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Sayonara Monsieur Désespoir(さよなら絶望先生, Sayonara Zetsubō sensei, littéralement Au revoir, professeur désespoir) est un manga de Kōji Kumeta. Il est prépublié entre 2005 et 2012 dans le magazine Weekly Shōnen Magazine et compilé en un total de 30 tomes par l'éditeur Kōdansha. La version française est publiée par Pika Edition. Cette comédie raconte la vie d'un professeur qui envisage tous les aspects de la vie, de la langue et de la culture de la manière la plus négative possible. En 2007, le manga se voit décerner le 31ePrix du manga de son éditeur Kōdansha dans la catégorie shōnen, à égalité avec Dear Boys: Act 2 de Hiroki Yagami[1]. Plusieurs adaptations en anime sous forme de séries télévisées et OVA sont diffusées entre 2007 et 2012.
Sayonara Monsieur Désespoir raconte la vie d'un professeur de lycée très pessimiste, Nozomu Itoshiki. En effet, la série commence sur une tentative de suicide de sa part : il essaie de se pendre à un cerisier. Malgré ses efforts, il est sauvé par une fille particulièrement optimiste appelée Kafuka Fuura (même si dans sa tentative elle l'a presque achevé). Elle lui explique que c'est impardonnable de se pendre un jour où il fait si beau, et devant de si beaux arbres. Elle décide de le surnommer le « vice-président rose » (桃色係長, Momoiro Kakarichō), et pour ce faire elle lui offre une compensation monétaire de 50 yen. En ayant assez de cette fille étrange, Nozomu se rend au lycée où il commence son cours, mais sa tentative de fuite est vaine, car il se trouve que Fuura Kafuka est l'une de ses étudiantes. Et ceci n'est que la pointe de l'iceberg, puisque chacun des étudiants et étudiantes de sa classe possède une personnalité particulièrement excentrique ou une étrange obsession, ce qui entraîne un lot de difficultés que le professeur à tendance suicidaire devra surmonter, en dépit de lui-même.
Chaque chapitre ou épisode de la série est centré sur un aspect particulier de la vie quotidienne, de la culture japonaise ou d'une expression de la langue japonaise. Généralement, le sujet impliqué est poussé à l'extrême (une discussion sur l'« amakudari », le fait de « descendre » du secteur public vers le privé, résulte en Nozomu « descendant » jusqu'à ce qu'il se rende à une vie antérieure), ou pris au sens littéral (dans la famille de Nozomu, l'« omiai », normalement une rencontre entre un parti potentiel pour un mariage organisé, est transformé en un événement où un mariage est conclu lorsqu'un contact visuel est établi entre deux personnes). Souvent, Nozomu présente à ses étudiants son point de vue pessimiste sur un aspect de la vie habituellement considéré comme positif. Ces analyses, poussées autant que non conventionnelles (où ses étudiants rajoutent leurs points de vue et réactions, ces dernières étant normalement à la fois uniques et particulières) culmine généralement avec un gag final lié au sujet abordé, ou plus rarement, sur une fin absurde et hors-sujet ou un moment de fan service.
Alors qu'il est assez apparent que la série se déroule dans la période contemporaine, l'on retrouve aussi quantité d'aspects visuels évoquant plutôt l'ère Taishō, une époque aux mœurs relativement libérales avant que le nationalisme poussé à l'extrême et le militarisme prennent d'assaut le Japon. La plupart de ces aspects s'inspirent de l'ambiance sociale, de la littérature japonaise et du renouveau artistique de l'ère Taishō. L'un des exemples les plus proéminents est donné par Nozomu et Matoi : ils portent presque toujours respectivement un hakama (un uniforme d'école japonais qui était porté vers la fin du XVIIIe siècle) et un kimono, mais l'on peut aussi observer une grande variété de ces choix stylistique à travers l'architecture, les véhicules et les technologies retrouvés dans la série. Chaque titre de chapitre fait référence à une œuvre littéraire et chaque chapitre comporte une page titre portant une ressemblance marquée aux cartes karuta, assortie d'une silhouette de style kiri-e. L'anime poursuit dans la même direction en employant parfois un style vieillot et suranné, dans la même veine qu'un film en format pellicule, de même qu'en utilisant les katakana (plutôt que les hiragana) en tant qu'okurigana. De plus, toujours dans l'anime, la date est souvent donnée comme si l'empereur Hirohito était toujours vivant, par exemple, l'an 20 de l'ère Heisei (la vingtième année du règne de l'empereur Akihito, ou 2008 selon le calendrier grégorien) devient l'an 83 de l'ère Showa.
Personnages
La plupart des noms des personnages dérivent de mots japonais à prononciation ou écriture similaire ; ces mots décrivent le caractère de chacun.
Le personnage principal et quatrième fils de la famille Itoshiki, professeur de lycée aux cheveux mi-longs, habillé en toute circonstance d'un hakama, de son koshita et chaussé de zōri. Quand son nom est écrit dans le sens japonais habituel (horizontalement et sans espace), il est similaire au mot zetsubō(絶望, désespoir), ce qui va avec son caractère paranoïaque, pessimiste, dépressif et suicidaire. Ses opinions sur le monde moderne et ses dérives sont le plus souvent acerbes et tranchées. Sa réplique récurrente, qu'il déclame (souvent avec dramaturgie) envers ce qui provoque son mal-être et souligne le surnom dont Kafuka Fūra l'a affublé, est généralement « Je suis au désespoir ! [...] m'a/ont conduit au désespoir ! » (絶望した!⋯⋯「何々」絶望した!, Zetsubō shita!... [nani nani] zetsubō shita!).
Classe 2-H
La classe des cas difficiles dont Nozomu Itoshiki est le professeur titulaire. Le nom de la plupart des élèves est inspiré d'une problématique sociale controversée au Japon.
