Sauviat-sur-Vige
Sauviat-sur-Vige est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Sauviat-sur-Vige | |||||
Mairie de Sauviat-sur-Vige | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Noblat | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Nexon 2020-2026 |
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Code postal | 87400 | ||||
Code commune | 87190 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
856 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 54âČ 27âł nord, 1° 36âČ 30âł est | ||||
Altitude | Min. 373 m Max. 586 m |
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Superficie | 30,85 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-LĂ©onard-de-Noblat | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Histoire
Sauviat est un lieu que diffĂ©rents documents signalent comme Ă©tant trĂšs anciennement habitĂ©. Un atelier monĂ©taire y a fonctionnĂ© Ă lâĂ©poque mĂ©rovingienne ; on en connaĂźt un tiers de sou dâor, qui est du troisiĂšme quart du VIIe siĂšcle.
Dans les anciens PouillĂ©s, Sauviat est appelĂ© Salviacum ; il Ă©tait, en 1250, le chef-lieu dâun bailliage confiĂ© Ă lâadministration dâun chanoine de lâĂ©glise de Limoges : Gregorius canonicus⊠bailivus pro tempore bailiĆ de Salviaco[1].
GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe du département de la Creuse.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-LĂ©onard-de-Noblat », sur la commune de Saint-LĂ©onard-de-Noblat, mise en service en 1997[9] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 092,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă 28 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Sauviat-sur-Vige est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (54 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (53,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (42,7 %), prairies (33,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,6 %), zones urbanisĂ©es (2,6 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sauviat-sur-Vige est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 38,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Sauviat-sur-Vige est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[26].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[29].
En 2020, la commune comptait 856 habitants[Note 9], en diminution de 10,08 % par rapport Ă 2014 (Haute-Vienne : â1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- L'usine de porcelaine « MĂ©dard de Noblat », rachetĂ©e en 1989 par Georges MĂ©dard. Elle fut crĂ©Ă©e en 1836 et louĂ©e Ă Guibert de la Beausserie puis Ă Gillet. Reprise par Louis-AimĂ© Tharaud, il la gĂ©ra de 1853 Ă 1873, il employa jusqu'Ă 250 ouvriers. AndrĂ© Dupuy la racheta en 1884, rĂ©alisant une porcelaine cuite au feu de bois. En 1935, elle est rachetĂ©e par Giraud et Brousseau qui poursuivent la cuisson au feu de bois, ils obtiennent une porcelaine de trĂšs belle qualitĂ©. La forme corail fut l'un de leurs grands succĂšs, en particulier la soupiĂšre surmontĂ©e d'un animal fantaisie.Ăglise Saint-Martin
- L'église Saint-Martin de Sauviat-sur-Vige du XIIIe siÚcle, clocher du XVIIe siÚcle. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1986[32].
- Le dolmen de la Pierre-Levée, à quelques kilomÚtres du centre-bourg, sur la D 12 en direction de du Theil.Dolmen
- La croix de cimetiÚre et une dalle funéraire, érigée probablement lors du transfert du cimetiÚre en 1843 ; croix XVIIe siÚcle, dalle funéraire XVe ou XVIe siÚcle ; cette dalle funéraire pourrait provenir de l'enfeu aménagé dans le mur nord de l'église de Sauviat. Cette croix dont les montants et les traverses d'égales longueurs peuvent s'inscrire dans un cercle est apparentée au groupe des croix maltaises ; la dalle funéraire dressée verticalement contre le soubassement de la croix est sculptée en demi-relief d'un gisant les mains jointes.
- Les restes du chĂąteau antique : Guichard de Culent, qui Ă©tait seigneur de Sauviat, en 1401, et Jean de Culent, en 1437, portaient pour armes dâazur semĂ© de molettes dâor, au lion de mĂȘme brochant sur le tout. Le seigneur de Sauviat, en 1560, Ă©tait François de Caumont, vicomte de Montbayen, comte de TouchebĆuf. Ses armes sont dâazur Ă trois lĂ©opards dâor, lâun sur lâautre. La seigneurie passa Ă la famille du LĂ©ris ou DulĂ©ry qui a possĂ©dĂ© jusquâĂ nos jours la seigneurie de Peyramont, paroisse de Sauviat, par filiation avec les Mellerio. Elle a pour armes dâazur Ă trois monts dâor et deux lĂ©opards d'argent pour supports.[1]La famille Dulery de Peyramont, Olim..du Leyris, du LĂ©ris, a notamment Ă©tĂ© seigneur de Sauviat, de l'Age-Peyramont, Epagne, Saint-Christophe, Reconseil, Peyramont[33] - [34] etc[35]..
Personnalités liées à la commune
- André Dulery de Peyramont (1804-1880) est un magistrat et homme politique français[36] - [37]
- Jean-Baptiste Daniel de LamaziÚres homme politique français né le à Saint-Léonard-de-Noblat et décédé le à Sauviat-sur-Vige.
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Histoire des communes et toponymie », sur archives.haute-vienne.fr (consulté le )
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Léonard-de-Noblat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sauviat-sur-Vige et Saint-Léonard-de-Noblat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Léonard-de-Noblat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Joseph (1712-1775) Auteur du texte Nadaud, Nobiliaire du diocÚse et de la généralité de Limoges. Tome 3 / par l'abbé Joseph Nadaud,... ; publ. sous les auspices de la Société archéologique et historique du Limousin par l'abbé A. Lecler, 1863-1882 (lire en ligne)
- « Calendar », sur pierrealaurent.free.fr (consulté le )
- Paul (1846-1925) Auteur du texte Ducourtieux et Société archéologique et historique du Limousin Auteur du texte, « Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin », sur Gallica, (consulté le )
- « André, Adolphe Duléry de Peyramont - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le )
- « De Peyramont, Hte-Vienne · BibliothÚque numérique du Limousin · Limoges », sur bnl-bfm.limoges.fr (consulté le )