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Angliers (Vienne)

Angliers est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Angliers
Angliers (Vienne)
L'avenue Ă  Angliers, avec la mairie au fond.
Blason de Angliers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement ChĂątellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Nathalie Bassereau
2020-2026
Code postal 86330
Code commune 86005
DĂ©mographie
Gentilé Anglésiens
Population
municipale
612 hab. (2020 en diminution de 3,77 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 26 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 56â€Č 49″ nord, 0° 07â€Č 04″ est
Altitude 70 m
Min. 54 m
Max. 83 m
Superficie 23,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Loudun
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Loudun
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Angliers
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Angliers
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Angliers
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Angliers

    GĂ©ographie

    GĂ©ologie et relief

    La région d'Angliers présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et des plaines de champs ouverts. Le terroir se compose :

    • de sables verts pour 39 % et d'argilo pour 5 % sur les collines et dĂ©pressions sableuses des bordures du Bassin parisien ; les sables verts ou varennes sont constituĂ©s d’épais dĂ©pĂŽts sableux sur lesquels se sont formĂ©es des sols sableux Ă  argilo-sableux intercalĂ©s de niveaux marneux, profonds, acides ou neutres selon les secteurs, et tantĂŽt arides ou tantĂŽt hydromorphes. Ce sont des sols caractĂ©ristiques du Loudunais ;
    • de calcaire pour 6 % dans les vallĂ©es et terrasses alluviales ;
    • de groies pour 18 % dans les plaines calcaires : les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en gĂ©nĂ©ral de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices Ă  la polyculture cĂ©rĂ©aliĂšre mais elles s’assĂšchent vite ;
    • d'argilo pour 37 % sur les terres de Doucins (c’est une terre argilo-limoneuse propre Ă  la rĂ©gion) et les landes de la bordure Aquitaine[1].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est traversĂ©e par La Briande sur une longueur de 6,6 km.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 616 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Martaize », sur la commune de MartaizĂ©, mise en service en 1993[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 565,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă  43 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Angliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (78 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (50 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,8 %), forĂȘts (17,1 %), prairies (6,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,1 %), zones urbanisĂ©es (1,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Angliers est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Angliers.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 70 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2005, 2010 et 2013, par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Anglarias dÚs 644[26] - [27], Terra de Anglerio en 1100.

    Ce toponyme dĂ©riverait du latin Angularias (angle, coin). Ernest NĂšgre pense que cela pourrait ĂȘtre liĂ© Ă  des maisons, ou terres en forme de coins.

    Politique et administration

    Liste des maires

    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Naudeau
    mars 2001 mars 2008 Jean Gigon
    mars 2008 mai 2020 René Girard

    instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Protection de l’environnement

    Depuis le , la commune est signataire de la charte Terre Saine - votre commune sans pesticides. La charte Terre Saine Poitou-Charentes invite les communes et les établissements publics intercommunaux à participer à la réduction des pesticides et à la préservation d'un environnement sain en région Poitou-Charentes.

    DĂ©mographie

    Le , ses habitants ont choisi comme gentilé Anglésiens (64 voix) contre Anglésois (51 voix) et Anglois (32 voix).

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 612 habitants[Note 9], en diminution de 3,77 % par rapport Ă  2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    582566591612601662651615627
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    643641651636686662637603631
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    648674660650631612626581626
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    646574682630619666662660662
    2014 2019 2020 - - - - - -
    636617612------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’INSEE, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 28 hab./km2, 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[32], il n'y a plus que douze exploitations agricoles en 2010 contre 22 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisĂ©es sont passĂ©es de 1 507 hectares Ă  1 093 hectares en 10 ans. 50 % sont destinĂ©es Ă  la culture des cĂ©rĂ©ales (blĂ© tendre essentiellement mais aussi orges et maĂŻs), 28 % pour les olĂ©agineux (2/3 de tournesol et 1/3 de colza)[32].

