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Ventabren

Ventabren [vɛ̃tabʁɛ̃] est une commune française des Bouches-du-Rhône, dont les habitants s'appellent les Ventabrennais.

Ventabren
Ventabren
Vue générale du village de Ventabren.
Blason de Ventabren
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Aix-en-Provence
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Frédéric Vigouroux
2022-2026
Code postal 13122
Code commune 13114
Démographie
Gentilé Ventabrennais
Population
municipale
5 381 hab. (2020 en augmentation de 6,2 % par rapport à 2014)
Densité 189 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 20″ nord, 5° 17′ 35″ est
Altitude 238 m
Min. 59 m
Max. 286 m
Superficie 28,5 km2
Unité urbaine Marseille - Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Berre-l'Étang
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Ventabren
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Ventabren
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Ventabren
Liens
Site web http://www.ventabren.fr

    Géographie

    Localisation

    Cette commune est située :

    Ventabren est un village typiquement provençal, perché au sommet d'une colline dominée par les ruines du château de la reine Jeanne.

    Communes limitrophes de Ventabren
    Coudoux Éguilles
    Ventabren
    Velaux Aix-en-Provence

    Climat

    Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000 :

    Mois J F M A M J J A S O N D année
    Températures maximales (°C) 11,2 12,6 15,3 17,7 22,2 26,1 29,5 29,2 25,3 20,3 14,7 12,0 19,7
    Températures moyennes (°C) 7,1 8,3 10,7 13,1 17,4 21,1 24,1 24,0 20,4 16,0 10,8 8,1 15.1
    Températures minimales (°C) 3,0 3,9 6,0 8,5 12,6 16,0 18,7 18,7 15,5 11,6 6,8 4,1 10,5
    Précipitations (hauteur en mm) 54 44 40 58 41 25 13 31 61 85 51 52 554,5
    Source: Météo France / Station de Marignane

    Urbanisme

    Typologie

    Ventabren est une commune urbaine[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marseille - Aix-en-Provence, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[4] et 1 618 479 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,5 %), zones urbanisées (20,2 %), forêts (12,3 %), terres arables (11,8 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), prairies (0,7 %), cultures permanentes (0,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Ventabrenum serait le nom donné à l’époque romaine à une importante villa qui existait au quartier des Fons-Vicari. L’origine de ce nom (Ventabran en 1145, Ventabren en 1154) prête à de nombreuses discussions. Plusieurs étymologies peuvent être avancées:

    • En provençal, ventabren signifie « fanfaron », littéralement « celui qui vanne, filtre le bran, la partie la plus grossière du son dont on débarrasse le blé » ; donc celui qui brasse en pure perte, qui se vante de choses sans aucun intérêt.
    • Mais on ne peut totalement exclure la racine ligure vin(t)- qui désigne un promontoire rocheux, à laquelle serait accolé le ligure bren, « montagne ».
    • Il a été découvert sur une tombe découverte au pied du village, en caractères grecs, le mot « Vinitouta » : est-ce le toponyme d'origine ?

    racine préindoeuropéenne vin(t)[11]

    Peyre plantade : à rapprocher de la nécropole tumulaire et des stèles découvertes sur le site.

    Histoire

    8 000 ans av. J.-C., un faciès culturel de la basse Provence, désigné sous le terme de Montadien, est présent à Ventabren. Le site se trouve à « l’abri des bœufs » au lieu-dit la Plantade et présente une énorme escargotière (déchets de cuisine) de 20 m de long. En 1995, a été découverte une nécropole tumulaire avec cinq tertres circulaires avec des tombes individuelles. La sépulture est datée entre 3 370 et 2 925 av. J.-C.[12].

    Le "Camp Marius" est un vaste oppidum celto-ligure dont les traces se voient très nettement sur le plateau au-dessus de l’aqueduc de Roquefavour. C'est un éperon barré par des fortifications qui protègent les côtés nord et ouest du site par deux murs formant angle droit de 600 m de long. le Mur Nord se prolonge pour continuer de défendre le petit plateau intermédiaire. Les autres côtés ont des falaises pour défense naturelle[13]. Les vues aériennes montrent 4 cellules importantes dans la végétation de kermès entre le mur ouest et le chemin. L'accès principal se faisait par le plateau mais un sentier périlleux présentant des muraillages anciens permet un accès à la fontaine (parking) dans le vallon ouest ( route de l'Aqueduc). Un autre vraisemblablement lié à la construction de l'aqueduc est accessible sous les dernière arche par un escalier au niveau de la rivière.

