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Puebla (État)

Puebla est le nom de l'un des 31 États du Mexique. Sa capitale est Puebla de Zaragoza (aussi connue sous le nom de Puebla de los Ángeles, AngelĂłpolis et Heroica Puebla de Zaragoza). L'État de Puebla est bordĂ©, Ă  l'est par les États de Veracruz, Ă  l'ouest par l'État de Mexico, de Hidalgo, de Tlaxcala et de Morelos, et au sud par l'État de l'Oaxaca et de Guerrero. L'État de Puebla ne possĂšde pas d'accĂšs Ă  la mer et possĂšde un relief accidentĂ©. Il couvre une superficie de 34 251 km2 oĂč vivent cinq millions d'habitants, ce qui en fait le cinquiĂšme État le plus peuplĂ© du pays. En outre, dans la rĂ©gion de Sierra Norte de Puebla (qui fait partie de la Sierra Norte Oriental) se trouve la plus grande population de langue nahuatl du pays.

Puebla
Estado Libre y Soberano de Puebla
État libre et souverain de Puebla
Blason de Puebla
HĂ©raldique
Drapeau de Puebla
Drapeau
Puebla (État)
Localisation de l'État de Puebla
Administration
Pays Drapeau du Mexique Mexique
Capitale Puebla
Adhésion à la République 21 décembre 1823 (4e)
Municipalités ou équivalent 217
Gouverneur Sergio SalomĂłn CĂ©spedes (Morena)
SĂ©nateurs Alejandro Armenta Mier
Nancy de la Sierra Aramburo
Nadia Navarro Acevedo
Nombre de députés 18
ISO 3166-2 MX-PUE
Fuseau horaire UTC-6
Langue(s) régionale(s) De jure : Espagnol
De facto : Espagnol, VĂ©nitien
DĂ©mographie
Gentilé Poblano(a)
Population 6 583 278 hab. (2020)
DensitĂ© 192 hab./km2
Rang 5e
Ville la plus peuplée Puebla
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 19° 00â€Č 13″ nord, 97° 53â€Č 18″ ouest
Altitude Max. 5 610 m (Pic d'Orizaba)
Superficie 34 290 km2
Rang 21e
CoordonnĂ©es gĂ©ographiques 19° 00â€Č 13″ N, 97° 53â€Č 28″ O
Latitude 20° 50' - 17° 52' N
Longitude 96° 43' - 99° 4' O
Divers
Devise Unidos en el Tiempo, en el Esfuerzo, en la Justicia y en la Esperanza
En français : Unis dans le Temps, dans l'Effort, dans la Justice et dans l'Espoir
Liens
Site web puebla.gob.mx

    Histoire

    Origine du nom

    La lĂ©gende raconte qu’au moment de finir la construction de la cathĂ©drale Nuestra Señora de la Inmaculada ConcepciĂłn en plein cƓur du centre-ville de Puebla surgit une question Ă©pineuse : comment pourrait-on hisser une cloche de 8 tonnes au sommet de si grandes tours (ce sont les plus hautes d’AmĂ©rique Latine) ? Cette question fit passer des nuits blanches aux ingĂ©nieurs et aux maçons. L’opĂ©ration semblait impossible.

    Cependant, un matin, les habitants de Puebla se rĂ©veillĂšrent avec cette nouvelle : la cloche Ă©tait enfin dans la tour et elle sonnait allĂšgrement. « Mais qui l’a installĂ©e ? Comment l’y a-t-on montĂ©e ? » se demandaient-ils. On aurait dit un miracle, qui fut rapidement attribuĂ© aux anges : ils Ă©taient certainement descendus du ciel pour accrocher la cloche, toujours dans le clocher de nos jours.

    C’est Ă  cause de cette lĂ©gende que cette ville magnifique s’appelle Puebla de los Ángeles (« Puebla des Anges »). En effet, bien des indices donnent Ă  penser que cette destination a effectivement un caractĂšre paradisiaque : ses rues, son horizon et surtout ses saveurs. Au centre du Mexique, dominĂ©e par les imposantes silhouettes des volcans PopocatĂ©petl et IztaccĂ­huatl, Puebla ouvre ses portes aux visiteurs, fiĂšre de ses titres glorieux : « l’hĂ©roĂŻque » car c’est ici que les troupes mexicaines vainquirent les troupes françaises en 1862 (lors de la Bataille de Puebla) et Patrimoine de l’HumanitĂ© Ă  l’UNESCO depuis 1987.

