Abdon Robert Casso
Abdon Robert Casso, communément appelé le général Casso, né le à Valmanya (Pyrénées-Orientales) et mort le à Saint-Mandé[1], est un ingénieur, militaire, résistant et homme politique français.
Abdon Robert Casso | ||
GĂ©nĂ©ral Casso - Cour d'honneur de l'Ătat Major de la Brigade de Sapeurs-Pompiers de Paris - 1970. | ||
Naissance | Valmanya (Pyrénées-Orientales) |
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DécÚs | (à 89 ans) Saint-Mandé |
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Allégeance | France libre France |
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Arme | GĂ©nie | |
Grade | général de brigade | |
AnnĂ©es de service | 1933 â 1970 | |
Commandement | Brigade de sapeurs-pompiers de Paris GĂ©nie |
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Conflits | Seconde Guerre mondiale Guerre d'Indochine Guerre d'Algérie |
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Faits d'armes | Résistance intérieure française Bataille de Na San |
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Distinctions | Grand officier de la Légion d'honneur Croix de guerre 1939-1945 Médaille de la Résistance française Croix de guerre des Théùtres d'opérations extérieurs Médaille des évadés Médaille commémorative des services volontaires dans la France libre |
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Biographie
Enfance, famille et Ă©tudes
Abdon Robert Casso naĂźt le dans les bĂątiments des Mines de fer de La Pinouse[2] Ă Valmanya, dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales. Sa mĂšre Catherine est cantiniĂšre de la mine[3] et son pĂšre Abdon Sennen Casso (1871-1945) est contremaĂźtre chargĂ© de l'approvisionnement de la mine. Il est Ă©levĂ© avec son frĂšre, DĂ©sirĂ©, qui deviendra plus tard professeur agrĂ©gĂ© de lettres[4]. Catholique pratiquant, Ă©lĂšve brillant, il intĂšgre l'Ăcole nationale supĂ©rieure des mines d'AlĂšs, dont il ressort major Ă 21 ans avec le titre d'ingĂ©nieur civil. Natif des villages les plus mĂ©ridionaux de France, catalan dans l'Ăąme, il gardera Ă vie l'accent rocailleux typique des habitants du massif du Canigou.
En 1935, Abdon Robert Casso épouse à Rohrbach-lÚs-Bitche, le soir de Noël, Jeanne Hessemann (1912-1986). Ils auront ensemble trois enfants: Gérard Casso, membre de l'Ordre de Malte, né en 1938, Christiane Casso épouse Mallard, née en 1941, et Jean-Marc Casso, ancien président du groupe Casso, expert prÚs la Cour de cassation, né en 1945[5]. Sa petite-fille, et fille de Gérard Casso, est Nathalie Casso-Vicarini, fondatrice et déléguée générale de l'association Ensemble pour la Petite Enfance[6]. Elle est nommée Chevalier de la Légion d'honneur en 2018[7]. Emmanuel Casso, l'un de ses petits-fils, est Colonel de la Gendarmerie nationale[8].
Son Ă©pouse Jeanne est la tante de l'homme politique Jean-Marie Rausch[9] - [10].
Le génie et l'ouvrage de Rohrbach
Ă l'issue de son service militaire, puis engagĂ© volontaire, il commence sa carriĂšre militaire dans le gĂ©nie en [11] en participant Ă la conception et Ă la construction d'ouvrages de la ligne Maginot dont l'ouvrage de Rohrbach, dĂ©sormais dĂ©nommĂ© fort Casso[12]. Les annĂ©es 1935 Ă 1938 lui permettent dâassurer la direction complĂšte de travaux de construction pour 86 ouvrages de fortification. NommĂ© chef de chantier Ă la tranche Wittring-Rohrbach et assistĂ© de deux polytechniciens, il dirige la construction de l'ouvrage de Rohrbach mais Ă©galement la construction de plusieurs ouvrages dĂ©fensifs militaires[11].
L'ouvrage inauguré en 1938 mÚne le combat pendant le mois de , couvrant le repli des troupes françaises sur la zone, et rend finalement les armes le . L'armistice impose de remettre l'ouvrage à la Wehrmacht le . Abdon Robert Casso est fait prisonnier par les troupes allemandes le [13], et doit participer à la relÚve des mines. Il est ensuite transféré à la prison de Sarreguemines, puis à Sarrebruck, et finalement Ludwigsbourg. Il réussit à s'évader en [14].
