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Abdon Robert Casso

Biographie

Enfance, famille et Ă©tudes

Abdon Robert Casso naĂźt le dans les bĂątiments des Mines de fer de La Pinouse[2] Ă  Valmanya, dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales. Sa mĂšre Catherine est cantiniĂšre de la mine[3] et son pĂšre Abdon Sennen Casso (1871-1945) est contremaĂźtre chargĂ© de l'approvisionnement de la mine. Il est Ă©levĂ© avec son frĂšre, DĂ©sirĂ©, qui deviendra plus tard professeur agrĂ©gĂ© de lettres[4]. Catholique pratiquant, Ă©lĂšve brillant, il intĂšgre l'École nationale supĂ©rieure des mines d'AlĂšs, dont il ressort major Ă  21 ans avec le titre d'ingĂ©nieur civil. Natif des villages les plus mĂ©ridionaux de France, catalan dans l'Ăąme, il gardera Ă  vie l'accent rocailleux typique des habitants du massif du Canigou.

En 1935, Abdon Robert Casso épouse à Rohrbach-lÚs-Bitche, le soir de Noël, Jeanne Hessemann (1912-1986). Ils auront ensemble trois enfants: Gérard Casso, membre de l'Ordre de Malte, né en 1938, Christiane Casso épouse Mallard, née en 1941, et Jean-Marc Casso, ancien président du groupe Casso, expert prÚs la Cour de cassation, né en 1945[5]. Sa petite-fille, et fille de Gérard Casso, est Nathalie Casso-Vicarini, fondatrice et déléguée générale de l'association Ensemble pour la Petite Enfance[6]. Elle est nommée Chevalier de la Légion d'honneur en 2018[7]. Emmanuel Casso, l'un de ses petits-fils, est Colonel de la Gendarmerie nationale[8].

Son Ă©pouse Jeanne est la tante de l'homme politique Jean-Marie Rausch[9] - [10].

Le génie et l'ouvrage de Rohrbach

À l'issue de son service militaire, puis engagĂ© volontaire, il commence sa carriĂšre militaire dans le gĂ©nie en [11] en participant Ă  la conception et Ă  la construction d'ouvrages de la ligne Maginot dont l'ouvrage de Rohrbach, dĂ©sormais dĂ©nommĂ© fort Casso[12]. Les annĂ©es 1935 Ă  1938 lui permettent d’assurer la direction complĂšte de travaux de construction pour 86 ouvrages de fortification. NommĂ© chef de chantier Ă  la tranche Wittring-Rohrbach et assistĂ© de deux polytechniciens, il dirige la construction de l'ouvrage de Rohrbach mais Ă©galement la construction de plusieurs ouvrages dĂ©fensifs militaires[11].

L'ouvrage inauguré en 1938 mÚne le combat pendant le mois de , couvrant le repli des troupes françaises sur la zone, et rend finalement les armes le . L'armistice impose de remettre l'ouvrage à la Wehrmacht le . Abdon Robert Casso est fait prisonnier par les troupes allemandes le [13], et doit participer à la relÚve des mines. Il est ensuite transféré à la prison de Sarreguemines, puis à Sarrebruck, et finalement Ludwigsbourg. Il réussit à s'évader en [14].

La RĂ©sistance

De retour dans son village natal, Valmanya, il fonde avec son pÚre Abdon Sennen Casso[15] assisté de l'instituteur du village, René Horte, un réseau de résistance dénommé Sainte Jeanne[16] - [17]. Abdon Robert est élu maire de Valmanya en 1941[18]. Les missions qu'il exécute avec son épouse Jeanne pour les Forces Françaises de l'intérieur au grade de commandant, agent P2, et notamment pour le compte des réseaux Darius[19] puis Gallia[20] l'amÚnent à organiser un corridor d'évasion vers l'Espagne[21], et à transmettre aux Alliés des éléments stratégiques.

Aux commandes de sa formation, il mĂšne le l’attaque d’un dĂ©tachement Ă  MĂ©ziĂšres au cours de laquelle pas moins de 28 ennemis sont tuĂ©s et 4 sont faits prisonniers. Il interdit cependant Ă  ses hommes les actions de reprĂ©sailles et c’est aux forces amĂ©ricaines qu’il remettra ses prisonniers. Quelques jours plus tard, il s’empare de documents appartenant aux services de la Gestapo de Paris et d’OrlĂ©ans. Cette documentation donne en particulier des renseignements prĂ©cis sur l’usine d’assemblage du V1 que cache le tunnel de Rilly, les installations du camp de Mailly, l'un des quartiers gĂ©nĂ©raux de la Wehrmacht en France. Ces plans, bien que parcellaires, mentionnent la position de nombreux abris, le tracĂ© d’un tunnel, l’emplacement de postes de mitrailleuses, de DCA, et d'abris souterrains[22]. Ces documents sont transmis Ă  Londres par son Ă©pouse Jeanne[23], et contribueront entre autres Ă  ce que l'aviation alliĂ©e puisse bombarder abondamment le site de Rilly le [24] afin de dĂ©truire l'usine d'assemblage du V1.