    Mais ce qui remplit rĂ©ellement de fiertĂ© les habitants de Puebla, c’est leur gastronomie, une des plus emblĂ©matiques et des plus succulentes du pays. Capitale mondiale du mole, des chiles en nogada et des chalupas, Puebla vous fait goĂ»ter au paradis avec ses desserts qui ne peuvent ĂȘtre nĂ©s que de le crĂ©ativitĂ© des anges : les camotes, les tortitas de Santa Clara et les jamoncillos Ă  la noix et aux pignons ne sont que quelques produits phares d’une longue liste qui pourrait ĂȘtre illustrĂ©e avec les visages joufflus de chĂ©rubins.

    Puebla est une des plus vieilles villes du Mexique. Sa fondation, Ă©galement attribuĂ©e aux anges, date de 1532. Son climat agrĂ©able et sa situation stratĂ©gique en ont trĂšs rapidement fait la deuxiĂšme ville du Mexique colonial. Sur leur route pour l’Espagne via Veracruz, les cargaisons de marchandises en provenance des Philippines passaient d’abord par Puebla ; celle-ci s’appropria donc peu Ă  peu quelques-unes des expressions artistiques de l’Orient. On le voit notamment avec les vases prĂ©cieux et la vaisselle en talavera ainsi qu’avec les azulejos qui ornent les façades des Ă©glises et des palais, les fontaines, les cours intĂ©rieures et les cuisines. Un autre exemple de cette influence culturelle est la lĂ©gende de la « Chinoise de Puebla », une princesse d’Inde qui arriva comme esclave Ă  bord du Galion de Manille et qui se fabriqua un superbe vĂȘtement brodĂ© ornĂ© de paillettes. C’est ce qui constitue de nos jours le costume traditionnel de Puebla.

    S’il fallait dĂ©finir Puebla en un mot, ce serait certainement le mot « baroque » : des saveurs complexes qui sĂ©duisent le palais, des formes Ă©laborĂ©es qui captivent le regard, un ensemble irrĂ©sistible de lĂ©gendes et d’histoires, de rues tortueuses, de fontaines, de jardins, de marchĂ©s d’artisanat et de ruelles d’artistes et un horizon sur lequel se dĂ©coupent les coupoles des Ă©glises. Il n’est donc pas si extravagant de penser que Puebla est la ville oĂč vivent les anges.

    Culture

    Selon la lĂ©gende, une belle princesse a Ă©tĂ© la crĂ©atrice du costume Chine Poblana. Elle aurait apparemment intĂ©grĂ©, des vĂȘtements indiens colorĂ©s avec les vĂȘtements indigĂšnes mĂ©soamĂ©ricaines espagnols et europĂ©ens, et de ce mĂ©lange est nĂ© le cĂ©lĂšbre costume mexicain

    Dans la culture Poblana, de nombreuses légendes tentent d'expliquer l'origine de la plupart de leurs traditions, qui sont aujourd'hui un symbole de l'identité nationale. Malgré le grand débat sur l'origine du costume Chine Poblana, la vérité est que c'est une belle tenue qui met en évidence les caractéristiques des femmes métisses mexicaines.

    Dans la cuisine à Puebla, ils sont les fiers le créateur des célÚbres piments en sauce aux noix, qui ont été créés pour l'armée victorieuse Trigarante commandée par Agustín de Iturbide pour terminer l'indépendance du Mexique. Ainsi, tous les pour célébrer l'entrée du héros insurgé, ce plat exquis et tricolores représentant est préparé.

    D'autres plats typiques de la gastronomie de Puebla sont les chaloupes, le pains aux graines de sésame, et reconnu au niveau international, le mole poblano qui est une sauce épicée au cacao pour le poulet. Traditionnellement, les religieuses du couvents de Poblano étaient trÚs bonnes cuisiniÚres, et c'est à elles qu'a été donnée le crédit de la création de ce ragoût copieux. Le mystÚre de sa production, qui a lieu en utilisant plus d'une douzaine d'ingrédients divers comme le chocolat, la pasilla chili (piment fruité), des fruits secs, des arachides et des graines font que nous pouvons profiter encore plus de ce patrimoine métis.

