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Vieux-Port de La Rochelle

Le Vieux-Port est le plus ancien port de La Rochelle et le cœur historique de cette ville de Charente-Maritime (Nouvelle-Aquitaine). La tour de la chaîne et la tour Saint-Nicolas gardent l'entrée de ce port médiéval.

Vieux-Port de La Rochelle
Le Vieux-Port de La Rochelle, bassin d'Ă©chouage
Présentation
Type
Construction
Port depuis le XIIIe
Quais du XVIIIe - XIXe siècles
Statut
Activités
Passeur et Bus de mer électro-solaire pour accès à la médiathèque et au Port des minimes
Places
320 places dont 70 visiteurs
Équipement
1 élévateur mobile (charge maxi 150 t.)
GĂ©ographie
Coordonnées
46° 09′ 26″ N, 1° 09′ 09″ O
Pays
RĂ©gion
DĂ©partement
Commune (France)
Carte

C'est grâce à ce port que La Rochelle prit de l'importance durant la Guerre de Cent Ans, puis avec la découverte et exploration de l'Amérique.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le Vieux-Port de La Rochelle a drainé plus de la moitié du trafic colonial vers la Nouvelle-France.

Situation géographique

Approche nautique

Le chenal d'accès au Vieux-Port est dragué à la côte -0,50 mètre depuis la tour de Richelieu.

C'est au Vieux-Port de La Rochelle que se termine le canal de Marans Ă  La Rochelle.

Histoire

Le port primitif

Illustration du port primitif, défendue par le Château Vauclair, Émile Couneau, La Rochelle disparue, 1904

Le port primitif[1] de La Rochelle se situait sur le cours d'eau de Lafond, jusqu'au niveau du château Vauclair (actuellement place de Verdun). Ce port fut rapidement saturé et victime de ses défauts (faible tirant d'eau, accès et manœuvre difficile, envasement), il ne répondait plus à l'augmentation des capacités des navires et du fret (vin et sel). L'entrée du port était défendue par la tour du Garrot (intégrée aujourd'hui à la tour de la Lanterne).

  • Il fut dĂ©cidĂ© de creuser un nouveau port.

Le port après le Siège.

  • Lors de la reddition de la ville, Ă  la suite de l'Ă©pisode du grand siège, Louis XIII ordonne la dĂ©molition de l'ensemble des fortifications Ă  l'exception du front de mer.
  • En , La Rochelle, dĂ©pouillĂ©e de ses fortifications cĂ´tĂ© terre, est vulnĂ©rable Ă  une attaque venant des ennemis que le Roi Louis XIV avait liguĂ© contre lui. Pour parer au danger, le conseil du Roi, sous l'influence sans doute de Louvois, ne trouve pas de meilleur remède que de raser La Rochelle et de combler son port. Heureusement pour la ville, le marĂ©chal de Lorges, Ă  qui le roi avait confiĂ© le commandement des cĂ´tes entre la Loire et la Garonne, secondĂ© par François Ferry, ingĂ©nieur gĂ©nĂ©ral des provinces entre la Loire et les PyrĂ©nĂ©es, protesta contre ce projet sauvage, en s’engageant Ă  mettre La Rochelle en Ă©tat de dĂ©fense dans un court dĂ©lai et sans de grandes dĂ©penses[2].

La traite négrière dans le Vieux-Port de La Rochelle.

Le port de La Rochelle a joué un rôle important dans la traite négrière. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, l’activité économique de La Rochelle est en grande partie liée à l’activité du port de commerce. Tout le tissu professionnel de la ville participe à l'économie du port. Les notaires, les greffiers, les commissaires du Roi, ou bien encore, les employés de la chambre de commerce, participent activement à l’administration de la négoce. La traite négrière donne du travail aux chantiers navals. En effet, il faut plusieurs centaines de matelots sur le navire, mais aussi des crocheteurs, des voituriers ou des portefaix sur le port. C’est pourquoi l’argent du trafic négrier a probablement irrigué chaque rue du port de La Rochelle au XVIIIe siècle.