La RĂ©sistance
De retour dans son village natal, Valmanya, il fonde avec son pÚre Abdon Sennen Casso[15] assisté de l'instituteur du village, René Horte, un réseau de résistance dénommé Sainte Jeanne[16] - [17]. Abdon Robert est élu maire de Valmanya en 1941[18]. Les missions qu'il exécute avec son épouse Jeanne pour les Forces Françaises de l'intérieur au grade de commandant, agent P2, et notamment pour le compte des réseaux Darius[19] puis Gallia[20] l'amÚnent à organiser un corridor d'évasion vers l'Espagne[21], et à transmettre aux Alliés des éléments stratégiques.
Aux commandes de sa formation, il mĂšne le lâattaque dâun dĂ©tachement Ă MĂ©ziĂšres au cours de laquelle pas moins de 28 ennemis sont tuĂ©s et 4 sont faits prisonniers. Il interdit cependant Ă ses hommes les actions de reprĂ©sailles et câest aux forces amĂ©ricaines quâil remettra ses prisonniers. Quelques jours plus tard, il sâempare de documents appartenant aux services de la Gestapo de Paris et dâOrlĂ©ans. Cette documentation donne en particulier des renseignements prĂ©cis sur lâusine dâassemblage du V1 que cache le tunnel de Rilly, les installations du camp de Mailly, l'un des quartiers gĂ©nĂ©raux de la Wehrmacht en France. Ces plans, bien que parcellaires, mentionnent la position de nombreux abris, le tracĂ© dâun tunnel, lâemplacement de postes de mitrailleuses, de DCA, et d'abris souterrains[22]. Ces documents sont transmis Ă Londres par son Ă©pouse Jeanne[23], et contribueront entre autres Ă ce que l'aviation alliĂ©e puisse bombarder abondamment le site de Rilly le [24] afin de dĂ©truire l'usine d'assemblage du V1.
Ă la suite d'une attaque menĂ©e sur la trĂ©sorerie de Prades par les maquisards FTP en , des opĂ©rations de reprĂ©sailles sont mises en Ćuvre par l'ennemi contre la RĂ©sistance et notamment le village de Valmanya. Le , aprĂšs avoir Ă©tĂ© repoussĂ©s dans un premier temps par les maquisards, le village est entiĂšrement incendiĂ©[25], des habitants n'ayant pu fuir sont torturĂ©s et exĂ©cutĂ©s, et Abdon Sennen Casso, pĂšre d'Abdon Robert Casso, est fait prisonnier pour ĂȘtre ensuite dĂ©portĂ© au camp de Buchenwald.
Le , au cours d'une mission de renseignement, Abdon Robert Casso est touchĂ© au visage, aux genoux et Ă l'Ă©paule par des Ă©clats de tirs d'un appareil de la Lufftwaffe Ă proximitĂ© de Mont-Notre-Dame. Une fois rĂ©tabli, il demande Ă intĂ©grer les troupes amĂ©ricaines en progression vers l'Est. GrĂące Ă sa connaissance de la rĂ©gion, il accompagne la poussĂ©e amĂ©ricaine sur la Sarre et concourt Ă la libĂ©ration de la ville de Metz. Poursuivant avec les Ă©lĂ©ments de tĂȘte, il est le premier officier français Ă entrer avec les AlliĂ©s dans le camp de Buchenwald oĂč il a la surprise de retrouver son pĂšre, Abdon Sennen Casso, vivant. Celui-ci dĂ©cĂ©dera le dans son domaine familial de Valmanya des suites des mauvais traitements subis lors de sa dĂ©tention Ă Buchenwald. DĂ©portĂ© Mort pour la France, il sera fait Chevalier de la LĂ©gion d'Honneur Ă titre posthume[26].
Les faits et actions de résistance vaudront à Abdon Robert Casso une citation à l'ordre de l'Armée, avec attribution de la croix de guerre avec palme[27]. Abdon Robert Casso acquiert aussi la qualité de Français libre[28].