    Si l'on divise les zones de cuisine Poblane par groupes d'influence culturelle, nous avons dans les hauts plateaux du nord-est des plats typiques, les plats traditionnels sont les champignons bleus Ă  la sauce tomate, les lentilles avec du porc lapin en Tamale et un autre plat trĂšs populaire est le ragout de lapin. Alors que dans le nord de la Sierra, les cuisines sont trĂšs odorantes. Il y a le piments dans le vinaigre, le pain au fromage, du poulet dans la sauce aux arachides (pollo encacahuatado), du jambons salĂ© du Nord de Biltong ainsi que leur fameux cafĂ©. Certains plats sont d'origine des MixtĂšques de Poblano chileatole vert, les haricots marinĂ©es, les hanches taupe et sapote noire. Enfin, la zone du centre-ville de l'État offre huazontles cuits Ă  la vapeur avec la truite epazote, soupe chili poblano, reine soupe, memelas, piments en sauce aux noix, pitahaya douce et lait de poule. Et ne pas oublier le dĂ©licieux hĂ©ritage doux poblano des nonnes des couvents de Santa Clara et Santa Rosa, comme la patate douce, la noix de mer, les ivrognes, les fruits confits, duchesses, escargots, macaroni, jamoncillo, hippocampes panela et muffins, parmi beaucoup d'autres.

    La richesse historique et culturelle de Puebla se reflÚte également dans leurs festivals. Comme dans d'autres communautés mexicaines, la célébration du carnaval quelques jours avant les jours saints catholiques, il a de grands exposants tels que la communauté Huejotzingo, dont le carnaval est synonyme de qualité et costumes colorés utilisés. D'autre part, l'exécution de Huey Atlixcayotl est la célébration vivante de la permanence des cultures autochtones dans le Atlixco. Ce rituel, qui a lieu tous les derniers dimanches de septembre, consiste à adorer le dieu Qutzalcóatl en reconnaissance pour les récoltes. Loisirs des coutumes préhispaniques conserve également la tradition vivante des villages ancestraux.

    L'arrivĂ©e du premier Ă©quinoxe 20- chaque annĂ©e est cĂ©lĂ©brĂ©e sur la pyramide Tlachihualtepetl. SituĂ© Ă  Cholula, la pyramide fournit l'espace sur lequel sont placĂ©s les ĂȘtres chargĂ©s d'Ă©nergie positive lorsque les rayons dieu du soleil tombent sur l'Équateur. D'autres grands festivals sont la Foire de cafĂ© et huipil, jour des morts Equinox Ă  Cantona fĂȘte du Saint Enterrement et le Festival des Fleurs.

    Architecture et patrimoine

    À proximitĂ© de la capitale Puebla se trouvent la ville et le site archĂ©ologique de Cholula.

    BrĂšve synthĂšse

    La ville de Puebla de los Ángeles a Ă©tĂ© fondĂ©e ex nihilo en 1531, entre les limites des possessions indigĂšnes de Tlaxcala, Cholula et Cuauhtinchan, en application des recommandations royales d'Espagne de ne pas prendre possession de territoires autochtones. La citĂ© d’origine, Ciudad de los Angeles, a Ă©tĂ© conçue selon un plan Renaissance en damier composĂ© de places rectangulaires orientĂ©es nord-est-sud-est.

    La ville est situĂ©e dans la vallĂ©e de Cuetlaxcoapan, au pied de l’un des plus hauts volcans du Mexique, le Popocatepetl. Elle jouit d'une situation stratĂ©gique sur la route des Ă©changes commerciaux et culturels entre le port de Veracruz et la ville de Mexico, Ă  environ 100 kilomĂštres Ă  l'ouest, ce qui a permis Ă  Puebla ĂȘtre une Ă©tape intermĂ©diaire importante et une partie centrale de l'axe de l'Atlantique pendant plus de deux siĂšcles.