Les tableaux de la chambre du commerce récapitulant la situation du commerce de la traite des Noirs entre 1783-1785, dans plusieurs ports principaux du royaume de France démontrent l’intensité du commerce mené à La Rochelle. En 1784, sur 52 expéditions 13 navires sont partis de La Rochelle, situant le port derrière le port de Nantes, avec 20 expéditions, et celui du Havre avec 16 expéditions, mais sur les 13 expéditions mené depuis La Rochelle, la totalité des navires ont contribué à l’importation d’esclaves aux colonies. Les expéditions négrières partant du Vieux-Port de La Rochelle duraient généralement entre huit mois et deux ans. La majeure partie de la durée de l’expédition se consacrait uniquement à l’achat des esclaves.

Le réseau capitaliste au XVIIIe siècle liait les Rochelais à Paris, Bordeaux, Nantes, Bayonne, Rouen, l’Angleterre, les Provinces-Unies et l’Espagne. Ce brillant démarrage avait été interrompu par Louis XIII qui avait retiré au port ses privilèges fiscaux après le siège de 1628. Pendant une quarantaine d’années, on ne vit plus l’intérêt d’utiliser un port mal relié avec l’intérieur du pays. Cependant, en 1664, les Rochelais rétablirent la situation en acceptant la proposition des cinq grosses fermes de Colbert. Grâce à cet accord, tous les droits de douane disparaissaient entre Anjou, Touraine, Berry, l’Île-de-France, Poitou et Aunis. Cela suscita la jalousie des voisins du Vieux-Port de La Rochelle, puisqu’à l’époque, c’était le seul port à connaître ce régime sur la côte atlantique. Les voisins n’hésitèrent pas à parler de monopole en temps de guerre. Cependant, les Anglais ne se souciaient pas des régimes fiscaux, à l’époque, pour bloquer les ports. Mais, lorsqu’il faut question de transformer Saint-Malo en port franc en 1758, la chambre de commerce retourna l’argument contre son concurrent en prétendant que la “seule exemption du droit de fret écarterait pour jamais de nos ports tous les vaisseaux étrangers (...). Le port franc est de tous les privilèges le plus destructif, il ruine tout ce qui l’environne.”

Malgré tout, on ne peut réduire la prospérité rochelaise à un artifice fiscal. Le site vivait en harmonie avec ses campagnes, riches en vins et en céréales, et avec la côte, tapissée de marais salants.

Opération de drague du havre, mars 2012.

Évolution du port à partir de la fin du XVIIIe siècle.

  • Le , une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de commerce dĂ©cide d'importants travaux pour sauver le vieux port de l'envasement[3]. Le mal Ă©tait tel, vers 1730, que M. de TignĂ©, directeur du gĂ©nie, disait dans un mĂ©moire qu'Ă  peine pouvait-il y rentrer des navires de 50 Ă  60 tonneaux. Le Cardinal de Fleury s'Ă©tait enfin dĂ©cidĂ©, peu de temps après, Ă  envoyer 1 500 soldats pour le curer, et de grands travaux avaient Ă©tĂ© faits dans le but de limiter l'envasement. On avait perfectionnĂ© l'Ă©cluse de chasse du canal de Maubec, resserrĂ©s et revĂŞtus de pierre les cĂ´tĂ©s de ce canal, abattu le vieux pont de Saint-Sauveur, qui brisait la force du courant, et Ă©tabli dans l'avant-port un système de fascinage, qui s'Ă©tendait jusqu'Ă  une assez grande distance en mer. Mais tous ces travaux ne purent vaincre le flĂ©au de l'envasement. Des opĂ©rations de cures furent de nouveaux entrepris.
Vue du vieux port depuis l'Ă©glise Saint-Sauveur, 1906.
  • le , un "Raz de marĂ©e comme aucun marin ne se rappelle en avoir vu. Tout Ă  coup la mer monta dans le port de dix-huit pouces et refluoit avec tant de violence qu'elle a couvert les jetĂ©es de l'avant port, qui Ă©toient Ă  plus de huit pieds au-dessus du niveau de la pleine mer. Ce n'Ă©toit point des vagues, c'Ă©toit vraiment un soulèvement de la mer ; car toute la surface paraissoit ĂŞtre Ă  cette hauteur. Elle auroit passĂ© par dessus les quais, si l'entrĂ©e rĂ©trĂ©cie des deux tours ne s'y Ă©toit opposĂ©e ; mais il y avoit entre les tours un courant Ă©gal Ă  celui d'une Ă©cluse ouverte, ce qui a occasionnĂ© un ressac si considĂ©rable que tous les bâtiments, qui Ă©toient dans le port, ont cassĂ© leurs amarres. Cinq minutes après, la mer a baissĂ© avec autant de rapiditĂ© qu'elle avoit montĂ©. Elle grondaoit dehors avec un bruit considĂ©rable. Les vents est-sud-ouest souffloient avec assez de force mais sans ĂŞtre trop violents"[4]
  • , dĂ©marrage des travaux de dĂ©senvasement. On enleva la vase et les pierres qui menaçaient de combler le port. On Ă´ta environ cinq pieds de hauteur. Les travaux durèrent jusqu'en [5].
  • Construction des quais du bassin d'Ă©chouage de 1786 Ă  1856[6].
  • , NapolĂ©on et l'ImpĂ©ratrice JosĂ©phine visitèrent notamment le port, le chantier de construction, le bassin Ă  flot, la jetĂ©e.

