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Araux

Araux (en béarnais Araus) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Araux
Araux
L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Jean-Jacques Montreer
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64033
DĂ©mographie
Gentilé Aragnais
Population
municipale
133 hab. (2020 en diminution de 4,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 21â€Č 11″ nord, 0° 48â€Č 23″ ouest
Altitude Min. 98 m
Max. 188 m
Superficie 5,40 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du CƓur de BĂ©arn
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Araux
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Araux
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Araux

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Araux se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  47 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  26 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  21 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du CƓur de BĂ©arn dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Viellenave-de-Navarrenx (1,2 km), Araujuzon (1,2 km), Audaux (1,4 km), Bugnein (2,1 km), Ossenx (2,3 km), BastanĂšs (3,1 km), Narp (3,2 km), Castetnau-Camblong (3,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Araux fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].

    Communes limitrophes d’Araux[7]
    Araujuzon Audaux
    Araux
    Charre Viellenave-de-Navarrenx

    AccĂšs

    Araux est desservie par les routes départementales 836 et 936.

    Lieux-dits et hameaux

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier d'Araux.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Lausset, le Cassou Dou Boue, le ruisseau de Lescuncette, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'Ă©coule vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son extrĂ©mitĂ© nord-est et se jette dans le gave de Pau Ă  Sorde-l'Abbaye, aprĂšs avoir traversĂ© 64 communes[10].

    Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron Ă  Narp, aprĂšs avoir traversĂ© 14 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 279 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[15] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[16] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[17] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[18] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 293,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[19]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  31 km[20], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[21], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[22], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[23].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[25], d'une superficie de 2 547 ha, une riviĂšre Ă  saumon et Ă©crevisse Ă  pattes blanches[26].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensĂ©e sur la commune[27] - [Carte 2] : le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Araux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [29] - [30] - [31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32] - [33].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (68,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (69,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (37 %), forĂȘts (31,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26,7 %), prairies (5 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Araux est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Lausset. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[37] - [35].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Araux.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[38]. 83,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [39].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Araux apparaßt sous les formes Araus (1223[8], titres de Taragone[40]), Sente-Angne d'Araus (vers 1350[8], notaires de Lucq-de-Béarn[41]), lo paged d'Araus (1376[8], montre militaire de Béarn[42]), Araus-Susoo (1385[8], censier de Béarn[43]), Sent-Johan d'Araux (1411[8], notaires de Navarrenx[44]) et Araus-Susson (1547[8], réformation de Béarn[45]) et Araux sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siÚcle[46]).

    Étymologie

    Brigitte Jobbé-Duval[47] propose deux origines au toponyme Araux, soit le basque arrantz, qui signifie 'buisson', soit le basco-aquitain aran, qui désigne une vallée.

    Autres toponymes

    Domec est un fief vassal de la vicomté de Béarn, cité au XIIIe siÚcle[8] par le for de Béarn, et en 1863[8] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

    Montquoueilles est une ferme d’Araux, dont le nom apparaĂźt sous les graphies Mon-Coeyle (1385[8], censier de BĂ©arn[43]), Moncoeyla (1397[8], notaires de Navarrenx[44]) et Moncoueyle (1863[8], dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque).

    Graphie BĂ©arnaise

    Son nom béarnais est Araus.

    Histoire

    Paul Raymond[8] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. En 1385, Araux comptait 27 feux. Elle devint une dépendance de la baronnie de Jasses, datant de 1644, qui comprenait, outre Araux, Araujuzon, Jasses, Montfort et Viellenave.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Louis Casenave
    2001 2008 Michel Couturejuzon
    2008 2020 Nadine Lambert DVD
    puis DVG[48]
    ConseillÚre départementale
    2020 En cours Jean-Jacques Montreer

    Intercommunalité

    La commune fait partie de sept structures intercommunales[49] :

    • la communautĂ© de communes du canton de Navarrenx ;
    • le syndicat AEP de Navarrenx ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
    • le syndicat des Ă©coles de Gaveausset ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
    • le syndicat mixte forestier des chĂȘnaies des vallĂ©es basques et bĂ©arnaises.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[51].

    En 2020, la commune comptait 133 habitants[Note 10], en diminution de 4,32 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    224247257285296319312313286
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    287290255246242229242236216
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    198194190183168156153119106
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    115115109123110115118120129
    2014 2019 2020 - - - - - -
    139134133------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee Ă  partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire.

    Sports

    Un fronton[54] (pelote basque) se dresse au centre du village.

    Économie

    L'activité est principalement agricole (élevage et polycultures). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le site de la commune[54] mentionne trois ponts remarquables, le pont de RÚquamale, le pont dit de pierre (1888) et le pont de Cameich (1891), ainsi que deux lavoirs, l'un du XIXe siÚcle (Canfranc) et l'autre des années 1950, à proximité du fronton.

    Patrimoine religieux

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[14].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[24].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
    2. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Araux », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    INSEE

      Références

      1. « Métadonnées de la commune d'Araux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
      2. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      3. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      4. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      5. « Communes les plus proches d'Araux », sur www.villorama.com (consulté le ).
      6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
      7. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
      8. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
      9. « Fiche communale d'Araux », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
      10. Sandre, « le gave d'Oloron ».
      11. Sandre, « le Lausset ».
      12. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
      13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
      14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      15. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
      16. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
      17. « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      18. « Orthodromie entre Araux et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
      19. « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      20. « Orthodromie entre Araux et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
      21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
      22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
      23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
      24. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
      25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Araux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      26. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      27. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Araux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      28. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      30. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
      31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
      34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
      35. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Araux », sur Géorisques (consulté le )
      36. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
      37. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
      38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
      39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
      40. Titres de Taragone, d'aprĂšs Pierre de Marca, Histoire de BĂ©arn
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      42. Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques - Le paged d'Araus était une juridiction judiciaire comprenant Araus et Araujuzon.
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