    Depuis cet oppidum situé entre les oppida d'Entremont et ceux plus proches de Roquepertuse et Ste Propice, on voit les oppida du Baou-Roux, de la Tête de l'Ost et des Mayans.

    Ces vestiges ont été identifiés dès 1905 par l'archéologue Henry de Gérin-Ricard. Cet emplacement a été occupé principalement dans la deuxième moitié du Ier siècle av. J.-C., mais des fouilles archéologiques, conduites de 1975 à 1985, ont permis de trouver des poteries, une fibule, des oboles massaliotes et divers autres objets, traces d’une cité plus ancienne (Ve et IVe siècles av. J.-C.). Le site a été abandonné à la fin du Ier siècle av. J.-C., pour des raisons à la fois politiques et économiques[14].

    La région fait ensuite partie du royaume wisigoth, royaume germanique de 418 à 511. Cette période voit la région adopter différentes hérésies dont l'arianisme. Le royaume s'étend alors jusqu'en Espagne.

    En 511, la région passe aux mains des ostrogoths venus défendre les wisigoths contre les francs qui l'obtiennent néanmoins en 536.

    Il est alors la cible de la conquête musulmane (711) qui cherche l'installation[15].

    La région est ensuite dévastée et pillée par les troupes de Charles Martel qui reprend entièrement la Provence en 739.

    Les musulmans malgré leurs tentatives, ne parviendront pas à s'implanter de nouveau avant 890, pour une deuxième phase d'occupation localisée pour opérer des raids depuis leurs bases du Fraxinet au-dessus de Saint-Tropez.

    Guillaume Ier de Provence les chasse de Provence en 973[16] et en profite pour instaurer la féodalité et le fisc de Provence.

    Château de Ventabren.

    Au XIIe siècle, les maisons de village se groupent autour du château construit depuis peu. Les Sarrasins dévastent les villes, chassant les indigènes. Ceux-ci cherchent sur les hauteurs une sécurité qu’ils ne trouvent plus dans la plaine. On peut donc situer la naissance du village de Ventabren vers 920-940. À ce moment, Guillaume Ier, comte de Provence, ayant définitivement chassé les Sarrazins, fit distribuer à ses compagnons d’armes les terres libérées. Ces derniers construisent alors des ouvrages fortifiés dont le château de Ventabren, dénommé à cette époque « le château royal ». C’était un imposant ensemble encadré de tours et de remparts, totalement inaccessible du côté du couchant. Il est donc vraisemblable que le village se soit construit à l’emplacement actuel à cette période, en se mettant le plus près possible à l’abri du château. De nombreuses caves témoignent encore par leurs vestiges (piliers, voûtes en plein cintre ou ogives) du passé médiéval.

    La possession seigneuriale de Ventabren apparaît dans un document testamentaire de Raymond des Baux en 1170. Le château fort constituait un ouvrage défensif considérable. Son architecture était d’une grande simplicité, ses murs construits avec des matériaux de choix mesuraient une toise d’épaisseur. Son enceinte était flanquée de tours rondes et carrées. Le château n’avait qu’une seule porte du côté du levant. Les autres côtés, bâtis sur des rochers à pic, étaient absolument inaccessibles. À l’intérieur, il y avait des caves et une immense citerne, une chapelle était attenante au château.

    La reine Jeanne : reine de Jérusalem et de Sicile, comtesse de Provence, de Forcalquier et de Puymont, fille de Charles d'Anjou-Sicile, duc de Calabre, et petite-fille de Robert d’Anjou, devint reine de Naples à 14 ans.

    En tant que comtesse de Provence, chacun de ses actes fut apprécié par les populations. Elle réunit plusieurs fois les états de Provence, afin d’aviser les mesures à prendre pour la défense du pays. C’est à partir de ce moment-là que le château primitif prit de l’importance.