Au cours du XIXe et du XXe siècle, le havre est occupé par la flottille des bateaux de pêche avant leur déménagement en 1994 au Port de pêche de Chef de Baie. De nos jours, le havre est occupé par des navettes de transport et par des voiliers.

Le havre d’échouage est un site classé par arrêté du [7] - [8] - [9].

  • DĂ©part du paquebot cĂ´tier l'«Express» pour l'ĂŽle de RĂ©, 1930.
    Départ du paquebot côtier l'«Express» pour l'Île de Ré, 1930.
  • Des fileyeurs amarrĂ©s dans le bassin d'Ă©chouage du port de La Rochelle, juin 1986.
    Des fileyeurs amarrés dans le bassin d'échouage du port de La Rochelle, .
  • Bateaux de plaisance Ă  leur emplacement de ponton dans le bassin d'Ă©chouage du port de La Rochelle, 2009.
    Bateaux de plaisance Ă  leur emplacement de ponton dans le bassin d'Ă©chouage du port de La Rochelle, 2009.
  • Bateaux Ă©lectrosolaires dans le port de La Rochelle, 2009.
    Bateaux Ă©lectrosolaires dans le port de La Rochelle, 2009.

Le vieux port a accueilli par deux fois une compĂ©tition de plongeon extrĂŞme[10]. L'Ă©vènement a rassemblĂ© plus de 40 000 spectateurs au pied de l’édifice en 2009. La compĂ©tition consiste Ă  rĂ©aliser des plongeons depuis la tour Saint-Nicolas.

SĂ©ries du championnat du monde 2010 de plongeon extrĂŞme Ă  La Rochelle, France.

Le bassin Ă  flot

Le bassin Ă  flot, 2008

À partir de 1778, sous la direction des ingénieurs Leclerc et Lescure de Bellerive, fut entrepris le creusement du bassin à flot intérieur, dans l'étrier dit de la Petite-Rive. Sa mise en service ne se fera qu'en 1808.

Le bassin des chalutiers

Le Bassin des Chalutiers du Port de La Rochelle avant sa transformation en bassin de plaisance. juillet 1995. À noter le bâtiment en arrière-plan à la place de l'aquarium actuel.

Au cours du XIXe siècle, le havre est occupé par la flottille des voiliers de pêche et le bassin intérieur par des petits caboteurs. Le vieux port devenant trop étroit pour accueillir les navires de commerce, on décide en 1862 de creuser le bassin extérieur, dont l'emplacement se situe au-delà des fortifications. En forme de « L » inversé, ce port a un accès direct au Canal de Rompsay et au réseau ferroviaire. Une porte-écluse permet d'accéder à marée haute au chenal et un pont tournant permet la communication entre Le Gabut et La ville en bois.

Avec la mise en service du Port de La Pallice, les navires de commerce quittent peu à peu le bassin. L'emplacement est rapidement occupé par les chalutiers grâce à la construction de cinq pêcheries par la chambre de commerce, en 1923.

En 1935, le pont tournant est remplacé par un pont basculant. Ce pont est toujours en service aujourd’hui.

Des chalutiers de pêche industrielle en souffrance amarrés dans le bassin des chalutiers du port de La Rochelle. Été 1977.

Dès la fin de la guerre, la pêche industrielle reprend de plus belle, et, comme après celle de 14-18, les premières années sont fastes. Les fonds se sont reconstitués et le poisson est abondant. Les nouveaux chalutiers de 38 mètres à 45 mètres sont équipés de moteurs diesel. Les tonnages montent.