L'aprĂšs-guerre, les campagnes d'Indochine et d'AlgĂ©rie, et l'Ătat major gĂ©nĂ©ral
De retour dans l'Armée aprÚs la Libération, il poursuit sa carriÚre d'officier avec le grade de capitaine, grade qui lui avait déjà été promis dÚs 1940 pour les qualités qu'il avait démontrées dans la construction de l'ouvrage de Rohrbach-lÚs-Bitche. Il participe à la reconstruction de la ville de Metz, et termine simultanément ses études pour devenir docteur Ús sciences (faculté des sciences de Paris) en 1948[29].
C'est ensuite au Tonkin que le commandant Casso poursuit sa carriĂšre de 1950 Ă 1954[13]. Ă la tĂȘte d'un bataillon du GĂ©nie puis chef d'Ă©tat-major du groupement opĂ©rationnel de la RiviĂšre Noire pendant deux ans, il se voit confier l'Ă©quipement dĂ©fensif du secteur d'HáșŁi PhĂČng et est l'un des artisans de la prise de HĂČa BĂŹnh, l'une des rares victoires françaises, et de la dĂ©fense de Na San[30] - [31].
Le commandant Casso est promu au grade d'officier de la LĂ©gion d'honneur le [32].
Ă son retour en France, il est affectĂ© Ă lâĂtat-Major gĂ©nĂ©ral de la DĂ©fense nationale au Service d'action psychologique.
EnvoyĂ© Ă la tĂȘte du GĂ©nie de la rĂ©gion d'Alger en 1961, il contrĂŽle et inspecte les travaux engagĂ©s par les sapeurs chargĂ©s de relever des mines et ouvrir des itinĂ©raires, dĂ©tecter des constructions souterraines, grottes et caches, rĂ©aliser des pistes, et crĂ©er les installations qui protĂšgent le cĂąble sous-marin reliant Fort-de-l'Eau Ă la mĂ©tropole. GriĂšvement blessĂ© des suites d'un attentat visant lâĂ©tat-major du GĂ©nie d'Alger le , veille des Accords d'Evian, il est contraint de rentrer quelques mois plus tard en mĂ©tropole[33].
Le régiment et la brigade de sapeurs-pompiers de Paris
En 1963, le colonel Casso se voit attribuer le commandement du RĂ©giment[34] de sapeurs-pompiers de Paris. Câest sous son impulsion que la zone dâintervention sâĂ©tendra dĂ©sormais aux dĂ©partements limitrophes de Paris, et que cette formation militaire se verra dotĂ©e dâune organisation taillĂ©e sur mesure pour gĂ©rer les grandes catastrophes et mener une meilleure conduite des interventions.
Sous son commandement, les premiÚres ambulances de réanimation entrent en action et les centres de formation se développent.
Abdon Robert Casso est nommé par le président de la République, Charles de Gaulle, général de ce qui devient en 1967 la brigade de sapeurs-pompiers de Paris[34].
Pendant son temps de commandement (1963-1970), il participe personnellement Ă 97 interventions, dont celle qui a permis de maĂźtriser lâun des plus grands incendies de lâhistoire de la Brigade: l'incendie de la sociĂ©tĂ© des hydrocarbures de Saint-Denis, le (400 hommes mobilisĂ©s). Il a un rĂŽle stratĂ©gique dans les Ă©vĂ©nements de mai 1968 Ă Paris ; son concours sera rĂ©clamĂ© Ă cette occasion par l'ĂlysĂ©e.
Jusqu'en 1970, il adapte amplement la Brigade pour répondre à l'extension de la capitale et du bassin parisien. Il ouvre des centres de formation, et développe la politique de recrutement en faisant évoluer le statut des soldats du feu. Il participe aussi à la direction de nombreux chantiers directement liés à la sécurité et à la modernisation de Paris.
Le gĂ©nĂ©ral Casso laisse une trace importante aux soldats du feu en Ă©crivant l'Ăthique du Sapeur-Pompier[35] qui doit ĂȘtre lue en caserne chaque semaine et apprise par cĆur par les nouvelles recrues de la Brigade.
Il est élevé au grade de commandeur dans l'ordre national de la Légion d'honneur en 1965[36].
La retraite et la politique Ă Paris
Atteint par la limite d'ùge pour ses fonctions militaires, il est nommé en 1970 maire du 17e arrondissement de Paris sur proposition du ministre de l'Intérieur. Il occupe cette fonction jusqu'en 1976.
