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Vicq-sur-Mer

Vicq-sur-Mer[1] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 064 habitants[Note 1].

Vicq-sur-Mer
Vicq-sur-Mer
Le bourg de Cosqueville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Richard Leterrier
2020-2026
Code postal 50330
Code commune 50142
DĂ©mographie
Gentilé Vicquois
Population
municipale
1 064 hab. (2020)
DensitĂ© 52 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 41â€Č 42″ nord, 1° 24â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 85 m
Superficie 20,58 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Val-de-Saire
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Vicq-sur-Mer
Liens
Site web vicq-sur-mer.fr

    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 965 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 919,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă  17 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Vicq-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[21] - [22].

    Toponymie

    Le toponyme Vicq-sur-Mer est officiellement créé le au moment de la création de la commune.

    Le nom de la commune nouvelle est issu d'une consultation des habitants[23]. Soixante-cinq personnes, habitant les communes consultées, ont déposé leurs propositions dans une urne entre le et le . Les vingt-neuf élus des quatre communes concernées se sont réunis lors d'une séance publique pour choisir le nom de la commune nouvelle. Trois propositions ont été retenues : Cotensaire, CÎteville-en-Saire et Vicq-sur-Mer. AprÚs avoir procédé au vote entre les deux derniÚres propositions, et avec un total de dix-neuf voix, c'est le nom Vicq-sur-Mer qui a été finalement choisi, privilégiant la référence à un hameau existant. En effet, le nom de la commune nouvelle reprend le microtoponyme Vicq qui est celui d'un hameau situé sur la cÎte de Cosqueville.

    Le microtoponyme Vicq dĂ©signe Ă  l'origine la plage situĂ©e dans une anse, mais a aussi donnĂ© son nom Ă  un rocher situĂ© au large : Le Vicq[24]. Il remonte Ă  l'ancien scandinave vĂ­k « baie Â»[24], « anse Â». GĂ©nĂ©ralement, -vic ou -vy (variantes -vie, -vouy, -ouy) est employĂ© comme deuxiĂšme Ă©lĂ©ment d'un composĂ© toponymique cf. BrĂ©vy, Plainvic, Sylvie, etc. Ils sont trĂšs nombreux dans le Cotentin, mais beaucoup moins frĂ©quents ailleurs en Normandie, et en dehors de la rĂ©gion, inexistants. L'ancien normand wic, vic a Ă©galement donnĂ© le diminutif viquet « petite porte, cachette, recoin, guichet Â», d'oĂč guichet en français[25]. Le Viquet est aussi un toponyme de la commune de Coudeville-sur-Mer.

    Homonymie avec la plage de VĂ­k en Islande. En revanche, l'homophonie avec les autres Vicq, Vic de France est fortuite, puisque dans ce cas, il s'agit du mot roman vic « bourg, village Â», issu du latin vicus.

    Histoire

    Les quatre communes déléguées.

    La commune est créée le par la fusion de quatre communes Cosqueville, Gouberville, Néville-sur-Mer et Réthoville, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales.

    Le statut de commune déléguée est supprimée en par décision du conseil municipal[26].

    Politique et administration

    En attendant les élections municipales de 2020, le conseil municipal réunit l'ensemble des conseillers en date de 2015.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    8 janvier 2016 En cours Richard Leterrier[27] Préparateur DCNS

    DĂ©mographie

    Liste des communes
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (derniÚre pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Cosqueville
    (siĂšge)
    50142CC de Saint-Pierre-Église10,90591 (2018)54


    RĂ©thoville50432CC de Saint-Pierre-Église3,43132 (2018)38
    NĂ©ville-sur-Mer50375CC de Saint-Pierre-Église3,46194 (2018)56
    Gouberville50211CC de Saint-Pierre-Église2,79121 (2018)43

