Salles-sur-Garonne
Salles-sur-Garonne est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Salles-sur-Garonne | |||||
Centre du village vue depuis la rive droite de la Garonne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Muret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Volvestre | ||||
Maire Mandat |
Pierre Caillet 2020-2026 |
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Code postal | 31390 | ||||
Code commune | 31525 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sallois, Salloises | ||||
Population municipale |
592 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 104 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 16′ 25″ nord, 1° 10′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 205 m Max. 229 m |
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Superficie | 5,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auterive | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Boussens à Carbonne » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Salles-sur-Garonne est une commune rurale qui compte 592 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Sallois ou Salloises.
Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune de Salles-sur-Garonne se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 42 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 24 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 25 km d'Auterive[3], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Carbonne[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Rieux-Volvestre (2,2 km), Lafitte-Vigordane (3,3 km), Saint-Élix-le-Château (3,4 km), Saint-Julien-sur-Garonne (4,0 km), Carbonne (4,2 km), Lavelanet-de-Comminges (5,3 km), Peyssies (5,4 km), Mailholas (6,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Salles-sur-Garonne fait partie du Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans[5].
Salles-sur-Garonne est limitrophe de cinq autres communes.
Les communes limitrophes sont Carbonne, Lafitte-Vigordane, Rieux-Volvestre, Saint-Élix-le-Château et Saint-Julien-sur-Garonne.
Géologie
La commune de Salles-sur-Garonne est établie sur la première terrasse de la Garonne en rive gauche.
La superficie de la commune est de 568 hectares ; son altitude varie de 205 à 229 mètres[7].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Garonne, constituant un réseau hydrographique de 2 km de longueur totale[9] - [Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987[16] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 790,3 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 30 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[22].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[23] - [24].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[25].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[27] :
- « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[28]
et un au titre de la directive oiseaux[27] :
- la « vallée de la Garonne de Boussens à Carbonne », d'une superficie de 1 893 ha, hébergeant une avifaune bien représentée en diversité, mais en effectifs limités (en particulier, baisse des populations de plusieurs espèces de hérons). Trois espèces de hérons y nichent : Garde-bœufs, Bihoreau gris et Aigrette garzette[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[30] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[31] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [30] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[32].
Urbanisme
Typologie
Salles-sur-Garonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [I 2] - [34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,3 %), mines, décharges et chantiers (16,9 %), zones urbanisées (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), eaux continentales[Note 10] (5,6 %)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Morphologie urbaine
La commune comprend un habitat dispersé.
Logement
L'urbanisation croissante s'explique par la périurbanisation due à la proximité de Toulouse, Salles-sur-Garonne faisant partie de son aire urbaine[I 5].
Risques naturels et technologiques
Salles-sur-Garonne est située sur une zone à risque d'inondation limité en bordure de la Garonne crue[36].
La commune est également concernée par un risque de séisme de 2/5 (faible)[36].
Voies de communication
La commune est accessible par l'autoroute A64 sortie nos 26.
Transports
La ligne 380 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Cazères.
La gare la plus proche est la gare de Carbonne sur la ligne Toulouse - Bayonne.
Histoire
Ancienne commanderie templière du Comté de Toulouse.
À partir du moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Salles faisait partie du diocèse de Rieux
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[37] - [38].
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Volvestre et du canton d'Auterive (avant le redécoupage départemental de 2014, Salles-sur-Garonne faisait partie de l'ex-canton de Rieux-Volvestre).
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].
En 2020, la commune comptait 592 habitants[Note 11], en augmentation de 6,86 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Service public
Pour les services publics ils sont situés sur la commune voisine de Carbonne.
Enseignement
Salles-sur-Garonne fait partie de l'académie de Toulouse.
Salles-sur-Garonne fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal avec la commune voisine de Saint-Julien-sur-Garonne. La commune possède une école primaire du CE2 au CM2 et sur Saint-Julien-sur-Garonne un groupe scolaire (école maternelle) et primaire jusqu'au CE1[48]. Puis pour le Collège sur la commune de Carbonne (service de car scolaire).
Activités sportives
Base nautique sur la Garonne, terrain de tennis,
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Volvestre[49].
Il existe une déchèterie sur la commune de Carbonne en limite de la commune de Peyssies[50].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 235 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 593 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 400 €[I 6] (23 140 € dans le département[I 7]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 6 % | 10,8 % | 11,9 % |
Département[I 9] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 379 personnes, parmi lesquelles on compte 78,6 % d'actifs (66,8 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 21,4 % d'inactifs[Note 13] - [I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 11]. Elle compte 79 emplois en 2018, contre 81 en 2013 et 54 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 258, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,9 %[I 12].
Sur ces 258 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 89,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,3 % les transports en commun, 2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
46 établissements[Note 14] sont implantés à Salles-sur-Garonne au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 15].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 46 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 12 | 26,1 % | (5,7 %) |
Construction | 7 | 15,2 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 7 | 15,2 % | (25,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,2 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 2 | 4,3 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 11 | 23,9 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 5 | 10,9 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 1 | 2,2 % | (7,9 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,1 % du nombre total d'établissements de la commune (12 sur les 46 entreprises implantées à Salles-sur-Garonne), contre 5,7 % au niveau départemental[I 16].
Agriculture
La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (17 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 386 ha[53] - [Carte 5] - [Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
- Michel Billière : ancien joueur de rugby à XV
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Salles-sur-Garonne » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Salles-sur-Garonne » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
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- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Salles-sur-Garonne » (consulté le ).
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Autres sources
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- Stephan Georg, « Distance entre Salles-sur-Garonne et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Salles-sur-Garonne et Auterive », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Salles-sur-Garonne », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 384-385.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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- Sandre, « la Garonne »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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- Des communes françaises parrainent des communes au Tibet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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