    La ville a exercĂ© une influence considĂ©rable au XVIe siĂšcle et a Ă©tĂ© le rĂ©cipiendaire de plusieurs titres de noblesse au cours de ce siĂšcle. En 1532, le "Titre de ville" (comme la ville a Ă©tĂ© fondĂ©e en 1531) et en 1538 le "Blason", lui ont tous deux Ă©tĂ© octroyĂ©s par Charles V et signĂ©s par son Ă©pouse, Elizabeth du Portugal. En 1558, la dĂ©signation de «ville noble et loyale de Los Angeles" lui a Ă©tĂ© accordĂ©e et, en 1576, par un autre dĂ©cret royal, elle a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e «TrĂšs Noble et TrĂšs Loyale Ville de Los Angeles". De nombreux bĂątiments du 16e et du 17e ont survĂ©cu, y compris l'universitĂ© fondĂ©e en 1587 en tant Colegio del Espiritu Santo, d’importants Ă©difices religieux comme la cathĂ©drale (datant de 1575), et de beaux bĂątiments comme l'ancien palais de l’archevĂȘchĂ©, l'emplacement de la bibliothĂšque de Palafox crĂ©Ă©e en 1646 et reconnue comme Ă©tant la premiĂšre bibliothĂšque dans les AmĂ©riques. Beaucoup de maisons ont leurs murs revĂȘtus de carreaux vivement colorĂ©s, appelĂ©s azulejos. L'utilisation de ces carreaux illustre un nouveau concept esthĂ©tique et reprĂ©sente la fusion des styles europĂ©en et amĂ©ricain particuliĂšre au quartier baroque de Puebla.

    Les lois de RĂ©forme au milieu du XIXe siĂšcle ont entrainĂ© la fermeture de nombreux couvents, ce qui a modifiĂ© le paysage urbain. Cependant, cette pĂ©riode a Ă©galement vu l’émergence d’une architecture publique et privĂ©e.de grande qualitĂ©.

    CritĂšre (ii) : La situation stratĂ©gique de Puebla sur une importante route commerciale a permis l’exportation de son style rĂ©gional d’architecture baroque, fusion des styles europĂ©en et indigĂšne, aprĂšs le XVIe siĂšcle. La conception urbaine du centre historique selon un plan Renaissance en damier a exercĂ© une influence considĂ©rable sur la crĂ©ation des villes coloniales Ă  travers le pays.

    CritĂšre (iv) : Dans une grille urbaine intacte, le Centre historique de Puebla comporte des Ă©difices religieux majeurs comme la cathĂ©drale, les Ă©glises de Santo Domingo, San Francisco, et l'Ă©glise des JĂ©suites, des palais superbes, y compris l'ancien archevĂȘchĂ©, l'emplacement de la bibliothĂšque de Palafox, l'universitĂ©, et de nombreuses maisons dont les murs sont revĂȘtus de carreaux gaiement colorĂ©s (azulejos).

    Intégrité

    Le Centre historique de Puebla a conservĂ© son intĂ©gritĂ© principalement grĂące au maintien et Ă  l’extension du plan Renaissance original en damier du milieu du XVIe siĂšcle. Il est actuellement prĂ©servĂ© par une zone tampon protĂ©gĂ©e autour du noyau historique. En outre, un grand nombre de bĂątiments religieux, publics et rĂ©sidentiels illustrent l'Ă©volution de la ville du 16e au 19e siĂšcles.

    L’une des menaces qui pĂšsent sur l'intĂ©gritĂ© du bien est la dĂ©tĂ©rioration gĂ©nĂ©rale et le manque d'entretien rĂ©gulier du parc immobilier. Le caractĂšre exceptionnel de l'architecture religieuse est dans l’ensemble bien conservĂ© et garde en grande partie son aspect d’origine. Compte tenu du grand nombre de bĂątiments publics, ceux-ci se trouvent Ă  divers stades de dĂ©gradation ou de restauration. En gĂ©nĂ©ral, les bĂątiments les mieux entretenus sont ceux qui sont encore utilisĂ©s conformĂ©ment Ă  leur destination initiale, par des institutions administratives, Ă©ducatives ou culturelles. En outre, ces bĂątiments font souvent l’objet de programmes de restauration pour prĂ©server leur valeur historique. Bien que la dĂ©tĂ©rioration de certains bĂątiments rĂ©sidentiels ait Ă©tĂ© prise en compte, cela reste insuffisant. Une grande partie de cette restauration est le rĂ©sultat de programmes municipaux.