Jouissant d'une certaine popularitĂ© dans la capitale, il se prĂ©sente aux Ă©lections lĂ©gislatives de 1978 dans le 19e arrondissement de Paris, mais est battu par Paul Laurent, candidat communiste. Il forme un recours devant le Conseil constitutionnel pour fraude Ă©lectorale, mais sa requĂȘte est rejetĂ©e, faute d'Ă©lĂ©ments probants suffisants[37].
Nommé expert prÚs la Cour de cassation en incendie explosion, il fonde un cabinet de conseil en sécurité incendie, repris et développé ensuite par son fils Jean-Marc Casso[38].
Le général Casso est élevé à la dignité de Grand Officier dans l'ordre national de la Légion d'honneur en 1993[39] dont les insignes lui sont remis au cours d'une cérémonie aux Invalides à Paris par le président de la République, François Mitterrand.
Les relations avec le général de Gaulle et sa famille
De la RĂ©sistance jusqu'au , des relations de proximitĂ© entre Abdon Robert Casso et la famille de Gaulle semblent exister. Parmi plusieurs personnalitĂ©s traversant clandestinement la frontiĂšre espagnole entre 1940 et 1945 par les PyrĂ©nĂ©es-Orientales, on compte Xavier de Gaulle, frĂšre du gĂ©nĂ©ral de Gaulle, et rĂ©sidant un moment Ă Ille-sur-TĂȘt, et Roger de Gaulle, neveu du GĂ©nĂ©ral. Selon certaines sources, Abdon Robert Casso aurait participĂ© Ă l'Ă©vasion vers l'Espagne de certains membres de la famille de Gaulle[5]. On retrouve aussi des invitations du couple Casso Ă l'ĂlysĂ©e par le gĂ©nĂ©ral de Gaulle alors prĂ©sident de la RĂ©publique[40], ainsi qu'un document, dernier Ă©crit de la main du gĂ©nĂ©ral de Gaulle trois-quarts d'heure avant son dĂ©cĂšs le Ă la Boisserie, mentionnant « gĂ©nĂ©ral Casso »[41]. L'Amiral Philippe de Gaulle qui rĂ©side depuis mars 2022 Ă l'Institut national des invalides[42] continue d'entretenir des relations rĂ©guliĂšres avec la famille Casso[43].
Hommages
DĂ©corations
Abdon Robert Casso est titulaire de plus d'une centaine de décorations françaises et étrangÚres.
Principales décorations françaises
- Grand officier de la LĂ©gion d'honneur (1993)[39]
- Croix de guerre 1939-1945, avec palme et 6 citations à l'ordre de l'Armée[44]
- Médaille de la Résistance française[44]
- Croix de guerre des Théùtres d'opérations extérieurs, avec 2 palmes et 3 citations[44]
- Croix de la Valeur militaire[44]
- Chevalier de l'ordre des Palmes académiques[44]
- Officier de l'ordre du MĂ©rite agricole[44]
- Médaille des évadés[44]
- Croix du combattant volontaire de la RĂ©sistance[44]
- Médaille d'honneur pour acte de courage et de dévouement, vermeil[44]
- Médaille commémorative des services volontaires dans la France libre[44]
- Croix du combattant
- Croix du combattant volontaire
- Médaille commémorative française de la guerre 1939-1945
- Insigne des blessés militaires
- Médaille commémorative de la campagne d'Indochine
- Médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l'ordre
- MĂ©daille de la jeunesse, des sports et de l'engagement associatif, argent
Principales décorations étrangÚres
- American Legion
- Ordre national du Vietnam, remis par l'empereur BáșŁo ÄáșĄi (1951)[45]
- Croix de la bravoure vietnamienne, avec citation
- Officier de l'ordre du MĂ©rite civil TaĂŻ
Postérité
à la mort du général Casso en 2002, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, prononce son éloge funÚbre au Conseil de Paris[46].
Plusieurs lieux ont été nommés en sa mémoire :
- Une place à Valmanya, sa ville natale, située devant la mairie[16] ;
- Une esplanade du 17e arrondissement de Paris, situĂ©e devant l'Ătat-Major de la brigade de sapeurs-pompiers[47] - [48] ;
- L'ouvrage de Rohrbach, vestige de la ligne Maginot situĂ© Ă Rohrbach-lĂšs-Bitche, renommĂ© « fort Casso » en son honneur par dĂ©cision du conseil municipal. Ă l'intĂ©rieur de l'ouvrage â qu'il avait contribuĂ© Ă construire avant la Seconde Guerre mondiale â, un musĂ©e conserve quelques armes et effets lui ayant appartenu.