Étudiantes
Étudiantes principales
Également appelées dans un contexte extradiégétique les « Filles Désespoir » (絶望少女, Zetsubou Shoujo‑tachi), collectif musical imaginaire de leurs seiyū respectives interprétant (en tant que personnages) pour les génériques et certaines musiques de l'adaptation animée.
Maria Tarō Sekiutsu (関内・マリア・太郎, Sekiutsu Maria Tarō)/« Matarō » (マ太郎)
Une immigrante clandestine constamment enjouée, adepte de récupération et qui aime son pays d'accueil. Elle a acheté l'acte de naissance et le numéro d'un étudiant, et va au lycée sous son nom. Elle se promène constamment pieds nus et ne porte généralement pas de sous-vêtements. Ses airs d'enfant sauvage et son côté attachant la rendent automatiquement adorable auprès des autres et leur donnent envie de prendre soin d'elle. Sekiutsu Tarō vient de seki-uttaro(籍売ったろう, « tu as vendu ton propre nom »). Quant à son surnom, il fait référence au manga Matarō ga Kuru!! de Fujiko Fujio.
Une étudiante atteinte de suroptimisme : elle voit la vie de la manière la plus positive possible, quitte à nier la réalité, inventer des explications complètement absurdes et adopter des comportements à risque pouvant engendrer des catastrophes pour les autres. Elle est à l'opposé du professeur Itoshiki, qui est souvent la victime des évènements qu'elle provoque. Certains détails la concernant laissent entendre que son positivisme irrationnel ne serait pas dû à une naïveté excessive, mais serait un phénomène de compensation de son inconscient afin de supporter les séquelles d'une vie traumatisante dans un milieu familial difficile. Ses explications pour les choses négatives tiennent de l'euphémisme : par exemple, elle appelle le suicide par pendaison « essayer de devenir plus grand » et le harcèlement « amour profond ». Kafuka Fūra n'est qu'un pseudonyme dérivant de la transcription en japonais pour Franz Kafka, écrivain dont le style d'univers cauchemardesque, aliénant et oppressant à l'absurde a donné son nom au néologisme qualifiant ce genre d'absurdité oppressante (« kafkaïen » ; en japonais, kafukateki). Son nom provient également du livre Kafka sur le rivage de Haruki Murakami.
Meru Otonashi (音無 芽留, Otonashi Meru)
Voix japonaise : Chiwa Saito (épisode 6 de Zoku Sayonara Zetsubō Sensei, et Zan Sayonara Zetsubou Sensei ; sa doubleuse change régulièrement au fil des épisodes et est nommée dans les crédits par une suite de caractères incompréhensibles[2]) Numéro d'élève : 17
Une fille qui ne communique qu'à travers des SMS insultants et ne se sépare jamais de son téléphone mobile. Elle est complexée par sa voix à cause de la remarque faite dans le passé par un ancien condisciple, ce qui l'a traumatisée au point d'en développer un blocage mental. Elle semble également complexer sur son absence de poitrine. Son nom de famille veut dire « silencieux » et son prénom, « qui a fini (de pousser/sa croissance) » ; ce dernier également un paronyme de mēru (メール), emprunt lexical de l'anglais mail (courrier ; correspondance écrite).
Une fille qui passe son temps à s'excuser pour tout et a un complexe de culpabilité, étant persuadée que tout ce qui peut arriver de négatif en sa présence, ou lorsqu'elle se sent concernée d'une façon ou d'une autre, est forcément de sa faute. Elle est également embarrassée par les goûts vestimentaires douteux de Kuniya Kino. Son nom, dans le sens de prononciation japonaise, est similaire à kagai(加害, nuisance).
Une étudiante conformiste et psychorigide atteinte d'un trouble obsessionnel lié à l'ordre et l'exactitude, qui ne supporte pas l’imprécision et voudrait que tout dans sa vie soit symétrique et égal. La raie de ses cheveux passe exactement au centre. Elle n'a pas été élue déléguée de la classe, mais est souvent considérée comme telle (au grand dam d'Usui) à cause de son comportement et de son caractère autoritaire. Derrière son besoin de reconnaissance et sa peur du rejet se tapit une tueuse en puissance qui peut se manifester à la moindre contrariété. Son nom dérive du mot kicchiri(きっちり, correctement).
Une « rapatriée » récemment rentrée au Japon depuis un pays inconnu, elle est atteinte de trouble dissociatif de l'identité à cause des trop grandes différences culturelles entre ses pays de naissance et d'accueil (phénomène qui rappelle le syndrome de Paris). Afin de gérer ce conflit intérieur, elle s'est créée deux personnalités distinctes : Kaede, la « femme japonaise type » gentille, prude et bien versée dans sa culture d'origine ; et Kaere, l'« étrangère stéréotypée » occidentalisée, caractérielle et ethnocentrique qui s'exhibe tout en menaçant de poursuites judiciaires à la moindre occasion. Le fait que sa culotte soit vue à outrance et pour des raisons totalement gratuites devient un élément comique récurrent. Son prénom vient de kaere(帰れ), l'impératif du verbe kaeru(帰る, retourner, partir) dont l'énonciation fait à l'occasion office de facteur déclencheur de son basculement de personnalité. On peut donc traduire littéralement son nom par « va-t’en/repars, Kimura ». Son nom vient également de Kaela Kimura, une chanteuse japonaise.
Fétichiste des queues d'animaux, elle est constamment blessée parce qu'elle ne peut pas résister à l'envie de les tirer ; les gens pensent donc à cause de ses pansements et bandages qu'elle serait victime de violences domestiques. Son nom dérive de kobushi wo abiru(拳浴びる, volée de poings). Les iris de ses yeux sont de couleurs différentes.