Après la Seconde Guerre mondiale, pour répondre au nouvel essor du secteur de la pêche, on entreprend la construction d'un nouvel encan, qui sera mis en service en 1953.

En 1994, on inaugure le Port de pêche de Chef de Baie, où est transféré l'ensemble de la filière pêche.

Ce transfert permet une reconversion du bassin en port de plaisance. L'ancien encan est transformé en centre de conférences et accueille le musée maritime, dont une partie des bateaux (France 1) occupe déjà une place dans le bassin. Il voit également l'implantation du nouvel aquarium. Ce nouvel élan permet la concentration d'une importante industrie nautique tournée vers la plaisance.

Le bassin est le lieu privilégié pour accueillir les courses nautiques. Il accueille la Calypso qui subit une longue agonie de 1998 à 2007. À la suite de différends juridiques, le bateau fut laissé à l'abandon au fond du bassin des chalutiers.

Pont levant du Gabut

Entrée du bassin avec l'écluse et pont basculant, 2006.

Le pont levant du Gabut ou "Pont Sherzer", du nom de l'ingénieur qui l'a conçu est un ouvrage de type « basculant/levant roulant »[11].

En 1935, on décide de remplacer le pont tournant par un pont levant. Le pont levant pivote comme un pont-levis, sur un axe transversal. À l'arrière de cet axe, deux arcs dentés sont reliés à d'énormes contrepoids et lèvent la volée en roulant sur leur crémaillère. Construit pour le port de Marseille en 1927 par l'entreprise Fivellile, l'ouvrage est transporté à La Rochelle par la mer en 1936, avant d'être remonté. L'ouvrage métallique mobile, une fois levé, permet de libérer un passage de 16,50 m.

L'ouvrage vieillissant, on décide une restauration complète en 2004. Le temps faisant son œuvre, les pièces métalliques ont fini par se souder entre elles si bien que le temps de dépose a été plus long que prévu. La charpente de métal, les rivets frappés à chaud et le mécanisme sont rénovés. On en profite pour mettre en place un éclairage qui met le pont en valeur à la nuit tombée. Entièrement rénové il est officiellement inauguré le vendredi .

Il fait Ă  nouveau l'objet d'une restauration en profondeur en 2020, dans la suite de celle de 2005[12].

Galerie d'images du bassin des chalutiers

  • Photographie du MusĂ©e maritime depuis la tour Saint-Nicolas.
    Photographie du Musée maritime depuis la tour Saint-Nicolas.
  • La Calypso en avril 1999.
    La Calypso en .
  • La Calypso en septembre 2006.
    La Calypso en .
  • Le voilier Tahia amarrĂ© dans le Bassin des Chalutiers au port de La Rochelle.
    Le voilier Tahia amarré dans le Bassin des Chalutiers au port de La Rochelle.
  • Le Bassin des Chalutiers, lors d'un salon nautique.
    Le Bassin des Chalutiers, lors d'un salon nautique.
  • Voilier situĂ© sur le plateau nautique.
    Voilier situé sur le plateau nautique.
  • Le Temenos ancrĂ© au bassin des chalutiers.
    Le Temenos ancré au bassin des chalutiers.
  • La goĂ©lette Atlantic sortant du bassin des chalutiers pour accĂ©der au chenal.
    La goélette Atlantic sortant du bassin des chalutiers pour accéder au chenal.
  • La frĂ©gate Hermione sortant du bassin des chalutiers pour accĂ©der au chenal.
    La frégate Hermione sortant du bassin des chalutiers pour accéder au chenal.