Son nom a également été utilisé dans l'enseignement supérieur :
- L'Ăcole nationale supĂ©rieure des mines d'AlĂšs, dont il sortit major en 1933, a nommĂ© l'un de ses centres de recherche l'Institut des sciences et des risques Robert Casso[49] - [50] ;
- Il est le parrain de la promotion 2018-2019 du 4e bataillon de l'Ăcole spĂ©ciale militaire de Saint-Cyr[51] - [52].
Par ailleurs, en 2017, une exposition intitulĂ©e « Pompiers de Paris â Notre mission : Sauver », organisĂ©e Ă l'hĂŽtel de ville de Paris, a prĂ©sentĂ© une vitrine d'effets personnels (costumes, kĂ©pi, dĂ©corations, accessoires) et des documents photo et vidĂ©o du gĂ©nĂ©ral Casso[53] - [54] - [55].
Notes et références
- Relevé des fichiers de l'Insee
- Coordonnées GPS : 42.32042 N, 2.343878 E https://www.les-pyrenees-orientales.com/Patrimoine/MineDeLaPinouse.php
- HélÚne Legrais, Les herbes de la Saint Jean, Presses de la Cité, , 300 p. (ISBN 2258087600, lire en ligne)
- Source: famille Casso
- Source: famille Casso.
- Ensemble pour la Petite Enfance, « L'équipe » , sur Ensemble pour la Petite Enfance (consulté le )
- Décret du Président de la République 31 décembre 2018. https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000037909697
- Legifrance, « Décision du 1er décembre 2021 portant inscription au tableau d'avancement pour l'année 2022 (armée active) » , sur Legifrance.gouv.fr, (consulté le )
- Source: Familles Rausch et Casso. La sĆur de Jeanne Hessemann, Claire Hessemann est la mĂšre de Jean-Marie Rausch.
- Interview de Jean-Marie Rausch - MosaikTV - 30 décembre 2014 - 10'00'' - https://www.youtube.com/watch?v=HON7OTrDkaU&t=466s
- « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie du capitaine Louis-Marie Remy (Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris), p. 4 », sur Amicale des anciens des sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le )
- « Fort Casso », sur Fort Casso (consulté le )
- Pierre Biais, Du feu Ă l'incendie, Editions Publibook, , p. 252
- Georges Gaudron, Villes et villages dans la tourmente, 1939-1945, Impr. Municipale, , p. 174.
- Capturé par les troupes allemandes à Valmanya le 1er août 1944, Déporté Mort pour la France. Chevalier de la Légion d'Honneur à titre posthume. Sources: Valmanya#Histoire et https://aasppesvm.files.wordpress.com/2017/10/le-gal-casso-par-le-cne-remy-2017.pdf p. 14
- « Les anciens combattants de la résistance se souviennent », sur Journal L'Indépendant, (consulté le )
- Gérard Bonet, Les Pyrénées-Orientales dans la guerre: les années de plomb 1939-1944, FeniXX, , 176 p. (ISBN 9782402096034, lire en ligne)
- Maire de 1941 Ă 1944 puis de 1945 Ă 1947. Source: Valmanya#Histoire
- « Archives de la France combattante Dossiers individuels des agents des réseaux, p.76 », sur http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr, (consulté le )
- « Le général Casso, une vie au service de la France, Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (Brigade de Sapeurs-Pompiers de Paris) », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le ), p. 12
- Gérard Bonet, Les Pyrénées-Orientales dans la guerre : les années de plomb, 1939-1944, FeniXX, , 353 p. (ISBN 9782402096034, lire en ligne), p. 249
- « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP). p.12 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
- « Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP), p.11 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
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- Jean-Luc Bobin, « Valmanya : le village martyr de la RĂ©sistance catalane commĂ©more la tragĂ©die », L'IndĂ©pendant,â (lire en ligne)
- « Base Léonore -Archives nationales - Dossier : 19800035/615/69355 », sur Archives nationales, (consulté le )
- « Le général Abdon Robert Casso », sur Mairie de Valmanya (consulté le )
- « Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris) p. 16 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le )
- Contribution à l'étude des précipitations diluviennes et des glissements de terrain en Roussillon Paris, 1948 (thÚse à la Faculté des SCiences de Paris).