Une hikikomori constamment enroulée dans un futon (ou équivalent selon la circonstance) et présentant des aspects de zashiki warashi. Après la visite chez elle du professeur Itoshiki, elle décide de vivre au lycée pour devenir une « hikikomori d'école ». La demeure de sa famille s'effondre à l'instant de son départ (le départ d'un zashiki warashi étant considéré comme un signe néfaste). Quand elle ne squatte pas l'école, elle habite aussi chez le professeur Itoshiki et passe du temps en compagnie de son neveu, Majiru. Son nom, qui lu à l'occidental ressemble à hikikomori, vient de komorikiri(籠もりきり, qui reste chez lui).
Une romantique qui harcèle et suit celui qu'elle aime : c'est une harceleuse monomaniaque. Elle a récemment changé de cible après la rupture de son ancien compagnon, Takashi, et est devenue obsédée par le professeur Itoshiki, lui causant des problèmes. Sa famille, habituée à son trouble, ne s'en formalise absolument pas. À partir de ce moment, elle adapte sa tenue à la sienne et le suit constamment comme son ombre au point d'apparaître dans son dos sans prévenir et ce, quelle que soit la situation, ce qui devient le sujet d'un effet comique récurrent : sa réponse systématique, lorsque le professeur Itoshiki constate qu'elle le suivait, est « Oui, toujours... » (ええ、ずっと。, Ee, zutto.). Son nom est un jeu de mots avec tsune ni tsukimatoi(常付きまとい, toujours en train de suivre).
Une fille moyenne qui est plutôt sans histoire comparée à ses camarades de classe. Elle est donc constamment qualifiée de « normale » dans ce qu'elle est, dit ou fait, malgré le fait qu'elle déteste ça. Son nom vient de hitonami(人並み, normal, ordinaire).
Meganekko obsédée de yaoi et d'oreilles de chat. Contrairement aux idées reçues, elle est également meilleure en sport que tous ses camarades de classe réunis, au point que les clubs sportifs de l'école se l'arrachent pour la recruter, en vain puisqu'elle n'est pas intéressée. Son nom est un mélange de fujoshi(腐女子, « fille pourrie »), terme à la fois péjoratif et réapproprié pour désigner les amatrices féminines types de yaoi, et de Harumi, le nom du lieu où se tenait autrefois le Comic Market avant d'être déménagé.
Mariée et femme au foyer en parallèle de ses cours, elle travaille également à plusieurs endroits pour assumer les dettes de son époux infidèle. Son nom vient de okusama-nami(奥様な身, égalité à la femme au foyer).
Une fille très ouverte d'esprit mais un peu lente, tête en l'air et dans son monde, ne semblant pas toujours consciente de tout ce qu'il se passe autour d'elle. Sans-souci, elle laisse les autres s'exprimer ouvertement et accepte d'entendre de nouvelles idées. Son nom vient de ōraka na ko(大らかな子, fille au grand cœur).
Elle a l'air méchante donc tout le monde pense à cause des préjugés qu'elle ne l'est pas, mais en réalité… elle l'est vraiment. Elle aime jouer de sales tours aux autres. Son nom vient de mita mama yo(見たままよ, « ce qu'elle est, est exactement ce dont elle a l'air »).
Une idole du net. Dans la « vraie vie » elle est grosse et s'habille en gothic lolita, mais sur son site Internet, plein de photographies d'elle-même retouchées numériquement, elle est très populaire. Son nom est inspiré de la seiyūKotono Mitsuishi.
Le délégué de la classe. C'est un binoclard qui perd ses cheveux et est quasiment toujours ignoré, au point d'en devenir parfois littéralement invisible. Son nom est un jeu de mots sur kaga ga usui(影が薄い, présence ignorée) ; usui fait aussi référence à son absence de cheveux.
L'un des membres du club de littérature, son nom est inspiré de celui de la chaîne de librairies Kinokuniya(紀伊國屋書店, Kinokuniya Shoten). Il est en concurrence avec Jun et lui lance souvent des défis, qu'il déteste perdre. Il montre de l'intérêt pour Ai Kaga et a un style vestimentaire extravagant qui exaspère sa camarade de classe.
Excellent conteur, son nom est inspiré de celui de la chaîne de librairies Junkudō(ジュンク堂書店, Junkudō Shoten) et du nom de son fondateur, Jun Kudō (工藤淳, Kudō Jun). Son talent pour raconter ou improviser des histoires est tel que ses auditeurs en ont généralement la larme à l'œil, quand bien même certaines de ces histoires sont supposées être des plaisanteries voire totalement absurdes.
Famille Itoshiki
Cette famille possédant une riche entreprise est composée, en plus des parents, d'une fratrie de cinq enfants assistés d'un majordome. La majorité de la fratrie possède une garde-robe japonaise traditionnelle, et tous les membres masculins connus de la famille portent des lunettes.
Rin Itoshiki (糸色 倫, Itoshiki Rin)
Voix japonaise : Akiko Yajima Numéro d'élève : 32 (répertoriée en tant que « Rin »)
Rin est la sœur cadette de Nozomu et fille unique de la famille Itoshiki, constamment habillée en kimono quand elle n'est pas à l'école. Incarnant la beauté et l'élégance de la femme japonaise traditionnelle type, elle prend un peu plus de place par la suite au point d'intégrer la classe de son frère comme élève et devient, à la place de Kaere, la touche de séduction féminine et de fantasmes apportés à but assumé aux spectateurs (posant systématiquement à chacune de ses introductions dans l'histoire en présentant son dos et sa chevelure, même quand la situation ne s'y prête pas). Quand il est écrit dans le sens japonais habituel, son nom ressemble à zetsurin(絶倫, inégalée), qui prend ici un caractère sexuel mais signifie également « chauffer à blanc » dans un sens argotique. Elle menace de mort tous ceux qui l'appellent ainsi.
Mikoto est le troisième fils de la famille Itoshiki, médecin de l'Hôpital Itoshiki propre sur lui et qui est le seul de sa fratrie à être habillé à l'occidental et moderne (cheveux courts et blouse médicale sur une tenue de travail avec cravate). Bien qu'il soit compétent, à son grand dam les patients autour de lui sont tout de même un peu inquiets par superstition : quand il est écrit dans le sens japonais habituel, son nom ressemble à zetsumei(絶命, mort). Il déteste être appelé « Docteur Lamort » (絶命先生, Zetsumei sensei).