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2020, la commune comptait 1 064 habitants[Note 9], en augmentation de 5,14 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    2014 2015 2016 2017 2020
    1 0121 0201 0271 0331 064
    (Sources : Insee Ă  partir de 2014[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • Église Notre-Dame de Cosqueville, d'origine romane, dont le clocher date du XVe siĂšcle. Le chƓur d'origine a Ă©tĂ© dĂ©moli en 1770, de mĂȘme que l'autel, lors de la RĂ©volution. L'une de ses chapelles anciennement dĂ©diĂ©e Ă  saint Fiacre a Ă©tĂ© rebaptisĂ©e chapelle de la Sainte-Vierge. L'autre de ses chapelles, Ă  l'origine dĂ©diĂ©e Ă  sainte Anne, est la chapelle Saint-Jean. Des cinq cloches de l'Ă©glise qui dataient de 1770 n'en subsiste qu'une seule, les quatre autres ayant Ă©tĂ© emmenĂ©es Ă  Cherbourg Ă  la RĂ©volution[29].
    • Église Saint-Martin ; elle abrite trois statues (saint Jacques, sainte Catherine, la Vierge) qui sont protĂ©gĂ©es au titre des monuments historiques[30].
    • La Vierge de la Fourche aux Loups.
    • L'Ă©glise Notre-Dame du XIIIe siĂšcle est inscrite aux Monuments historiques[31]. Il ne reste actuellement de l'ancienne Ă©glise de Gouberville que le pignon ouest avec le portail et la fenĂȘtre, la base de la tour et les trois fenĂȘtres du chevet[32]. D'aprĂšs M. du Moncel, ces ouvertures remontent Ă  la premiĂšre moitiĂ© du XIIIe siĂšcle. Depuis, tout a Ă©tĂ© remaniĂ© ou reconstruit sous les diffĂ©rents curĂ©s qui se sont succĂ©dĂ©.
    • Église Notre-Dame de Cosqueville.
      Église Notre-Dame de Cosqueville.
    • Église Saint-Blaise d'Angoville-en-Saire.
      Église Saint-Blaise d'Angoville-en-Saire.
    • Église Saint-SĂ©bastien de Vrasville.
      Église Saint-SĂ©bastien de Vrasville.
    • Église Saint-Martin de RĂ©thoville.
      Église Saint-Martin de RĂ©thoville.
    • Église Saint-Martin-et-Sainte-TrinitĂ© de NĂ©ville-sur-Mer.
      Église Saint-Martin-et-Sainte-TrinitĂ© de NĂ©ville-sur-Mer.
    • Église Notre-Dame de Gouberville.
      Église Notre-Dame de Gouberville.

    Patrimoine civil

    Le moulin de la Coudrairie.
    Le manoir de Herclat.
    • Moulin de la Coudrairie, appelĂ© aussi moulin de Marie Ravenel, puisque c'est ici que travaillait la poĂ©tesse. Le moulin a Ă©tĂ© restaurĂ© en 1999.
    • Manoir de Herclat (XVIe dĂ©but XVIIe siĂšcle), inscrit au titre des monuments historiques depuis le [33] (famille Thomas, sieur de Herclat, installĂ©e vers 1550, capitaines garde-cĂŽtes, liĂ©e aux Goubeville puis famille de Beaudrap puis Dumoustier de Canchy jusqu'en 1978).
    • Fortin de la guerre de Sept Ans[34].
    • Le manoir, du XIIe siĂšcle, autrefois entourĂ© de douves, dont il subsiste une tourelle[35].
    • La motte fĂ©odale, situĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©glise dans un champ dit le Clos-Ă -BƓuf[36].
    • La Maison de Cosqueville appelĂ©e le chĂąteau, construit en 1751. En 1912, elle a Ă©tĂ© agrandie, notamment d'une tourelle[37].
    • Les quatorze puits communaux, propriĂ©tĂ©s privĂ©es, sont surveillĂ©s par l'association Transmission des Cultures et du Patrimoine[38].
    • ChĂąteau (1853).

    Patrimoine naturel

    • Le littoral de la commune de Gouberville (Bucaille, Hennemare) et l'Ă©tang de Gattemare font partie du site d'importance communautaire Caps et marais arriĂšre-littoraux de la pointe de Barfleur au cap LĂ©vi proposĂ© au rĂ©seau Natura 2000[39]. Notons l'origine scandinave des noms du littoral : Hannimara "mer de Hanni" > Hennemare, Gattomara "mer de Gatto" > Gattemare.
    • Le marais de RĂ©thoville.
    • Le jardin de Cosqueville.
    • La pointe du rocher de Tabot ou pointe du rocher au Pique, connue comme lieu de naufrage.
    • RiviĂšre de la CoupliĂšre (se jette dans Gattemare).
    • Fontaine Babillette.
    • Fontaine Saint BenoĂźt.