- « Le rĂŽle dĂ©terminant de la logistique Ă Na San: lâaction du Colonel Gilles », sur PensĂ©e mili-terre - centre de doctrine et d'enseignement du commandement., (consultĂ© le )
- Abdon Robert Casso, « Na San. AĂ©rodrome retranchĂ©. », Revue du gĂ©nie militaire, Paris, Berger-Levrault, 55e annĂ©e,â , p. 187-200
- « Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP). p.24 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
- « Le Général Casso, une vie au service de la France, biographie par le Capitaine Louis-Marie REMY, BSPP, p. 25 à 27 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
- Régiment depuis le décret impérial du 5 décembre 1866. Source: Brigade de sapeurs-pompiers de Paris#Histoire
- « Ăthique du sapeur-pompier de Paris », sur pompiersparis.fr (consultĂ© le )
- Décret du 26 février 1965. Source: JORF.
- « Décision 78-848 AN - 07 juin 1978 - A.N., Paris (29e circ.) - Rejet », sur Legifrance, (consulté le )
- « Cabinet Casso et associés », sur cassoetassocies.com (consulté le )
- Source: DĂ©cret du 23 mars 1993 - LĂ©gifrance - https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000543956&categorieLien=id
- Source: archives du Général de Gaulle, Président de la République 1959-1969 - Archives nationales - 2012 - p.114 et 139 https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/consultation/ir/pdfIR.action?irId=FRAN_IR_027940
- Philippe de Gaulle, De Gaulle, Plon, (ISBN 2-259-01988-9), p. 148
- Catherine Nay, « Ă bientĂŽt 101âŻans, lâamiral Philippe de Gaulle se confie au JDD : «âŻĂa nâa pas Ă©tĂ© drĂŽle dâĂȘtre le fils du GĂ©nĂ©ral » », Le Journal du Dimanche,â (lire en ligne )
- Source: Gérard Casso, bénévole aux Invalides.
- « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP), p.3 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
- « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP). p.21 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris. (consulté le )
- « Conseil municipal - débats des 18 et 19 mars 2002 », sur paris.fr, (consulté le )
- « Le Général Casso mis à l'honneur à Paris », sur opex360.com (consulté le )
- « Cérémonie d'inauguration Esplanade Général Casso », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le )
- « Institut des Sciences et des Risques Robert Casso », sur Orange (consulté le )
- « Inauguration de l'Institut des Sciences et des Risques Robert Casso », sur Chambre de commerce et d'Industrie d'AlÚs Cévennes (consulté le )
- Source: Ătat-major de lâĂcole spĂ©ciale militaire de Saint-Cyr.
- « Hommage: la promotion Général Casso », sur allo18-lemag.fr, Sapeurs-Pompiers de Paris, (consulté le )
- « Exposition Pompiers de Paris », sur quefaire.paris.fr, (consulté le )
- « LâHĂŽtel de Ville accueille lâexposition « Pompiers de Paris - Notre mission : Sauver » », sur pompiersparis.fr, (consultĂ© le )
- « Blog de Véronique HAMEL, reporter », sur http://professionlavie.blogspot.com, (consulté le )
Voir aussi
Ćuvres
- Contribution à l'étude des précipitations diluviennes et des glissements de terrain en Roussillon, thÚse, Paris, 1948, Faculté des Sciences de Paris
- Gibernes, propos de popote, éditions La Pensée universelle, 1994, (ISBN 978-2-214-09834-9), 122 p.
Bibliographie
- Pierre Biais, Du feu Ă l'incendie, Editions Publibook, (lire en ligne), p. 252-255
Articles connexes
Liens externes
- Le général Casso, une figure de la BSPP
- Le Général Abdon Robert CASSO (site de la Mairie de Valmanya)
- Vidéo INA, 16 mars 1973, incendie du CollÚge Pailleron à Paris. Interview du général Casso, ancien commandant de la BSPP
- VidĂ©o Youtube des Ăcoles de Saint-Cyr CoĂ«tquidan - inauguration de la promotion GĂ©nĂ©ral Casso du 4e bataillon de l'ESM de Saint-Cyr