacanth (Sarcopterygii: Actinistia) remains from the Cretaceous of the Kem Kem beds, SE Morocco », dans Arratia, G. & Tintori, A., Mesozoic Fishes III, Systematics, Palaeoenvironments and Biodiversity, MĂŒnchen, Verlag Dr. Friedrich Pfeil, (ISBN 978-3-89937-053-9), p. 493–506
  16. (en) Y. Yabumoto et T. Uyeno, « New Materials of a Cretaceous Coelacanth, Mawsonia lavocati Tabaste from Morocco », Bulletin of the Natural Science Museum, Tokyo, Series C, vol. 31,‎ , p. 39-49 (lire en ligne)
  17. (en) L. Cavin, C. Cupello, Y. Yabumoto, L.G.C. Fragoso, U. Deesri et P.M. Brito, « Phylogeny and evolutionary history of mawsoniid coelacanths », Bulletin of the Kitakyushu Museum of Natural History and Human History, Series A, vol. 17,‎ , p. 3-13 (lire en ligne)
  18. (en) Z. Csiki-Sava, E. Buffetaut, A. Ɛsi, X. Pereda-Suberbiola et S.L. Brusatte, « Island life in the Cretaceous-faunal composition, biostratigraphy, evolution, and extinction of land-living vertebrates on the Late Cretaceous European archipelago », ZooKeys, vol. 469,‎ , p. 1-161 (DOI 10.3897/zookeys.469.8439, lire en ligne)
  19. (en) L. Cavin, P.L. Forey, H. Tong et E. Buffetaut, « Latest European coelacanth shows Gondwanan affinities », Biology Letters, vol. 1(2),‎ , p. 176-177 (DOI 10.1098/rsbl.2004.0287)
  20. (en) L. Cavin, « Histoires Ă©volutives des poissons dulçaquicoles », dans Cavin, L., Les poissons d’eau douce : 250 millions d’annĂ©es d’histoire Ă©volutive, Croydon, Iste, (ISBN 978-1-78405-398-7, BNF 45515862), p. 69–75
  21. (en) F.J. Meunier, C. Cupello, Y. Yabumoto et B.M. Brito, « The diet of the Early Cretaceous coelacanth Axelrodichthys araripensis Maisey, 1986 (Actinistia: Mawsoniidae) », Cybium, vol. 42(1),‎ , p. 105-111 (DOI 10.26028/cybium/2018-421-011)
  22. (en) Gaël Clément, « A New Coelacanth (Actinistia, Sarcopterygii) from the Jurassic of France, and the question of the closest relative fossil to Latimeria », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 25, No. 3 (sep. 30, 2005), pp. 481-491, https://www.jstor.org/stable/4524470?seq=1#page_scan_tab_contents
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