    En 1345, à Naples, la reine Jeanne fait assassiner son époux, André de Hongrie, par son amant. Elle épouse ce dernier, mais en danger de mort, elle quitte Naples pour la Provence, fin 1347. Trois galères pavoisées, portant gammes, ors, chamarrures, entrèrent dans le port de Marseille le 20 janvier 1348, où la ville tout entière l’accueillit sur le quai. Les maisons étaient décorées de branches de buis et de cyprès. Les vivats couvraient les fifres et les tambourins.

    En 1349, elle nomme Raymond des Baux sénéchal de Provence, avant de repartir pour Naples. Elle meurt en 1382 à l’âge de 58 ans.

    En 1381, son fils adoptif, Louis d’Anjou, fait donation du château à Bertrand d’Agoult, membre d’une puissante famille provençale. Plusieurs familles se succèdent avec des fortunes diverses dans la possession de Ventabren.

    En 1425, le château devient propriété des Quiqueran. En 1472, celle des Bardelins. En 1591, il appartient aux Gaillard-Longjumeau qui détenaient leurs terres d’Henri IV. Ce sont les derniers seigneurs de Ventabren. Dès le début du XVIIIe siècle, ils n’habitent plus le château mais leur maison de la Baronne. La forteresse résiste aux guerres et aux temps, mais c’est la République, qui, en 1794, dépêche un nommé Micoulin pour détruire ce château « qui rappelait des souvenirs fâcheux ». Les habitants du village de cette époque, soit par intérêt, soit pour réparer leurs maisons, soit par peur, aidèrent à la démolition. On trouve, à l’heure actuelle, dans les murs de plusieurs maisons, de nombreuses pierres taillées qui manifestent ces événements.

    En 1851, on compte 327 maisons dans le village.

    Le 31 août 1857, on inaugure l’arrivée du chemin de fer.

    Au XIXe siècle, Ventabren compte quelques usines et fabriques. Une usine travaillant le minerai de cuivre, une fabrique de papier, une blanchisserie pour les draps, 4 minoteries, 6 huileries (salle des fêtes, la Recense, galerie VAC, les Brès, Pieulle…).

    En 1924, l’éclairage électrique arrive dans le village.

    [réf. nécessaire]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[18].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Jacques Rouard
    1793 1794 Jean-Pierre Giraud
    1806 1818 Augustin Jauffret
    1818 1829 Jean Salin
    1829 1832 Joseph-Louis Jauffret
    1833 1851 Jean-François Laplace
    1851 1852 Marius Roux
    1852 1860 Pierre-Antoine Reynaud
    1860 1863 Aimé Laplace
    1863 1868 Émile Ricard Propriétaire
    Conseiller général (1865 → 1871)
    1868 1870 Justin-Thomas Baret Maire par intérim
    1871 1873 Félicien Matheron
    1874 1878 Aimé Laplace
    1878 1899 Félicien Matheron
    1899 1902 Pierre Jude Rouard
    1904 1908 Antoine Marroc
    1908 1912 Eugène Martin
    1913 1919 Désiré Pellegrin
    1920 1925 Sylvain Leydier
    1925 1934 Paul Devaux (1868-1941)
    1935 1950 Albert Poitevin
    1950 1953 Pierre Chaufaille
    mai 1953 mars 1965 Max Bareille
    mars 1965 mars 1977 Jean Bourde
    mars 1977 mars 2001 Jean-Marie Duron RPR Maire honoraire (2005)
    mars 2001 juillet 2022 M. Claude Filippi UDF puis
    UMP-LR
    Cadre supérieur
    Démissionnaire[19]
    juillet 2022 En cours
    (au 6 juillet 2022)
    Frédéric Vigouroux DVD DGS à Salon-de-Provence, ancien premier adjoint
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2020, la commune comptait 5 381 habitants[Note 4], en augmentation de 6,2 % par rapport à 2014 (Bouches-du-Rhône : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6789601 3011 4081 3571 3091 6001 8441 245
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2901 3011 1511 1301 1211 0751 0151 0191 011
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    985988889951896832787889509
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    6039341 5372 7173 7424 5494 8314 8424 581
    2015 2020 - - - - - - -
    5 2785 381-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Place et rue de Ventabren.