À la suite d'une attaque menĂ©e sur la trĂ©sorerie de Prades par les maquisards FTP en , des opĂ©rations de reprĂ©sailles sont mises en Ɠuvre par l'ennemi contre la RĂ©sistance et notamment le village de Valmanya. Le , aprĂšs avoir Ă©tĂ© repoussĂ©s dans un premier temps par les maquisards, le village est entiĂšrement incendiĂ©[25], des habitants n'ayant pu fuir sont torturĂ©s et exĂ©cutĂ©s, et Abdon Sennen Casso, pĂšre d'Abdon Robert Casso, est fait prisonnier pour ĂȘtre ensuite dĂ©portĂ© au camp de Buchenwald.

Le , au cours d'une mission de renseignement, Abdon Robert Casso est touchĂ© au visage, aux genoux et Ă  l'Ă©paule par des Ă©clats de tirs d'un appareil de la Lufftwaffe Ă  proximitĂ© de Mont-Notre-Dame. Une fois rĂ©tabli, il demande Ă  intĂ©grer les troupes amĂ©ricaines en progression vers l'Est. GrĂące Ă  sa connaissance de la rĂ©gion, il accompagne la poussĂ©e amĂ©ricaine sur la Sarre et concourt Ă  la libĂ©ration de la ville de Metz. Poursuivant avec les Ă©lĂ©ments de tĂȘte, il est le premier officier français Ă  entrer avec les AlliĂ©s dans le camp de Buchenwald oĂč il a la surprise de retrouver son pĂšre, Abdon Sennen Casso, vivant. Celui-ci dĂ©cĂ©dera le dans son domaine familial de Valmanya des suites des mauvais traitements subis lors de sa dĂ©tention Ă  Buchenwald. DĂ©portĂ© Mort pour la France, il sera fait Chevalier de la LĂ©gion d'Honneur Ă  titre posthume[26].

Les faits et actions de résistance vaudront à Abdon Robert Casso une citation à l'ordre de l'Armée, avec attribution de la croix de guerre avec palme[27]. Abdon Robert Casso acquiert aussi la qualité de Français libre[28].

L'aprĂšs-guerre, les campagnes d'Indochine et d'AlgĂ©rie, et l'État major gĂ©nĂ©ral

De retour dans l'Armée aprÚs la Libération, il poursuit sa carriÚre d'officier avec le grade de capitaine, grade qui lui avait déjà été promis dÚs 1940 pour les qualités qu'il avait démontrées dans la construction de l'ouvrage de Rohrbach-lÚs-Bitche. Il participe à la reconstruction de la ville de Metz, et termine simultanément ses études pour devenir docteur Ús sciences (faculté des sciences de Paris) en 1948[29].

C'est ensuite au Tonkin que le commandant Casso poursuit sa carriĂšre de 1950 Ă  1954[13]. À la tĂȘte d'un bataillon du GĂ©nie puis chef d'Ă©tat-major du groupement opĂ©rationnel de la RiviĂšre Noire pendant deux ans, il se voit confier l'Ă©quipement dĂ©fensif du secteur d'HáșŁi PhĂČng et est l'un des artisans de la prise de HĂČa BĂŹnh, l'une des rares victoires françaises, et de la dĂ©fense de Na San[30] - [31].

Le commandant Casso est promu au grade d'officier de la LĂ©gion d'honneur le [32].

À son retour en France, il est affectĂ© Ă  l’État-Major gĂ©nĂ©ral de la DĂ©fense nationale au Service d'action psychologique.

EnvoyĂ© Ă  la tĂȘte du GĂ©nie de la rĂ©gion d'Alger en 1961, il contrĂŽle et inspecte les travaux engagĂ©s par les sapeurs chargĂ©s de relever des mines et ouvrir des itinĂ©raires, dĂ©tecter des constructions souterraines, grottes et caches, rĂ©aliser des pistes, et crĂ©er les installations qui protĂšgent le cĂąble sous-marin reliant Fort-de-l'Eau Ă  la mĂ©tropole. GriĂšvement blessĂ© des suites d'un attentat visant l’état-major du GĂ©nie d'Alger le , veille des Accords d'Evian, il est contraint de rentrer quelques mois plus tard en mĂ©tropole[33].

