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Sixt-sur-Aff

Sixt-sur-Aff [sikst syʁ af] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne.

Sixt-sur-Aff
Sixt-sur-Aff
Rue Onffroy de la RosiĂšre
Image illustrative de l’article Sixt-sur-Aff
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Redon Agglomération
Maire
Mandat
René Riaud
2020-2026
Code postal 35550
Code commune 35328
DĂ©mographie
Gentilé Sixtin, Sixtine
Population
municipale
2 144 hab. (2020 en augmentation de 1,47 % par rapport Ă  2014en augmentation de 1,47 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 50 hab./km2
Population
agglomération
12 899 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 46â€Č 36″ nord, 2° 04â€Č 38″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 92 m
Superficie 42,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Redon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Redon
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Sixt-sur-Aff
Liens
Site web Site internet de la commune de Sixt-sur-Aff

    GĂ©ographie

    Bien que jouxtant cinq communes du Morbihan, la commune appartient au département d'Ille-et-Vilaine et est rattachée à l'Agglomération de Redon.

    Elle se situe au centre d'un triangle entre Rennes, Nantes et Vannes.

    Du point de vue de la richesse de la flore, Sixt-sur-Aff fait partie des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 561 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1373 taxons (118 familles). On compte tout particuliÚrement 52 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 32 taxons protégés et 30 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237) [1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 808 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Jacut-les-Pins », sur la commune de Saint-Jacut-les-Pins, mise en service en 1986[8] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 896,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  42 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Sixt-sur-Aff est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (82,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26,8 %), forĂȘts (14,2 %), prairies (10,3 %), zones urbanisĂ©es (3,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Communes limitrophes

    Sixt-sur-Aff est limitrophe des communes suivantes :

    Rose des vents La Chapelle-Gaceline Carentoir Carentoir (Commune associée de Quelneuc) Rose des vents
    La Gacilly N Bruc-sur-Aff
    O Sixt-sur-Aff E
    S
    Cournon Bains-sur-Oust Saint-Just
    Renac

    Toponymie

    Panneau bilingue français/breton

    Le nom de la commune est attesté sous les formes Siz en 834 et 1330, Sitz en 1427[22].

    Sixt-sur-Aff vient, semble-t-il, du latin sex (six) pour désigner l'emplacement de la sixiÚme borne milliaire d'une voie romaine, vraisemblablement celle de Rennes à Rieux [23] - [24]. Sixt-sur-Aff est situé sur la sixiÚme Borne leugaire de la voie gallo-romaine.

    Sixt-sur-Aff possĂšde un nom en gallo, Si. En breton, la commune se nomme Seizh.

    Histoire

    Église de Sixt-sur-Aff.

    La population de la commune est favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant l’anniversaire de l’exĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e d’un serment de haine Ă  la royautĂ© et Ă  l’anarchie, fĂȘtĂ©e Ă  partir de 1795[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Sixt-sur-Aff appartient à l'arrondissement et au canton de Redon depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune était rattachée au canton de Pipriac.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie (de 1958 à 1986 et depuis 1988) de la quatriÚme circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Gaël Le Bohec (LREM). Sous la IIIe République, elle appartenait à la circonscription de Redon.

    Intercommunalité

    Le , Sixt-sur-Aff intÚgre la communauté de communes du Pays de Redon devenue Redon Agglomération. De 1992 à 2014, elle faisait partie de Pipriac communauté (anciennement communauté de communes du canton de Pipriac).

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 janvier 1955 Pierre Molac DĂ©missionnaire
    janvier 1955 1962 Auguste Hamon
    1962 mars 1971 Prosper Rollais Retraité
    mars 1971 juin 1995 Claude Grimaud DVD Artisan boucher, marchand de bestiaux
    juin 1995 mars 2008 Yannick Texier UMP GĂ©omĂštre principal du cadastre
    SĂ©nateur d'Ille-et-Vilaine (2003-2008)
    mars 2008 En cours René Riaud DVG Cadre PSA Peugeot-Citroën

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 2 144 habitants[Note 7], en augmentation de 1,47 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7761 7691 7571 8361 9511 8831 8821 8541 940
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8851 9422 0072 1162 1412 2662 3092 3702 417
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4562 5302 5022 2412 2212 1672 1121 9871 944
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 8381 7221 7131 8481 8851 9152 0502 0882 105
    2018 2020 - - - - - - -
    2 1442 144-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De sinople à la croix celtique d'or, accostée de deux fers de moulin abaissés d'argent, à la terrasse de sable à six pavés d'argent posés en 3, 2, 1 au chef ondé d'argent à six mouchetures d'hermine de sable.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Galerie photos

    • Grotte ND de Lourdes
      Grotte ND de Lourdes
    • MĂ©diathĂšque
      MĂ©diathĂšque
    • Chapelle de Noyal
      Chapelle de Noyal
    • Clocher Ă©glise
      Clocher Ă©glise
    • HĂŽtel de ville
      HĂŽtel de ville

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p. 170.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Sixt-sur-Aff et Saint-Jacut-les-Pins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Sixt-sur-Aff et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804, lire en ligne), p. 401
    23. Stéphane Gendron - La toponymie des voies romaines et médiévales. Page 85.
    24. Albert Grenier - Manuel d'archéologie gallo-romaine, Parties 1 à 2. Page 252.
    25. Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    26. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

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