Kei est le second fils de la famille Itoshiki, artiste peintre surréaliste égocentrique aux cheveux longs et barbu, sobre mais négligé dans son allure, habillé d'un samue et chaussé de geta. Il dit avoir une femme appelée Yuka (prénom qui signifie « le sol, le plancher » en japonais), mais elle n'est en réalité qu'une tache sur son mur. Quand il est écrit dans le sens japonais habituel, son nom ressemble à zekkei(絶景, paysage inégalé, scène pittoresque).
Majiru est le neveu de Nozomu, envoyé vivre avec lui parce que ses parents (l'aîné non révélé de la fratrie de Nozomu, et son épouse) l'avaient abandonné. Contrairement à sa personnalité, il ressemble à son oncle dans son allure et son accoutrement. Il est régulièrement traumatisé par les étudiantes de la classe 2-H et passe beaucoup de temps en compagnie de Komori Kiri, à qui il s'est attaché. Quand il est écrit dans le sens japonais habituel, son nom ressemble à zekkō(絶交, rupture, « faille dans une relation » ou « rupture permanente en amitié »).
Tokita est le dévoué serviteur de la famille Itoshiki, souvent vu en compagnie de Rin. Accoutré comme le majordome occidental typique, le personnage est inspiré de Garrison Tokida (ギャリソン時田, Gyarison Tokida), de l'anime Muteki Kōjin Daitān 3.
Tertiaires
« Obligés »
Les « Gimu » (「義務」, litt. « devoir » ; contextuellement, personnage [à la présence] « obligée/obligatoire ») en version originale, sont des personnages tertiaires — réels ou inventés — discrètement intégrés en arrière‑plan de chaque histoire et ce, quel que soit son sujet.
Mascotte stylisée et emblématique de la série qui apparaît à la moindre occasion, que ce soit en arrière-plan ou dans des éléments visuels. Sa tête ressemble à un dérivé fantaisiste du taijitu. Elle incarne la petite créature mignonne ou amusante qui est souvent intégrée à outrance dans les anime, généralement à but mercatique afin d'être vendue comme produit dérivé à destination des spectateurs les plus jeunes (ou des otaku les plus chevronnés). Son nom en japonais a plus d'un sens et peut se comprendre à partir du terme urōboe(うろ覚え, mémoire vague, « appris par cœur » ou encore « qui rappelle vaguement quelque chose ») ou de la forme volitive du verbe uru(売る, vendre), et de kōtei pengin(皇帝ペンギン, manchot empereur).
Élément comique récurrent, elle apparaît régulièrement en arrière-plan dans le ciel, en train de transporter un bébé avec son bec (comme dans l'histoire inventée à destination des jeunes enfants pour éluder la question de la procréation) en émettant un bruit d'avion à réaction. Son allure ainsi que son nom en japonais désignent plus spécifiquement la cigogne orientale.
Élément comique récurrent, il apparaît régulièrement en arrière-plan et généralement de dos durant des scènes. Une personne malintentionnée (en fait, Mayo Mitama) s'amuse constamment à lui enfoncer un bâton dans l'anus, d'où son surnom.
La psychologue et conseillère de l'école. Derrière son air tantôt professionnel, tantôt blasé face au professeur Itoshiki et les excentricités de sa classe titulaire, elle cache ses propres troubles personnels (par exemple, la partie intérieure de la porte d'entrée de son appartement est entièrement tapissée de gofu, des talismans de protection écrits sur papier). Certains éléments dans l’œuvre suggèrent qu'elle pourrait être une adepte de BDSM. Son nom, en kun'yomikanji, est prononcé Niichie, comme le nom de famille de Friedrich Nietzsche en japonais.
Ancien compagnon de Matoi Tsunetsuki. Il avait rompu avec elle à cause de son harcèlement incessant et refusait de la reprendre malgré son insistance, mais finit par regretter son absence après que Matoi se soit finalement détournée de lui pour fixer son obsession monomanique sur le professeur Itoshiki. Il réapparait parfois dans la salle de classe. Fan de Hitoshi Kusano. Sa couleur de cheveux est différente d'un support à l'autre (noire dans le manga, blonde dans l'anime). Écrit différemment (崇史), le prénom Takashi peut signifier « adoration, vénération ».
Il dit être un vieil ami (en fait, d'une seule journée) de Nozomu et, comme lui, aime les vieilles choses (d'où la signification de son nom : « une chose ancienne »). Il réapparaît régulièrement là où on ne l'attend pas, par exemple à l'entrée de la classe de Nozomu au détour d'un échange avec ses élèves en plein cours. Le personnage est une allusion explicite à l'anime homophone Ikkyū(一休さん, Ikkyū-san) (voir l'adaptation en bande dessinée).
Le père de Meru Otonashi (音無芽留の父親, Otonashi Meru no chichioya)
Père surprotecteur de Meru. Tapi dans l'ombre et jamais vraiment éloigné d'elle, il peut apparaître de nulle part pour attaquer aveuglément (sans réflexion ni discernement) quiconque aurait selon lui, blessé ou effrayé sa fille chérie.
Le père d'Abiru Kobushi (小節あびるの父親, Kobushi Abiru no chichioya)
Père d'Abiru. Homme de famille et salarié apparemment ordinaire, il est cependant soupçonné (à tort) de violences domestiques répétées contre sa fille, à cause des blessures qu'elle s'inflige constamment.
Type insolite et complètement déluré, en tenue de commodore du XIXe siècle et qui s'obstine à ouvrir tout ce qu'il peut, par la force si nécessaire et sans se soucier des conséquences. Il réapparaît occasionnellement dans des scènes. Le personnage fait explicitement allusion au commodore Matthew Perry et à l'arrivée expéditionnaire historique du de ses navires noirs au Japon, ce qui influencera la fin du sakoku.