    Personnalités liées à la commune

    • Gilles de Gouberville (1521-1578), auteur d'un "livre de raison", dĂ©crivant la vie d'un hobereau Ă  la fin de la Renaissance
    • Marie Ravenel, meuniĂšre et poĂ©tesse, nĂ©e au moulin de la Coudraie (1811-1893).
    • Sophie Massieu, journaliste et animatrice tĂ©lĂ©, originaire de RĂ©thoville[40].
    • Le commandant Pugnet, connu pour avoir Ă©tĂ© le premier commandant du paquebot Normandie, a habitĂ© Cosqueville[41].
    • Jean-Baptiste Michel Pontus, nĂ© au manoir de Herclat Ă  NĂ©ville-sur-Mer le et dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Paris le , prĂȘtre dans l'ordre religieux des Sulpiciens et vicaire de Saint-Sulpice Ă  Paris Ă  partir de 1788. Il refuse de prĂȘter serment Ă  la constitution civile du clergĂ© et est massacrĂ© le . Il est bĂ©atifiĂ© le par le pape Pie XI[42].
    • Charles Omond, nĂ© le Ă  NĂ©ville-sur-Mer et dĂ©cĂ©dĂ© le Ă  Saint-Servan (Saint-Malo). Il est le septiĂšme fils d'une famille de dix garçons. Fils de Louis Auguste Xavier Omond et de Marie Aimable Rosalie Dodeman. OrdonnĂ© prĂȘtre le . Il fut successivement professeur Ă  Saint-LĂŽ, vicaire Ă  Villedieu-les-PoĂȘles (le ), administrateur de PrĂ©cey, Crollon (le ), curĂ© de Montpinchon (le ), curĂ©-doyen de Canisy (le ), curĂ© de RegnĂ©ville-sur-Mer et administrateur de Grimouville et Urville (le ), aumĂŽnier de la maison des Petites sƓurs des pauvres de Granville (le ). AutorisĂ© Ă  prendre sa retraite le , il rĂ©side chez les Petites SƓurs des Pauvres Ă  Saint-Servan, oĂč il dĂ©cĂšde. Il repose au cimetiĂšre de NĂ©ville-sur-Mer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Commune nouvelle. Vicq-sur-Mer est née
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Vicq-sur-Mer et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Vicq-sur-Mer et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    13. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    14. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    23. La Presse de la Manche, 22 octobre 2015.
    24. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Ă©ditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 32.
    25. Site du CNRTL : Ă©tymologie de guichet : http://www.cnrtl.fr/etymologie/guichet.
    26. [PDF] Conseil municipal du 16 octobre 2019 - Délibération 6 : Suppressions des communes déléguées.
    27. « Richard Leterrier élu maire de la commune nouvelle Vicq-sur-Mer », Ouest-France, 13 janvier 2016.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. http://www.mairie-cosqueville.fr/fr/tourisme-et-patrimoine/patrimoine-religieux/eglise-de-cosqueville/default.asp
    30. « Liste des notices pour la commune de Réthoville », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    31. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    32. D'aprùs Louis Drouet-Recherches Historiques sur les vingt communes du canton de St. Pierre Église-Imprimerie Saint Joseph Cherbourg 1893
    33. « Manoir d'Herclat », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    34. fort-de-rethoville
    35. http://www.mairie-cosqueville.fr/fr/tourisme-et-patrimoine/patrimoine-historique/le-manoir/default.asp
    36. http://www.mairie-cosqueville.fr/fr/tourisme-et-patrimoine/patrimoine-historique/la-motte-feodale/default.asp
    37. http://www.mairie-cosqueville.fr/fr/tourisme-et-patrimoine/patrimoine-historique/la-maison-de-cosqueville/default.asp
    38. http://www.mairie-cosqueville.fr/fr/tourisme-et-patrimoine/patrimoine-vernaculaire/les-puits/default.asp
    39. « Fiche FR2500085 du réseau Natura 2000 sur le site du ministÚre de l'écologie » (consulté le ).
    40. « Ouest-france.fr - La journaliste aveugle regarde le monde » (consulté le ).
    41. http://www.mairie-cosqueville.fr/fr/tourisme-et-patrimoine/histoire-locale/personnages-remarquables/default.asp
    42. J.-M. Lejeune, Le Bienheureux Jean-Baptiste Michel Pontus de NĂ©ville et ses compagnons martyrs de la RĂ©volution française, Imprimerie la DĂ©pĂȘche, Cherbourg, 1989.
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