    D'autres menaces sur le centre historique ont été identifiées, résultant du développement incontrÎlé du tourisme et de démolitions et de reconstructions inappropriées. La région est sujette aux catastrophes naturelles telles que les tremblements de terre et les inondations. Les dommages dus au séisme de 1999 ont été en grande partie réparés.

    Authenticité

    L'original du plan d'urbanisme en damier, basĂ© sur la conception Renaissance, est encore partiellement visible, bien qu’il devienne de plus en plus difficile de distinguer la ville historique en raison de la croissance rapide de la population et de l'industrialisation. Pendant la moitiĂ© du XIXe siĂšcle, les lois de RĂ©forme (1857) ont entraĂźnĂ© des modifications importantes dans l'utilisation des bĂątiments, y compris la fermeture de nombreux grands couvents. Quoi qu'il en soit, le centre historique contient encore d’importants Ă©difices religieux comme la cathĂ©drale, les Ă©glises de San Francisco, Santo Domingo, l'Ă©glise des JĂ©suites et l’ancien archevĂȘchĂ©.

    Les systĂšmes de construction et l’utilisation des matĂ©riaux illustrent les styles architecturaux Ă  travers le temps, les Ă©vĂ©nements historiques et l'Ă©volution de la ville. Le Centre historique de Puebla dispose ainsi de tous les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires pour prĂ©server son «esprit du lieu» et son authenticitĂ© culturelle.

    ÉlĂ©ments requis en matiĂšre de protection et de gestion

    La restauration de bĂątiments individuels remonte aux annĂ©es 1940 lorsque des fonds du secteur privĂ© ont Ă©tĂ© fournis pour la restauration de la cathĂ©drale. Au milieu du siĂšcle, le gouvernement a soutenu la restauration de la façade de l'Ă©glise del Carmen. Depuis les annĂ©es 1970, la protection du patrimoine et la restauration ont Ă©tĂ© effectuĂ©es d'une maniĂšre plus organisĂ©e, avec l’adoption d’une rĂ©glementation additionnelle et la mise en Ɠuvre de programmes gouvernementaux aux niveaux national et local. La rĂ©glementation spĂ©cifique dĂ©pend de la Constitution politique des États-Unis du Mexique, de la Loi gĂ©nĂ©rale sur les Ă©tablissements humains, de la Constitution politique de l'État de Puebla, de la Loi sur le dĂ©veloppement urbain de l'État de Puebla, et de la Loi organique municipale. La ville est protĂ©gĂ©e par la «Loi sur la protection et la prĂ©servation des villages typiques et de la beautĂ© naturelle de l'État de Puebla ».

    L'Institut national d'anthropologie et d'histoire (INAH) fournit une assistance technique pour la restauration, avec l'aide de l’Institut national des Beaux Arts (INBA), du MinistĂšre des Infrastructures de l'État de Puebla, du MinistĂšre des Travaux publics, du service du dĂ©veloppement urbain de la Ville de Puebla et de l’UniversitĂ© autonome Benemerita de Puebla. Le financement est assurĂ© principalement par l'INAH avec des contributions, pour des projets spĂ©cifiques, des gouvernements fĂ©dĂ©ral, provincial et municipal. Une version rĂ©visĂ©e du Plan de RegeneraciĂłn y / o RedensificaciĂłn Urbana de la Zona de Monumentos y su entorno Ciudad de Puebla a Ă©tĂ© produite en . Aujourd'hui, un consortium d'universitĂ©s a Ă©tĂ© mis en place auquel participent les principales institutions universitaires d'État qui sont chargĂ©es d’actualiser le Programme partiel du centre historique et de formaliser un plan de gestion qui dĂ©finisse les objectifs Ă  atteindre d’ici 2031.