L'élève qui a vendu ses acte de naissance et numéro d'étudiant à Maria. Depuis qu'il a vendu son identité et son statut, il vit littéralement dans un carton, en caleçon et n'est plus identifiable, sa tête demeurant dissimulée dans l'ombre. Il sert d'élément comique occasionnel.
Le manga Sayonara Monsieur Désespoir est écrit et dessiné par Kōji Kumeta. Il est prépublié entre le et le dans le magazine Weekly Shōnen Magazine[3]. Le premier volume relié est publié par Kōdansha le [4] et le trentième et dernier le [5]. La version française est publiée par Pika Édition depuis [6].
Série animée
La première saison de l'anime, produite au sein du studio Shaft avec une réalisation de Akiyuki Shinbo, est diffusée du au .
La deuxième saison, Zoku Sayonara Zetsubō sensei, est annoncée en [7]. Elle est diffusée du au .
Des épisodes OAD sont commercialisés entre et avec les éditions limitées des tomes du manga[8].
La troisième saison télévisée, Zan Sayonara Zetsubō sensei, est annoncée en [9]. Elle est diffusée du au .
Une seconde série d'OAD est commercialisée entre et [10].
Tunnel wo nukeru to shirokatta / ※ Boku no mae ni hito wa inai boku no ushironi kimi wa iru (C'était blanc quand j'ai traversé le tunnel — * Il n'y a personne devant moi, tu es derrière moi)
3
Survolez ce pays pour venir ici
その国を飛び越して来い ※僕たちは、どんなことがあっても 一緒に固まっていなければ駄目だ
Sono kuni wo tobikoshite koi / ※ Bokutachi wa, donna koto ga atte mo / Issho ni katamatte inakereba dame da (Franchis par‑dessus ce pays — * Quoi qu'il arrive — Ça ne sert à rien si nous ne sommes pas soudés ensemble)
4
Ne pas perdre de coudes, ne pas perdre de genoux
ヒジニモ負ケズ ヒザニモ負ケズ ※アンテナ立ちぬ いざ生きめやも
Hijinimo fukezu hizanimo fukezu / ※ Antenna tachinu iza iki‑me ya mo (Aucune perte aux coudes, aucune perte aux genoux — * Antenne dressée droite comme une flèche)
5
Mesurer le statut social
※身のたけくらべ シミと毒だし
※ Mi no take kurabe / Shimi to doku dashi (* Vouloir comparer avec soi‑même — Dashi aux taches et au poison)
6
Sauter avant de verrouiller les yeux
見合う前に跳べ
Miau mae ni tobe (Sautez avant d'échanger des regards)
7
Confessions d’un nom de plume
※仮名の告白 ある朝グレゴール・ザムザが目をさますと神輿を担いでいた
※ Kamei no kokuhaku / Aru asa Gregor Samsa ga me wo samasu to mikoshi wo katsuide ita (* Confessions d’un pseudonyme — Un matin, quand Gregor Samsa se réveilla, il portait un mikoshi)
8
Je suis prédestiné à être dans l’ombre, (je suis destiné à être un paria)
私は宿命的に日陰者である ※それだから逃げるのだ ついて来い!フイロストラトス!
Watashi wa shukumei‑teki ni hikagemonodearu / ※ Soredakara nigeru noda tsuite koi! Philostratos! (Je suis prédestiné à être un paria — * La raison en est que je fuis… Suivez‑moi, Philostrate !)
9
Primevères du soir sur le mont Fuji sont une erreur
富士に月見草は間違っている ※証明しようと思っていた。今年の正月
Fuji ni tsukimisou wa machigatte iru / ※ Shoumei shiyou to omotte ita. Kotoshi no shougatsu (Les tsukimisou à Fuji sont une erreur — * Je pensais le démontrer. En ce Nouvel An)
10
Un homme cultivé attendait que la pluie s’arrête sous la porte Rashōmon
※一人の文化人が羅生門の下で雨やどりしていた 生八ツ橋を焼かねばならぬ
※ Hitori no bunkajin ga Rashōmon no shita de amayadori shite ita / Nama yatsuhashi wo yakaneba naranu (* Un homme cultivé attendait sous le Rashōmon que la pluie s’arrête — Le yatsuhashi à la vapeur doit être cuit)
11
Hé, tu ne peux pas faire ça ! N’y a‑t‑il pas un original ?
あれ不可よ 原作があるじゃないかね
Are fuka yo gensaku ga aru janai ka ne (C'est impossible ! N’y a‑t‑il pas un original ?)
12
Vraiment, c’est ennuyeux !
なんたる迷惑であることか!
Nantaru meiwaku de aru koto ka! (Vraiment, quelle nuisance !)
À la fois épisode récapitulatif et version remaniée alternative (avec prologue) de la première saison de la série animée.
NB : sorti sur le premier disque Sayonara Zetsubou Sensei Jo 〜 Zetsubou Shoujo Senshū 〜 de la compilation DVD puis diffusé dans les jours suivants par la chaîne télévisuelleBS11.
Hora, danshaku no bougen / Tougumi wa mondai no ōi kiyoushitsu desu kara/Dou ka soko wa go‑shouchi kudasai (Regardez, la remarque absurde du baron — Veuillez noter que – notre groupe est une salle de classe problématique)
2
La frange qui vient d’être ouverte
まだ明け初めし前髪の ティファニーで装飾を 新しくない人よ 目覚めよ
Mada ake hajimeshi maegami no / Tiffany de soushoku wo / Atarashikunai hito yo mezame yo (La frange Tiffany — A débuté aux aurores — Les esthéticiens en herbe, réveillez‑vous !)
3
Vous avez dix‑sept ans maintenant, ne voulez‑vous pas pincer vos propres rides ?