Infrastructures portuaires

Grue de manutention

Le Vieux-Port est composé de trois bassins offrant 18 appontements et 320 places (dont 70 pour les visiteurs) :

  • Le bassin du havre d’échouage : 4 appontements, 115 places (dont 40 pour les visiteurs), emplacements draguĂ©s Ă  -1 mètre, longueur maximale de 12 mètres ;
  • Le bassin des chalutiers : creusĂ© en 1862 et fermĂ© par une Ă©cluse Ă  marĂ©e basse, il prĂ©sente une forme en "L" et permet l'accueil des navires du MusĂ©e Maritime ainsi que tout navire, de 17 Ă  90 mètres, largeur jusqu’à 16 mètres, tirant d’eau maximal de 5 mètres sur 4 appontements ;
  • Le bassin Ă  flot: le plus petit des trois, jouxtant les quartiers Saint-Nicolas et du Gabut et Ă©galement fermĂ© par une Ă©cluse Ă  marĂ©e basse. Il y a 5 appontements (90 places) oĂą peuvent s'amarrer des navires de tirant d'eau de 4 mètres, d'une longueur maximale de 14 mètres et une largeur maximale de 12 mètres, avec un seuil Ă  l’entrĂ©e de 1 mètre.

Galerie de photos

  • Panorama du bassin d'Ă©chouage
    Panorama du bassin d'Ă©chouage
  • EntrĂ©e du Vieux-Port cĂ´tĂ© mer.
    Entrée du Vieux-Port côté mer.
  • EntrĂ©e du Vieux-Port cĂ´tĂ© ville.
    Entrée du Vieux-Port côté ville.
  • Tour Saint-Nicolas.
  • Tour de la ChaĂ®ne.
  • Grosse Horloge.
  • Le Vieux-Port vue de la Tour de la ChaĂ®ne.
    Le Vieux-Port vue de la Tour de la Chaîne.
  • Église Saint-Sauveur vue depuis le Vieux-Port.
    Église Saint-Sauveur vue depuis le Vieux-Port.
  • Écluse du canal de la Rochelle.
    Écluse du canal de la Rochelle.
  • L'entrĂ©e du vieux port marquĂ©e par la tour Saint-Nicolas et la tour de la ChaĂ®ne.
    L'entrée du vieux port marquée par la tour Saint-Nicolas et la tour de la Chaîne.

Ouvrages liés au Vieux-Port de La Rochelle

Philatélie

  • En 1930, sort en France le 1er timbre intitulĂ© : Port de la Rochelle d'une valeur de 10 f. Il est annoncĂ© bleu. Toutefois, on connaĂ®t ce timbre chaudron clair, brun-noir et outremer vif. Ces variĂ©tĂ©s sont très recherchĂ©es[13].
  • En 1970, dans une sĂ©rie sur l'histoire de France, Richelieu est reprĂ©sentĂ© devant le port[14].
  • En 2008, c'est un timbre de 55 centimes d'euro qui reprĂ©sente le Vieux-Port, les Tours Saint-Nicolas et de la ChaĂ®ne[15] - [16].

Notes et références

  1. « Port - Dossier inventaire », notice no IA17000233, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Jourdan : Éphémérides historiques de la Rochelle, p. 97.
  3. Jourdan : Éphémérides historiques de la Rochelle, p. 396.
  4. Extrait de Jourdan : Éphémérides historiques de la Rochelle, p. 323.
  5. Jourdan : Éphémérides historiques de la Rochelle, p. 3.
  6. « Plan des quais construits de 1786 à 1856, dessin par L'Evêque », Base inventaire (culture.gouv.fr).
  7. Fichier national des sites classés.
  8. Carte dynamique régionale de Poitou-charentes.
  9. RAPPORT DE PRÉSENTATION Z.P.P.A.U.P., 2009 « Copie archivée » (version du 2 juin 2013 sur Internet Archive).
  10. Red Bull Cliff Diving World Series.
  11. Fiche sur le site Structurae.
  12. « La Rochelle : le pont du Gabut totalement démonté pour une rénovation totale », sur France Bleu, (consulté le )
  13. Timbre Port de la Rochelle.
  14. Timbre Richelieu.
  15. La Rochelle Le Journal, voir page 17 - FĂ©vrier 2008 [PDF].
  16. Timbre le Vieux-Port.

Voir aussi

Bibliographie

  • RĂ©mi BĂ©raud, Petite EncyclopĂ©die Monumentale et Historique de La Rochelle, Édition RUPELLA,
  • Claude Masse, Recueil des plans de La Rochelle, Édition RUPELLA,
  • Emile Couneau, La Rochelle disparue, (en ligne (Gallica) : )
  • Jourdan, ÉphĂ©mĂ©rides historiques de la Rochelle, A.SIRET, , 595 p. (lire en ligne)
  • Amos Barbot, Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, vol. XIV, Éditions Picard, (lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

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