Le régiment et la brigade de sapeurs-pompiers de Paris

Insigne rĂšglementaire de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP)

En 1963, le colonel Casso se voit attribuer le commandement du RĂ©giment[34] de sapeurs-pompiers de Paris. C’est sous son impulsion que la zone d’intervention s’étendra dĂ©sormais aux dĂ©partements limitrophes de Paris, et que cette formation militaire se verra dotĂ©e d’une organisation taillĂ©e sur mesure pour gĂ©rer les grandes catastrophes et mener une meilleure conduite des interventions.

Sous son commandement, les premiÚres ambulances de réanimation entrent en action et les centres de formation se développent.

Abdon Robert Casso est nommé par le président de la République, Charles de Gaulle, général de ce qui devient en 1967 la brigade de sapeurs-pompiers de Paris[34].

Pendant son temps de commandement (1963-1970), il participe personnellement Ă  97 interventions, dont celle qui a permis de maĂźtriser l’un des plus grands incendies de l’histoire de la Brigade: l'incendie de la sociĂ©tĂ© des hydrocarbures de Saint-Denis, le (400 hommes mobilisĂ©s). Il a un rĂŽle stratĂ©gique dans les Ă©vĂ©nements de mai 1968 Ă  Paris ; son concours sera rĂ©clamĂ© Ă  cette occasion par l'ÉlysĂ©e.

Jusqu'en 1970, il adapte amplement la Brigade pour répondre à l'extension de la capitale et du bassin parisien. Il ouvre des centres de formation, et développe la politique de recrutement en faisant évoluer le statut des soldats du feu. Il participe aussi à la direction de nombreux chantiers directement liés à la sécurité et à la modernisation de Paris.

Le gĂ©nĂ©ral Casso laisse une trace importante aux soldats du feu en Ă©crivant l'Éthique du Sapeur-Pompier[35] qui doit ĂȘtre lue en caserne chaque semaine et apprise par cƓur par les nouvelles recrues de la Brigade.

Il est élevé au grade de commandeur dans l'ordre national de la Légion d'honneur en 1965[36].

Le général Casso passant en revue des troupes, 1967.

La retraite et la politique Ă  Paris

Atteint par la limite d'ùge pour ses fonctions militaires, il est nommé en 1970 maire du 17e arrondissement de Paris sur proposition du ministre de l'Intérieur. Il occupe cette fonction jusqu'en 1976.

Jouissant d'une certaine popularitĂ© dans la capitale, il se prĂ©sente aux Ă©lections lĂ©gislatives de 1978 dans le 19e arrondissement de Paris, mais est battu par Paul Laurent, candidat communiste. Il forme un recours devant le Conseil constitutionnel pour fraude Ă©lectorale, mais sa requĂȘte est rejetĂ©e, faute d'Ă©lĂ©ments probants suffisants[37].

Nommé expert prÚs la Cour de cassation en incendie explosion, il fonde un cabinet de conseil en sécurité incendie, repris et développé ensuite par son fils Jean-Marc Casso[38].

Le général Casso est élevé à la dignité de Grand Officier dans l'ordre national de la Légion d'honneur en 1993[39] dont les insignes lui sont remis au cours d'une cérémonie aux Invalides à Paris par le président de la République, François Mitterrand.

Les relations avec le général de Gaulle et sa famille

De la RĂ©sistance jusqu'au , des relations de proximitĂ© entre Abdon Robert Casso et la famille de Gaulle semblent exister. Parmi plusieurs personnalitĂ©s traversant clandestinement la frontiĂšre espagnole entre 1940 et 1945 par les PyrĂ©nĂ©es-Orientales, on compte Xavier de Gaulle, frĂšre du gĂ©nĂ©ral de Gaulle, et rĂ©sidant un moment Ă  Ille-sur-TĂȘt, et Roger de Gaulle, neveu du GĂ©nĂ©ral. Selon certaines sources, Abdon Robert Casso aurait participĂ© Ă  l'Ă©vasion vers l'Espagne de certains membres de la famille de Gaulle[5]. On retrouve aussi des invitations du couple Casso Ă  l'ÉlysĂ©e par le gĂ©nĂ©ral de Gaulle alors prĂ©sident de la RĂ©publique[40], ainsi qu'un document, dernier Ă©crit de la main du gĂ©nĂ©ral de Gaulle trois-quarts d'heure avant son dĂ©cĂšs le Ă  la Boisserie, mentionnant « gĂ©nĂ©ral Casso »[41]. L'Amiral Philippe de Gaulle qui rĂ©side depuis mars 2022 Ă  l'Institut national des invalides[42] continue d'entretenir des relations rĂ©guliĂšres avec la famille Casso[43].