Jūnana‑sai ne jibun no shiwa wo tsukande mitakunai? / Gimu to heitai / Saratto iu na ! To Melos wa ikiritatte hanbaku shita (Vous avez dix‑sept ans maintenant, ne voulez‑vous pas pincer vos propres rides ? — Ne dites pas « devoir et soldat » — À la légère ! Et Melos se leva et réfuta)
4
Un peintre au bord de la route
路傍の絵師 恥ずかしい本ばかり読んできました 薄めの夏
Robou no eshi / Hazukashī hon bakari yonde kimashita / Usume no natsu (Peintre au bord de la route — Je n'ai lu que des livres embarrassants — Été léger)
5
Généalogie culturelle
文化系図 私はその人を常に残りものと呼んでいた 恩着せの彼方に
Bunka keizu / Watashi wa sono hito wo tsuneni nokorimono to yonde ita / On kise no kanata ni (Généalogie culturelle — Dont, au‑delà de la grâce — J'ai toujours appelé l'autre « restes »)
6
Tu ne sauras pas
君 知りたもうことなかれ 夢無し芳一の話 隠蔽卒
Kimi wa shirita mou koto nakare / Yumenashi Houichi no hanashi / Inpei‑sotsu (Tu ne connaîtras point — L'histoire de Houichi Sans‑Rêves(A) — Diplômé en dissimulation)
7
Le chat qui a été raconté un million de fois
百万回言われた猫 赤頭巾ちゃん、寝る 気をつけて 津軽通信教育
Hyaku man‑kai iwareta neko / Akazukin‑chan, neru/Ki wo tsukete / Tsugaru tsūshin kyouiku (Le chat qui est conté un million de fois — Le Petit Chaperon rouge dort – Faites attention ! — L'éducation par correspondance de Tsugaru)
8
Crème caramel aux épinards
スパイナツプリン 暴露の実の熟する時 半分捕物帳
Spainatsupurin / Bakuro no mi no juku suru toki / Hanbun torimono‑chou ((sens multiple)(B) — Quand le fruit de la révélation est mûr — Semi‑histoire de détectives historique)
Zetsubou fight(*) (*A) Zetsubou no dai‑gyakuten senpou! Hitori yori onna otto no kata ga ē iu koto dessharo (*B) Zetsubou gebageba chitai (*C) Zetsubou wa punch ga o‑suki Oku no nukemichi (*D) Kono zetsubou no hate (*E) Kutabire son no zetsubou mouke (Baston du désespoir(*) (*A) La grande contre‑attaque du désespoir ! Un couple ne vaut‑il pas mieux qu'un célibataire ? (*B) Zone d'ultra‑violence du désespoir (*C) Le désespoir aime donner des coups de poing La faille dans le dos (*D) La fin de ce désespoir (*E) Le vain désespoir de fatigue)
10
Ruisseau en détérioration
劣化流水 痴人のアリ 一見の條件
Rekka ryūsui / Chijin no ari / (Ichigen/Ikken)(C) no jouken (Courant dégradant/décadent — (Le / L'injonction/la tromperie au) « peut‑être ; et pourquoi pas ? » du crétin — (La condition de nouveau venu/Les prérequis à une première rencontre)(C))
11
Douze femmes au désespoir sombre
黒い十二人の絶望少女 今月今夜この月が僕の涙で曇りますように
Kuroi jūninin no zetsubou shoujo / Kongetsu kon'ya kono tsuki ga boku no namida de kumorimasu you ni (Les Douze Filles Désespoir en noir — Qu'en ce mois et en cette nuit, la lune soit obscurcie par mes larmes)
12
Atterrir largement récompensé
着陸の栄え 或る女 役 波に乗ってくるポロロッカ
Chakuriku no hae / Aru onna yaku / Nami ni notte kuru pororoca (Les joies de l'atterrissage (en douceur) — Le rôle d'une certaine femme — Le (mascaret/contre‑courant) déferlant sur les vagues)
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Licenciement de Myohonji Kamakura
鎌倉妙本寺解雇 大導寺信輔の音声 あにいもうと という前提で
Kamakura Myouhon‑ji kaiko / Daidouji Shinsuke no onsei / Ani imouto to iu zentei de (La destitution du Myouhon‑ji de Kamakura — La voix de Shinsuke Daidouji(D) — Sur les prémisses/présuppositions frère‑sœur)
(A) Allusion à l'histoire de fantômesHouichi Sans‑Oreilles(耳なし芳一(ja), Miminashi Houichi) du japonais KwaidanKwaidan ou Histoires et études de choses étranges (怪談) de Yakumo Koizumi. (B)Jeu de mots multiple par un fourre‑tout de type calembour, mot‑valise et waeigo (和製語)(ja) (mots construits à partir de langues étrangères) renvoyant à la fois : à un espion cinglé/bidon et dépressif (Spy nut's Spleen, « la mélancolie de l'espion fou/à la noix ») ; à la saison durant laquelle se passe l'histoire [Spy Natsu Purin(スパイ, 夏 et プリン, Supai natsu purin, « espuddingestival »)] ; et à une recette de cuisine [(« Spynats » Pudding, mot‑valise anglo‑allemand depuis Spy‑Spinats Pudding pour « espudding aux épinards »), et « Spyne » nuts Pudding par l'anglais pine nuts pudding pour « crème caramel aux espignons »)] ; dans ce dernier cas, le titre fait également allusion au livre Pine nuts Pudding(パイナツプリン, Painatsu purin) de Banana Yoshimoto). (C) Sens contextuellement double. (D) Allusion à la nouvelleLa demi‑vie de Shinsuke Daidouji(ja) de Ryūnosuke Akutagawa publiée une première fois en 1925 (dans une version incomplète), puis en 1927.