    Une Agence pour le Centre historique et le Patrimoine est en cours de crĂ©ation pour rĂ©pondre au besoin d’avoir une organisation responsable de la sauvegarde, de la prĂ©servation, de la protection, de la promotion et de la sensibilisation du Centre historique.

    Le plan de Regeneración y / o Redensificación Urbana de la Monumentos de Zona y su entorno Ciudad de Puebla, dont l'achÚvement a été recommandé par le Comité du patrimoine mondial en 2003, a fourni des éléments sur les stratégies pour répondre à un certain nombre de préoccupations liées à la préservation du centre historique, y compris la conservation des monuments historiques et artistiques et un développement urbain respectueux.

    ÉvĂ©nements culturels et festivals

    : anniversaire de la Constitution (1917). le travail est suspendu.

    : Naissance de Benito JuĂĄrez. 1er mai: FĂȘte du Travail. fĂȘte nationale. engrenages sont faits et est suspendu le travail.

    : anniversaire de la bataille de Puebla (1862). Il est le plus important parti d'État civique et historique. Dans toutes les municipalitĂ©s, il dĂ©filĂ© ou un Ă©vĂ©nement spĂ©cial. Dans la ville de Puebla il est reconnu son dĂ©filĂ© colorĂ© et une simulation de la cĂ©lĂšbre bataille contre les Français se fait. le travail est suspendu.

    15 et : DĂ©but de l'indĂ©pendance. Il est fĂȘte civique et historique le plus important du pays. 15 Ă  11 heures, le prĂ©sident de la RĂ©publique, les gouverneurs des États et des prĂ©sidents municipaux donnent « El Grito de Dolores » et sonner une cloche symbolique, car en 1810 ces cloches ont annoncĂ© le dĂ©but de la lutte pour l'indĂ©pendance du pays. Sur les places principales de ce soir, ils sont remplis de gens qui entendront « Le Cri » et profiter de la fĂȘte (verveine populaire avec feux d'artifice, de la musique, la danse, la vente de plats typiques...) est organisĂ©. Le principal Ă©vĂ©nement du est la parade. Les deux Ă  Mexico et dans les diffĂ©rentes capitales de l'État sont majoritaires dans la parade militaire et selon chaque lieu dĂ©tachements paradant aussi les Ă©lĂšves des Ă©coles, charros, flotteurs, et ainsi de suite. le travail est suspendu sur 16.

    : Début de la Révolution de 1910. allusive un grand défilé avec des caractéristiques sportives est fait. le travail est suspendu.

    ***

    FĂȘtes traditionnelles

    Bénédiction des animaux et des graines

    Il est un rite qui est cĂ©lĂ©brĂ©e presque dans tout le pays. La date la plus courante est le , jour de San Antonio Abad, protecteur des animaux. Les gens portent leurs graines ou des animaux dans la cour de l'Ă©glise de vous bĂ©nir. Dans chaque lieu le rituel selon leurs traditions continue. Jeudi de Corpus fait la mĂȘme chose.

    Carnaval : il est cĂ©lĂ©brĂ© de diffĂ©rentes maniĂšres en fonction de chaque rĂ©gion. Par exemple, les peuples autochtones, et toutes les parties locales, la religion est mĂ©langĂ©e avec le profane (vice-versa) et devient en mĂȘme temps amusant et rituel. Parfois, pendant les cĂ©lĂ©brations du carnaval, ils sont religieux et danses comme dans les festivitĂ©s sont prĂ©sentĂ©es; En outre, les participants prient avant que les festivitĂ©s commencent. Il y a des parties oĂč une marionnette reprĂ©sentant Judas ou John Carnaval Ă  nettoyer le feu dernier et commencer la nouvelle annĂ©e pour tout agriculteur commence par printemps, quand la nature renouvelle et les plantations sont des brĂ»lures prĂ©parĂ©es. Il y a d'autres qui propres Ă  une nouvelle en ENTRER saison et laissent derriĂšre eux toute impuretĂ©, saut indigĂšne sur une clĂŽture en feu d'herbe. Ces jours-ci de nombreux costumes indigĂšnes sont faits d'influence europĂ©enne ou conduisent les plus anciens vĂȘtements qu'ils ont dans leur maison. Selon les traditions anciennes, les femmes ne peuvent pas danser au carnaval de sorte que certains hommes habillent les femmes avec huipiles les plus extraordinaires et cela donne l'occasion une touche unique.