Hommages

DĂ©corations

Abdon Robert Casso est titulaire de plus d'une centaine de décorations françaises et étrangÚres.

Principales décorations françaises

Principales décorations étrangÚres

Postérité

À la mort du gĂ©nĂ©ral Casso en 2002, le maire de Paris, Bertrand DelanoĂ«, prononce son Ă©loge funĂšbre au Conseil de Paris[46].

Plusieurs lieux ont été nommés en sa mémoire :

Son nom a également été utilisé dans l'enseignement supérieur :

Par ailleurs, en 2017, une exposition intitulĂ©e « Pompiers de Paris – Notre mission : Sauver », organisĂ©e Ă  l'hĂŽtel de ville de Paris, a prĂ©sentĂ© une vitrine d'effets personnels (costumes, kĂ©pi, dĂ©corations, accessoires) et des documents photo et vidĂ©o du gĂ©nĂ©ral Casso[53] - [54] - [55].

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Coordonnées GPS : 42.32042 N, 2.343878 E https://www.les-pyrenees-orientales.com/Patrimoine/MineDeLaPinouse.php
  3. HélÚne Legrais, Les herbes de la Saint Jean, Presses de la Cité, , 300 p. (ISBN 2258087600, lire en ligne)
  4. Source: famille Casso
  5. Source: famille Casso.
  6. Ensemble pour la Petite Enfance, « L'équipe » AccÚs libre, sur Ensemble pour la Petite Enfance (consulté le )
  7. Décret du Président de la République 31 décembre 2018. https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000037909697
  8. Legifrance, « Décision du 1er décembre 2021 portant inscription au tableau d'avancement pour l'année 2022 (armée active) » AccÚs libre, sur Legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  9. Source: Familles Rausch et Casso. La sƓur de Jeanne Hessemann, Claire Hessemann est la mùre de Jean-Marie Rausch.
  10. Interview de Jean-Marie Rausch - MosaikTV - 30 décembre 2014 - 10'00'' - https://www.youtube.com/watch?v=HON7OTrDkaU&t=466s
  11. « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie du capitaine Louis-Marie Remy (Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris), p. 4 », sur Amicale des anciens des sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le )
  12. « Fort Casso », sur Fort Casso (consulté le )
  13. Pierre Biais, Du feu Ă  l'incendie, Editions Publibook, , p. 252
  14. Georges Gaudron, Villes et villages dans la tourmente, 1939-1945, Impr. Municipale, , p. 174.
  15. Capturé par les troupes allemandes à Valmanya le 1er août 1944, Déporté Mort pour la France. Chevalier de la Légion d'Honneur à titre posthume. Sources: Valmanya#Histoire et https://aasppesvm.files.wordpress.com/2017/10/le-gal-casso-par-le-cne-remy-2017.pdf p. 14
  16. « Les anciens combattants de la résistance se souviennent », sur Journal L'Indépendant, (consulté le )
  17. Gérard Bonet, Les Pyrénées-Orientales dans la guerre: les années de plomb 1939-1944, FeniXX, , 176 p. (ISBN 9782402096034, lire en ligne)
  18. Maire de 1941 Ă  1944 puis de 1945 Ă  1947. Source: Valmanya#Histoire
  19. « Archives de la France combattante Dossiers individuels des agents des réseaux, p.76 », sur http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr, (consulté le )
  20. « Le général Casso, une vie au service de la France, Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (Brigade de Sapeurs-Pompiers de Paris) », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le ), p. 12
  21. Gérard Bonet, Les Pyrénées-Orientales dans la guerre : les années de plomb, 1939-1944, FeniXX, , 353 p. (ISBN 9782402096034, lire en ligne), p. 249
  22. « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP). p.12 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
  23. « Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP), p.11 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
  24. « L'histoire du tunnel de Rilly-la-Montagne », sur rilly-la-montagne.fr, (consulté le )
  25. Jean-Luc Bobin, « Valmanya : le village martyr de la RĂ©sistance catalane commĂ©more la tragĂ©die », L'IndĂ©pendant,‎ (lire en ligne)
  26. « Base Léonore -Archives nationales - Dossier : 19800035/615/69355 », sur Archives nationales, (consulté le )