Dire que la poursuite du bonheur à partir d’un processus est à l’origine du crime
曰く、過程の幸福は諸悪の本 予言省告示 バラバラの名前
Iwaku, katei no koufuku wa shoaku no moto / Yogen‑shou kokuji / Barabara no namae (Selon lui, le processus du bonheur est la source de tous les maux — Avis du ministère de la prédiction — Noms disjoints)
Ochi‑en he no michi / Haru no yūbin haitatsu wa nido bell wo narasu / Sarashi ga oka (Le chemin du jardin perdu — La livraison postale au printemps sonne deux fois la cloche — Colline exposée)
2
Elle qui a.
持つ女 おろしや国タイム譚 晒しが丘 パート2
Motsu onna / Oroshi ya koku‑time Tan / Sarashi ga oka Part 2 (Femme avec… — Histoire de râpé et d'heure nationale — Colline exposée, partie 2)
3
La tragédie de X
×の悲劇 私は日本には帰りません そういう決心をできませんでした ドクトル・カホゴ
× no higeki / Watashi wa Nihon ni wa kaerimasen/Sou iu kesshin wo dekimasen deshita / Doctor Kahogo (La tragédie de X — Je ne retournerai pas au Japon – Je n'ai pas pu prendre une telle décision — Docteur Surprotecteur)
4
Comment je suis devenu un homme honnête
余は如何にして真人間となりし乎 祝系図 ドクトル・カホゴ パート2
Yo wa ika ni shite maningen to narishiko / Shuku keizu / Doctor Kahogo Part 2 (Comment suis‑je devenu un honnête homme ? — Célébration de la généalogie — Docteur Surprotecteur, partie 2)
5
Back‑scratch
過多たたき アーとウルーとビィの冒険 ライ麦畑で見逃して
Katatataki / A to Urū to B no bouken / Raimugi hatake de minogashite (Éloge excessif — Les aventures d'A, Décalage et B — Ignorant dans le (champ de) seigle)
6
La rougeole du comté de Madison
マディソン郡のはしか(A) 夜の多角形 ライ麦畑で見逃して パート2
Madison gun no hashika / Yoru no takakugata / Raimugi hatake de minogashite Part 2 (Sur la rougeole de Madison(A) — Polygone de nuit — Ignorant dans le (champ de) seigle, partie 2)
7
Les androïdes rêvent‑ils de mariées mécaniques ?
アンドロイドは機械の花嫁の夢を見るか 将軍失格 あぁサプライズだよ、 と私はうつろに呟くのであった
Android wa kikai no hanayome no yume wo miru ka / Shougun shikkaku / Ā surprise da yo/To watashi wa utsuro ni tsubuyaku node atta (Les androïdes rêvent‑ils de (futures) mariées mécaniques ?(B) — La déchéance d'un général — « Oui, c'est une surprise » – Ai‑je murmuré en l'air)
8
Oui, c’est une fête surprise, j’ai murmuré en creux, partie 2
Ā surprise da yo/To watashi wa utsuro ni tsubuyaku node atta Part 2 / Kokuhaku chirimengumi / Saigo no, soshite hajimari no Enoden (« Oui, c'est une surprise » – Ai‑je murmuré en l'air, partie 2 — Confession de l'équipe Crêpe — Le dernier et le premier Enoden)
9
L’urgence qui est devenue religieuse
尼になった急場 三十年後の正解 ジェレミーとドラコンの卵
Ama ni natta kyūba / Sanjūnen go no seikai / Jeremī to Dracon no tamago (L’urgence qui est devenue (religieuse/garce) — La bonne réponse, trente ans plus tard — Œufs de Jeremy(C1) et de Dracon(C2))
10
L’œuf qui craque
クラックな卵 君よ知るや隣の国 ジェレミーとドラコンの卵 パート2
Crack‑na tamago / Kinji yo shiru ya tonari no kuni / Jeremī to Dracon no tamago Part 2 (L’œuf qui craque — Tu connais bien ce pays voisin — Œufs de Jeremy et de Dracon, partie 2)
11
Maison de l’enfant à lunettes
眼鏡子の家 閉門ノススメ 学者アゲアシトリの見た着物
Meganekko no ie / Heimon no susume / Gakushāge ashidori no mita kimono (La demeure de la fille à lunettes — Recommandation (de fermeture de porte/d'assignation à résidence) — Le vêtement vu par (les érudits / [le savant lever/la prise érudite par saisie] de jambe))
12
Après la troisième fois
三次のあと 葬られ損ねた秘密 閉門ノススメ パート2 いけない! カエレ先生
Sanji no ato / Houmurare sokoneta himitsu / Heimon no susume / Ikenai! Kaere‑sensei (Après la troisième — Le secret qui n'a pas été enterré — Recommandation (de fermeture de porte/d'assignation à résidence), partie 2 — Vous ne devez pas (faire ça), Kaere‑sensei !)
13
La vengeance du S**t
誤字院原の敵討 われらライナス 楽天大賞 夜間きよ飛行
Gojīn hara no katakiuchi / Warera Linus / Rakuten taishou / Yakan kiyo hikou(D) (La revanche des coquilles — Nous sommes tous Linus — Grand prix de l'optimisme — Voler la nuit (de Kiyohiko)(D))
Demo no ito / Hayari mijikashi hashireyo otome / Chiru chiru michiru (Intention de démonstration — Cours après les tendances éphémères, jeune fille ! — Dispersion, dispersion, remplissage)
Spécial (OAD/OVA 2)
ウィルス将軍と三人兄弟の医者 神さんが流されてきた 言葉のある世界
Virus‑shougun to sannin kyoudai no isha / Kami‑san ga nagasa rete kita / Kotoba no aru sekai (Le général Virus et le médecin des trois frères — Dieu a été balayé — Un monde avec des mots)
NB : épisodes complémentaires à la troisième saison.
Satsujin genba ni zetsubou ga ochite ita / Nyankyou no Christ / Kayui tokoro (Le désespoir s'abattait sur les lieux du meurtre — Le Christ de Nyankyō — Lieu de démangeaisons)
NB : épisode commémoratif offert à sa date de sortie à l'achat de l'intégrale Blu‑rayBOX de la série animée.