    L'Office municipal de la culture (OMC) assure la programmation des manifestations sur la commune.

    Manifestations annuelles :

    • Exposition des Métiers d'Arts et de l'Artisanat - Expo-Rue des peintres : au mois de mai
    • Fête de la Saint-Jean : au mois de juin
    • Fête nationale : au mois de juillet
    • Fête votive de la Saint-Denis : au mois d'octobre
    • Marché de Noël : au mois de novembre
    • Illuminations de Noël : au mois de décembre

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 51 189 , ce qui plaçait Ventabren au 227e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole et au second rang du département des Bouches-du-Rhône derrière Saint-Marc-Jaumegarde (59 683 €)[24].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Aqueduc

    Ce village possède sur son territoire le plus grand aqueduc en pierre au monde, classé monument historique[25]. L'aqueduc de Roquefavour a été construit par Jean François Mayor de Montricher, jeune ingénieur de 26 ans, au milieu du XIXe siècle (1842-1847), pour amener l'eau de la Durance à Marseille. La ville de Marseille subissait depuis tous temps des sécheresses mortelles, l'aqueduc de Roquefavour permit aux eaux de la Durance, via le canal de Marseille, de traverser la vallée de l'Arc. L'aqueduc possède trois rangs d'arcades, mesure 393 mètres de long et 82 mètres de haut. En comparaison, le pont du Gard ne mesure « que » 266 m de long et 47 m de haut (mais a été construit 18 siècles avant).

    Viaduc

    Le viaduc de Ventabren sur la LGV Méditerranée est situé sur la commune.

    Ermitage Saint-Honorat

    Un lieu millénaire à Ventabren. De son ancien nom La « cella Saint-Honorat » l'ermitage appartint d'abord à l'Eglise d'Aix. Ruinée par les Sarrasins lors des razzias, l'ermitage passa sous la main de Montmajour en 963 (un diplôme de l'empereur Conrad et une bulle de Léon VIII le constatent).

    Personnalités liées à la commune

    • Édouard Peisson (1896-1963), écrivain français, spécialisé dans le roman maritime.

    Télévision

    • La série télévisée Les Cinq Dernières Minutes a été tourné à Ventabren en 1959, pour l'épisode n°12, intitulé Dans le pétrin avec Raymond Souplex. L'inspecteur Bourrel, en vacances à Saint-Saturnin (Ventabren est ainsi rebaptisé dans l'épisode), mène l'enquête sur une étrange épidémie qui frappe la population. L'épisode a été tourné en décor réel, dans les rues mêmes de Ventabren.
    • La série Draculi & Gandolfi a été tourné à Ventabren, avec l'Aqueduc et l'ermitage Saint-Honorat en décors[26].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[17].
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Alain Nouvel, Les noms de lieux témoins de notre histoire, Tèrra d'Oc, (ISBN 2-903163-06-5 et 978-2-903163-06-8, OCLC 9682868, lire en ligne), p104
    12. Christian Jeunesse, Les statues-menhirs de Méditerranée occidentale et les steppes. Nouvelles perspectives, in : Rodriguez G. et Marchesi H., dir., Statues-menhir et pierres levées du Néolithique à aujourd’hui, Actes du 3ème colloque international sur la statuaire mégalithique, Saint-Pons-de-Thomières, 12-16 septembre 2012, Direction régionale des affaires culturelles Languedoc-Roussillon & Groupe Archéologique du Saint-Ponais, Montpellier 2015, 123-138.
    13. « Oppidum de Roquefavour », sur www.roquepertuse.org (consulté le )
    14. Panneau explicatif du site, octobre 2013
    15. Philippe Sénac, Charlemagne et Mahomet, Gallimard, , 437 p. (ISBN 978-2-07-035794-9), p. 81
    16. Des sources tardives comme la Chronique de la Novalaise et la Vie de Saint Bobon donnent des informations romancées de ces événements.
    17. Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.
    18. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
    24. « Aqueduc de Roquefavour (également sur commune d'Aix-en-Provence) », notice no PA13000037, base Mérimée, ministère français de la Culture
    25. « Archive : Le Studio Phocéen en tournage dans les Bouches-du-Rhône », sur Studio Phocéen (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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