  27. « Le général Abdon Robert Casso », sur Mairie de Valmanya (consulté le )
  28. « Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris) p. 16 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le )
  29. Contribution à l'étude des précipitations diluviennes et des glissements de terrain en Roussillon Paris, 1948 (thÚse à la Faculté des SCiences de Paris).
  30. « Le rĂŽle dĂ©terminant de la logistique Ă  Na San: l’action du Colonel Gilles », sur PensĂ©e mili-terre - centre de doctrine et d'enseignement du commandement., (consultĂ© le )
  31. Abdon Robert Casso, « Na San. AĂ©rodrome retranchĂ©. », Revue du gĂ©nie militaire, Paris, Berger-Levrault, 55e annĂ©e,‎ , p. 187-200
  32. « Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP). p.24 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
  33. « Le Général Casso, une vie au service de la France, biographie par le Capitaine Louis-Marie REMY, BSPP, p. 25 à 27 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
  34. Régiment depuis le décret impérial du 5 décembre 1866. Source: Brigade de sapeurs-pompiers de Paris#Histoire
  35. « Éthique du sapeur-pompier de Paris », sur pompiersparis.fr (consultĂ© le )
  36. Décret du 26 février 1965. Source: JORF.
  37. « Décision 78-848 AN - 07 juin 1978 - A.N., Paris (29e circ.) - Rejet », sur Legifrance, (consulté le )
  38. « Cabinet Casso et associés », sur cassoetassocies.com (consulté le )
  39. Source: DĂ©cret du 23 mars 1993 - LĂ©gifrance - https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000543956&categorieLien=id
  40. Source: archives du Général de Gaulle, Président de la République 1959-1969 - Archives nationales - 2012 - p.114 et 139 https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/consultation/ir/pdfIR.action?irId=FRAN_IR_027940
  41. Philippe de Gaulle, De Gaulle, Plon, (ISBN 2-259-01988-9), p. 148
  42. Catherine Nay, « À bientĂŽt 101 ans, l’amiral Philippe de Gaulle se confie au JDD : « Ça n’a pas Ă©tĂ© drĂŽle d’ĂȘtre le fils du GĂ©nĂ©ral » », Le Journal du Dimanche,‎ (lire en ligne AccĂšs libre)
  43. Source: Gérard Casso, bénévole aux Invalides.
  44. « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP), p.3 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris (consulté le )
  45. « Le Général Casso, une vie au service de la France. Biographie par le Capitaine Louis-Marie Remy (BSPP). p.21 », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris. (consulté le )
  46. « Conseil municipal - débats des 18 et 19 mars 2002 », sur paris.fr, (consulté le )
  47. « Le Général Casso mis à l'honneur à Paris », sur opex360.com (consulté le )
  48. « Cérémonie d'inauguration Esplanade Général Casso », sur Amicale des anciens sapeurs-pompiers de Paris, (consulté le )
  49. « Institut des Sciences et des Risques Robert Casso », sur Orange (consulté le )
  50. « Inauguration de l'Institut des Sciences et des Risques Robert Casso », sur Chambre de commerce et d'Industrie d'AlÚs Cévennes (consulté le )
  51. Source: État-major de l’École spĂ©ciale militaire de Saint-Cyr.
  52. « Hommage: la promotion Général Casso », sur allo18-lemag.fr, Sapeurs-Pompiers de Paris, (consulté le )
  53. « Exposition Pompiers de Paris », sur quefaire.paris.fr, (consulté le )
  54. « L’HĂŽtel de Ville accueille l’exposition « Pompiers de Paris - Notre mission : Sauver » », sur pompiersparis.fr, (consultĂ© le )
  55. « Blog de Véronique HAMEL, reporter », sur http://professionlavie.blogspot.com, (consulté le )

Voir aussi

ƒuvres

  • Contribution Ă  l'Ă©tude des prĂ©cipitations diluviennes et des glissements de terrain en Roussillon, thĂšse, Paris, 1948, FacultĂ© des Sciences de Paris
  • Gibernes, propos de popote, Ă©ditions La PensĂ©e universelle, 1994, (ISBN 978-2-214-09834-9), 122 p.

Bibliographie

  • Pierre Biais, Du feu Ă  l'incendie, Editions Publibook, (lire en ligne), p. 252-255

Articles connexes

Liens externes

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