Musique
Génériques
Les chansons de la série animée sont pour l'essentiel interprétées par Kenji Ohtsuki avec/ou un groupe changeant parmi des seiyū des rôles féminins principaux, qui continuent à cette occasion de camper leur personnage respectif.
Certains membres masculins de l'équipe dont Hiroshi Kamiya (qui interprète lui-même le rôle principal) participent également, par exemple — pour ce dernier — dans le second générique de fin de la troisième saison.
NB : Pour certains épisodes, des versions alternatives de générique sont proposées. (A) Certains des seiyū féminins principaux de la série animée interprétant en groupe dans leur rôle respectif :
(1) à la composition différente selon la chanson : Ai Nonaka (Kafuka Fūra), Marina Inoue (Chiri Kitsu), Yū Kobayashi (Kaere Kimura), Miyuki Sawashiro (Maria Tarou Sekiutsu), Ryouko Shintani (Nami Hitou), Asuka Tanii (Kiri Komori), Asami Sanada (Matoi Tsunetsuki), Yūko Gotō (Abiru Kobushi) et Miyu Matsuki (Harumi Fujiyoshi) ;.
(2) parmi une équipe parodique de Magical girls (Meru Otonashi alias « Meru » non incluse) : Ai Nonaka (Kafuka Fūra alias « Kafuka »), Marina Inoue (Chiri Kitsu alias « Kicchiri ») et Ryouko Shintani (Nami Hitou alias « Futsū »).(B) Apparaissant avec les autres au générique mais sans interpréter la chanson, n'étant mentionnée dans les crédits qu'à titre purement humoristique. (C) Le seiyū du personnage principal de la série animée interprétant la chanson dans son rôle : Hiroshi Kamiya (Nozomu Itoshiki alias « Monsieur Désespoir »).
L'auteur de l'œuvre, Kouji Kumeta, a écrit lui-même les paroles de trois chansons pour la série animée.
(A)Paroles écrites par Kouji Kumeta lui-même. (B) Certains des seiyū de la série animée interprétant dans leur rôle respectif : (1) Ai Nonaka (Kafuka Fūra) ; (2) Ryouko Shintani (Nami Hitou) ; (3) Hiroshi Kamiya (Nozomu Itoshiki alias « Monsieur Désespoir ») ; (4)Marina Inoue (Chiri Kitsu) ; (5) Takahiro Mizushima (Jun Kudou) ; (6) Yū Kobayashi (Kaere Kimura). (C) Certains des seiyū masculins de la série animée interprétant en groupe : Hiroshi Kamiya (Nozomu Itoshiki alias « Monsieur Désespoir » ; Mikoto Itoshiki et Kouji Kumeta), Takahiro Mizushima (Jun Kudou ; Haga ; [nom inconnu] alias « Hokuou » ou « Pierced Jizou » ; l'ancien Tarou Sekiutsu ; Sonokou Suzuki ; Ichirou Tanaka et Takashi) et Youji Ueda (Kagerou Usui ; Tokita ; Wataru Manseibashi et Jinroku). (D) Certains des seiyū féminins principaux de la série animée interprétant en groupe (à la composition différente selon la chanson) dans leur rôle respectif : Ai Nonaka (Kafuka Fūra), Marina Inoue (Chiri Kitsu), Yū Kobayashi (Kaere Kimura), Miyuki Sawashiro (Maria Tarou Sekiutsu), Ryouko Shintani (Nami Hitou), Asuka Tanii (Kiri Komori), Asami Sanada (Matoi Tsunetsuki), Yūko Gotō (Abiru Kobushi) et Miyu Matsuki (Harumi Fujiyoshi).
Bande originale
さよなら絶望先生 オリジナルサウンドトラック[11] (Sayonara Zetsubou Sensei Original Soundtrack)
L'album de la bande originale de la seconde saison est sorti le au Japon[13]. Trois des chansons sont écrites par l'auteur de l'œuvre, Kouji Kumeta lui‑même.
En tant que série dont l'humour est beaucoup axé sur l'humour noir, l'autodérision, la satire, le pastiche, la parodie, l'humour de connivence et le brisement de quatrième mur, une multitude de références historiques, folkloriques et culturelles (bande dessinée, littérature, audiovisuel, animation, cinématographie, vidéoludique, médias...) parsème les histoires :
Certaines de ces génériques ainsi que de ces dernières, vont jusqu'à reprendre les codes et le style visuel d'une œuvre particulière (enchaînement anxiogène de séquences brèves en plan visage avant la phrase fétiche parodiant The SoulTaker, plans et mise en scène d'un meurtre tirés de Neon Genesis Evangelion, scène de duel nekketsu en arrière-plan avec des silhouettes en contre-jour et bruitages rappelant explicitement Goku et Vegeta dans Dragon Ball Z...) ou d'un genre spécifique (surréalisme, film de kaijū, super sentai, shoujo, drama, roman noir...) ;
Certains éléments emblématiques d'autres œuvres y sont ainsi intégrés brièvement (comme un scouter de l'univers de Dragon Ball parmi diverses sortes de lunettes) ou à fréquence répétée (par exemple, un verrou psyché ou encore le costume de Phoenix Wright, de la série de jeux vidéo Ace Attorney) ;
Des messages, blagues et commentaires de l'auteur se retrouvent dans à peu près tous les éléments d'arrière-plan pouvant servir de support d'écriture (le tableau noir de la salle de classe, un papier fixé sur une surface, une affiche, un mur...) et changent d'un plan à l'autre ;
Au même titre, le véritable nom de l'école est une énigme source d'un élément comique récurrent : le nom indiqué sur le panneau à l'entrée de l'enceinte change constamment d'une histoire à l'autre. Il est parfois ironique et absurde, comme lorsqu'elle est nommée « École de magie et de sorcellerie de Poudlard ».
Notes et références
(ja)/(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu des articles intitulés en japonais , et en anglais .