    L'Ă©levage a disparu en 2010, alors qu'en 2000, celui-ci reprĂ©sentait 1 614 tĂȘtes de caprins et 158 tĂȘtes de bovins. Quelques volailles Ă©taient aussi Ă©levĂ©es (273 tĂȘtes)[32]. La disparition de l'Ă©levage des caprins est rĂ©vĂ©latrice de l’évolution qu’a connu, en rĂ©gion Poitou-Charentes, cet Ă©levage au cours des deux derniĂšres dĂ©cennies: division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par Ă©levage (38 chĂšvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chĂšvreries de 10 Ă  50 chĂšvres qui reprĂ©sentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par six des Ă©levages de plus de 200 chĂšvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette Ă©volution a principalement pour origine la crise de surproduction laitiĂšre de 1990-1991 qui, en parallĂšle des mesures incitatives, a favorisĂ© des dĂ©parts d’éleveurs en prĂ©retraite[33].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    Église Saint-Martin.
    • Église dĂ©diĂ©e Ă  saint Martin comme Ă  peu prĂšs 4 000 autres Ă©difices en France (8 000 en Italie). Saint Martin Ă©tait trĂšs populaire au Moyen Âge. L'Ă©glise Saint-Martin a Ă©tĂ© donnĂ©e en 1104 par Pierre II, Ă©vĂȘque de Poitiers, Ă  l'abbaye bĂ©nĂ©dictine de Marmoutiers. Le clocher est du XVe siĂšcle. Avec sa flĂšche Ă  huit pans, il fait 38,20 mĂštres de haut. Le portail est agrĂ©mentĂ© de petites colonnes qui supportent des chapiteaux. Dans la partie supĂ©rieure, un dĂ©cor vĂ©gĂ©tal met en valeur une petite tĂȘte d'ange au sommet. L'Ă©glise n'avait qu'une nef Ă  l'origine. Une deuxiĂšme est construite en 1850. Cette nef est dite nef de la Sainte Vierge.

    Patrimoine civil

    ChĂąteau d'Angliers.
    Donjon de Saint-Cassien.

    Patrimoine naturel

    Deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[34] couvrent 84 % du territoire de la commune:

    La plaine de Saint-Jean de Sauves est classée comme zone Importante pour la conservation des oiseaux (ZICO)[35].

    La forĂȘt de ScĂ©volles qui couvre 17 % du territoire communal est considĂ©rĂ© comme un espaces naturels sensibles (ENS).

    Les arbres remarquables

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[36], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un tilleul Ă  grandes feuilles qui se situe avenue Prince-d'Auvergne.

    Personnalités liées à la commune

    Jeanne Chalumeau (1920 - 2017) a tenu l'épicerie du village durant 57 ans, tout d'abord avec son mari, puis seule aprÚs le décÚs de ce dernier et de son fils. Elle a été décorée en de l'ordre national du mérite par Jean-Pierre Raffarin et René Monory. Elle a pris sa retraite à 83 ans[37], à contre-coeur[38] - [39].

    En 1871, Henri de La Tour d'Auvergne-Lauraguais, ministre du Second-Empire dĂ©cĂšde au chĂąteau d'Angliers. Ce chĂąteau appartient Ă  son Ă©pouse Émilie-CĂ©leste Montault des Isles (1822-1857) qui en a hĂ©ritĂ©. Cette derniĂšre est apparentĂ©e Ă  une famille de notables angevins et compte dans ses proches parents, un prĂ©fet, un Ă©vĂȘque et un prĂ©lat.

    Le cardinal de Richelieu était propriétaire du donjon de Saint-Cassien.

    En 1438, Anne de Fontenay, fille d'Amboise de Fontenay, Seigneur de Saint-Cassien, Ă©pouse Pierre de Beauvau du Rivau, conseiller et chambellan de Charles VII.

    HĂ©raldique

    Blason de Angliers Blason
    ÉcartelĂ© : aux 1er et 4e d’azur semĂ© de fleurs de lis d’or, Ă  la tour du mĂȘme brochante, aux 2e et 3e de gueules Ă  la croix clĂ©chĂ©e, vidĂ©e et pommetĂ©e de douze piĂšces d’or ; sur le tout, d’or au gonfanon de gueules frangĂ© de sinople.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Martaize - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Angliers et Martaizé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Martaize - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Angliers et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Loudun », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Angliers », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. Dans un document non authentifié imputé à Clovis IIe, fils de Dagobert
    27. Ernest NÚgre - Toponymie générale de la France - Page 385 - (ISBN 2600028838).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    33. Agreste – Bulletin no 11 de dĂ©cembre 2005
    34. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
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