    Semaine Sainte

    PĂąques est trĂšs important pour les fidĂšles qui gardent la date dĂ©votement. Dans toutes les villes il y a des cĂ©lĂ©brations religieuses. DĂ©bute le dimanche des Rameaux avec la bĂ©nĂ©diction des palmes (feuilles tressĂ©es façons diffĂ©rentes et originales). Le jour le plus important est vendredi saint quand prie la Via Crucis et dans certains endroits, la reprĂ©sentation de la Passion du Christ est faite. Ici, des photos richement vĂȘtus, les femmes avec des encensoirs, des fleurs et des chants sont chantĂ©s par les fidĂšles Ă©coutent. Sur les peuples autochtones est souvent un mĂ©lange unique de croyances prĂ©hispaniques et le catholicisme romain comme au cours des frĂšres conquĂȘte des Ă©vangĂ©lisateurs, a permis aux Indiens retenus certains de leurs rites et aujourd'hui sont tenues sur ces cĂ©rĂ©monies dates dating de prĂ©hispanique et sans rapport avec PĂąques.

    Jour des Morts ou All Saints

    Il est l'un des grands festivals depuis, selon la croyance, ces jours-ci les Ăąmes des morts reviennent. Les fĂȘtes religieuses sont faites et dans certaines municipalitĂ©s est d'usage de mettre les fameuses « offrandes ou autels des morts » dans les maisons de ceux qui ont perdu un ĂȘtre cher Ă  ne pas manquer la nourriture qu'ils ont aimĂ© dans la vie. Les offres varient selon les rĂ©gions et les coutumes de chaque lieu. Parmi les aliments qui obtient trouvĂ© du pain mort, taupe, chocolat, chiffres de sucre.... Habituellement, ils ornaient avec des confettis, ou tagĂštes en plastique, des bougies, mais surtout avec le talent populaire. Dans de nombreuses rĂ©gions, il est d'usage de mettre un tapis de marigolds de la rue Ă  l'offre pour les Ăąmes de trouver facilement leur chemin; et prendre une partie de la nourriture qui a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© avec des bougies et des fleurs au cimetiĂšre ou partager la nourriture avec tous ceux qui visitent l'offre.

    les parties Guadaloupaines

    Dans tout le pays, nous cĂ©lĂ©brons la Vierge de Guadalupe, le , le jour oĂč il est apparu Ă  l'Indien Juan Diego sur la colline Tepeyac oĂč les AztĂšques vĂ©nĂ©raient Tonantzin, la mĂšre des dieux. Ce jour-lĂ , dans toutes les Ă©glises il y a des cĂ©lĂ©brations religieuses, les festivals et beaucoup de gens se habillent gĂ©nĂ©ralement Ă  prendre au temple leurs petits enfants de « Juan Dieguitos » ou « Marie ».

    ***

    Aspects généraux du Festival Corridas de taureaux

    À Puebla, comme dans de nombreuses rĂ©gions du Mexique et du monde, il y a un grand enthousiasme pour la corrida. Les corridas sont un grand spectacle oĂč les taureaux sont combattus de façon traditionnelle et Ă  un moins grand nombre BƓufs. Charreada / Jaripeo fĂȘte Charro est maintenu en vie. Charreadas ou jaripeos sont effectuĂ©es sur le terrain ou dans les rues des toiles et les charros exĂ©cutent des destins diffĂ©rents avec une cravate, Ă  pied ou Ă  cheval. Il est un spectacle mexicain 100%. Les courses de chevaux ont toujours Ă©tĂ© une grande attraction touristique, mais celles qui sont faites dans certaines municipalitĂ©s ont une Ă©tiquette particuliĂšre qui diffĂ©rencie et donne une touche pittoresque.

    Palenque

    Palenques sont des lieux trĂšs frĂ©quentĂ©s oĂč les combats de coqs sont dĂ©tenus. En eux, vous pouvez parier et des spectacles artistiques sont prĂ©sentĂ©s. Musique La musique est une partie essentielle de fiestas mexicaines, est un Ă©lĂ©ment fondamental de la culture qui est toujours prĂ©sente. Selon l'occasion et l'endroit oĂč vous pouvez venir des musiciens itinĂ©rants, groupes musicaux, groupes de musique folklorique, des bandes avec des instruments Ă  vent, des trios, mariachis, et ainsi de suite.

    Jeux mécaniques

    Dans la plupart des endroits, le jour des cĂ©lĂšbres manĂšges arrivent. Ils vont d'une grande roue et un carrousel typique au plus moderne et sophistiquĂ©. Feux d'artifice Ceci est une caractĂ©ristique de la plupart des foires et des festivals. Le montant et showiness va selon l'importance de l'Ă©vĂ©nement et le potentiel Ă©conomique de la population locale. Ils sont des artisans qualifiĂ©s qui font ces feux d'artifice. Quand ils sont indigĂšnes, la musique de flĂ»te et tambour accompagnĂ© en tout temps de travail pyrotechnique. toritos Le « Toritos » sont rĂ©alisĂ©s en osier ou en bĂątonnets recouverts d'un tapis ou de la peau d'un animal. Un homme debout sur la tĂȘte du cadre et fonctionne en moulinets et des fusĂ©es en rafale rĂ©parties dans toute la structure. Au cours de la combustion des tĂ©lĂ©spectateurs « Torito » se dĂ©placent loin de que vous avancez et que les enfants les plus courageux aprĂšs le suivre jusqu'Ă  ce que le dernier pĂ©tard explose. roquettes La nuit semble Ă©toiles nouvelles et de tir dans le ciel. Pendant la journĂ©e, le son est ce qui compte. Mais soit la nuit ou le jour, les fusĂ©es sont une manifestation sans Ă©quivoque du parti.

    Poudre

    elle emploie Ă©galement la cĂ©lĂ©bration de maniĂšre de poudre par refroidissement bruit causĂ©. Il est introduit dans un tube de fer qui perce le sol et produit un bruit assourdissant. Pour augmenter le vacarme joyeux, les enfants jettent des feux d'artifice et des pĂ©tards. Depuis l'arrivĂ©e des Espagnols, les Indiens ont pris beaucoup de goĂ»t aux diffĂ©rentes formes d'utilisation de la poudre Ă  canon, peut-ĂȘtre parce qu'ils pensaient que, avec tant de lumiĂšre et tant de bruit, divinitĂ© mieux entendre leurs demandes.

    Danses

    Depuis les temps pré-hispaniques, danses faisaient partie des rituels les plus importants et à ce jour demeurent une manifestation indispensable de la culture. Conserver les éléments de son origine, qui ont été mélangés avec de nouvelles contributions créant de belles mosaïques de couleurs et de mouvements qui sont imprimés dans la mémoire de tous ceux qui ont la chance de les voir. Chaque région conserve ses propres danses comme un symbole de l'identité. Certains « Los Quetzales » « El Palo Volador », « Los Negritos » des plus célÚbres danses sont des « Maures et chrétiens », « Le Santiagos » et ainsi de suite. Bailes

    En plus des danses typiques sont des danses qui sont pour la plupart des adaptations de vieilles danses europĂ©ennes. D'autre part, les danses folkloriques sont aussi ceux oĂč vous embauchez un groupe et tous les habitants sont invitĂ©s Ă  danser.

    Un autre type de Diversions

    Lors des fĂȘtes et des foires, il y a des dĂ©tournements plus simples. auvents sont faits et une variĂ©tĂ© de jeux comme le tir, loterie, marbres, tombola, etc. sont installĂ©s. La participation Ă  ces jeux peuvent gagner diffĂ©rents prix allant des animaux en peluche Ă  la cĂ©ramique.

    GĂ©ographie

    Paysages et végétation

    Dans cet État se trouvent les points culminants du Mexique, le Pic d'Orizaba (Ă©galement en partie sur l'État de Veracruz) et les volcans Popocatepetl et IztaccĂ­huatl (tous deux Ă  la limite de l'État de Mexico).

    Flore et faune

    Annexes

    Notes et références

      Liens externes

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